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dimanche, 07 avril 2019

Une ambiance amicale samedi soir à Paris au 3e Dîner annuel de Synthèse nationale avec Martial Bild, directeur de TV Libertés

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Hugues Bouchu, Martial Bild et Roland Hélie

Nombreux étaient les amis franciliens de Synthèse nationale a être venus participer samedi 6 avril à notre dîner annuel. Le repas était, de l'avis général, des meilleurs et, comme d'habitude, l'ambiance chaleureuse était au rendez-vous.

Après Massimo Magliaro en 2017 cliquez ici, à l'occasion des 70 ans de la création du Mouvement social italien, et Jean-Marie Le Pen l'an dernier qui nous présenta le premier tome de ses Mémoires cliquez là, notre invité de cette année était Martial Bild, directeur général de TV Libertés, qui nous raconta la fabuleuse aventure de ce média non conformiste extraordinaire qui prend une place grandissante dans notre pays. 

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Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, Président des Amis de Synthèse nationale, ouvre la séance des interventions.

Mais, dans un premier temps, il revenait au Président national des Amis de notre revue, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, d'ouvrir la séance en présentant, avec humour et sincérité, notre invité. Puis, Hugues Bouchu, délégué des Amis franciliens, fit une intervention, courte et percutante, sur l'actualité politique du moment.

Après le plat de résistance, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, rappela des motivations qui engendrèrent, il y a 13 ans, notre organisation et annonça la tenue, le dimanche 13 octobre prochain, de notre 13e Journée nationaliste et identitaire à Rungis. Il s'en prit ensuite au pouvoir maconien en qualifiant LREM de "véritable parti de la finance qui regroupe la droite anonyme et la gauche vagabonde..."

Enfin, très attendu et ovationné, Martial Bild, pour sa part, n'y alla pas par Quatre Chemins. Le thème de la soirée était, rappelons-le, "La Vérité n'est pas négociable" et c'est ce que nous démontra, avec le brio et l'intelligence que nous lui connaissons, le directeur de la chaine favorite des patriotes qui vient de fêter ses cinq ans d'existence.

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On reconnait parmi les convives Claudine Dupont-Tingaud, présidente du cercle quimpérois Réagir et agir, l'écrivain Patrick Gofman et l'éditeur Jean Picollec

Après un échange fourni de questions-réponses sur divers thèmes, les convives se séparèrent aux alentours de minuit sans oublier d'acheter de nombreux livres parmi lesquels Le défi, écrit par Marie-Simone Poublon et Philippe Randa sur l'histoire de TV Libertés cliquez là, que Martial Bild dédicaça en grand nombre. Il en alla de même pour Dr Merlin et son ouvrage consacré à Corneliu Zelea Codreanu publié ces jours derniers sous la forme d'un nouveau Cahier d'Histoire du nationalisme cliquez ici.

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Hervé Chaumière au stand de vente des livres.

Toutes les interventions ont été filmées et elles sont visibles en cliquant ici

Rappelons que depuis novembre 2016, un partenariat entre TVL et Synthèse nationale a donné l'émission "Synthèse" chaque jeudi sur Radio Libertés.

A partir de la rentrée prochaine, cette émission sera filmée cliquez ici

18:58 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Genève, samedi 27 avril : conférence de Georges Feltin-Tracol

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18:53 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le nouveau numéro de Terre et peuple magazine

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16:35 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Comme en 2007, les marchés ne veulent voir que le verre à moitié plein

454px-glass_half_full_bw_1-454x475.jpgMarc Rousset

Boulevard Voltaire

cliquez ici

Le CAC 40 a continué sa belle remontée à 5.476,20, ce vendredi 5 avril, tandis que Wall Street, suite à un rapport sur l’emploi, de bonnes nouvelles sur le dossier commercial sino-américain ainsi que sur le Brexit, terminait au plus haut de l’année. Face au ralentissement de l’activité mondiale et aux risques systémiques, les marchés regardent le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide.

La dette française frôlera les 100 % du PIB en 2022 et non pas 90 %, comme dans de précédentes estimations. En cas de crise similaire à celle de 2008, elle devrait même dépasser les 120 %. En matière d’effort structurel sur les dépenses publiques, l’exécutif répète inlassablement : « Vous allez voir ce que vous allez voir, mais dans deux ans seulement. » La triste réalité Macron, c’est que le taux de croissance sera au maximum de 1,4 % jusqu’à la fin de son mandat, que seuls 1.500 postes ont été supprimés dans la sphère de l’État en 2018, que seulement 4.500 devraient l’être en 2019, tandis que la ruineuse et suicidaire immigration, de l’ordre de 450.000 personnes par an, continue…

L’indice PMI IHS Markit manufacturier français du mois de mars est ressorti assez déprimé, à 49,7. La France paie les erreurs laxistes, depuis quarante ans, d’une politique de désindustrialisation et de demande keynésienne avec des déficits publics, au lieu d’avoir pratiqué, comme l’Allemagne, une politique de l’offre compétitive des entreprises, la seule politique possible pour créer et sauver des emplois industriels.

En zone euro, l’indice PMI IHS Markit manufacturier se replie de 49,3 à 47,5 en mars, affichant son plus bas niveau depuis avril 2013. L’indice allemand, lui, a plongé à 44, en mars, contre 47,6, en février. L’Europe pourrait bien être le point de départ de la prochaine crise car la France et l’industrie allemande, et non plus seulement l’Europe du Sud, sont en cause.

Le bilan de la BCE représente 41 % du PIB, contre 22 % pour les États-Unis et 101 % pour le Japon – le pire exemple. Il n’est plus possible, en zone euro, d’augmenter les taux d’intérêt car ils seraient supérieurs aux faibles taux de croissance des pays européens, augmentant mécaniquement le poids de la dette dans les PIB. Il y a là un grave problème car les taux d’intérêt doivent être normalement relevés par les banques centrales en période normale afin de pouvoir être abaissés lorsque la récession apparaît. En fait, la zone euro n’a plus le choix qu’entre les taux bas ou la faillite immédiate des États et les krachs bancaires, obligataires, boursiers et immobiliers. Tout explosera lorsque la récession finira, malgré tout, par arriver !

En Italie, une contraction du PIB de -0,2 % est prévue pour 2019, avec un taux de croissance de 0,4 % en 2020. Le gouvernement populiste, conscient des effets négatifs du revenu citoyen et de l’avancée suicidaire de l’âge de la retraite, a pris pour la première fois, suite aux pressions du patronat et de Bruxelles, de bonnes mesures : suramortissement des investissements, simplification de l’impôt sur les bénéfices, soutien à l’innovation. Mais cela ressemble à de la poudre de perlimpinpin trop tardive dans un pays à l’arrêt depuis vingt ans.

Les impôts, en Italie, devraient être augmentés de 32 milliards d’euros pour éviter une augmentation du déficit budgétaire à 3,5 %.

Aux États-Unis, Trump souhaite une baisse immédiate des taux d’intérêt à 0,5 % et le retour au « QE » laxiste de la création monétaire. Les taux courts sont à 2,5 %, au même niveau que les taux à dix ans. Or, il faut habituellement, en cas de récession, une baisse de 3 à 5 % du taux directeur pour relancer l’économie. Les taux américains pourraient basculer un jour, comme en Europe et au Japon, en territoire négatif. Mais un autre signe noir pourrait apparaître : celui de la dédollarisation et de la chute du dollar. Les banques centrales de nombreux pays achètent de plus en plus d’or et, cerise sur le gâteau, l’Arabie saoudite a fait des déclarations fracassantes, ce vendredi 5 avril, en affirmant réfléchir à une alternative au dollar dans le cadre des transactions pétrolières qui fut à l’origine même du règne du dollar.

Les Bourses grimpent suite à l’afflux laxiste de liquidités et aux bas taux d’intérêt, mais les productions réelles ne suivent pas. Les dangers de krach dans le monde sont multiples et multi-pays interconnectés.

15:52 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 11 mai, banquet pour les 10 ans du Parti de la France

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