Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 23 mai 2013

Au-delà de la vulgarité : l'obscénité...

femen_nd2-6d6c9.jpg

J'évoquais ici même mardi soir l'immensité de la vulgarité des plumitifs qui, sur les ondes en particulier, s'égosillaient en commentaires fielleux sur le geste fatal de Dominique Venner. Je dois avouer que j'ai sous-estimé cette capacité. En matière de vulgarité, les valets serviles du Système, toutes catégories confondues, peuvent toujours faire plus. Ils peuvent même aller jusqu'à l'obscénité morbide...

C'est ainsi qu'hier, en la Cathédrale Notre-Dame de Paris, à l'endroit même où Dominique Venner s'est donné la mort, une Femen (vous savez cette officine stipendiée de domestiques zelées du capitalisme apatride et de supplétives des basses oeuvres de la police de Manuel Gaz qui, lors de la manifestation patriotique du 12 mai dernier, a collaboré à une provocation grotesque) s'est livrée à une macabre parodie du sacrifice de Dominique Venner. Que les Femen et leurs commanditaires le sachent : leurs simagrées ne nous feront jamais reculer. Au contraire, chacune de leurs actions nous prouve la justesse et la légitimité du combat que nous menons pour notre peuple et pour notre nation.

Pour le reste, et comme le dit la chanson : "L'heure des comptes sonnera bientôt..."

Roland Hélie

10:36 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les commentaires sont fermés.