mercredi, 09 mai 2018
Le nouveau cancer social français : l’islam djihadiste
La plaie de la IIIe République fut la radicale-maçonnerie, soit l’invasion par les sectaires du Grand-Orient de l’État dominé par les radicaux, eux-mêmes fort peu soucieux d’améliorer le sort du bon peuple et prosternés devant leurs sponsors électoraux du milieu plutôt faisandé de l’industrie, du négoce et de la finance. Le cancer social était alors la corruption, contre laquelle des patriotes luttèrent vainement : on les appela des « fascistes » !
La débâcle militaire du printemps 40 assura la fin de ce régime de pourriture. Certes, en 1945, les vieux débris de la IIIe voulurent reprendre leurs places, mais une génération se réclamant – parfois avec raison – de la Résistance à l’Occupant décida d’occuper le terrain jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse, atteinte par la mort ou le gâtisme.
Dans les années 60, le marxisme tenta de tuer l’Occident par une autre forme de cancer social : le terrorisme. Officiellement pratiqué par des « gauchistes », il était en réalité financé par le KGB, l’officine de propagande, d’espionnage et de tueurs de l’Union Soviétique, grâce à divers trafics de stupéfiants.
Rendons grâce aux jeunes loups du Kremlin des années 1980-90. Ils voulaient rénover le marxisme. Ils ne réussirent qu’à enrichir une maffia ethniquement très typée (aborder le sujet en Occident est très périlleux) et appauvrir la Nation russe, jusqu’à ce que Wladimir Poutine rétablisse ordre, confiance et relative prospérité, en chassant les canailles. Il y gagna - allez savoir pourquoi - une sulfureuse réputation d’anti-judaïque. Au moins, la mort de l’URSS et du bolchevisme financé de Moscou procura-t-elle à l’Occident la fin du terrorisme selon saint Karl Marx.
Hélas, d’autres génies pervers ont trouvé un substitut au vieux Juif barbu qui n’aimait pas les Juifs spéculateurs. Et désormais, c’est au nom d’un certain allah que des abrutis, désocialisés ou asociaux, en tout cas inutiles à la société laborieuse, tuent au hasard, par joie de nuire à autrui, par désir de révéler au monde leur fabuleuse capacité de nuisance, tout en s’assurant une place au paradis des houris.
Un cancer n’est curable que s’il est traité suffisamment tôt et de façon radicale. Ce n’est certainement pas en favorisant l’immigration de masse des mahométans et en autorisant des roitelets du pétrole, du trafic d’armes, du haschisch et des opiacés (appelés « larmes d’allah » en certains pays mahométans) à financer la propagation de l’islam en Occident que l’on traitera ce nouveau cancer social.
Quoi que puissent écrire certains esthètes sensibles à la poésie du soufisme, islam et djihâd sont indissociables et le djihâd c’est, dans la définition coranique, tuer qui ne veut pas se convertir aux lubies d’un illettré dénommé Mahomet, qui nous ramènent à l’obscurantisme et au fanatisme médiévaux.
On se moque absolument des pleurs et des gémissements d’un public de veaux, rites obligés à chaque manifestation meurtrière de la haine des fous d’allah. On n’a que faire des discours plats et mous de politiciens vautrés devant la toute-puissance de l’économie globale, où le pétrodollar et le football sponsorisé par les mahométans jouent un rôle majeur.
Des mesures rudes s’imposent, qu’aucun gouvernement d’Europe occidentale ne semble disposé à prendre, à la différence de ce qui se passe en Russie. Le plus cocasse, c’est qu’en nos jours de profonde débilité politico-médiatique, l’on s’en prend au Président Poutine parce qu’il n’aime ni le capitalisme de spéculation ni les homosexuels, parce qu’il réprime fermement le terrorisme mahométan et qu’il refuse de déstabiliser les États calmes du Proche et du Moyen Orient. Notre Occident, version Europe des Économies Ultra capitalistes Unies, est à vomir !
Quand les Français, les Germains, les Belges, les Néerlandais, les Scandinaves, les Italiens, les Espagnols et les British en auront assez de servir de cibles aux crapules adeptes du viol en tournante des « petits culs blancs » et aux sociopathes, tueurs voués à la promotion du sieur allah, il leur suffira de se reporter à leur histoire. Ils sauront comment se comporter. Après s’être entretués stupidement durant des millénaires, ils comprendront enfin qu’un envahisseur étranger violent, ça se repousse avec pertes et fracas.
19:58 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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