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lundi, 17 août 2020

Le Coronacircus en marche vers le gouffre financier

thumbnail_Korbo. Aveux du citoyen Lambda.15.07.2020.jpg

Pieter Kerstens

Article publié dans le n°54

de la revue Synthèse nationale cliquez ici

Lorsque nous avions rédigé notre article dans le précédent numéro de la revue, la prévision et l’anticipation des conséquences d’une crise sanitaire, doublées par un chaos des marchés pétroliers, ignoraient alors la stratégie et les décisions aberrantes des gouvernements français et européens, face à la pandémie. En conclusion, nous jugions que « il suffirait d’une petite bourrasque comme…le Covid-19, qui pourrait entraver non seulement l’industrie chinoise, mais aussi par conséquence stopper l’activité de certains secteurs de l’économie mondiale et perturber les activités bancaires et financières, pour déclencher un nouveau krach mondial. »

Durant des siècles et jusqu’à ces dernières années, les épidémies -grippe, tuberculose, gastro-entérite ou bronchite- étaient enrayées par des vaccinations ou à défaut par un dépistage des malades qui, par la suite étaient placés en quarantaine et isolés du reste de la population saine, pour stopper la propagation.

JAMAIS à ce jour, on avait mis toute une population en « confinement », réelle assignation à résidence.

JAMAIS on n’avait stoppé brutalement une économie.

JAMAIS les croque-morts ministériels ne venaient nous égrener un bilan mortel tous les jours.

JAMAIS les médias dans leur totalité n’avaient entretenu une ambiance de crainte et terrorisé les gens afin de créer un réel climat de peur irrationnelle. L’émotion prenait le pas sur le raisonnement et la sensiblerie le disputait à la paranoïa.

Alors, soyons clair : j’appartiens au 3ème âge, d’un groupe à risques, avec des antécédents pulmonaires fragiles. Dès mon enfance, j’ai été atteint par le bacille de la tuberculose et de ce fait mis en « quarantaine » durant trois mois en préventorium en Haute-Savoie. Par la suite, j’ai connu en France la grippe « asiatique » en 1957 et la grippe de « Hong Kong » en décembre 1969 et janvier 1970 (32.000 morts en 2 mois) ; les années suivantes, il y a eu diverses épidémies en France et en Europe (comme la grippe de 2009), avec des dizaines de milliers de morts sans pour cela faire la « Une » dans les journaux, ni monopoliser les radios ou les télés. Ces épidémies saisonnières, venant toutes de Chine, étaient acceptées par les gens qui prenaient chacun leurs responsabilités et assumaient la situation en personne adulte ! L’idée de la mort n’est pas un tabou, il faut s’y faire.

Loin de moi d’ignorer la gravité d’une maladie, d’un handicap ou les faiblesses dues à la vieillesse.

Mais la réalité impose que plus on est vieux, plus on a de chances de mourir. Nul n’est immortel !

Un mal qui répand la Terreur… ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés.

Les instituts d’épidémiologie, les milieux scientifiques et le monde médical étaient TOUS PARFAITEMENT INFORMES depuis le début décembre 2019 d’une épidémie de SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère) -grippe mortelle- dans la province de Hubei (Hou-Pei) et la ville de Wuhan (Wou-Han) en Chine. Il est donc faux de prétendre que les Chefs d’Etat et de Gouvernements de l’Union Européenne ont été pris au dépourvu et que « personne ne pouvait prévoir une telle pandémie ». Les ambassades et les départements diplomatiques, tout comme les services de renseignements européens, avaient chacun de leur côté transmis à leur hiérarchie les dangers de cette épidémie et ses ravages possibles. Mais pour cacher leur incurie, leur impéritie et leur incompétence, les pays occidentaux vont en grande majorité, et ce dès le mois de janvier, nous abreuver de propagande, de manipulation, de mensonges et d’omissions avec la complicité servile des journalistes et des innombrables docteurs Diafoirus au garde à vous devant les dogmes du Mondialisme.

NON, cette pandémie n’était pas « la plus grave de tous les temps », comme évoqué ci-dessus.

NON, les enfants ne sont pas un vecteur de transmission très actif.

NON, le Covid-19 n’est pas insensible à la chaleur et à l’humidité. C’est tout le contraire et il disparait à la fin du printemps ou en été.

NON, le taux de mortalité de 3,5% du Corona virus annoncé par l’OMS et psalmodié à longueur d’antennes dès février n’est pas le plus grave ni le plus dangereux jamais rencontré. En réalité c’est 0,5%, alors que la grippe tue tous les ans 0,35% des gens contaminés !

Ces idées fausses et alarmistes ont été propagées pour lobotomiser des peuples entiers, interdire toute forme de contestation, anesthésier le bon sens et instaurer une frousse maximale. L’infantilisation et l’hypnose devant le Covid 19 ont amené au Devoir d’Oubli et à l’ignorance crasse. Personne n’a eu le courage de dire que TOUS LES MOIS, il y avait 1 million de morts en Chine (1.450 millions d’habitants), 240.000 morts aux Etats-Unis (330 millions d’habitants), 80.000 en Allemagne (84 millions), 110.000 au Japon (130 millions), 53.000 en Italie (61 millions), 52.000 en France (66 millions) ni 25.000 morts en Corée du Sud (52 millions) et 13.500 à Taïwan (24 millions) ou encore 8.500 en Belgique (11 millions).

 Et si l’on fait la comparaison des décès attribués au Covid 19 avec la population respective de certains pays, il y a lieu de se poser des questions, quand le Japon, la Corée du Sud, Taïwan et la Suède ou encore la Suisse n’ont jamais stoppé totalement leur économie, contrairement à la Belgique, la France, l’Italie, l’Espagne ou le Pérou.

Pourquoi une telle distorsion entre ces pays ?

Avaient-ils plus de moyens techniques, financiers, hospitaliers ou n’ont-ils pas tout simplement retenu les leçons des épidémies précédentes, adopté le port d’un masque pour tous, utilisé massivement des tests de dépistage et imposé une quarantaine aux malades contagieux ? Cela, en ordonnant une fermeture générale des frontières, dès le début de la pandémie.

Comment les charlatans du mondialisme et du capital cosmopolite grugent les gens.

Par million d’habitants, on se rend compte des écarts considérables de décès dû au Covid 19 au 27 mai : Belgique = 853 décès ; Espagne = 576 ; Italie = 542 ; France = 433 ; Suède = 387 ; Etats-Unis = 310 ; Suisse = 194 ; Pérou = 124 ; Allemagne = 103 ; Autriche = 75 ; et seulement Zéro au Viet-Nam ; 0,3 à Taïwan ; 0,5 au Sri Lanka ; 0,8 en Thaïlande ; 2 au Kazakhstan ; 4 en Australie ; 5 en Corée du Sud ; 7 à Cuba ; 7 au Japon.

Pourquoi 170 fois plus de morts en Belgique qu’en Corée du Sud ? Pourquoi 60 fois plus de décès en France qu’au Japon qui est 2 fois plus peuplé ? Pourquoi 5 fois moins de victimes en Allemagne qu’en Espagne, pays avec beaucoup moins d’habitants ?

Et l’on se rend compte maintenant que les conséquences catastrophiques dans certains pays, notamment les pays « occidentaux » et administrés par un Etat-Providence, sont essentiellement attribuées à des gouvernements où la bureaucratie, la technocratie et l’immobilisme règnent en maîtres !

 La palme d’or de cette catastrophe est attribuée, à l’unanimité, à la Belgique :  ce Royaume d’UBU compte 9 ministres de la Santé ; au niveau Fédéral, par communauté et par Régions. Le résultat est édifiant et l’on constate à fin mai que si en Flandres il y a eu 700 décès / million d’habitants, il y a eu 885 par million d’habitants en Wallonie et 1.160 morts /million dans la Région de Bruxelles. Pourquoi une telle différence ? Ce qui est limpide, c’est que dans le Plat Pays, les copains sont prioritaires, mais réellement incompétents et dangereux.

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17:37 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nouveau livre de Bernard Lugan : Esclavage, l’histoire à l’endroit

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Tous les peuples ont pratiqué l’esclavage. Mais seuls les Blancs l’ont aboli. A travers la conquête coloniale, ils ont ensuite contraint ceux qui continuaient à le pratiquer à y renoncer. Or, seule la traite pratiquée par les Européens est criminalisée.
 
Le 10 mai 2001, en votant à l’unanimité la « Loi Taubira », les députés français ont ainsi imposé une vision à la fois idéologique et manichéenne de la traite esclavagiste. Cette loi ne dénonce en effet que la Traite pratiquée par les Européens, faisant l’impasse sur la traite arabo-musulmane laquelle ne prit fin qu’avec la colonisation. 
 
Christiane Taubira a justifié cette singulière hémiplégie historique afin que « les jeunes Arabes (…) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express, 4 mai 2006). 
 
Par leur vote, les députés français ont donc effacé de la Mémoire collective des dizaines de millions de victimes. A commencer par ces innombrables femmes et jeunes filles berbères razziées dans ce que les conquérants arabes appelaient la « moisson berbère ». Ibn Khaldun évoquait à ce sujet les « belles esclaves berbères, de toison couleur de miel ». Et que dire des millions d’enlèvements d’Européens opérés jusque dans les années 1800 en mer et le long des rivages méditerranéens, à telle enseigne que l’on disait alors qu’ « il pleut des esclaves chrétiens sur Alger » ?
 
Cette loi fait également l’impasse sur le rôle des Africains eux-mêmes. Or, comme les Européens attendaient sur le littoral que leur soient livrés les captifs par leurs partenaires africains, il dépendait donc in fine de ces derniers d’accepter ou de refuser de leur vendre leurs « frères » noirs. La réalité historique est qu’une partie de l’Afrique s’est enrichie en vendant l’autre partie. Les captifs n’apparaissant pas par enchantement sur les sites de traite, ils étaient en effet capturés, transportés, parqués et vendus par des négriers noirs. Ce qui a fait dire aux évêques africains : 
« Commençons donc par avouer notre part de responsabilité dans la vente et l’achat de l’homme noir… Nos pères ont pris part à l’histoire d’ignominie qu’a été celle de la traite et de l’esclavage noir. Ils ont été vendeurs dans l’ignoble traite atlantique et transsaharienne » (Déclaration des évêques africains réunis à Gorée au mois d’octobre 2003).
 
Or, par haine de tout ce qui est « Blanc », ceux qui se sont baptisés « décoloniaux », nient ces réalités historiques au profit d’une fausse histoire qu’ils introduisent au forceps selon des méthodes terroristes et qui est lâchement acceptée par des « élites » européennes entrées en dhimitude doctrinale. Le 19 juin 2020, le Parlement européen a ainsi voté une résolution surréaliste condamnant « l’utilisation des slogans qui visent à saper ou à affaiblir le mouvement Black Lives Matter et à en diluer la portée ». Le groupe LFI a même déposé un amendement visant à ne reconnaître comme « crime contre l’humanité » que la Traite européenne, et non « la traite des esclaves » en général, comme cela était prévu dans le texte initial.
 
Cette entreprise de subversion connaît des développements apparemment insolites. Ainsi, au mois de mai dernier, en Martinique, deux statues de Victor Schoelcher, l’homme du Décret du 27 avril 1848 abolissant définitivement l’esclavage, ont été renversées à Fort de France et à … Schoelcher. Or, il n’y a ni inculture, ni crétinerie dans ces crimes iconoclastes, mais tout au contraire une claire attitude politique : un Blanc ne peut en effet mettre fin à l’esclavage puisqu’il est par essence esclavagiste… Alors, si les statues du père de l’abolitionnisme ont été renversées, c’est afin que soient mises à leur place celles de personnalités noires « esclavagisées » selon le vocabulaire « décolonial », et qui auraient lutté contre l’esclavage.
 
Voilà donc les « décoloniaux » en plein complexe existentiel devenus les « esclaves de l’esclavage » selon la formule de Franz Fanon, lui qui refusait de se « laisser engluer par le déterminisme du passé ».
 
Ce livre remettant totalement à plat l’histoire de l’esclavage était donc une nécessité. Loin des nuées et des incessantes manœuvres culpabilisatrices, cet ouvrage enrichi de plusieurs dizaines de cartes et illustrations, d’une bibliographie détaillée et d’un index est le manuel de réfutation de cette histoire devenue officielle dont la finalité est de paver la route de la repentance afin de faire des Européens des étrangers sur leur propre sol.
 
CE LIVRE EST UNIQUEMENT DISPONIBLE VIA L'AFRIQUE REELLE

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11:28 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |