samedi, 18 mars 2023
Migrants : les bobos de la ville font la leçon aux habitants de Bélâbre
Valeurs Actuelles a réalisé un reportage à Bélâbre (36) où le maire à migrants, Laurent Laroche, veut à tout prix installer un CADA. Le plus remarquable, c’est qu’il n’y a nullement été obligé par le préfet, comme de nombreux autres maires en France. Non, non lui a tout devancé. Sans en parler à personne et surtout sans demander l’avis de sa population.
Ce maire est un enragé de l’immigration et n’a que faire de l’opposition des ses administrés.
C’est tout l’intérêt de ce reportage vidéo de Valeurs Actuelles qui est allé interroger les habitants et ce qu’ils disent mérite d’être connu.
Le gérant de l’épicerie : « On ne sait rien des personnes qui vont arriver et surtout ce qu’elles vont faire de leurs journées, car à Bélâbre, il n’y a rien à faire. On aurait dû me concerter car je suis juste à côté du Cada ». (…)
« À Argenton-sur-Creuse (où il y a un CADA), le président de l’union des commerçants en est venu à demander à la mairie des caméras de surveillance tellement ça se passe mal depuis plusieurs mois, alors qu’on essaye de nous faire croire le contraire. »
Une vieille dame : « Je suis venue il y a plusieurs années parce que c’était un petit village sympathique, il y a tout ce qu’il faut. Maintenant je déchante ».
Un habitant : « J’ai quitté Paris pour fuir tous ces migrants, il y a 20 ans, pour venir à Bélâbre vivre tranquillement. Mes enfants ont été agressés par ce genre de personnes. Donc j’ai quitté la capitale. »
Le journaliste lui dit, « vous avez fui l’immigration et aujourd’hui c’est l’immigration qui vous rattrape. »
L’habitant répond : « Oui, c’est vrai. Ce que je cherche à 66 ans, c’est la tranquillité ».
Plusieurs interviewés parlent de quitter Bélâbre si le CADA s’installe.
Mais déjà l’effet catastrophique de l’installation du CADA est visible. Il faut vendre sa maison pour partir et un habitant qui a déjà sa maison en vente dans une agence confirme qu’il a été obligé de baisser son prix.
Un autre habitant interviewé : « Le prix de ma maison avait été estimé il y a quelque temps. Aujourd’hui, l’estimation a été baissée de 20 000 € ».
Que du bonheur l’arrivée de ce CADA. C’est indiscutable.
La friche industrielle qui abritera le CADA a été vendue pour 40 000 € à Viltaïs. Il faudra dépenser 1,2 millions d‘€ pour y créer les appartements qui serviront à accueillir les 40 immigrés.
Il est question d’y construire des chambres de 9 m² pour recevoir les migrants.
À noter qu’il n’y a aucun terrain disponible avec cette future structure donc les migrants auront comme choix de rester dans leur chambre ou de « zoner » sur la place du village. Ce qui fait craindre des problèmes d’insécurité à la population, comme constaté dans moult endroits.
Au café du village, un consommateur est interviewé : « J’ai habité pendant 10 ans en région parisienne. J’habitais dans les cités. Moi j’ai fui ça. J’ai pas envie que ça vienne ici. »
Le maire de St-Gilles (commune proche) est interviewé à l’occasion de son passage à Bélâbre : « Je suis contre ce projet de CADA. Normalement si on installe un centre comme celui-là, c’est parce qu’il y a un bassin d’emploi, des transports, bref là où les gens peuvent faire quelque chose. Mais surtout pas dans le ruralité. Là il font ça pour désengorger Paris afin que ça se passe bien pendant les jeux olympiques.
J’ai essayé d’aborder ce problème de maire à maire. Mais ces gens sont repliés sur eux-mêmes, ne parlent qu’avec ceux qui partagent leur avis.
La démocratie, pour ces gens-là, c’est bien quand ça va dans leur sens ».
Samedi 11 mars, à 11H00, à Bélâbre c’est jour de manifestation contre le projet du maire.
Une contre-manifestation est également là.
Des gens à l’évidence très remontés, dont bien peu sont de Bélâbre. Tous sont des bien-pensants dénonçant la manifestation avec les habituels arguments : « la France doit être un terre d’accueil », « vous serez peut-être un jour des réfugiés », « il faut protéger les réfugiés », etc.
Accompagnés des habituelles insultes à l’adresse de la population qui refuse : « racistes, fascistes ».
Chose stupéfiante, le préfet n’a pas jugé utile de déployer les forces de gendarmerie pour séparer la manifestation et la contre-manifestation. Il n’y a que quelques gendarmes, même pas casqués.
Mais le préfet est pour le CADA, donc il le montre clairement en n’empêchant pas les contre-manifestants de venir au contact avec les manifestants.
Ce faisant il prend le risque d’affrontements entre les deux camps et n’assume pas l’une de ses missions qui est de garantir le maintien de l’ordre public et surtout de garantir aux manifestants leur droit de manifester sans être menacés.
Honte à ce préfet !
Lorsque la manifestation commence, les intervenants sont obligés de parler sans sonorisation.
Un contre-manifestant, visiblement attaché à la liberté d’expression, a coupé le fil électrique de la sono.
Et pour finir ce travail « anti-démocratique », les contre-manifestants, que le préfet a laissé venir presque au contact, font autant de bruit que possible pour empêcher ceux qui dénoncent le CADA de se faire entendre.
Peut-on montrer plus clairement ce qu’est la démocratie pour ces bien-pensants qui soutiennent l’arrivée de migrants ?
Si un jour ils arrivent au pouvoir, quiconque n’aura pas leurs idées sera impitoyablement soumis au silence, ainsi que les organes de presse jugés « incorrects ».
La démocratie ils ne la supportent que si les gens disent ce qu’ils veulent entendre sinon, ils imposent le silence y compris et surtout par la violence.
Ces pauvres gens ne se rendent même pas compte que les vrais fascistes… ce sont eux !
Ils n’ont aucun respect pour une opinion qui n’est pas la leur, et ne sont nullement gênés d’utiliser les méthodes des régimes autoritaires pour bâillonner leurs opposants.
Mais surtout, surtout… combien de ces gens bien-pensants vivent au contact de ce qu’ils souhaitent voir s’installer chez les autres. Combien habitent dans des cités HLM au contact d’une majorité d’immigrés ? Combien habitent à côté d’un CADA ? AUCUN.
Un conseiller régional, anti CADA est présent à la manifestation. Il est aussi interviewé et ses propos sont on ne peut plus clairs.
Il dénonce l’échec complet des politiques gouvernementales successives dont le résultat est la situation catastrophique dans laquelle se trouve aujourd’hui la ruralité, comme ils disent.
Il indique que pour s’en sortir, il faut réindustrialiser les campagnes avec de petites unités de production couplées à une véritable politique de la natalité aidant spécialement les habitants des campagnes.
À l’inverse, le gouvernement – soutenu par la politique de l’Europe – entend solutionner le problème en imposant l’arrivée de populations venues de l’autre bout de la terre, ce qui créera immanquablement de multiples problèmes. Tout en provoquant la colère des habitants.
Pour preuve de la réalité de ces politiques alternatives, le maire s’est vu proposer par un entrepreneur un projet d’implantation d’une activité qui créera 20 à 25 emplois à Bélâbre. En lieu et place du CADA.
La décision doit être prise lundi 20 mars, lors d’un conseil municipal extraordinaire.
Que choisira ce maire immigrationniste ?
Le projet de cet entrepreneur avec 20 à 25 emplois à la clé, ce qui redynamisera à l’évidence ce petit village, ou l’installation d’un CADA qui n’apportera que des problèmes ?
Triomphe du bon sens ou de l’idéologie ?
Réponse lundi 20 mars …
Bernard Germain
Porte-parole de la
Coordination Partout Callac cliquez ici
09:12 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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