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mardi, 30 août 2016

Douarnenez : Les organisateurs de la baignade “pro-burkini” croulent sous la rage populaire

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Les organisateurs du festival du cinéma de Douarnenez, proches de l’extrême-gauche, qui avaient organisé une “baignade pro-burkini” ont subi un torrent de protestations les obligeant à faire profil bas.

Le journal socialiste Le Télégramme, ouvertement favorable aux islamistes, s’en émeut (source) :

Relayée lundi dans nos colonnes et chez nos confrères des médias presse, télé et radio régionaux [La presse d’État pro-musulmane, NDLR], l’opération « Douarnkini » a suscité un raz de marée de réactions, donnant un écho démesuré à ce qui ne se voulait qu’un pied de nez un peu potache.

« Je me doutais bien que les grincheux habituels allaient réagir. Je ne suis pas naïve mais un tel déferlement, j’avoue que je ne l’avais pas imaginé », commentait, lundi, Monique Prévost, responsable du Planning familial, à l’origine de ce rassemblement sur la plage des Dames, dimanche après-midi. Une opération imaginée la veille, lors de la soirée de clôture du Festival de cinéma. « Notre idée – nous baigner en jupes longues, foulards ou combinaisons de plongée – ce n’était surtout pas de défendre le burkini. Au contraire ! C’était un pied de nez pour dénoncer ce débat grotesque qui a tout de même conduit des élus à prendre des arrêtés et le Conseil d’État à trancher. À nos yeux, c’est un sujet ridicule, dont on a trop parlé au lieu de s’intéresser aux vrais problèmes ».

Pour décrypter brièvement la phraséologie de l’organe de désinformation qu’est le journal socialiste Le Télégramme, nous résumerons : une poignée de gauchistes sexagénaires – frappés d’autisme et passablement saouls – ont, samedi soir, décidé de se livrer à une énième provocation “antifasciste” au profit des islamistes.

Organisée par quelques vieilles biques ménopausées du planning familial – jadis adepte du droit des femmes à se libérer du “patriarcat” blanc et catholique – celles-ci ont trempé leur graisse flageolante devant des photographes de la presse d’État, présents pour l’occasion.

Pensant marquer des points, c’est au contraire à un torrent de rage que se sont exposés les provocateurs d’extrême-gauche et les plumitifs complices de l’opération. Il ne fait pas de doute que si la foule avait été présente, la vingtaine d’anarcho-communistes précitée aurait été lynchée physiquement et probablement noyée.

Une leçon à retirer

Ce que les archéo-marxistes de Bretagne n’ont pas encore compris, c’est que le degré d’exaspération face à l’invasion migratoire et à l’islam radical a atteint un niveau qu’ils ne soupçonnent même pas.

Se solidariser publiquement de l’islam comme de l’immigration afro-islamique, c’est faire le choix de s’opposer aux masses autochtones. Et s’exposer dès à présent à des conséquences dévastatrices dont nos ennemis vont devoir progressivement faire l’expérience.

Source Breiz Atao cliquez ici

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17:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’actuelle diversion des socialistes aux abois : l’affaire du burkini...

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Bernard Plouvier

En quatre années et demie de pseudo-exercice du Pouvoir par l’équipe de notre vénéré Président, les Français ont entendu énormément de sottises, énoncées sur un ton doctoral ou démagogique, mais - en cet été de l’An 2016, où un assassin issu de l’islam djihadiste a tué plus de 80 personnes et ruiné la vie de plus de cent blessés, sans compter celle des proches des victimes – le ténébreux Cazeneuve vient de dépasser ce que, dans le Canard enchaîné, l’on nomme le « mur du son de la connerie ».

Selon notre distingué ministre de l’Intérieur et des Cultes (médaille d’or de l’inefficacité face au terrorisme islamique : respect !), une « loi sur l’interdiction du burkini serait illégale, parce qu’anticonstitutionnelle ». Elle serait surtout ridicule, traitant l’énorme problème de l’islam en France par le tout petit bout de la lorgnette… d’autant qu’ôter de la vue des Européens les bourrelets adipeux de certaines musulmanes est plutôt une mesure esthétique qu’une manifestation d’ostentation cultuelle.

Reportons-nous donc à ce texte que devrait connaître parfaitement tout ministre de la Ve République française : la Constitution du 4 octobre 1958.

Dans l’article 2 du Titre premier, il est écrit : « La France est une République indivisible, laïque et démocratique »… ça commence mal pour les agités de la propagande islamique. La République « respecte toutes les croyances », mais « dans la stricte égalité de tous, sans distinction devant la loi ». Autrement dit : pas de particularisme religieux ou sectaire (qu’il soit islamique ou maçonnique), d’autant que la Loi de 1905, séparant l’État de tous les cultes et qui est toujours en vigueur, exige une stricte neutralité publique en matière religieuse, sans ostentation provocatrice (qu’elle soit chrétienne, juive, musulmane, maçonnique, etc.).

Il est évident que nos très honorables compatriotes appartenant à la communauté juive (dont certains membres ont tant fait pour favoriser, puis accroître l’immigration africaine) feraient bien de réfléchir longuement avant d’arborer une kippa dans certains quartiers ou dans certaines rues de ce qui n’est plus une terre de liberté et tranquillité : la France. Il est des erreurs stratégiques, voire des vengeances qui se paient très cher.

L’article 3 de ce même Titre premier spécifie : « Aucune section du peuple ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté »… autrement dit, pas de Diktat (comme l’on dit en allemand) d’origine communautaire ou sectaire. L’islamo-pétrodollar est extrêmement puissant, mais la Constitution de 1958 se moque éperdument de son pouvoir corrupteur.

Ce n’est pas tout, loin de là ! Dans son Préambule, la Constitution de 1958 se recommande des célébrissimes Droits de l’homme, « tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789,… confirmée et complétée par le Préambule de la Constitution de 1946 ».

Or ce texte du 27 octobre 1946 est dépourvu de la moindre ambiguïté, même pour les amateurs de finasseries juridiques : « La loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l’homme ».

Enfin, il est bon de rappeler qu’à partir de la IIe République (soit depuis l’An 1848), l’esclavage est interdit sur l’ensemble des territoires administrés par l’État français.

La conclusion s’impose d’elle-même. On se moque du burkini, incident mineur et grotesque de cette année pré-électorale, diversion pitoyable des politiciens qui font semblant de nous gouverner et des meneurs, plus ou moins légitimes, de la multitude des mahométans installés sur le sol français. Le problème de fond est infiniment plus grave.

Prônant ouvertement l’inégalité des droits entre les sexes et la pratique de l’esclavage, le coran et ses commentaires (les hadîths) sont anticonstitutionnels.   

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09:33 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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09:24 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |