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lundi, 29 avril 2024

Nouvelles (mauvaises) d’Espagne, et psychodrame de Pedro Sanchez

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Michel Festivi 

Décidemment, l’Histoire continue d’être falsifiée aussi en Espagne. Tout dernièrement, je passais par Avila, magnifique vieille ville fortifiée de Castille, haut lieu de la Geste de Sainte Thérèse. Visitant la Cathédrale, je m’approchais d’une affichette où figuraient de vieilles reproductions photographiques représentant quatre ecclésiastiques, et à la vue des tenues et des physionomies d’une époque révolue, j’en concluais immédiatement que ces quatre béatifiés avaient été massacrés par des révolutionnaires, ce que me confirma une rapide recherche.

On aperçoit très souvent dans la plupart des cathédrales espagnoles de vieilles plaques relatant le sacrifice de curés ou d’évêques exécutés au début de la guerre civile avec en général cette indication « assassinés par les marxistes », comme à Grenade ou encore à Guadix, Almeria, où comme à Ségovie « tombés pour Dieu et pour l’Espagne ».  Mais ici à Avila, non, ce panonceau en carton, remplaçant vraisemblablement une ancienne plaque de marbre, portait une mention mensongère minuscule, à peine lisible : « martires del siglo XX en España ». Quelle ignominie de la part de cette Eglise honteuse, qui a accepté cette falsification, sans doute à la demande des autorités. Non, ce n’est pas « le XXe siècle » qui a assassiné ces quatre sacerdotes. Ils ont été au tout début de la guerre civile en juillet et août 1936, exécutés par des anarchistes de la FAI pour certains ou des communistes. Que ce soit les communistes libertaires, ou les communistes marxistes-léninistes, ils sont responsables en Espagne du massacre d’environ 10 000 religieux et religieuses, entre 1931 et 1939 et de la destruction de milliers de bâtiments et édifices consacrés, outre d’actes de barbaries innommables. Je développe tout cela dans mon livre, L’Espagne ensanglantée, publié chez Dualpha en 2022.

Dans un récent excellent article sur le site Nouveau Présent, Anne Le Pape, recensant le film Opération Prophète, sur la vie mémorable du Cardinal Stefan Wyszynski primat de Pologne, qui lutta héroïquement pied à pied contre le communisme, estime avec juste raison que « on ne peut rien comprendre à l’histoire du XXe siècle si l’on ignore le rôle majeur qu’à tenu le communisme... » Raison de plus pour rappeler, notamment à nos jeunes générations, les malheurs considérables qu’engendra et continue d’engendrer cette idéologie de la mort et de dénoncer les mensonges que l’on nous assène en permanence à son propos, car les gauches reproduisent toujours ces mêmes désinformations, aidées grandement par des médias complaisants.

Quant à l’Espagne d’aujourd’hui, gouvernée par une coalition socialo-communiste des plus sectaires, elle vient de voir au Pays Basque le parti EH Bildu, successeur des terroristes sanguinaires de l’ETA, faire jeu égal avec le parti national basque, le PNB, qui dominait depuis 40 ans la vie politique basque. Mais attention ce parti soi-disant « national », n’est rien d’autre qu’une courroie de transmission du socialisme, et n’a de « national » que le nom. Dans les années trente, il s’était allié, toute honte bue, avec les gauches révolutionnaires contre le Mouvement national, alors que pourtant ses députés avaient rejeté la constitution anticléricale de 1931, et aujourd’hui, aux Cortès, sa poignée d’élus soutient Pedro Sanchez, l’un des plus fanatique premier ministre que l’Espagne ait connue. D’ailleurs, le PNB va continuer à gouverner le Pays basque en s’alliant avec les représentants du PSOE local.

L’Espagne de la réconciliation est morte et enterrée depuis l’arrivée au pouvoir des socialistes José Luis Zapatero et de Pedro Sanchez. Justement en la Basilique d’Avila se trouve le tombeau d’Adolfo Suarez et de son épouse, natifs de cette région. Adolfo Suarez fut le premier chef de gouvernement de la transition « dite démocratique » en 1976. Il mit à bas tout l’édifice franquiste avec la complicité et l’appui de Juan Carlos.  Suarez avait été pourtant un militant du Movimiento. Son tombeau porte l’inscription « La concordia fue posible ». Suarez avait rêvé d’une Espagne réconciliée, il en a été pour ses frais. Les révolutionnaires socialistes et communistes se sont vite chargés de lui remémorer qu’avec eux, point de concorde possible. Les exhumations des corps de Francisco Franco et de José Antonio Primo de Rivera, del Valle de los Caidos, en sont les manifestations les plus emblématiques, comme celle du Général Queipo de Llano, pourtant ardent républicain et franc-maçon, mais opposé aux gauches et aux désordres, d’une chapelle de Séville où il était inhumé depuis 1951.

Les gauches ont cette force maléfique de ne jamais renoncer et de toujours agir sur le terrain mémoriel. Les droites, la plupart du temps se contentent de regarder passer les trains de l’Histoire.  

Enfin, Mercredi dernier, atteint par des plaintes pour trafic d’influence et corruptions contre son épouse, Sanchez avait annoncé qu’il se mettait au vert jusqu’à lundi et annoncerait s’il démissionnerait ou pas. Finalement, il reste, après avoir polarisé l’attention sur ses errements « d’adolescent », comme l’ont qualifié ici, certains commentateurs. En réalité, tout cela était cousu de fil blanc, pour reprendre la main et rameuter ses troupes avant les élections catalanes du 12 mai et les élections européennes du 9 juin. Sanchez vient d’annoncer des contre-attaques contre les derniers médias non soumis et les juges qui résistent encore. Les accusations contre « la droite et l’extrême droite » fleurissent, et les incertitudes n’ont jamais été aussi grandes dans un pays divisé comme jamais et gouverné depuis 2018 par des socialistes minoritaires qui donnent en permanence des gages à l’extrême gauche et aux indépendantistes de tout poil.

16:38 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Encore et toujours. C'est tous les jours...

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Un communiqué de Eric Mauvoisin, président du Rassemblement vendéen :
 
Encore et toujours. C'est tous les jours...
 
Mathis, 15 ans, tué hier soir à Chateauroux par un migrant afghan récidiviste. Fils de restaurateur, il a été poignardé à mort.
 
L'islamo racaille migrant afghan mineur venait d’être relâché par la justice la semaine dernière après avoir tenté de voler un portable lors d’un guet apens.
 
Les enfants de ceux qui bossent se font massacrer par des barbares nourris à ne rien faire, grâce à des gens qui s'enrichissent à organiser notre disparition.
 
Dès cette semaine, lançons la riposte militante...
 
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10:03 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chouette, encore des logements sociaux à Pontivy !

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Source Breizh-Info cliquez ici

Dans le quartier du Vélodrome à Pontivy 57 nouveaux logements vont être construits par Morbihan Habitat. Parmi eux, 23 seront des logements sociaux et 34 seront en promotion privée. Le quartier est déjà une “cité” de barres d’immeubles de 5 étages.

Cette annonce faite au cours du conseil municipal ce lundi 15 avril devrait être une bonne nouvelle. “Enfin de nouvelles solutions de logement pour les ménages modestes” alors que la tension sur les maisons et appartements n’a jamais été aussi forte en Bretagne. On peut imaginer des jeunes bretons, des étudiants, des familles ouvrières bretonnes, des mères ou pères de famille solo s’installant dans des logements dont la qualité s’est considérablement améliorée depuis des années.

Malheureusement, quels seront les critères d’attribution de ces logements sociaux ? Certaines catégories de population seront-elles privilégiées comme c’est souvent le cas ? Depuis des décennies maintenant, nos pauvres doivent faire de la place aux pauvres des autres ! C’est ainsi que les nouvelles constructions de logements à loyers modérés inquiètent légitimement la population, que ce soit en Bretagne ou en France, car elles constituent de véritables pompes aspirantes à des publics n’ayant rien à voir avec les objectifs premiers de ces constructions : donner un toit aux Bretons et aux Français modestes.

Et, en campagne, ce type de logement à la fâcheuse habitude de donner asile à des familles dont les grandes agglomérations ne veulent plus. Pontivy va-t-elle accueillir, avec ce nouveau programme, des familles de Ménimur ou de Kercado à Vannes ou de Bois-du-Château à Lorient ?

La cité napoléonienne, connaît déjà une hausse exponentielle de la délinquance, ces nouveaux logements, attribués aux mauvaises familles, pourraient rapidement aggraver la situation.

10:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |