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vendredi, 02 octobre 2020

Pierre Jovanovic dans l’émission Politique & Éco n°269

Pierre Jovanovic et son complice Olivier Pichon vont attaquer les banques... sur leurs turpitudes financières. On y apprendra comment la profession de banquier de haut vol vous expose à être promptement "suicidé" et comment la folie des taux d’intérêts négatifs est le véritable virus qui détruit la société. Ou bien encore comment ils veulent supprimer l’argent liquide et les DAB et comment ils pillent petits épargnants et petits retraités par des stratagèmes aussi tordus que subreptices. Un tableau édifiant et des enjeux de pouvoir qui ne sont jamais loin.

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Le JDD censure une tribune des Pr Toussaint, Toubiana et de 250 autres scientifiques critiquant la gestion de l’épidémie

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Jean-Dominique Michel

L’heure est grave. Nos gouvernements sont désormais pris dans une fuite en avant insensée, délirante et destructrice.

À mesure qu’ils fracassent les lignes sans aucune justification sanitaire (selon tous les critères usuels et utiles en la matière), la révolte gronde dans les populations de plus en plus infantilisées, culpabilisées et maltraitées.

La tribune suivante, signée par 250 scientifiques, universitaires et professionnels de la santé, enfonce le clou.

Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19.

Dans cette tribune, près de 250 scientifiques, universitaires et professionnels de santé critiquent la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu’elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des mesures disproportionnées. Et demandent que l’on évalue nos connaissances réelles pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire.

Avis au lecteur : cette tribune devait initialement paraître dans le "Journal du Dimanche" (JDD) ce 27 septembre 2020. Acceptée le samedi matin par le journaliste en charge de la rubrique "Tribune/Opinions", elle devait paraître intégralement sur le site Internet du journal et faire l’objet d’un article dans la version papier du lendemain. Le journaliste nous disait s’en féliciter car cela allait permettre un débat contradictoire avec d’autres opinions très alarmistes exprimées ce jour dans ce journal. À 16h, ce journaliste nous a pourtant prévenu que sa rédaction en chef interdisait la publication. Certitude de détenir soi-même la vérité ? Couardise ? Volonté de ne pas déplaire au gouvernement ? Nous ignorons les raisons de cette censure que personne n’a jugé utile (ou tout simplement courtois) de nous expliquer.

Tandis que le gouvernement prépare une nouvelle loi (la quatrième en 6 mois !) prolongeant le « régime d’exception » qui a remplacé « l’État d’urgence » sanitaire, le ministère de la Santé a encore annoncé mercredi 23 septembre des mesures restrictives des libertés individuelles et collectives qu’il prétend fondées scientifiquement sur l’analyse de l’épidémie de coronavirus. Cette prétention est contestable. Nous pensons au contraire que la peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, qu’ils conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.

Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?

Le SARS-CoV-2 menace essentiellement les personnes dont le système immunitaire est fragilisé par le grand âge, la sédentarité, l’obésité, des comorbidités cardio-respiratoires et des maladies sous-jacentes de ces systèmes. Il en découle que la priorité sanitaire est de protéger ces personnes fragiles : le respect des gestes barrières et le lavage des mains en sont deux des clés.

Le SARS-CoV-2 circule dans le monde depuis environ un an. Il continuera à circuler, comme l’ensemble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et auxquels nos organismes se sont progressivement adaptés. L’espoir de faire disparaître ce virus en réduisant à néant la vie sociale est une illusion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pratiques médiévales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.

Quant à l’évolution, l’idée d’une « deuxième vague » reproduisant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empirique. C’est une théorie catastrophiste issue de modélisations fondées sur des hypothèses non vérifiées, annoncée dès le mois de mars et ressortie des cartons à chaque étape de l’épidémie : en avril lors du soi-disant « relâchement » des Français, en mai avant le déconfinement, en juin pour la Fête de la musique, en été pour les « clusters » de Mayenne ou les matchs de foot, et à nouveau cet automne face à une augmentation des cas certes significative, mais lente et grevée d’incertitudes diagnostiques. Au final, cette prétendue « deuxième vague » est une aberration épidémiologique et l’on ne voit rien venir qui puisse être sérieusement comparé à ce que nous avons vécu au printemps dernier.

On ne compte plus les mêmes choses.

Nous voyons enfin que, pour des raisons difficiles à cerner (panique, pression politique ou médiatique… ?), les autorités sanitaires françaises ne parviennent pas à stabiliser une communication honnête sur les chiffres de l’épidémie [1]. Elles ont surtout abandonné l’indicateur fondamental, la mortalité, pour ne retenir que celui de la positivité de tests pourtant incapables de distinguer les sujets malades des personnes guéries. Cette politique du chiffre appliquée aux tests conduit à une nouvelle aberration consistant à s’étonner du fait qu’on trouve davantage aujourd’hui ce qu’on ne cherchait pas hier. Elle conduit par ailleurs à des classements des départements ou des régions en zones plus ou moins « dangereuses » à qui l’on donne de jolies couleurs qui cachent la fragilité et l’arbitraire du comptage : untel se retrouvera en « zone rouge » alors qu’il y a moins de dix patients en réanimation, un autre verra tous ses restaurants fermés sans que l’on ait la preuve que ce sont des lieux de contamination majeurs. Tout cela n’est guère cohérent.

Les autorités sanitaires ne s’interrogent pas non plus sur la surmortalité à venir des autres grandes causes de décès [2] (cancers, maladies cardio-vasculaires) dont la prise en charge est délaissée, ni sur le fait qu’une partie des sujets classifiés parmi les personnes « décédées de la Covid » sont en réalité mortes en raison d’une autre pathologie [3] mais classifiées Covid parce qu’elles étaient également porteuses du virus. Or des études récentes montrent que ce groupe pourrait constituer jusqu’à 30 % des décès au Royaume Uni ces dernières semaines [4]. Cette façon de compter de plus en plus comme « morts du Covid » des personnes en réalité atteintes avant tout d’autres maladies est probablement l’explication principale du fait que, comme cela est écrit en toutes lettres sur le site de l’INSEE [5] : « Depuis le 1ᵉʳ mai, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019 ».

Il découle de tout ceci qu’il n’y a pas de sens à paralyser tout ou partie de la vie de la société en suivant des raisonnements qui sont parfois erronés dans leurs prémisses mêmes. Il est urgent d’arrêter l’escalade, d’accepter de remettre à plat nos connaissances scientifiques et médicales, pour redéfinir démocratiquement une stratégie sanitaire actuellement en pleine dérive autoritariste.

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Macron aux Mureaux : discours inutile de la méthode erronée.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Embruiné de cavillations et de prudence casuistique destinées à éviter la "stigmatisation", le discours sur les "séparatismes" (l'emploi du pluriel n'est évidemment pas anodin) prononcé ce vendredi à la mairie des Mureaux par Emmanuel Macron s'inscrit dans la longue liste des déclarations de principe non suivies d'effets, commises en pure perte depuis trois décennies au nom de la République, une, indivisible et laïque.
 
Se féliciter comme l'a fait le Président de la République de succès fantomatiques en matière de lutte contre l'islamisme est une insulte à ceux qui sont morts, ont été blessés ou violentés ces dernières années par la sauvagerie venue d'ailleurs.
 
Prétendre s'attaquer aux effets que l'on dit déplorer mais dont on chérit les causes, selon la formule célèbre de Bossuet, relève du pire mensonge carthaginois. Tant que la source même de la corrosion islamiste de la France ne sera pas traitée, les mesures supposées en réduire la malignité qu'envisage de prendre l'exécutif resteront, en effet, au niveau de l'emplâtre.
 
Feindre de vouloir prendre à bras le corps la résolution du problème tout en laissant les tribunaux relâcher chaque année entre soixante et cent djihadistes et en continuant de confier malgré la promesse d'un dispositif d'évitement des extrémistes, le contrôle des organisations cultuelles aux Frères musulmans est une escroquerie en même temps qu'un crime.
 
Rêver à l'organisation d'un Islam de France "Islam des Lumières" est une faute majeure contre l'identité et la cohésion nationale française.
 
Affirmer sa "détermination" face à ce que d'autres nomment pudiquement "communautarisme" en laissant se développer dans des centaines de cités arrachées à la France les "daïras" des caïds de la drogue et des imams salafistes est une arnaque honteuse.
 
Décider de mesures aussi dérisoires qu'inapplicables - encadrement des écoles coraniques, contrôle des associations, renforcement de la laïcité et des normes "républicaines" à l'école, "neutralité" des agents des services publics, interdiction des certificats de virginité, création surréaliste d'un Institut scientifique d'Islamologie, - dans des zones interdites à la police et dans une France soumise à la pression de la bien-pensance comme au laxisme des tribunaux est une plaisanterie.
 
Non, l'islamisme n'est pas un séparatisme. Il est un impérialisme politique et religieux venu de la nuit des temps. L'immigration en est la vague porteuse. C'est à elle qu'il convient de s'attaquer non seulement pour l'endiguer mais pour procéder à son inversion totale, absolue, définitive.
 
Tout le reste n'est que paroles éparses que le vent d'automne a déjà commencé de balayer.

12:29 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Binationalité : le cheval de Troie est dans nos murs ». Entretien avec Farid Smahi, auteur de La Fracture nationale (éditions Dualpha)

Smahi-Farid-quadri-681x1024.jpgEntretien avec Farid Smahi publié dans le quotidien Présent.

 

 

Votre livre s’attaque à la question de la binationalité qui vous préoccupait déjà lors de la parution de votre précédent ouvrage Parole d’un élu, il y a près de vingt ans. Rien n’a donc changé ?

C’est assez simple : qu’est-ce que la nationalité ? Pour le dictionnaire Robert : « Existence ou volonté d’existence en tant que nation d’un groupe d’hommes unis par une communauté de territoire, de langue, de traditions ou d’aspirations. »

Depuis la fin du XIXe siècle : « État d’une personne qui est membre d’une nation déterminée. »

La nationalité recouvre l’idée de patrie, jetée aux oubliettes en France par les politiciens de tout bord à l’exception des élus du Rassemblement National, de Nicolas Dupont-Aignan, de Florian Philippot et de quelques sociologues comme Éric Zemmour ou encore Michel Onfray.

Et c’est au nom du « principe des nationalités » que le traité de Versailles, au lendemain de la 1re Guerre mondiale, a dépecé l’empire austro-hongrois pour créer la Hongrie, la Tchécoslovaquie… et la Yougoslavie !

Mais en quoi le fait pour une personne de disposer de deux ou même plusieurs nationalités constitue-t-il un problème ?

Ce fut une hérésie juridique pratiquement jusqu’à l’entre-deux-guerres… Les professeurs de droit en citaient cependant un exemple qui faisait exception :

René de Chambrun, descendant de Lafayette, auquel, de ce fait, le congrès américain reconnaissait la nationalité américaine lui permettant ainsi d’être à la fois avocat au Barreau de New York et à la cour d’appel de Paris.

Mais l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler en 1933 eut pour conséquence un déferlement de populations fuyant les persécutions nazies en Suisse d’abord, puis en France, en Grande-Bretagne et enfin aux USA…

À la création de l’État d’Israël, ses fondateurs décidèrent que tout Juif s’y installant, d’où qu’il vienne, recevrait ipso facto la nationalité israélienne. Dans la foulée, l’hérésie juridique est devenue peu à peu le droit positif de certains États comme la France. Dans La Fracture nationale, le lecteur pourra se faire une idée des séquelles calamiteuses du concept de poly-nationalités pour la santé d’une société…

Un exemple entre 1 000 : l’ancien patron de Renault, Carlos Ghosn, dispose tout à la fois des nationalités brésilienne, libanaise et française !

Certains gouvernements refusent avec vigueur ce concept : parmi eux, le roi du Maroc qui, conformément à la Charte Olympique, a, en 2000, refusé d’autoriser trois de ses ressortissants à participer aux Jeux Olympiques de Sydney sous le maillot tricolore, faisant fi de leur naturalisation pourtant bien antérieure !

Mais la Binationalité a tout de même un avantage : les Français d’origine immigrée, multirécidivistes, notamment pour des affaires de drogues et disposant d’une autre nationalité pourraient être très légalement de ce fait renvoyés dans leur patrie d’origine. Encore faudrait-il que nos magistrats au grand cœur s’y prêtent !

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11:44 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sonia Devillers, de France Inter, en appelle au CSA : trop de gens de droite sur CNews…

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Olivier Piacentini

L’élection présidentielle approche, la gauche est dans les choux, LREM va de débâcle en débâcle, la peur s’installe à gauche : et si le RN gagnait sur les ruines de ses adversaires ? Sonia Devillers, journaliste à France Inter, semble prise de panique. « Trop de journalistes et intervenants de droite sur CNews », a-t-elle constaté. Beaucoup de gens qui interviennent sur cette chaîne, en tant que témoins « neutres », sont en fait des gens de droite… Horreur, les envahisseurs sont parmi nous ! Alors, Sonia Devillers demande au patron du CSA de comptabiliser le temps de parole des uns et des autres en fonction de leur orientation politique supposée, de façon à ne pas favoriser la droite.

Mais de qui se moque donc Sonia Devillers ? Voici une liste d’intervenants habituels dans « L’Heure des pros », tous de gauche ou LREM : Catherine Mécary, Éric Coquerel, Benjamin Amar, Clément Viktorovitch, Gérard Leclerc et tant d’autres… Quant à « Face à l’Info », l’émission qui oppose Zemmour à des personnalités de gauche le plus souvent, ils finissent la plupart du temps au tapis. Mais faut-il en vouloir à la chaîne s’ils ne sont pas capables de tenir le choc en débat ?

En fait, Sonia Devillers n’est pas effrayée par l’absence de pluralisme, c’est au contraire le pluralisme qui l’effraie : qu’une grande chaîne ouvre ses micros à Zemmour, d’Ornellas, Cluzel, Lévy, Rioufol, voilà qui la choque. Elle se sent tellement mieux sur France Inter, où toutes ces affreuses personnes ne sont jamais invitées, où l’on peut assener le catéchisme de la bien-pensance entre gens de bonne compagnie (Joffrin, Szafran, Domenach, Demorand et tutti quanti) sans jamais être contrarié par un horrible trublion de droite, où l’on peut insulter Jésus en riant sans crainte de voir le moindre catholique pointer le bout de son nez. Et tout cela sur le service public, c’est-à-dire avec l’argent des ringards contribuables de droite, obligés de payer pour s’entendre dénigrer, 24 heures sur 24, sans jamais avoir le droit de répondre ni de s’en plaindre.

En agissant ainsi, Sonia Devillers prouve ce que nous disons et répétons depuis des années : c’est bien la mainmise médiatique de la gauche sur les médias qui oriente le public et apporte à la gauche un avantage souvent décisif. La fin du monopole de la pensée sur les médias a de quoi les paniquer : elle sonne, pour eux, le début de la fin… 

Boulevard Voltaire cliquez ici

11:31 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour dit la vérité et la jactance politico-médiatique s'égosille pour le faire taire...

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11:26 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 10 octobre, partout en France : mobilisation générale contre la PMA et la GPA

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11:04 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL Samedi 3 octobre : UNE JOURNÉE EN HOMMAGE À PIERRE SIDOS

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Les Amis de Pierre Sidos vous convient à un hommage national à Pierre SIDOS, fondateur de Jeune Nation et de l’Œuvre française, décédé le 4 septembre dernier.

Programme :

  • 9 h 30  rassemblement au cimetierre parisien de Thiais
  • 12 h 30 messe de trentaine à Notre-Dame de la Consolation
  • 13 h 30 verre de l’amitié avec prise de parole

Avec la présence des personnalités :

  • Yvan Benedetti, President de l’Œuvre française
  • Jérôme Bourbon, Directeur de Rivarol
  • Radu Creanga
  • François Ferrier, président des Amis de Pierre Sidos
  • Hélène Grimaldi, Présidente des Caryatides
  • Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale
  • Johan Livernette, Écrivain
  • Jean-Pierre Papadacci, Adimad
  • Florian Rouanet, Directeur d’Intégralisme Organique
  • Scipion de Salm, Journaliste à Rivarol
  • Eugène Krampon, Réfléchir & Agir, Méridien Zéro

Rejoignez-nous nombreux afin d’honorer la mémoire d’un pilier du Nationalisme Français.

4 septembre 2020 : décès de Pierre Sidos cliquez ici

10:49 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |