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jeudi, 25 avril 2024

Démocratie sélective à la mairie de Paris

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Claude Lorne Le Nouveau Présent cliquez ici

Après avoir condamné l’interdiction d’un meeting propalestinien de Mélenchon à l’université de Lille, Libération va-t-il protester contre le nouveau « scandale liberticide » que constitue la dernière décision de la mairie de Paris ? Sur l’ordre d’Anne Hidalgo qui le menaçait de représailles, le publicitaire JC Decaux a dû en effet faire retirer des colonnes Morris les affiches annonçant la publication du livre Transmania (éd. Magnus).

Halte à la « transphobie »…

En effet, selon « Notre-Drame de Paris » et ses adjoints, cette enquête rigoureuse menée par deux féministes pourtant engagées, Dora Moutot et Marguerite Stern (la seconde est même une ex-FEMEN), démontre les ravages en tous domaines de l’idéologie transgenre. « Le mot femme disparaît, et le vocabulaire scientifique et médical avec, déplorent-elles ainsi. Dans un livret médical, l’hôpital NHS de Brighton (Sussex, Royaume-Uni), somme les sage-femmes de préférer les termes “lait humain, “lait des seins/du torse, ou “lait provenant du parent allaitant au lieu de ”lait maternel” ». Toujours dans le même livret, on demande au personnel de parler de « trou du devant » ou d’« ouverture génitale » pour désigner le vagin… Dans un rapport datant du 20 mai 2022, le ministère de la Santé canadien évoque la santé des “personnes menstruées. Et la France n’est pas épargnée. Dans son lexique trans, le Planning familial désigne le sexe comme un “construit social basé sur des observations moyennes des différences biologiques entre les genres. […] Sur son site internet, le département Psychiatrie et neurosciences du GHU de Paris nous parle du sexe ”assigné à la naissance. Dans un document relatif aux parcours de transition des personnes transgenres publié le 7 septembre 2022, la Haute Autorité de santé (HAS) nous parle également de sexe “assigné»

Plus graves encore, soulignent les deux auteurs, la pression éhontée exercée sur les parents et les médecins pour faire pratiquer, malgré les mises en garde de nombre de pédopsychiatres et d’éducateurs, une « transition de genre » hormonale et chirurgicale sur les enfants et adolescents se sentant mal dans leur peau, pas forcément d’ailleurs en raison du « sexe assigné », et l’inscription dès 2010 par Roselyne Bachelot, sous le règne de Sarkozy donc, de cette transition sur la liste des ALD » – affections de longue durée totalement prises en charge par la Sécurité sociale ».

Autant de constatations de simple bon sens, qui ont mis en furie la cage aux folles parisienne, vouant aux gémonies ce « livre transphobe propageant un discours de haine » — cf. Emmanuel Grégoire, premier adjoint d’Anne Hidalgo, qui estimait qu’un tel ouvrage n’avait pas « sa place dans l’espace public ».

… Mais bienvenue à la révolution

Espace sur lequel, en revanche, de nombreuses réjouissances sont prévues à partir du 25 avril pour le 50e anniversaire de la révolution portugaise dite des Œillets, en particulier sur le parvis de l’Hôtel-de-Ville, dans le Grand Hall de la Maison des Sciences de l’Homme, ainsi qu’au Théâtre (subventionné) de la Ville, ainsi que Mme le maire l’a annoncé avec fierté. Sous l’influence d’Alvaro Cunhal, leader du PCP clandestin, successivement réfugié à Prague, à Moscou et à Paris, cette révolution d’inspiration militaro-communiste n’avait-elle pas « mis fin à 48 ans de dictature et d’empire colonial, tout en déclenchant une vague démocratique en Europe et dans le monde », comme s’en émerveille le bulletin municipal ? En oubliant qu’à peine indépendantes, les colonies libérées (Angola, Mozambique, Guinée Bissau ou Guinée équatoriale) sombrèrent dans une dictature bien pire que celle de l’Estado novo de Salazar, le népotisme et un chaos de luttes ethniques qui perdurent.

Comme on voit, Anne Hidalgo a une conception très personnelle de l’espace public.

Transmania, Dora Moutot et Marguerite Stern, Magnus éditions, 21,00 € cliquez ici

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Un grand entretien avec Filip Dewinter sur Breizh-Info

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Source cliquez ici

Propos recueillis par Lionel Baland

Filip Dewinter est premier vice-président du Parlement flamand de Belgique et la figure de proue du parti nationaliste flamand Vlaams Belang. Il est également conseiller municipal à Anvers (Antwerpen). Lionel Baland l’a rencontré et interrogé pour Breizh-info lors du congrès des nationaux-conservateurs Natcon 2 à Bruxelles.

Breizh-info : Pourquoi êtes-vous venu ici à la réunion des nationaux-conservateurs ?

Filip Dewinter : Je pense qu’il est important que les nationaux-conservateurs, mais aussi les tenants d’autres tendances, puissent se rencontrer et échanger des idées. L’important est de trouver un consensus sur celles-ci, ainsi que sur les stratégies, à la veille des élections européennes et que ces forces identitaires, conservatrices, nationalistes et autres soient unies au sein du Parlement européen, ce qui n’est pas, en ce moment, le cas. En effet, différents groupes existent et j’espère que toutes ces forces pourront être ensemble et que nous pourrons devenir les deuxièmes, voire, peut-être, les premiers, au sein de cette assemblée. Des réunions comme celle d’aujourd’hui sont donc importantes, car elles accueillent des personnes issues de différents pays, mais surtout de diverses tendances politiques. Des Européens, mais aussi des Américains et d’autres, peuvent trouver un moyen de s’entendre et, pour cela, il faut se parler, échanger des idées, se rencontrer. Nous le faisons ici.

Lors des élections du 9 juin 2024, pour les parlements flamand, belge et européen, sur quelle liste serez-vous présent ?

Je resterai au Parlement flamand, qui est pour notre parti nationaliste flamand, le Vlaams Belang, le seul légitime. J’en suis actuellement le premier vice-président et j’espère, si le scrutin confirme les scores qui nous sont attribués au sein des sondages d’opinion qui nous donnent premiers en Flandre, être, peut-être, candidat à la présidence du Parlement flamand.

Cette fois, vous ne serez pas tête de liste, mais dernier ?

Oui, je suis dernier sur la liste. Je suis un ancien de notre mouvement et cela veut dire que je n’ai plus l’ambition d’en être le président ou la figure de proue, mais seulement de le soutenir avec la popularité dont je dispose encore. Cependant, je serai tête de liste lors des élections communales [municipales] à Anvers en octobre.

Que se passera-t-il si les deux partis nationalistes flamands Vlaams Belang et N-VA disposent ensemble, à l’issue du scrutin, d’une majorité ?

Alors, il faudra briser le cordon sanitaire [qui frappe le Vlaams Belang].

Contrairement à ce qui est prétendu, je n’ai pas l’impression que nous sommes dans une démocratie. Et pas seulement dans le cadre de ce que nous vivons aujourd’hui. Deux salles prévues consécutivement afin d’accueillir l’événement ont été dans l’impossibilité de le faire suite à des pressions politiques et ce jour encore le bourgmestre (maire) de Saint-Josse-ten-Noode Emir Kir, qui est d’origine turque et qui est dirigé par l’AKP, le parti du président turc Recep Tayyip Erdoğan, a annoncé, dans des médias belges, qu’il va tenter de tout faire pour interdire ce rassemblement, aujourd’hui, et encore plus demain, alors que la présence du Premier ministre hongrois Viktor Orbán, du ministre israélien Amichai Chikli et de l’ancien Premier ministre conservateur polonais Mateusz Morawiecki est annoncée.

Mais le fait que ce rassemblement se tienne dans une des communes de la région bruxelloise constitue une victoire pour la démocratie car je tiens à rappeler que, un an auparavant, j’ai tenté deux fois de faire un petit tour dans des communes de la région bruxelloise comme Saint-Josse-ten-Noode et Schaerbeek avec mon grand ami [le président du parti patriotique anti-islamisation néerlandais PVV] Geert Wilders. Nous étions dans l’impossibilité de le réaliser à cause de bourgmestres comme Monsieur Kir et d’autres. Le fait que cette conférence se déroule à Saint-Josse-ten-Noode est symbolique.

L’autre élément anti-démocratique est le cordon sanitaire qui frappe le Vlaams Belang et qui rend les élections inutiles, car les électeurs savent que, même si ce parti arrive premier et obtient un très haut score, il sera exclu du pouvoir à cause des partis anti-démocratiques qui vont perdre les élections, mais seront au pouvoir après celles-ci. C’est la folie totale ! C’est une démocratie bidon installée pour faire plaisir à la population, pour lui faire croire qu’elle a quelque chose à dire, mais, en fait, avec le cordon sanitaire, les élections sont inutiles.

Le côté positif de ces élections est qu’elles permettent de s’exprimer, mais tout le monde sait d’avance que si le Vlaams Belang l’emporte électoralement, il ne sera pas au pouvoir.

Nous avons en Belgique un Premier ministre, Alexander De Croo, dont le parti libéral représente, dans les sondages, 7 % des électeurs en Flandre. Le parti donné comme étant le plus petit dans les enquêtes d’opinion a la possibilité de disposer du poste de Premier ministre. C’est la démocratie « à la Belge » !

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11:00 Publié dans En Europe et ailleurs..., Rencontre avec..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : samedi 27 avril, aux Lucs-sur-Boulogne (85) : pèlerinage en mémoire des martyrs

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10:59 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Anglais ont enfin voté l’expulsion des clandestins vers le Rwanda

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Jacques Guillemain Riposte laïque cliquez ici

Heureux Anglais qui peuvent dorénavant expulser leurs clandestins vers le Rwanda.

Tandis que Macron reste les bras ballants face à l’immigration clandestine, prétendant que la submersion que connaît l’Europe est une fatalité qu’il faut accepter, vu la démographie galopante de l’Afrique, le Parlement  britannique a adopté la loi “Rwanda”, après bien des péripéties.

Deux ans de guérilla politico-judiciaire, opposant la Chambre haute et celle des communes. Sans parler du différend entre la CEDH et la Haute Cour de Londres, en total désaccord sur la légalité du projet.

Il faut dire que les traversées de la Manche en pleine expansion, avec les drames qui les accompagnent, ont fini par avoir raison des demi-mesures franco-britanniques, totalement inefficaces.

75 000 traversées en deux ans et une augmentation de 25% depuis le début de l’année 2024 par rapport à l’an dernier, ont montré l’urgence d’adopter une législation radicale, de type australien : “Stop the boats”. Londres et Canberra, même combat !

Rishi Sunak peut pavoiser :

“L’adoption de cette loi historique n’est pas seulement un pas en avant mais un changement fondamental dans l’équation mondiale de la migration. Ce plan doit dissuader les migrants vulnérables d’entreprendre des traversées périlleuses et briser le modèle commercial des bandes criminelles qui les exploitent.”

Les charters commerciaux sont prévus et un terrain d’aviation au Rwanda est réservé à cet effet.

On est loin de l’inaction criminelle d’un Macron qui se révèle incapable d’expulser nos 4 500 fichés S étrangers, qui sont pourtant des dangers majeurs pour le pays.

Le texte de la loi prévoit de passer outre les injonctions de la CEDH, avec possibilité de quitter cette institution si besoin.  Sunak a été très clair :

“Aucune cour étrangère ne nous empêchera de faire décoller les avions.”

Et d’ajouter pour être très clair :

“S’il faut choisir entre la sécurité de nos frontières et l’appartenance à une juridiction étrangère, je donnerai bien sûr la priorité à notre sécurité nationale.”

Tout le contraire d’un Macron, qui a bradé la totalité de notre souveraineté nationale à Bruxelles et qui se dit patriote européen avant d’être français.

Le peuple français a vraiment réélu un président nuisible, qui veut sa perte.

La porte britannique s’étant refermée, tous les candidats à la traversée resteront en France. Après l’immigration francophone, c’est toute l’immigration anglophone qui va venir solliciter notre généreux guichet social.

Si le peuple britannique ne veut pas disparaître, le peuple gaulois, quant à lui, continue de tisser la corde qui le pendra, en votant depuis 40 ans pour les immigrationnistes de gauche comme de droite. Nul ne peut empêcher un peuple de se suicider.

10:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |