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mardi, 25 avril 2017

Macron, le représentant de commerce du fric roi

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Pierre Vial, Président de Terre et peuple

Les résultats du premier tour de la présidentielle ont des côtés positifs.

- Le clivage bidon gauche-droite explose car les deux « partis de gouvernement », qui nous ont joué la comédie de l’alternance pendant des décennies, sont KO debout. Le PS est en miettes, les Républicains sont d’autant plus déboussolés qu’ils se voyaient, il n’y a pas si longtemps, au pouvoir et que l’heure des règlements de compte, au sein du panier de crabes, a sonné. Jouissons du spectacle.

- Les masques tombent : Hollande, Hamon, Fillon, Juppé, Baroin, Raffarin, Estrosi, Kosciusko-Morizet, Cazeneuve, Ayrault, Valls, Cécile Duflot, Aubry, Montebourg, Michel Barnier appellent à voter Macron. Jacques Attali, Bernard-Henri Lévy, Cohn-Bendit boivent du petit lait, tout comme le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker. Bref, ils sont venus, ils sont tous là : la grande famille du Système affiche son unité, unanime qu’elle est pour installer au pouvoir Macron, l’homme du capitalisme intégral et du libéralisme fou, l’homme de la grande banque et des groupes de pression mondialistes, mandaté par ceux qui l’ont fabriqué de toutes pièces pour achever la besogne de désintégration des peuples qui a commencé il y a bien longtemps. Avec la bénédiction de la sacristie, de la synagogue, de la mosquée et des loges.

- Tout est donc simple et clair : d’un côté l’Anti-France, de l’autre la partie restée saine d’un peuple qui ne veut pas subir, qui ne veut pas mourir. A ce peuple il faut adresser un message lui aussi simple et clair : il faut dès maintenant entrer en résistance, par tous les moyens, entrer en sécession, refuser toute allégeance à une structure d’Etat qui n’est là que pour faire régner la loi du fric, du cosmopolitisme, du déracinement, avec un programme évident : tuer ce qui peut rester des identités provinciales, nationales, européennes, en utilisant en particulier l’invasion de millions d’allogènes.

- Quant aux benêts qui ont voté et vont voter Macron et qui ont l’éternelle vocation d’être des cocus contents, on leur annonce une bonne nouvelle : avec Macron, dans peu de temps ils vont pleurer des larmes de sang. Nous n’aurons pas l’hypocrisie de dire que nous les plaindrons. Comme disent mes arrière-petits-enfants : bien fait !

 

17:26 Publié dans Présidentielle 2017 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le candidat qui se veut faire aussi gros qu’un Président

3012854566.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Les lendemains d’élections, les gueules de bois sont habituelles. Et dès dimanche soir, sur tous les plateaux télévisés, a-t-on ainsi pu appréhender ce que sera sans doute la réalité de la partitocratie française à l’avenir.

Malheur aux vaincus, donc… François Fillon, bien sûr, qui aura certes montré qu’il se sera battu jusqu’au bout, contre tous et surtout contre les caciques de son propre camp, le dos au mur judiciaire et le mors de son ambition politique aux dents, mais en vain ! Et ce n’est pas sa détermination – qui aurait pu être admirable en cas de succès – que l’Histoire retiendra, mais son obstination suicidaire ayant conduit au désastre électoral de son camp.

Un camp qui espère encore rebondir aux législatives à venir, ce qui serait une première sous la Ve République.

Vaincu, Benoît Hamon ? Non, trahi, évidemment, par nombre de caciques d’un Parti socialiste qui sont coutumiers de la chose comme avant lui l’ont appris à leurs dépens successivement Édith Cresson, Ségolène Royal et François Hollande ; des caciques qui ont sans doute, l’avenir législatif le dira, scié par la même occasion la branche sur laquelle ils pouvaient espérer perdurer sous les ors de la République.

Frustré de ne pas s’être qualifié pour le second tour, Jean-Luc Mélenchon ? Y a-t-il vraiment cru ? Sans doute, mais cela aurait été inespéré et ce n’était pas là le véritable but de sa campagne, somme toute bien réussie : c’est le leadership de la gauche future que le candidat de la France insoumise a, depuis le début, dans son viseur électoral, sur fond d’enterrement du parti de la rue de Solférino…

Marine Le Pen est donc qualifiée pour le second tour… au grand soulagement de son lieutenant Florian Philippot qui aurait sans doute laissé sa tête dans l’aventure si cela n’avait pas été le cas. Reste que le score n’est pas celui attendu. Il est certes terriblement handicapant d’avoir fait la course en tête des sondages comme ce fut son cas depuis deux ans. Et sa campagne de premier tour, nombre d’observateurs l’ont remarqué, a surtout été une campagne de second tour. Cela aurait pu lui être fatal comme à Lionel Jospin qui fit la même erreur en 2002 face à son père, mais les dieux lui ont été cléments. Cela arrive !

Et donc Emmanuel Macron… donné vainqueur dans une quinzaine de jours et qui ne s’est pas privé de considérer la chose acquise dès le dimanche soir en fêtant cela bruyamment à La Rotonde, chic établissement de la capitale et qui a fait écrire dans les colonnes du Parisien dès le lendemain : « Syndrome du Fouquet’s […] Critiqué sur les réseaux sociaux et par ses adversaires politiques pour le ton de la fête, le candidat a assuré qu’il n’a “pas de leçon à recevoir”. »

Petit garçon gâté n’aime pas être réprimandé, visiblement !… Et ce « dérapage » – un de plus ! –, augure désagréablement de son éventuelle présidence à venir…

Si présidence il y a ! Car remarquons tout de même que ce candidat ayant vu son comité de soutien grossir de jour en jour de ralliements les plus hétéroclites, tout à la fois de la quasi-totalité des saltimbanques habituels à un nombre impressionnant de transfuges de droite, de gauche, du centre et d’ailleurs, « ayant été » ou « étant encore » dans le monde politique… n’a réalisé, finalement, qu’un score de moins d’un quart des suffrages exprimés.

Peut-on imaginer qu’une majorité des électeurs de gauche et d’extrême gauche comme de droite puisse se reporter servilement, automatiquement, arithmétiquement sur celui qui est tout à la fois ancien banquier de la banque Rothschild, ancien ministre de François Hollande et véritable instigateur de la loi travail dite « El Khomri » ? Qui se présente en homme nouveau de la politique française alors qu’il y a tout lieu de craindre qu’il nommera François Bayrou, vieux canasson de labour du centrisme, à Matignon en paiement de son ralliement ?

« M’y voici donc ?

— Point encore.

— M’y voilà ?

— Vous en approchez, mais point encore. »

Marine Le Pen battue par Emmanuel Macron ? On le dit… En attendant :

« Le chétif pécore

S’enfla si bien qu’il pourrait en… »

Et pourquoi pas !

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11:39 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La poursuite de la Longue Marche

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Bernard Plouvier

Que Marine Le Pen arrive, comme son père avant elle, au 2e tour d’une Présidentielle, voilà qui conforte toutes celles et tous ceux, depuis le début de l’ère globalo-mondialiste - inaugurée en 1976, pour le cas français, par la loi Giscard-Chirac de regroupement familial des immigrés -, qui souhaitent un retour de la France aux Français, au sein d’une Europe n’appartenant qu’aux Européens de souche.

Deux enseignements principaux sont à retenir du scrutin du 23 avril 2017.

D’abord, les rumeurs de trucage à la baisse des scores prévisibles de Marine Le Pen par les instituts de sondage s’avèrent infondées, du moins pour cette élection. On l’annonçait aux alentours de 24 à 25% des intentions de vote et arrivant en première position. Bien plus, des policiers de la DCRI (dans sa branche des ex-Renseignements Généraux) expliquaient une soi-disant sous-cotation systématique des intentions de vote pour le Front National par la restriction mentale de ses électeurs qui n’osaient avouer leur conviction.

Tout cela est erroné. Les sondages surévaluaient un peu le score de Marine Le Pen, dépassée par le candidat de la finance et de l’économie globalo-mondialiste. La discrète surévaluation démontre que les Français affirment désormais leur conviction sans fausse pudeur. C’est un immense progrès, une victoire sur le pharisianisme induit par la propagande des media globalo-mondialistes, soit toutes les chaînes de télévision, la quasi-totalité des radios et des officines spécialisées dans l’envoi des spams politico-publicitaires. Félicitons-nous de cette situation nouvelle.

Le deuxième enseignement, moins agréable celui-là, est que le succès de la cause nationale est très probablement remis à plus tard.

Des esprits scientifiques (tel mon ami Philippe Delbauvre, in Eurolibertés) se livrent à de savants calculs pour déterminer la fraction de l’électorat de tel ou tel battu du 1er tour qui pourrait voter pour Marine Le Pen au second. C’est être à la fois logique, voire fort rationnel, et parfaitement irréaliste.

La politique est le triomphe de l’irrationalité. Il faut s’attendre à un véritable déchaînement de haine anti-Le Pen, comparable à celui, hideux et grotesque, de l’An 2002. Tous les media vont se mobiliser pour le candidat de la Haute Finance et des multinationales de la production et de la distribution. L’on va réutiliser les plus grossiers mensonges et tendre à Marine Le Pen les pièges les plus subtils.

Bien sûr, les immigrés vont peser de tout leur poids électoral, devenu énorme, en attendant l’heure où ils seront majoritaires et n’auront plus besoin d’un clown « souchien » pour diriger le pays dans le sens de leurs intérêts sociaux et religieux.

Face à cette propagande du type : « Plus c’est gros, plus c’est con, plus ça passe », les minutieux calculs de probabilités s’effondrent, tant il est vrai que, dans une compétition électorale, un Socrate ou un Archimède eussent été battus à plate couture par n’importe quel démagogue de banlieue.

Il est donc nécessaire de ne pas s’illusionner sur le résultat prochain, pas plus que l’on ne doit attendre quoi que ce soit des législatives à venir. Tant qu’elles ne se dérouleront pas selon l’unique principe démocratique, celui de la proportionnelle intégrale où chaque voix compte, les populistes se contenteront de rares députés, tandis que les dinosaures communistes auront droit à un groupe parlementaire. Ce sont les joies du scrutin d’arrondissement permettant toutes les magouilles (variante pour esprits bien formatés : les « désistements républicains »).

Il est donc nécessaire de poursuivre, plus que jamais et inlassablement, la diffusion de l’idéal national, opposé à la globalo-mondialisation et à l’immigration d’origine extra-européenne. Il faut continuer de réclamer la ré-industrialisation de notre patrie et sa défense, aussi bien contre l’envahisseur extra-européen, singulièrement le mahométan, que contre le despote US, agissant sournoisement par le biais d’un OTAN devenu obsolète grâce à la fin de la grotesque et sanguinaire dictature marxiste en URSS.

L’avenir est nôtre, car l’idée nationale représente le bon sens, celui de l’adéquation entre notre race européenne et notre continent.

À l’évidence, la lutte contre les délocalisations industrielles hors d’Europe, la lutte contre les organismes financiers multinationaux sont les fondements qui permettront aux Européens de s’unir en une authentique Communauté des Nations, qui ne ressemblera en rien aux clowneries de Bruxelles & de Strasbourg où une majorité de soi-disant eurodéputés et de soi-disant commissaires européens ne font qu’appliquer les ordres des maîtres du jeu économique planétaire.

La marche sera longue encore, avant que les intérêts de notre Nation triomphent des petites et grandes canailleries des maîtres de l’économie globale et de la mondialisation de la vie politique et sous-culturelle. Les élections prochaines ne sont importantes que par la mobilisation de l’électorat national, nullement par le résultat, qui ne peut qu’être une fois encore décevant.

Mais le fait qu’entre un cinquième et un quart de l’électorat de France soit fidélisé au mouvement populiste est une promesse de victoire à terme, lorsque s’effondrera le système économique factice. Après le triomphe des financiers amoraux, ce sera celui de la Nation. Puisse-t-elle alors s’en montrer digne !          

11:24 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Présidentielle / éoliennes : Alban d'Arguin compare les programmes et s'adresse aux électeurs...

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COMMUNIQUE SUITE AU PREMIER TOUR PRESIDENTIELLE 23/4/2017

Il y a aujourd’hui en France plus de 1000 associations existantes opposées à des projets d’implantation éoliens.

Celles-ci représentent entre 500 000 et 1 500 000 personnes proches participant au combat contre l’aberration de l’énergie intermittente du vent présentée de façon mensongère comme « propre et gratuite ».

Je m’adresse aux responsables de ces associations, à leurs proches, à tous ceux qui les soutiennent, à tous ceux qui partagent ce combat contre l’éolien, une illustration parmi d’autres de la décadence française :

Le 7 mai prochain, vous aurez à choisir le camp de la France et celui de l’étranger. Ne jugez qu’aux actes et aux faits, pas aux analyses de médias aux ordres du mondialisme.

EMMANUEL MACRON :

. A fait allégeance à Merkel avant le premier tour, à Berlin, elle qui supervise le dépouillement de la France souveraine et encourage l’implantation des consortiums éoliens allemands dans notre pays pour mieux contrôler notre énergie.

. S’est allié à François de Rugy, l’opportuniste des écologistes, qui déclara le 18 janvier 2017 : « Nous visons une électricité issue à 100% d’énergie renouvelable en 2050 ». Ceci signifie la construction d’environ 50 000 éoliennes en France c’est-à-dire la défiguration du pays, la souffrance insupportable des riverains, le ralentissement économique de toutes les régions et la dépréciation immobilière considérable qui en résultera, un coût prohibitif de l’électricité produite et payée par chaque français, enfin, au plus grand bonheur des investisseurs étrangers qui se cachent derrière ce scandale d’Etat.

. Voue enfin à l’Europe une dévotion sans borne comme au mondialisme dont il souhaite être pour la France le grand-prêtre.

MARINE LE PEN :

Le 23 mars 2017, la candidate a déclaré : (…) je considère les éoliennes -terrestres et offshores- comme "une vraie pollution visuelle" et m'inquiète des éventuels effets que cette source d'énergie propre peut avoir sur la santé des riverains. "Certaines entreprises ont été très heureuses de nous les vendre. Je crois que nous découvrirons dans le futur les conséquences de cela sur la santé des habitants qui vivent autour" a-t-elle précisé.

La candidate porte une vision stratégique intelligente du « mix énergétique » nécessaire à la France.

Elle renoue avec la tradition nationale de troisième voie et d’opposition à l’Europe des marchands, dont la meilleure illustration, en l’occurrence, est celle de la Commission Européenne, non élue, qui impose aux Etats membres dont notre pays, au nom de la lutte contre les rejets de gaz à effets de serre, l’obligation de produire au moins 20% de notre énergie électrique en 2020 à partir des énergies renouvelables c’est-à-dire principalement des éoliennes. Avec pour conséquence un accroissement considérable de la pollution par rejets de CO² venus des centrales thermiques obligatoires pour compenser à tout instant l’absence d’énergie produite quand le vent ne souffle pas (environ 75% du temps) !

C’est bien d’une France libre qu’il est question ! Réfléchissons-y tous avant qu’il ne soit trop tard.

Alban d’Arguin auteur de : "Eoliennes, Un scandale d’Etat" – Synthèse Editions cliquez ici. 180 pages. 20€ (+3€ de port).

11:24 Publié dans Présidentielle 2017 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, appelle à faire battre Emmanuel Macron en votant Marine Le Pen

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Communiqué de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France et Délégué régional pour la Picardie

Le Parti de la France appelle à faire battre Emmanuel Macron, ancien ministre de François Hollande et candidat de la gauche mondialiste et affairiste.

Même si nos divergences sont nombreuses avec la candidate du néo-Front National, qui a presque tout renié jusque son propre père, il est du devoir de tout électeur de droite de faire barrage au représentant officieux du Parti Socialiste qui s'inscrit dans la continuité du calamiteux François Hollande.

10:12 Publié dans Présidentielle 2017 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |