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dimanche, 28 novembre 2010

Très gros succès de la réunion de Rivarol.

2976.jpgSamedi, plus de 250 personnes se sont retrouvées dans un Espace Dubail archi bourré pour témoigner leur soutien à Rivarol et à son directeur, Jérôme Bourbon.

 

Les prises de position radicales de Jérôme Bourbon en faveur de Bruno Gollnisch et, c’est un euphémisme, des plus critiques à l’encontre de Marine Le Pen, ont suscité des réactions négatives au sein même de la rédaction. Personne, au demeurant ne soutient Marine Le Pen, mais certains aimeraient une ligne, disons plus prudente et mettent en cause la stratégie de Jérôme Bourbon. Comme l’a exprimé Robert Spieler, délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, lors de son intervention, « il faut être fou, en cette période où le langage est aseptisé, où l’autocensure est la règle, et où la répression est omniprésente, pour oser s’exprimer avec une totale détermination quitte à choquer les esprits prudents. Jérôme Bourbon est courageux et même si l’on peut ne pas être d’accord avec certaines attaques personnelles, il dit la vérité avec un incontestable talent de polémiste ».

 

Hervé Ryssen, pour sa part, a  relevé fort justement que la parole était en train de se libérer. Tous les orateurs, dont André Gandillon, directeur de Militant, qui fit une remarquable discours sur la crise économique et les raisons d’espérer, le journaliste Martin Peltier et Robert Spieler ont évoqué le sens profond de notre combat : la défense intransigeante de l’identité de nos peuples, en dépassant les divergences accessoires.

 

Notons dans l’assistance de nombreuses personnalités telles Mme Martine Lehideux, vice présidente du Parti de la France, MM. Pierre Sidos, président de l’œuvre française, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Bernard Brès, directeur du Chêne l’organe de presse du MNR, Maurice Martinet, président du Parti national radical, Pierre Descaves, ancien député, Franck Abed, écrivain, François Ferrier, ancien Conseiller régional de Lorraine et bien d'autres…

 

Si Jérôme Bourbon avait eu besoin d’être rassuré quant au soutien massif des Rivaroliens à sa démarche, l’ovation qui conclut son intervention lui aura permis de comprendre que l’avenir et le développement de Rivarol étaient assurés.

 

La version du Journal du Dimanche : cliquez ici

14:33 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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