jeudi, 05 décembre 2013
Harcèlement scolaire : mais qui harcèle qui ?
Secrétaire général
du Parti de la France
Depuis quelques semaines, suite à de sordides faits divers, médias, autorités, « experts » et autres psychologues se répandent en lamentations et tentatives d'analyse foireuses du « harcèlement à l'école » présenté comme une fatalité.
Les causes réelles de ce fléau, de plus en plus répandu, ne sont évidemment pas abordées. Car il s'agit bien sûr d'un échec patent de l'idéologie marxiste soixante-huitarde qui a fait du laxisme la règle et a banni toute forme de respect de l'autorité du professeur dans les établissements scolaires. N'ayant que bien peu de possibilités pour venir à bout d'élèves de plus en plus dissipés, arrogants, violents et sans repères, beaucoup de professeurs assurent le service minimum, ont comme priorité leur propre tranquillité et évitent bien souvent d'interférer dans les conflits entre élèves.
Mais une question pourtant fondamentale n'est évidemment pas posée par toutes les bonnes âmes qui tentent de l'éluder : qui harcèle qui ? Les harceleurs auraient-ils, dans la majorité des cas, une particularité aisément identifiable, tout comme la victime ?
Ne tournons pas autour du pot : dans la plupart des affaires de harcèlement scolaire, la victime est quasi-exclusivement un(e) Français(e) de souche et les persécuteurs très souvent d'origine nord-africaine ou subsaharienne.
Aborder le problème de cette manière serait extrêmement périlleux pour les médias au service de l'État socialiste, pour la classe politique dite « républicaine » et pour les autorités éducatives puisque le racisme anti-blanc dont ils nient rageusement l'existence serait alors exposé au grand jour.
Et pourtant, la responsabilité du déferlement migratoire est indéniable dans ce type d'affaire de harcèlement où la proie est presque toujours un(e) « babtou » et les agresseurs des racailles étrangères. Comme pour le racket, les agressions, les vols avec violence, les viols, les tournantes,...
Alors oui, il faut stigmatiser, amalgamer, montrer du doigt, dénoncer cette immigration extra-européenne génératrice de délinquance et de criminalité sur fond de haine anti-française. Il n'est plus question de se laisser endormir par les discours angéliques et culpabilisateurs des collabos de la colonisation migratoire. Il est l'heure de rendre la France aux Français, de libérer notre pays de l'immigration, de renvoyer chez eux ces étrangers conquérants qui s'en prennent à nos enfants ; mais aussi de faire payer ceux qui ont fomenté la disparition de l'Europe et des Européens en organisant son invasion et son métissage.
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