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vendredi, 29 mai 2015

A Poitiers, dimanche 7 juin : Paul-Marie Coûteaux sera présent à la 1ère Rencontre Charles Martel

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Les coordonnées de cette 1ère Rencontre Charles Martel

seront communiquées le 5 juin.

Bulletin de réservation cliquez ici

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GONFLE ! Laurent Ozon face à une meute de clandestins, il fallait le faire...

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Laurent Ozon s'est entretenu avec Le Bréviaire des Patriotes cliquez là

Laurent Ozon :

« Ces gens sont violents

et nous l’avons prouvé ! »

 

Le 26 mai dernier à Bruxelles, Laurent Ozon, président du Mouvement pour la Remigration (que nous avions interrogé il y a peu), faisait face aux clandestins qui manifestaient à Bruxelles pour réclamer des droits. Leur réaction (violente) ne s’est pas faite attendre, comme en témoigne la vidéo visible ci-dessous. Pour le Bréviaire des patriotes, M. Ozon revient sur son action.

► LBDP : Pouvez-vous nous livrer le récit des événements et nous parler du discours que vous avez tenu ce jour-là ?

L.O. : L’objectif de cette petite opération était de montrer à chacun que nous n’étions pas obligés de rester coi devant l’ahurissante campagne de justification des médias et des pouvoirs publics pour nous imposer les clandestins. Nous avons d’abord repoussé ceux qui étaient sur le monument, puis, en équilibre, je suis monté pour me faire entendre de cette petite foule de 200 personnes. À la fin de mon intervention, nous avions ce que nous voulions : une attaque violente en règle de clandestins et une véritable petite émeute en plein centre-ville qui a nécessité l’intervention des brigades anti-émeute.

Quelques échanges de coups ont été nécessaires pour nous protéger, même si je tiens à le préciser, je n’étais pas venu pour cela. Il nous a seulement fallu répliquer lorsqu’ils sont passés des projectiles et des ruades aux coups de poings. Bref… Mon discours consistait en synthèse à rappeler qu’ils n’étaient pas les bienvenus, que nous étions chez nous et que nous les ferions repartir.

► Vous attendiez-vous à une telle réaction ?

Oui. Nous ne nous faisons aucune illusion sur l’état d’esprit de personnes capables de noyer leurs congénères en mer parce qu’ils sont chrétiens ni de la nature agressive de leur démarche en arrivant chez nous. Ces gens sont violents et nous l’avons prouvé. C’est parce qu’ils ne rencontrent pas les réactions de la population qu’ils peuvent jouer aux misérables devant les journalistes.

► Vous dites (à Breizh-Info) que de nombreux policiers vous ont soutenus, bien qu’ils aient dû obéir aux ordres…

C’est plus tard, en essayant de revenir sur la place qu’un cordon de gardes m’a bloqué et que durant ces minutes, nous avons reçu les aveux et sympathie des policiers. Si un jour quelqu’un donne l’ordre à ces hommes et ces femmes de nettoyer la place et de rembarquer ces intrus, croyez-moi, ce sera fait et avec le sourire. Voilà pourquoi la politique reste un objectif incontournable.

► Bien que certains vous accuseront de provocation gratuite, cet affrontement casse-t-il l’image des « gentils clandestins » que l’on tend à nous montrer dans les médias ?

Oui c’est bien le but de cette opération, démasquer ces gens. Pour ce qui est de la « provocation », je crois bien que c’est la présence massive de clandestins dans nos villes, hébergés et nourris avec nos impôts qui constitue une provocation.

► La remigration se veut un plan pacifique et réfléchi. Ce genre de débordements ne fait-il pas mentir votre analyse, selon laquelle il existe une solution « douce » au problème migratoire ?

Il existe une solution douce mais elle sera politique et diplomatique. Ce n’est pas une raison pour que les citoyens ne manifestent pas leur mécontentement d’ici-là. Après, si ces clandestins ne gardent pas leur calme, on verra bien. Nous avons le droit et même le devoir de nous faire entendre. Nos institutions politiques tiennent leur légitimité de leur mandat d’assurer nos droits, de faire respecter nos lois et de protéger les citoyens contre l’abus, la violence, l’anarchie. Si elles n’agissent pas, elles perdent leur légitimité à assurer le monopole de la violence légitime. Nous devrons alors agir pour faire respecter nos droits, nos familles, nos terres et nos biens. Qu’elles prennent garde.

► Pour finir, comment voyez-vous l’issue du drame qui se joue actuellement en Méditerranée ?

Tout cette affaire est fabriquée pour mettre le feu aux poudres. Le problème c’est que si nous ne réagissons pas, nous disparaitrons. C’est bien dans cette impasse que l’Oligarchie nous conduit. Il faut agir vite tant que cela peut encore être possible. Dans deux ans, ce pourrait bien être trop tard et nous pourrions assister à la deuxième partie de leur opération : un État aux prérogatives totalitaires gérant une guerre civile endémique en nous imposant une mixité forcée et la fin de nos libertés comme peuple.

La souveraineté est aux peuples ce que la liberté est à l’individu. Le droit de pouvoir décider chez nous de ce qui est bon pour nous. Ils sont faibles. Ne nous laissons pas tétaniser par la crainte, les campagnes de désinformation qui veulent ridiculiser ou démoraliser nos réactions. C’est le moment de se lever !

Propos recueillis par Christopher Lings

NB : Laurent Ozon souhaite organiser une autre action à Bruxelles dans les prochains jours. Pour y participer, manifestez-vous rapidement à cette adresse : laurent.ozon@gmail.com

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LA RÉFORME DES COLLÈGES Ce que les réformateurs ne vous diront pas

leffetpei.jpgMichel Lhomme

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Malgré une législation qui compte parmi les plus sévères d’Europe, la France est un des pays où la consommation de cannabis atteint les niveaux les plus élevés parmi les jeunes. Le cannabis est, de loin, la drogue illicite la plus disponible et consommée en France. Une personne sur quatre, entre 11 et 75 ans, déclare en avoir déjà fait usage, ce qui représente 13,4 millions d’expérimentateurs (un quart environ de la population). La diffusion du cannabis touche tout particulièrement les jeunes générations (15-30 ans), deux fois plus nombreuses que leurs aînées à l’avoir expérimenté. Au-delà de l’initiation, les niveaux de consommation des jeunes Français dépassent nettement la moyenne européenne : à 15-16 ans, un élève sur quatre déclare avoir consommé du cannabis dans le dernier mois. Ainsi, paradoxalement, en dépit d’une législation parmi les plus sévères d’Europe et supposée être dissuasive, la France est un des pays où les jeunes sont de plus en plus des « drogués ».

Ce « paradoxe français » alimente des controverses récurrentes sur l’efficacité de l’interdit et le statut légal du cannabis. Certains plaident pour une dépénalisation de l’usage, voire de la détention de petites quantités destinées à l’usage personnel, ce qui permettrait, selon eux, de rendre la consommation moins transgressive et donc à la fois moins attractive et mieux contrôlable. Pour d’autres, la dépénalisation pourrait être perçue comme un relâchement, au risque d’aggraver les maux liés à l’usage du produit, qui sont aujourd’hui bien connus.

Les adolescents français, champions d’Europe des jeunes drogués

La France se singularise ainsi par l’amplitude de la diffusion du cannabis, qui concerne autant les filles que les garçons. Ces chiffres reflètent une relative facilité d’approvisionnement depuis une dizaine d’années : en 2011, 43 % des adolescents français de 15-16 ans estimaient que, s’ils le voulaient, il leur serait « facile » d’obtenir du cannabis, contre 29 % de leurs pairs européens. D'où la question qui fâche : que fait donc la Police ou la Gendarmerie nationale ? Et de fait, comment peut-on respecter une institution, les policiers et les gendarmes quand ils sont bafoués quotidiennement par la pratique des jeunes ? 

En dépit de l’interdit légal, le cannabis est  perçu partout comme aisément accessible en France, par les mineurs comme par les adultes. Près de 60 % des 15-64 ans jugent qu’il est facile de s’en procurer sans même parler de l'auto-culture. Ce sont des tonnes d'herbe qui sont « cultivées » aujourd'hui en France.  
Ce que ne dit pas la réforme des collèges, c'est que plus d'un tiers des jeunes sont donc aujourd'hui « stones » en classe, tout simplement « évaporés ». Les données les plus récentes confirment que le cannabis connaît une diffusion massive dès le collège, plus concentrée dans le temps que celle de l’alcool ou du tabac, avec une accélération très marquée entre la 4e et la 3e (la part d’expérimentateurs passe de 11 % à 24 % à ce niveau scolaire), avant de se généraliser au lycée. Or, la réforme des collèges, réforme purement comptable qui casse en fait avec la bénédiction des syndicats le décret de 1950, réduit les heures d'enseignement mais ne soulève en aucun cas la question des surveillants des collèges, des postes d'encadrement, d'une politique de prévention santé.

C'est un fléau, c'est même peut-être le fléau le plus visible de la jeunesse française car si une proportion non négligeable de jeunes s’adonne aux paradis artificiels, ils le font pendant une période de la vie où la maturation cérébrale n’est pas terminée. Il est erroné de dire que ces consommations n'affectent pas leur scolarité, leur développement, voire, à plus long terme, leur santé et leurs capacités cognitives. La plupart de nos jeunes, il faut le dire, deviennent en fait de plus en plus bipolaires, difficilement « socialisables ». Aujourd’hui, l’âge moyen d’initiation au cannabis se situe autour de 15 ans, un peu plus d’un an après la première cigarette de tabac. Aucun éducateur n'en parle et toutes les autorités éducatives esquivent toute allusion fut-elle indirecte aux ravages du phénomène préférant bien évidemment l'endoctrinement du genre ou l'histoire victimaire. Après tout, « fumer » du haschisch n'est-il pas aussi oriental ? Or, à quoi bon des cours fussent-ils interdisciplinaires si de toutes façons, l'élève est « ailleurs ». Chez tous les jeunes français, l’expérimentation du cannabis est pourtant devenue, en deux décennies, un « modèle dominant ». Son usage régulier atteint aujourd’hui un niveau comparable à celui de l’alcool mais personne n'en parle !

12:20 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A Poitiers, dimanche 7 juin : Synthèse nationale sera présente à la 1ère Rencontre Charles Martel

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Les coordonnées de cette 1ère Rencontre Charles Martel

seront communiquées le 5 juin.

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02:56 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'Arabie saoudite, pays allié de l'Etat islamique : CIVITAS DANS LA RUE LE 20 JUIN

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 PLUS D'INFOS SUR LE SITE DE CIVITAS cliquez ici

00:43 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bernard Lugan nous parle de l'Afrique actuelle

00:40 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SUBMERSION = SUBSTITUTION = SUBVERSION ?

Unknown.jpgPieter Kerstens

Dire ce que l’on voit, parce que toute vérité est bonne à dire, même si elle ne fait pas plaisir à entendre, ne fait plus partie des dialogues depuis que les médias (dépendants des subsides publics et donc du pouvoir politique) nous ont imposé le « Politiquement Correct » pour que la Police de la Pensée puisse sévir contre les rebelles à la Nouvelle Religion Droits-de-l’Hommiste.

Sous la 5ème République, les ministres de l’Intérieur successifs, de Raymond Marcellin à Brice Hortefeux, de Gaston Defferre à Manuel Valls, en passant par Pierre Joxe ou Nicolas Sarközy (2 fois), TOUS ont combattu les mouvements nationalistes coupables à leurs yeux de défendre les racines de notre civilisation et notre identité européenne.

Depuis fort longtemps, les procès multiples et les interdictions ont accablé notre famille politique alors que les fauteurs de troubles gauchistes ont été curieusement épargnés, à quelques organisations près…

Et  quand mes camarades d’Ordre Nouveau et moi-même avions organisé le meeting du 21 juin 1973 à la Mutualité sous le thème « Halte à l’immigration sauvage », TOUS nous ont traités de « racistes », de « fascistes » et de « nazis ».  Pourtant, les inspecteurs des R.G présents dans la salle ont tous confirmé au ministre de l’Intérieur, Raymond Marcellin, qu’ils n’avaient jamais entendu un propos raciste dans les différents discours.  C’est après une campagne de presse haineuse et nauséabonde contre Ordre Nouveau, par les laquais du mondialisme comme Thierry Pfister du « Monde » ou comme Maurice Clavel dans « Le Nouvel Obs » soutenus par les ministres Pierre Messmer, Jean Taittinger et Bernard Stasi, que la dissolution d’O.N est prononcée le 28/6/1973.

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