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vendredi, 06 octobre 2017

CATALOGNE : LES INDÉPENDANTISTES IMMIGRATIONNISTES PROVOQUENT LE RÉVEIL DU NATIONALISME ESPAGNOL

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Dans notre article du 18 août, nous avions souligné la lourde responsabilité des indépendantistes catalans dans les attentats survenus cet été à Barcelone et à Cambrils, leur politique d’immigrationnisme forcené ayant facilité la formation des larges communautés allogènes où ont été recrutés et formés les terroristes. A la place de ces messieurs, après un échec aussi dramatique et sanglant, nous aurions fait au moins preuve de discrétion. Mais eux, pas du tout. Il faut croire que, pour ces indécrottables crétins, il ne suffisait pas de trahir l’Europe en facilitant l’immigration de masse, il fallait aussi détruire l’unité espagnole en organisant un référendum pour l’indépendance.

Ce référendum, organisé en toute illégalité au regard de la constitution ibérique, s’est déroulé le dimanche 1er octobre et a, comme on le sait, donné lieu à des affrontements qui ont entraîné les habituelles pleurnicheries gauchardes contre les « violences policières » (cf. cliquez ici). Ce que l’on sait moins, par contre, c’est ce que l’on peut retenir de ses résultats. Le second article ci-dessous (cliquez là), en effet, indique que, si le « oui » a obtenu 90 % des suffrages exprimés, seuls 42 % de l’électorat se sont exprimés. Dès lors, le calcul qui s’impose est fort simple : 90 * 0,42 = 38. Ce sont donc 38 % seulement des électeurs qui se sont prononcés en faveur de l’indépendance, ce qui enlève toute légitimité à celle-ci, si elle est proclamée.

Et pourtant, les inconscients irresponsables qui dirigent la Catalogne affichent leur ferme intention de faire cette proclamation lundi prochain 9 octobre, lors d’une réunion du parlement catalan d’ores et déjà déclarée illégale par la justice espagnole. Cette journée de lundi prochain s’annonce d’ailleurs lourde de tension, le Roi ayant montré une très grande fermeté lors d’une déclaration où il a reproché aux dirigeants indépendantistes de bafouer la loi, manifestant clairement son refus de ce soi-disant « dialogue » qu’appellent de leurs vœux tous les gras médias qui, en relayant à la fois les mots d’ordre des pseudo-révolutionnaires antifas et ceux de la bourgeoisie libérale, montrent à quel point ils sont manipulés par ce capitalisme mondialisé qui est le pire ennemi de notre continent.

DERRIÈRE LES INDÉPENDANTISTES, LES GNOMES DE WALL STREET ?

Car il serait temps de savoir qui pousse ainsi les Catalans sur la voie de provocations successives qui ne bénéficient nullement à l’Europe, mais dont l’objectif évident est au contraire de dresser les Européens les uns contre les autres, en allumant toutes les bombes à retardement du même type qui existent à l’intérieur de l’Union européenne, qu’il s’agisse du régionalisme indépendantiste ou des minorités nationales que les hasards de l’Histoire ont placé en dehors de la mère-patrie. Alors qu’il faudrait dépasser tout cela pour lutter contre l’invasion migratoire et œuvrer à la construction de la grand Europe impériale, le risque est grand, par conséquent, de voir se rallumer ainsi des conflits totalement inutiles entre Européens. Mais qui est donc derrière tout cela ? Le référendum catalan a eu lieu quelques jours seulement après celui du Kurdistan irakien, soutenu par Israël : est-ce un hasard ?

Il est vraisemblable que, en creusant un peu, on fasse sortir les visages grimaçants des gnomes de Wall Street, et en particulier celui de l’inévitable Soros, spécialiste des « révolutions de couleur », dont l’indépendantisme catalans paraît être le dernier avatar. Car ces gens-là veulent détruire l’Europe et, pour détruire l’Europe, ils pensent, à juste titre, qu’il faut commencer par détruire les nations européennes. Et l’on commence à entendre des propos sidérants, selon lesquels, n’est-ce pas, la Catalogne serait une « nation », mais pas la France : allons-nous encore supporter longtemps de pareilles pitreries ?! 

Les Espagnols, quant à eux, commencent à montrer que leur patience est à bout. D'après Le Monde daté du 5, en effet, l'affaire de Catalogne est en train de provoquer un réveil du nationalisme espagnol (que l'on voyait d’ailleurs déjà poindre, depuis quelques mois, avec le développement du « Hogar social ») : des manifestations phalangistes contre les menées criminelles des indépendantistes immigrationnistes ont maintenant lieu régulièrement, à Madrid, avec bras tendus et « Cara al Sol ». Tout est désormais en mouvement dans la péninsule ibérique et ça bouge terriblement ! Dans cette situation d’extrême tension, tous les Européens conscients se doivent d’appuyer l’unité espagnole, car, comme on l’a souligné plus haut, une victoire des menées criminelles des indépendantistes catalans provoquerait des mouvements en chaîne destructeurs de l’Europe. Il n’y a donc qu’un seul mot d’ordre, d’une absolue clarté : VIVE L’ESPAGNE, UNE, GRANDE ET LIBRE !

 

11:14 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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