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lundi, 25 juillet 2016

Le nouvel amalgame

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Bernard Plouvier

S’il est un amalgame absolument intolérable à un esprit européen, c’est bien celui réalisé par le très sympathique Donald Trump, ces jours-ci. Dans son programme électoral, il promet aux libres citoyens des USA, terrifiés – à juste titre – par le risque de nouvelles surprises désagréables, de limiter de façon draconienne l’immigration en provenance de France et d’Allemagne.

On comprend bien le dilemme des honnêtes citoyens US. Ils ont suffisamment à faire avec la montée en puissance de la délinquance et de la criminalité des Noirs et des Latinos endogènes, pour ne surtout pas importer le terrorisme islamique. Et ils ont amplement raison.

Toutefois, l’amalgame de Trump passe mal chez un Européen de souche : il assimile nos honorables immigrés d’origine africaine, moyen-orientale et proche-orientale & leurs rejetons, naturalisés dès leur naissance par le grotesque « Droit du sol », à des « Français » ou à des « Allemands ».

Il est vrai que – par la faiblesse coupable des gouvernants – des millions d’immigrés extra-européens sont titulaires d’un passeport français, allemand, belge, danois, suédois, norvégien, britannique, néerlandais etc. Il est pourtant évident que, pour beaucoup d’entre eux, il ne sont que des Européens de papiers, restés fidèles à des coutumes extra-européennes et à une religion de haine meurtrière envers les « infidèles », recommandant la guerre religieuse (le Djihâd), au nom d’une divinité arabique, tirée des hallucinations d’un individu qui vivait il y a quatorze siècles.

L’amalgame trumpien, détestable en soi, n’est hélas ! que trop mérité. Élection après élection, les citoyens d’Europe donnent l’apparence du Pouvoir à des agents de l’économie globale et de la mondialisation politique, qui ont l’ordre de pratiquer une politique d’invasion de l’Europe par des individus venus, non pas d’un autre continent, mais d’une autre époque : le Moyen Âge, dans sa hideur fanatique, barbare et meurtrière.

On comprend que les populations blanches ou extrême-asiatiques des USA ne veulent pas d’un afflux de ces indésirables qui ont transformé radicalement la vie de la France, de la Belgique et de l’Allemagne : viols en série, attentats devenus quasi-quotidiens, par la veulerie de politiciens incapables, ineptes, inaptes et corrompus (les uns par l’argent des évergètes islamo-pétroliers ; les autres par une repentance devenue grotesque par sa durée et son intensité).

Plutôt que de grogner sur Trump et ses déclarations trop peu nuancées, il serait temps que les Nations européennes, les vraies – celles qui sont composées d’Européens de souche -, chassent les incompétents et les pourris, mais aussi celles et ceux qui sont devenus insanes à force de compassion pour les misères des peuples du Tiers-Monde.

Il faut définir l’ennemi de l’Europe. Ce n’est sûrement pas la Nation britannique et son Brexit – saine réaction de défiance envers l’immigration-invasion -, encore moins Poutine et les chefs d’États danubiens qui repoussent l’invasion musulmane ; ce n’est pas Trump. L’ennemi de l’Europe, c’est à l’évidence l’islam djihadiste.

C’est aussi une certaine stupidité européenne. À trop gémir sur les misères exotiques – et l’on reconnaît volontiers que les fous furieux Bush junior et Obama ont mis à feu et à sang un grand nombre de pays islamiques -, on oublie les 2000 cités de non-droit qui égaient la vie des Français, les dizaines de viols quotidiens d’Européennes par les fruits pourris de l’immigration, les milliers d’actes quotidiens d’incivilité de même origine et le racisme anti-Blancs qui est devenu la réalité permanente des Français.

Il est stupide d’amalgamer, dans les discours made in USA à usage électoral, les immigrés-envahisseurs aux Nations européennes. Mais il est tout aussi stupide – et suicidaire à moyen terme – de continuer à ergoter sur l’islam et le Tiers-Monde. L’unique question à évoquer est celle des conditions matérielles et du calendrier du grand retour des immigrés extra-européens dans leur continent d’origine. Tout le reste n’est que bruit inutile et poursuite du vent.   

NDLR : A ce propos, avez-vous lu "Le Grand rembarquement", le roman-choc de l'été 2016 d'Emmanuel Albach ?

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10:13 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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