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lundi, 04 mars 2013

Mali : François Hollande fait tuer un troisième soldat français...

Yves Darchicourt

Le caporal Cédric Charenton du 1er Régiment de Chasseurs Parachutistes de Pamiers vient d'être tué au Mali. Après Damien Boiteux pilote d'un hélicoptère Gazelle et Harold Vormezeele sous-officier au 2e Régiment Etranger Parachutiste, c'est le troisième militaire français à mourir pour rien à la frontière du Sahel et du Sahara. Ou plutôt à mourir pour les intérêts biens sentis d'Areva et de ses actionnaires : la multinationale qui exploite intensément l'uranium du Niger, pays frontalier, ayant en effet tout à craindre d'une contagion de la rebellion du peuple touareg réclamant l'independance de l'Azawad. Une rebellion à forte connotation identitaire - ce qui ne peut qu'hérisser le socialiste Hollande- mais soutenue par un mouvement islamiste, ce qui servira de prétexte à l'intervention. Prétexte bien sûr, car si François le Normal voulait combattre l'islamisme, il ne favoriserait pas l'invasion migratoire de notre pays, une immigration de peuplement allogène à majorité mahométane où les islamistes radicaux peuvent se couler, recruter et agir, anonymes dans la masse de leurs congénères.

Pendant que nos soldats meurent pour assurer des dividendes ploutocratiques, pour garantir la sécurité et les fins de mois d'un politicien africain, de ses généraux d'opérette et de son administration corrompue et accessoirement pour la gloriole d'un "chef des armées" qui joue à la guéguerre et se marre dans les cimetières militaires (cliquez ici), les mahométans rigoristes tiennent des "quartiers" autour de la quasi totalité de nos grandes villes, contrôlent des banlieues entières et envisagent de se lancer dans la conquête de municipalités qu'ils seront à même de contrôler dès que les collabos auront fait obtenir le droit de vote aux étrangers.

Que les communiqués et les cérémonies aussi bâclées que lacrymogènes ne nous trompent pas, le Normal et ses sbires gouvernementaux se contrefichent des soldats gaulois, et puis ils préfèrent sans doute les envoyer se faire trouer la peau au loin, le plus loin possible, on ne sait jamais...après tout ce sont aussi des citoyens qui pourraient se mettre à penser mal ! Allende l'avait appris à ses dépens !

20:25 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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