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dimanche, 24 septembre 2017

Venez rencontrer Terre & Peuple sur son stand à la 11e Journée de Synthèse nationale le dimanche 1er octobre à Rungis

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22:59 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'Aristoloche (n°44) fait sa rentrée

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19:09 Publié dans L'Aristoloche (Pierre de Laubier) | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La leçon de Standing Rock

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Georges Feltin-Tracol

Standing Rock est une réserve de la tribu des Sioux Iakota qui s’étend du Dakota du Nord au Dakota du Sud aux États-Unis. Une véritable révolte écologique, spirituelle et ethnique s’y développe depuis avril 2016. Ses habitants s’opposent en effet à la construction d’un oléoduc de 1900 km, le Dakota Access, propriété de la société Energy Transfer Partners.

Cet oléoduc menace la qualité des cours d’eau, peut polluer les nappes phréatiques et va détruire de nombreuses terres arables. Il traverse par ailleurs la réserve et bafoue des sites sacrés amérindiens dont les cimetières. Les Sioux Iakota et d’autres tribus refusent avec force ce tracé qu’ils assimilent avec raison à une profanation. Ils ne sont pas seuls. Le 4 décembre 2016, le Corps des ingénieurs de l’armée des États-Unis n’accordait aucun permis de forage sur la rivière Missouri. Barack Obama a lui aussi tergiversé. Les opposants ont espéré voir annulé ce projet coûteux pour les écosystèmes.

Cependant, à peine installé à la Maison Blanche, Donald Trump a relancé les travaux si bien qu’en mars dernier, plus de 600 personnes manifestaient sans grand succès à Washington. Sur place, les tensions s’exacerbent entre les Amérindiens excédés et des vigiles aux ordres des kleptocrates. L’oléoduc est vital pour des banques qui y ont placé des sommes vertigineuses. Marionnette du BigBusiness, la justice fédérale vient d’entériner tout le projet. Or cette décision judiciaire scandaleuse viole les clauses des traités de paix conclus entre 1851 et 1861 entre les États-Unis et les tribus amérindiennes parmi lesquelles l’interdiction faite aux gouvernements fédéral et locaux de s’accaparer des terres tribales.

Par delà de simples considérations écologiques, sociales et économiques, Standing Rock prouve une nouvelle fois toute la malhonnêteté des États-Unis. Il est dans leur nature profonde de ne jamais respecter les traités signés. La Seconde Guerre mondiale fut en partie due au refus de leur Sénat de ratifier le sinistre traité de Versailles. Avec le TAFTA pour l’heure en sommeil, les Européens risqueraient de se faire escroquer par des Yankees hâbleurs. On comprend mieux pourquoi la Corée du Nord se montre si vigilante face aux entourloupes permanentes de l’entité étatsunienne.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 45, diffusée sur Radio-Libertés, le 22 septembre 2017.

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19:00 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Droite nationale de Bretagne rassemblée hier à l'initiative du Parti de la France

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L'événement en Bretagne ce samedi, pour la Droite nationale non reniée, c'était la "fête du cochon" organisée par la Fédération régionale du Parti de la France. Et les patriotes ont répondu nombreux à l'invitation de Jean-Marie Lebraud, responsable breton du PdF.

Dans le cadre agréable d'un parc situé à une vingtaine de kilomètres de Rennes et sous un soleil radieux les convives ont savouré le délicieux repas préparé par les militantes du parti. Quel plus beau symbole culinaire de notre identité nationale que le cochon grillé ? Surtout lorsqu'il est précédé par une assiette d'huitres bretonnes. Quand à l'apéritif, celui-ci était offert par la section locale du Cercle national des combattants. L'ambiance festive était donc assurée...

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était invité à prendre la parole au cours de cette réunion. Après une analyse de la situation actuelle du pays, il appela l'assistance à s'engager concrètement dans le combat politique aux côtés des responsables locaux du PdF. Il invita enfin les Bretons à venir nombreux dimanche prochain à Rungis à la XIe Journée de Synthèse nationale cliquez ici. Plusieurs voitures sont d'ores et déjà remplies.

Un message de Jean-François Touzé, directeur de Confrontation et Secrétaire national du PdF, empêché bien malgré lui, fut lu au début du banquet.

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Plusieurs militants du FN régional, abasourdis par la déconfiture de leur mouvement et les ridicules règlements de comptes qui se multiplient en interne, sont venus assister à cette fête du cochon où reignaient l'enthousiasme et la bonne humeur. De nombreuses adhésions au PdF ainsi que des nouveaux abonnements à la revue Synthèse nationale ont été enregistrés.

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Félicitons Jean-Marie Lebraud et l'équipe de militants bretons du Parti de la France pour cette belle journée patriotique.

S.N. 

18:54 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'ADMP VOUS ATTEND SUR SON STAND LE DIMANCHE 1er OCTOBRE À LA 11e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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18:53 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Crise au FN : rien à voir avec la scission mégrétiste

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La crise au Front national, qui a conduit à une rupture entre Florian Philippot et Marine Le Pen, amène de nombreux commentateurs à faire le parallèle avec ce qu’ils appellent la scission mégrétiste. Ce faisant, ils commettent un certain nombre d’erreurs que Bruno Megret a voulu commenter.

Le conflit entre Marine Le Pen et Florian Phillipot est-il comparable à la scission du FN de 1998 ?

Certainement pas. D’abord les causes de ce divorce n’ont rien de comparable. Florian Philippot et sa présidente partagent en effet les mêmes options politiques, notamment sur la stratégie et le programme.

En 1998, il y avait en revanche une profonde divergence entre la stratégie que j’incarnais et celle de Jean-Marie Le Pen. Je voulais pour ma part que le Front national s’engage dans la conquête du pouvoir et pour cela il fallait que Le Pen cesse ses provocations verbales et abandonne ses références sulfureuses qui donnaient aux médias des arguments pour légitimer la diabolisation. Contrairement à ce dernier, je pensais également qu’il fallait proposer des alliances avec la droite classique et structurer le parti pour en faire une force capable un jour de gouverner. Jean-Marie Le Pen, de son côté, jugeait ces efforts inutiles car il ne voulait pas du pouvoir, se satisfaisant d’une attitude de protestation et de témoignage.

Par ailleurs j’avais le soutien d’une large majorité des cadres et des militants puisque c’est près de soixante pour cent d’entre eux qui m’ont suivi lors de la scission. Philippot de son côté est loin d’avoir un tel appui. On peut même penser que, parmi les causes de la crise d’aujourd’hui, il y a l’opposition que lui porte une grande partie des militants.

Quelle est alors la signification de la crise actuelle du Front national ?

Pour comprendre ce qui se passe au FN, il faut savoir que Marine Le Pen a hérité de ce mouvement alors qu’elle n’en avait pas les idées. Après une première phase, au cours de laquelle elle a appliqué la stratégie qui était la mienne, elle a entrepris de changer le programme du Front national pour remplacer, dans ses priorités, la défense de notre identité par un souverainisme nostalgique et une politique sociale passéiste digne des années 60. La situation actuelle résulte de ce double malentendu ou de cette double imposture.

Au début en effet, cette nouvelle ligne n’a pas été clairement perçue par les électeurs qui, exaspérés par les problèmes liés à l’immigration et rebutés par la classe politique, ont massivement voté pour un Front national qui était resté pour eux sur la ligne que nous avions forgée pendant des années. Mais, lors de la campagne présidentielle et législative du printemps dernier, les Français ont commencé à comprendre ce qu’était le Front national d’aujourd’hui et quelles étaient les insuffisances de Marine Le Pen. Dès lors, l’électorat a reflué et les scores n’ont plus été à la hauteur de ce que les cadres et les militants espéraient. D’où la fronde et la crise. D’où aussi la volonté de Marine Le Pen de stigmatiser Philippot, non parce qu’elle serait en désaccord avec lui, mais parce qu’elle veut l’utiliser comme bouc émissaire pour écarter d’elle la contestation qui gronde.

Quel est dans ces conditions l’avenir d’une éventuelle scission ?

Une aventure solitaire de Philippot a peu de chance de prospérer car il n’aurait qu’un faible soutien militant et sa ligne politique ne pourrait pas lui apporter beaucoup d’électeurs. En revanche, il aurait le soutien des médias. Et c’est une autre différence importante entre ma démarche et celle de Florian Philippot. Car ce dernier aurait la sympathie du système qui se servirait de sa dissidence pour tenter de rediaboliser le FN, alors que mon initiative, parce qu’elle mettait nos idées sur la route du pouvoir, a été clairement combattue par lui. Ce n’est pas un hasard si, juste après la scission et avec une rapidité inhabituelle, les juges ont accordé à Le Pen le monopole du sigle et du logo FN et si le Premier ministre d’alors, M. Jospin, a aussitôt versé la subvention d’Etat à Le Pen et cela juste avant les élections européennes de 1999. Malgré ce soutien et en dépit de la candidature Villiers Pasqua qui a limité mécaniquement notre potentiel de voix, la liste que je conduisais n’est arrivée que deux points derrière celle de Le Pen.

Que serait devenue la droite nationale si ce score avait été inversé ?

A la lueur des erreurs désastreuses commises par Marine Le Pen et au vu de ce qui se passe aujourd’hui au Front national, je regrette en effet que ce score n’ait pas été inversé. Car, si le FN que j’incarnais l’avait emporté et si c’était lui qui avait été présent lors des dernières élections présidentielle et législatives, la droite nationale ne serait pas en crise.

Sans doute ne l’aurait-elle pas emporté mais le score que nous aurions obtenu aurait donné à la droite nationale une crédibilité et un poids qui auraient changé la donne politique et permis tous les espoirs pour l’avenir.

Bruno Mégret (Polémia, le 21 septembre 2017)

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Le Journal du chaos de cette semaine

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