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mercredi, 31 juillet 2019

Trump s’attaque aux troupes de choc du capitalisme… pardon, aux antifas !

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André Archimbaud dans Boulevard Voltaire

Trump caresse l’idée de classer les antifas comme organisation terroriste, et ce afin de faciliter la tâche de la justice et de la police. Il faut le reconnaître : le président américain, sur les questions sociales et culturelles, a le coup pour sortir les masses de leur hypnose et les replonger dans le monde tel qu’il est.

Il profite ainsi d’une longue suite d’incidents graves, au cours desquels de jeunes gens masqués procèdent dans la liesse à des cérémonies de protestation bon enfant contre le fascisme. De préférence devant les caméras : police, services des frontières, universités, journalistes rebelles à la pensée unique, tous ont été intimidés et brutalisés, en personne ou en leurs biens, et ce depuis la campagne de Trump aux présidentielles de 2016. Ainsi, le 13 juillet dernier, un certain Willem Van Spronsen a tenté de causer de multiples explosions et incendies aux environs d’un centre de détention des services de l’immigration de la côte Ouest, à Tacoma. La police l’a tué en pleine action.

Pour ce qui est de la violence physique, le dernier « fasciste » notoire visé par la contradiction des antifas a dû récemment se faire hospitaliser : à Portland, Oregon, Andy Ngo, journaliste conservateur, homosexuel américain d’origine asiatique, a été attaqué par une meute, a subi plusieurs lacérations au visage, et restera suivi pour possible hémorragie cérébrale. Alors que les grands médias ne voient dans ces brutalités qu’une légitime réaction à des provocations abjectes de la part de racistes et de fascistes, deux parlementaires, Ted Cruz et Bill Cassidy, viennent de soumettre un projet de loi visant à qualifier officiellement et pénalement les antifas de terroristes, en phase avec les propos de Trump de ce week-end.

Cependant que de nombreux sites et médias proches de la galaxie Trump concluent que la coupe est pleine : les 3 et 15 juillet derniers, le site Epoch Times, sino-américain mais anti-communiste, faisait paraître une analyse sur ce mouvement, qu’il situe dans la tradition du trotskisme, un trotskisme de gens aisés. Les avocats des victimes semblent par ailleurs se coordonner pour lancer une riposte juridique contre le mouvement. Le site The Federalist demande aux autorités de Portland d’interdire le mouvement sur son territoire tout en citant Friedrich Nietzsche sur ceux qui deviennent des monstres en combattant les monstres. Le site, le 26 juillet, pointe du doigt Howard Zinn, auteur d’une intéressante anti-histoire de l’Amérique, A People’s History of the United States, parue en 1980, que certains qualifie de haineuse. Zinn serait ainsi l’inspirateur du mouvement antifa. Comme Saul D. Alinski fut celui des révolutionnaires « entristes » du système à partir de 1970.

Le fascisme est, « objectivement », un fantasme. Le monde est désormais devenu une vaste « Ferme des animaux », où ses « cochons » exigent d’éliminer tout ce qui résiste à la marchandisation des hommes et des idées. En faisant passer souveraineté, tradition, identité et religion pour « fascistes », et en promouvant les frontières ouvertes, les antifas se mettent « objectivement » au service de cette machine à tuer les peuples qu’est le libéralisme. Point étonnant donc que la super-classe mondiale (lire le livre de Michel Geoffroy) soutienne ou protège le mouvement antifa. Trump, Cruz et Cassidy auront fort à faire…
Car le mouvement antifa est polymorphe. Qui les finance?

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12:48 Publié dans Revue de presse, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De l’homo sapiens à l’homme suicidaire

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Le billet de Patrick Parment

Tous les scenario ont été élaborés concernant le réchauffement climatique et l’état écologique, désastreux, de notre planète. Au point que les béotiens que nous sommes pour la plupart en matière scientifique ne savent plus très bien à quel saint de vouer. En premier lieu, deux évidences : le réchauffement climatique et la destruction de notre environnement.

Concernant le réchauffement climatique, une théorie voudrait que l’activité humaine, notamment en matière industrielle mais aussi agricole, soient en grande partie responsables. Que cela soit ou non, il n’en reste pas moins vrai qu’en matière de climat, la terre semble vivre un nouveau cycle. Pour combien de temps ? Nul ne le sait. Il faut donc s’en accommoder car cela a bien évidemment des conséquences sur nos modes de vie. L’homme ne manque cependant ni de ressources ni d’imagination, il peut y faire face.

Reste que l’élément perturbateur majeur, c’est bel et bien la destruction de notre environnement et de ses  écosystèmes qui sont en train de s’opérer. La logique libérale ayant atteint des pays comme la Chine et le sud-est asiatique, demain l’Inde, une course effrénée aux énergies non renouvelables est engagée qui à bien des égards est mortelle. D’autant qu’on peut y ajouter les dommages collatéraux de l’ère industrielle comme le plastique qui infeste les océans et perturbe le nourrissage de nos petits poissons ! Il est bien évident que la main de l’homme sur notre bonne vieille terre, à ce niveau, est des plus néfastes.

Et comme l’homme n’est pas par nature un animal bon et raisonnable, il y a fort à parier que malgré les nombreuses mises en garde, notre homme continue d’avoir la main trop lourde sur son environnement.

Et pourtant des solutions existent à peu près dans tous les domaines. Nous avons déjà évoqué dans ces colonnes, le champ des possibles des énergies renouvelables (biomasse, hydrogène, géothermie, etc.) Mais, on voit mal comment faire entendre raison à un Donald Trump ou à un Xi-Jipping qui entend faire de la Chine la première puissance mondiale. L’homme, au mieux, ne s’arrêtera que les pieds au bord du gouffre.

Car, ainsi que nous le rappelions, la terre se fout complètement de ce pillage des ressources et de leur épuisement. Elle continuera de tourner autour du soleil et effacera en une poignée de siècles toutes traces de l’homme sur cette bonne vieille terre.

Goethe et quelques autres avant et après lui nous avaient prévenus, l’homme, c’est le Diable. C’est Méphisto, Satan et Lucifer confondus. Inutile d’inventer un Dieu bon et miséricordieux. Il ne fait pas le poids !

11:44 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La 4e Rencontre européenne des Lansquenets s'est déroulée en Provence...

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Roland Hélie lors de l'un des repas communautaires 

Pour la quatrième année consécutive s’est tenue en fin de semaine dernière en Provence la Rencontre européenne des Lansquenets. Près d’une soixantaine de participants venus de neuf pays différents, chacun étant responsable d’une association ou d’un mouvement, d’une maison d’édition ou d’un media alternatif, ont exposé leurs activités propres dans leurs pays respectifs et ont travaillés à l’élaboration d’un manifeste européen commun destiné à cadrer le Projet Lansquenet.

Rappelons que l’objectif des Lansquenets est de constituer une élite militante européenne soudée, une sorte de « réseau organique », pour reprendre l’expression de Vincent Vauclin (Président de la Dissidence française) qui participait à cette rencontre. Créés en 2016 sous l’impulsion de Gabriele Adinolfi (directeur de l’Institut romain Polaris), les Lansquenets sont maintenant en activités en Italie bien sûr, mais aussi en Espagne, en France, en Grèce, en Belgique et en Pologne. Des contacts existent aussi dans plusieurs autres pays européens.

Pour préparer la rédaction de ce manifeste, plusieurs commissions ont été mises en place et chacune d’entre elles a planché sur l’un des aspects de celui-ci. Dans quelques mois les conclusions de ces travaux seront rassemblées et publiées sous forme d’un livret en plusieurs langues qui sera largement diffusé auprès de l’ensemble des forces combattantes antimondialistes et identitaires de notre continent...

Concernant les participants français, l’un des moments forts de cette Rencontre fut sans doute la "Synthèse européenne" du samedi en fin d’après-midi dirigée par Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, au cours de laquelle intervinrent entre autres Richard Roudier (Ligue du Midi), Philippe Randa (écrivain et directeur du site EuroLibertés), Vincent Vauclin (DF), Georges Feltin-Tracol (essayiste et collaborateur à Synthèse nationale)...

Pour compléter le côté studieux de ces journées, plusieurs activités ludiques et sportives ont été organisées, celles-ci étant destinées à renforcer, au même titre que les sympathiques repas et veillées communautaires, la cohésion et l’amitié entre les participants.

Lors du Rendez-vous Bleu Blanc Rouge des samedi 12 et dimanche 13 octobre prochains organisé à l’occasion des 13Journées de Synthèse nationale à Rungis (94), plusieurs responsables européens membres des Lansquenets, tels Juan Antonio Lopez Larrea (Espagne), Iréna Dimopoulos Papas (Grèce) et Gabriele Adinolfi (Italie), exposeront plus largement les travaux de cette belle réunion estivale.

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Intervention de Gabriele Adinolfi

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11:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |