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jeudi, 24 septembre 2020

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BULLETIN DE COMMANDE

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Les trois aveux de Mélenchon

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Vincent Vauclin

président du Mouvement national-démocrate

Le discours prononcé cette semaine par Jean-Luc Mélenchon - à l'occasion du lancement de l'Institut de la Boétie, le nouveau think-tank de la France Insoumise - restera dans l'histoire récente comme le moment charnière et fondateur de la nouvelle gauche. Prenant acte d'une mutation idéologique déjà bien engagée, Jean-Luc Mélenchon a finalement franchi le rubicon qui le séparait encore des courants les plus gauchisants de sa mouvance pour embrasser sans réserve la cause indigéniste et se débarrasser des derniers oripeaux de la gauche ouvrière du siècle dernier, républicaine et vaguement cocardière, dans les plis desquels il feignait encore jusqu'ici de draper son discours.

D'une manière générale, les mots ont un sens. Mais prononcés par celui qui rassembla plus de 7 millions de suffrages sur son nom en 2017 et qui fut le grand architecte de la recomposition de la gauche post-Hollande, ils prennent encore davantage de poids. Ainsi est-il essentiel de saisir toutes les implications de son propos lorsque le leader de la France Insoumise déclare que « le peuple français a commencé une sorte de créolisation qui est nouvelle dans notre histoire, il ne faut pas en avoir peur, c'est bien. (...) Nous avons besoin d'une nouvelle règle du jeu. Voilà pourquoi la VIème République est un besoin vital ».

Par cette tirade, et en quelques mots, Jean-Luc Mélenchon nous fait trois aveux inédits aux conséquences explosives :

  • 1er aveu : Le Grand Remplacement est finalement une réalité, et non plus un "fantasme d'extrême-droite". Qu'il le nomme "processus de créolisation" plutôt que "processus d'effacement identitaire et de remplacement démographique" n'y change rien. Jean-Luc Mélenchon admet enfin la réalité de ce que nombre de lanceurs d'alerte proclament depuis des années : le peuple français autochtone est effectivement en train d'être remplacé sur le plan ethnique et culturel par des masses immigrées essentiellement originaires d'Afrique et du Maghreb. Et pour lui, c'est un progrès.

  • 2ème aveu : Ce processus de remplacement démographique aura des conséquences sociales et politiques majeures. Autrement dit, Jean-Luc Mélenchon prend acte du caractère tribal et communautaire du vote immigré, et donc de la faillite intégrale de la politique d'assimilation républicaine et du processus de sédition communautariste qui en résulte. Pire : il se propose tout simplement de le hâter, de l'accompagner et de l'orienter pour servir l'avènement de sa fameuse 6ème République qui achèvera de liquider les derniers vestiges de l'État-Nation à la française.

  • 3ème aveu : Le nouvel enjeu politique de la gauche n'est plus économique ou social, mais bien, d'abord et avant tout, identitaire et communautaire. Les nouveaux rapports de force démographiques changent la donne. Puisque le camp des opprimés se confond désormais avec celui des immigrés, la lutte des races se substitue donc habilement à la lutte des classes dans la rhétorique de l'autoproclamé "tribun du peuple" qui tente ainsi d'harnacher à son attelage électoral "écosocialiste" la thèse fumeuse de "l'intersectionnalité des luttes".

À plus d'un titre, ce discours de Jean-Luc Mélenchon est donc lourd de conséquences. Alors qu'à droite tous se défilent et se refusent toujours à prononcer les mots qui fâchent - à l'instar de Marine Le Pen, qui en est encore à déclarer "ne pas connaître la notion de Grand Remplacement" - Jean-Luc Mélenchon jette un pavé dans la mare. Lui a d'ores et déjà choisi son camp en déplaçant le curseur du débat présidentiel sur le terrain identitaire. Bien sûr, son objectif premier est d'abord électoral : le cacique mitterrandien qu'il fut naguère n'a rien oublié des leçons de son vénérable maître, et exploite habilement tous les ressorts de la démagogie cynique et de l'indignation surjouée pour coaguler les colères et reconstituer un prolétariat-électorat de substitution (dans tous les sens du terme), comme le fit jadis son mentor.

Mais le propos de Jean-Luc Mélenchon révèle également sa francophobie latente et son obsession maladive de la "table rase" : en témoigne cette formule cryptique par laquelle, dans ce même discours, il exhorta ses militants à "faire France de tout bois" dans une analogie pour le moins curieuse entre la France et un bûcher. Reste à savoir à quel brasier, au fond, il pensait : celui de Notre-Dame ou des banlieues ? Une chose est sûre : entre le rôle du pompier et celui du pyromane, Jean-Luc Mélenchon n'a pas dû hésiter longtemps. Et le 21 septembre dernier, il a craqué sa première allumette.

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Entretien avec Éric Leclercq, auteur du Roman de Marie-Antoinette en deux volumes aux éditions Dualpha

Leclercq-Eric-quadri-168x247.jpgPropos recueillis

par Arnaud Dutilleul

Pourquoi ces deux nouveaux livres sur Marie-Antoinette ?

Si cette Reine est célèbre, elle est surtout très mal connue, tout particulièrement par les ragots et les légendes qui ont toujours la vie dure. Le Roman de Marie-Antoinette n’est pas une fiction, mais un récit historique, très documenté et que j’ai mis plusieurs années à écrire afin que les lecteurs connaissent la « véritable » Marie-Antoinette.

Qu’apportez-vous de nouveau dans ce livre ?

Eh bien ! tout au long de ce récit, j’explique que dès l’avènement de Louis XVI et Marie-Antoinette, en 1774, des loges maçonniques attaquèrent la Reine à travers différents pamphlets. Pour pouvoir assassiner la Reine, il fallait déjà la tuer dans les esprits, faire passer Louis XVI pour un impuissant pour mieux dépeindre Marie-Antoinette comme une femme de mauvaise vie, multipliant les adultères avec des hommes, mais aussi des femmes. Les ennemis de la Monarchie travaillèrent à salir cette femme de façon incessante. L’Affaire du Collier qui éclata en 1785 fut montée de toutes pièces par les Illuminati et le fameux Cagliostro, membre des Illuminati… Ce dernier s’installa à Strasbourg en 1779, comme par hasard en même temps que le Cardinal de Rohan qui prenait ses fonctions d’Évêque de Strasbourg. Pour ma part, dès ce moment-là, l’intention de nuire à la Monarchie était évidente, et le Cardinal de Rohan, naïf à souhait, était la proie toute trouvée, voire rêvée par ces forces occultes.

Contrairement à beaucoup d’auteurs qui n’osent pas aller au fond des choses et qui mettent la Révolution française sur le compte du soi-disant ras-le-bol des Français, j’ai relaté les faits : oui, des loges maçonniques du XVIIIe siècle, les Illuminati en tête, provoquèrent le drame de la France.

Vous voulez parler de la Révolution française ?

Ce fut un véritable travail de sape. Comme ces ennemis de la Monarchie avaient tué la Reine grâce à l’Affaire du Collier, les Français étaient maintenant mûrs pour la mise à mort de la Reine et de la Royauté en général. Car n’oublions pas qu’à travers toute la France, lors de l’été 1789, les Francs-maçons envoyèrent une multitude de satellites ameuter les villes, les villages, le moindre des hameaux, avec une proclamation comme quoi Louis XVI ordonnait à son bon Peuple de brûler les châteaux des aristocrates afin de juste conserver le sien. Partout, les loges maçonniques colportèrent qu’il y avait des brigands et soulevèrent le Peuple, si bien que tout fut mis à feu et à sang.

Le duc d’Orléans, futur Philippe Égalité, était Grand Maître du Grand Orient de France depuis 1772, et il joua un rôle très actif dans cette Révolution, très certainement parce qu’il imaginait prendre la place de Louis XVI. De plus, contrairement à ce qui est dit dans les manuels scolaires, les atrocités ont bien commencé dès 1789, et sur ce point-là, j’ai tenu à aller dans les faits

Pour vous, le sort de la Reine était joué d’avance ?

Pour moi, le sort de la Reine était décidé dès 1785 avec l’Affaire du Collier. En 1786, le Cardinal de Rohan était acquitté par le Parlement de Paris, et la Reine, définitivement salie. Et cette même année 1786, lors du Grand Congrès maçonnique de Francfort, les Illuminati programmèrent la Révolution, dite Française, qui devait éclater trois ans plus tard. Eh oui ! une Révolution n’est jamais spontanée, mais toujours orchestrée par des gens, et pour la France, ce sera le drame du XVIIIe siècle, et qui perdure encore de nos jours. Il faut bien avouer que la propagande maçonnique, mais aussi la désinformation, ont bien joué leur rôle. Et l’objectif des ennemis de la Monarchie était atteint : tuer le trône et l’autel, surtout en France, parce que la France était la Fille Aînée de l’Église.

Pensez-vous qu’à l’issue de la lecture de votre livre, les lecteurs auront une image plus positive de la Reine ?

En tout cas, c’était mon objectif. Marie-Antoinette fut une femme vertueuse, fidèle à Louis XVI, et si elle avait eu Fersen pour amant, le Tribunal Révolutionnaire, qui n’était pas à une indécence près envers la Reine, aurait été trop heureux de l’étaler sur la place publique. Or, Fouquier-Tinville ne dit jamais un mot sur ce point.

En vérité, Marie-Antoinette fut mal entourée, mal conseillée, dès son arrivée en France. Et malheureusement, elle n’avait pas un époux à la hauteur des événements dramatiques qui s’abattirent sur la France.

Je finirai en disant que celle qu’on surnommait « l’Autrichienne » était la fille de François de Lorraine et qu’elle avait bien plus de sang français que Louis XVI, car Marie-Antoinette, c’est aussi cela.

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Le Roman de Marie-Antoinette, Eric Leclercq, Dualpha, 2 volumes cliquez ici et cliquez là

 

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Conférence du Cercle Pol Vandromme à Bruxelles le 30 septembre avec Jean-Yves Le Gallou

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Claude Chollet interviewera Jean-Yves Le Gallou.

Le Cercle Pol Vandromme fera sa rentrée ce 30 septembre avec pour invité l'INSTITUT ILIADE.

Mercredi 30 septembre à 19h (accueil à partir de 18h30) au Thon Hotel Stéphanie avenue Louise 91 à Bruxelles

Claude Chollet est Diplômé d’études supérieures en sciences politiques de l’Institut Études politiques (IEP, 1972). Secrétaire général de l’Association pour la défense de la culture (AFDC, 1974), il devient président du Groupement de Recherche et d’Études pour la Civilisation européenne (GRECE, 1984). Il fonde l’Observatoire des Journalistes et de l’Information médiatique (OJIM, 2012). Groupe de citoyens intéressés par le monde de l’information, son évolution, son influence et aussi ses dérives, l’OJIM analyse le paysage médiatique et informe le citoyen sur ceux qui informent.

Jean-Yves Le Gallou est Diplômé d’études supérieures en économie de l’Institut des Études politiques (IEP, 1969), diplômé de l’École nationale d’Administration (ENA, 1974). Membre du Groupement de Recherche et d’Études pour la Civilisation européenne (GRECE), président du Cercle Pareto (GRECE) à l’Institut Études politiques (IEP, 1969). Cofondateur du Club de l’Horloge (1974), député européen (1994). Il crée la Fondation Polémia (2003). Il anime également l’émission d’analyse «i-media» (2014) sur TVLibertés. Avec Philippe Conrad et Bernard Lugan, il fonde le 20 juin 2014 l’Institut Iliade.

Il est l'auteur d'une quinzaine de livres dont Européens d'abord : Essais sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018).

Inscriptions via le site du Cercle ICI

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Manipulation de masse et torture psychologique avec Jean-Jacques Crèvecoeur

Même si l'on peut parfois être en désaccord avec certaine positions de Jean-Jaques Crèvecoeur, j'ai trouvé cet entretien avec Jean-François Denis sur ThéoVox très pertinent et intéressant. Il nous décortique durant ce riche   échange le lien entre la manipulation de masse, la torture psychologique et la ''pseudo pandémie'' dans laquelle est plongé notre monde.

Sacha de Roye

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18:50 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Forte surmortalité dans les maisons de retraite belges en août : canicule et mesures COVID…

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de Jeanne Smits

Il y a eu quelque 1.500 décès de plus qu’attendu en Belgique au mois d’août, frappant en priorité les personnes les plus âgées. Cette surmortalité n’était pas liée au coronavirus chinois… sinon indirectement, car ce sont les « mesures COVID » conjuguées avec la canicule qui ont provoqué l’hécatombe. Ces morts s’ajoutent aux suicides, au décès qu’entraîneront retards et absences de soins et autres effets néfastes de la « gestion » de la crise du coronavirus, aussi désastreuse en Belgique qu’en France. Et ce sont une fois de plus les vieillards qui paient le plus lourd tribut, eux que les « mesures COVID » prétendent « protéger ».
 
Très précisément, la surmortalité en Belgique a été estimée à 1.460 entre le 5 et le 20 août, la moitié des victimes ayant plus de 85 ans et la très grande majorité plus de 65 ans. Cela représente une surmortalité de 34,8 %.
 
Celle-ci a frappé en priorité les centres de séjour pour personnes dépendantes, l’équivalent de nos EHPAD, qui se trouvaient face à une interdiction d’utiliser ventilateurs et air conditionné malgré des températures de 38°. Il fallait éviter le COVID, dont on pense qu’il se transmet peut-être via les systèmes de climatisation !
 
Mais la solitude liée au confinement a également fragilisé les pensionnaires de ces maisons pour personnes âgées. Selon Jan De Lepeleire, professeur de médecine générale, « l’énorme » surmortalité pourrait bien avoir un lien avec cet isolement si mal vécu par les anciens qui ont tendance à « se laisser aller » plus vite. Des syndicalistes ajoutent que les maisons de retraite étaient en manque de personnel : ceux qui sont  partis en vacances, mais aussi les employés malades ou surmenés à la suite de la crise du COVID.
 
Résultat : il n’y avait pas assez de soignants pour faire la ronde des chambres surchauffées afin de donner à boire aux habitants, tandis que – COVID toujours – les visites restaient limitées.
 
Het Nieuwsblad raconte le cas poignant de Jeanine de Vylder, 76 ans. Cela faisait des années que son mari, Paul, passait quatre heures et demi auprès de sa femme malade d’Alzheimer, six jours par semaine, pour lui tenir la main, la promener, lui donner à manger, la coucher. Pendant le confinement, il a été privé de toute visite pendant deux mois ; par la suite, il a pu de nouveau aller la voir, mais pas plus de trois fois par semaine.
 
Elle est morte le 16 août, dernier jour de la canicule.  Sans COVID. Paul avait tout fait pour essayer de la rafraîchir les jours précédents : lui passer des gants de toilette mouillés sur le front et les poignets, tenter de la faire boire… Dans sa chambre mal isolée du troisième étage sous le toit plat, pas de ventilation – c’était interdit – et la fenêtre était à peine ouverte. Les années précédentes, pendant les canicules, Paul pouvait encore faire sortir sa femme de sa chambre, l’emmener dehors ou dans un lieu frais. Impossible cette année : les mesures COVID fermaient toutes les portes, supprimaient toutes les chances de survie.
 
Le 14 août, Paul a trouvé sa femme transpirant, la tête toute rouge, avec 38,7° de fièvre, déshydratée. L’hospitalisation d’urgence n’a pas permis de la sauver.
 
Le certificat de Jeanine de Vylder ne portera pas la mention « coup de chaleur ». Margot Cloet, responsable d’un réseau de maisons de retraite en Flandre, précise que les causes des décès qui s’y sont produits pendant la vague de chaleur restent encore à déterminer.
 
Intéressant, non ? La canicule, c’est tout le contraire du COVID : elle peut hâter la mort des personnes âgées et fragiles, mais il n’est pas question d’y voir la cause principale de la mort !
 
 

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