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vendredi, 30 août 2019

Lionel Payet nous a quitté

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Au début des années 1980, alors que le Front national de Jean-Marie Le Pen amorçait sa percée historique, Lionel Payet n'avait pas hésité à abandonner sa prometteuse carrière d'ingénieur pour se consacrer corps et âme à cette cause qui lui était si chère. Il assura ainsi, quinze ans durant, aux côtés de Roland Gaucher son mentor, la direction administrative de National hebdo (à l'époque le principal journal du FN). Il fut aussi conseiller régional de Picardie et élu municipal à Amiens. Forte personnalité, il tranchait singulièrement dans ces assemblées généralement endormies et composées de politicards serviles qui ne pensent qu'à leur réélection. Lionel, lui, ne mangeait pas de ce pain là. 

Je me souviens en particulier de la grande manifestation (rassemblant près de 2000 personnes) qu'il avait organisée en décembre 1987 dans les rues de la capitale picarde lorsque le maire communiste d'alors avait envisagé d'instaurer le droit de vote aux étrangers. Je me souviens aussi de ce soir de novembre 1988 où il m'avait entrainé à Amiens pour perturber, avec une poignée de militants locaux, une réception à la préfecture de la Somme animée par une starlette médiatique (tombée depuis dans les oubliettes) qui, forte de son éphémère notoriété, s'était crue autorisée d'insulter dans une émission télévisée la mémoire de Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du Front national, décédé peu auparavant... Là où il était, Lionel ne laissait rien passer.

Les vicissitudes de l'existence l'ont obligé, quelques années plus tard, à quitter la terre picarde pour s'installer en Provence, à Orange précisément où le maire, Jacques Bompard, qui avait sans doute remarqué son efficacité au FN, l'engagea à un poste important qu'il occupa jusqu'au mois de mai dernier, date de son départ à la retraite. Cette situation nouvelle, visiblement, n'était pas faite pour lui...

Lionel faisait parti de ces éternels rebelles... peut être parce que la vie ne lui avait pas réservé que des bons moments (en terme d'épreuves, il a eu son lot). Pour autant, il n'a jamais baissé les bras, il ne s'est jamais couché face à l'adversité. C'est la maladie, la sale maladie, qui seule l'a terrassé. Il est décédé ce vendredi matin entouré de ses enfants.

Une dernière chose, Lionel était aussi particulièrement attaché au Trégor. C'est dans ce petit bout de Bretagne qu'il venait régulièrement, depuis plus de trente ans, se reposer. Au-delà de l'engagement politique, cela a contribué aussi à nous raprocher. Ce soir, nous pleurons non seulement un Camarade, nous pleurons surtout un Ami.

Roland Hélie

18:12 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Ordre nouveau raconté par ses militants" : la presse en parle

Après Charlie Hebdo de la semaine dernière :

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Présent d'aujourd'hui cliquez ici

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et Minute de cette semaine cliquez là

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11:23 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Plaidoyer pour un écologie poétique

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Par Alain Finkielkraut, de l'Académie française

On ne saurait nier la gravité du changement climatique ni l’urgence qu’il y a à préserver notre monde reconnaît Alain Finkielkraut. Le progrès, célébré par les Temps modernes, est devenu incontrôlable. Mais, si les faits donnent raison à l’écologie, la science ne saurait être son seul langage, sous peine de provoquer à son tour d’autres catastrophes, juge le philosophe. L’écologie ne doit pas perdre de vue la beauté de la nature, célébrée par les poètes. Lutter contre le réchauffement ne justifie pas de défigurer le paysage par des éoliennes et de se mettre au garde à vous devant des injonctions puériles. Un texte qui donne largement à réfléchir sur l’idée que l’on se fait de l’écologie par cet académicien décidément fort iconoclaste qui n’hésite pas à avouer qu’à 70 ans, il n’en a plus rien à faire de sa réputation.

Pour lire ce texte, cliquez ICI

01:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour avoir voulu défendre nos frontières, ils sont condamnés à des peines de prison

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Un communiqué de Génération identitaire :

Jeudi 29 août 2019, le tribunal correctionnel de Gap a condamné Génération Identitaire et ses dirigeants pour avoir « créé une confusion avec une fonction publique » lors du blocage du Col de l’Echelle en avril 2018.

Clément Galant et Romain Espino écopent de 6 mois de prison ferme et sont privés de leurs droits civiques et familiaux pour une durée de 5 ans.

Le tribunal a également infligé une amende de 75 000 € à notre association.

Ce faisant, les juges du siège valident la position du procureur de Gap qui avait pourtant reconnu l’absence de toute infraction au lendemain de l’opération.

Par cette décision dénuée de tout fondement juridique, la justice cherche à entraver notre combat contre l’invasion migratoire.

Nous avons d’ores et déjà demandé à nos avocats d’interjeter appel de ce jugement qui bafoue toutes les règles de droit.

Les intimidations judiciaires ne nous feront pas taire !

00:07 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |