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mardi, 19 mars 2019

Dans le quotidien "Présent" de ce mercredi : un grand entretien avec Roland Hélie au sujet de l'Appel contre la dissolution du Bastion social

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Entretien pour Présent avec Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale et initiateur de l’ « Appel contre la menace de dissolution du Bastion social ».

Source cliquez ici

Roland Hélie, vous venez de lancer un appel contre la menace de dissolution du Bastion social proférée par Emmanuel Macron, président de la République, lors du dîner annuel du Crif à Paris le 17 février dernier. Pourquoi cet appel ?

Tout d’abord, et pour être précis, c’est à la suite de plusieurs discussions avec quelques responsables nationaux et identitaires sur cette menace de dissolution de l’une des composantes de notre famille d’idée, que j’ai pris l’initiative de lancer, au nom de Synthèse nationale, cet appel. Ce combat est, me semble-t-il, indispensable car si aujourd’hui le Système veut détruite le Bastion social, demain il s’en prendra à d’autres et lorsqu’il n’y aura plus personne pour réagir, il sera trop tard...

Il fallait donc réagir immédiatement car cette menace du président de la République de s’en prendre au Bastion social, comme à tout autre mouvement nationaliste, est inadmissible.

Inadmissible ?

Tout à fait. Cette menace de dissolution est inadmissible pour trois raisons.

Tout d’abord parce qu’elle n’est pas fondée. Le Bastion social est un mouvement qui a été créé il y a deux ans par des étudiants lyonnais et qui se bat, comme bien d’autres partout en France, contre l’assassinat de notre nation et de notre civilisation par l’hyper classe mondialiste actuellement au pouvoir. Fidèle à ses principes solidaristes, il s’est « spécialisé », dans l’occupation pacifique de locaux abandonnés pour les transformer en foyers destinés à accueillir les Français les plus démunis comme ce fut le cas à Lyon l’an passé et, plus récemment, en Alsace. Une telle activité est, visiblement, insupportable pour Macron et les siens...

D’autre part, cette annonce a été faite par Macron lors d’une réunion du Crif, une organisation partisane loin d’incarner l’ensemble de la communauté juive de France comme elle le prétend. Ce Crif a pour raison d’être la lutte contre un antisémitisme qui émanerait, soit disant, de l’extrême droite. Tout cela est fantasmé car chacun sait que la violence antisémite, depuis des lustres, ne vient pas de l’extrême droite mais est l’une des conséquences de l’immigration musulmane tant soutenue, entre autres, par... le Crif justement. En se conduisant ainsi, Macron a voulu faire un effet d’annonce destiné à satisfaire son auditoire...

Enfin, en jetant à la vindicte le Bastion social, Macron insulte l’ensemble du Mouvement national toutes tendances confondues. Il se conduit comme un vulgaire petit chefaillon humilié par le soulèvement populaire auquel il est confronté depuis plusieurs mois. Il espère maîtriser la contestation en l’accusant, selon la formule magique (hélas pour lui totalement éculée), d’être manipulé par « l’extrême droite antisémite ». Mais cela, en dehors du Crif, ne marche plus...

Aujourd’hui, c’est le BS qui est visé. Et demain, selon la logique « macronienne », ce seront d’autres formations nationales qui subiront le même sort. L’idéal national est la seule alternative crédible au Système mondialisme. Les promoteurs de celui-ci, Macron en tête, le savent bien, voilà pourquoi ils sont prêt à tout pour le discréditer.

D’où votre exaspération face à de telles allégations...

En effet, comme je vous l’indiquais précédemment, nous ne pouvions pas laisser passer une telle insulte sans réagir. Il fallait mobiliser l’ensemble de la famille nationale, identitaire et même au-delà. D’où cet appel que j’ai lancé sur le site de Synthèse nationale et qui a très vite recueilli de nombreux soutiens. (Pour la petite histoire, la première signature reçue fut celle de Francis Bergeron, directeur de Présent).

Depuis, de nombreuses personnalités de la mouvance nationale ont signé cet appel ?

Près d’une centaine de responsables politiques, associatifs, d’élus, d’écrivains, d’éditeurs, d’artistes, ainsi que près d’un millier de patriotes l’ont signé (*). Ce qui est plaisant, c’est de constater que toutes les sensibilités de notre famille ont répondu sans hésitation. Qu’il s’agisse de Jean-Marie Le Pen, d’Alain de Benoist, de Pierre Vial, de Pierre Cassen, de Thomas Joly, de Serge Ayoub, de Philippe Randa, d’Alain Sanders, de Xavier Eman ou de François Bousquet, d’Anne Brassié pour ne citer qu’eux car la liste est longue et de qualité (ils me pardonneront de ne pas tous les citer mais il suffit de consulter le site de Synthèse nationale pour prendre connaissance de la liste), tous m’ont immédiatement répondu.

Comme quoi, lorsque l’une des composantes de la famille nationale est menacée, celle-ci dans son ensemble est capable de répondre à l’unisson ! Et c’est sans doute ce qui est le plus important dans cette affaire.

(*) Pour les lecteurs de Présent qui désirent signer cet appel (en ligne sur le site cliquez ici), il leur suffit d’écrire à : Synthèse nationale 9, rue Parrot (CS 72809) 75012 Paris (correspondance uniquement).

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19:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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