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mardi, 09 février 2021

Vers la collectivisation immobilière…

Billets.jpegGeorges Feltin-Tracol

Le 25 mai 2018, la quatre-vingtième « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », intitulée « Demain, la grande expropriation », évoquait l’excellent essai de Michel Drac, Voir Macron. Huit scénarios pour un quinquennat, et en confirmait la pertinence par un article d’Iona Marinescu paru dans Libération dix jours auparavant. Ces deux auteurs émettaient l’hypothèse d’une confiscation légale des propriétés immobilière et foncière. Cette nouvelle « nationalisation » ferait de l’État le « copropriétaire » institutionnel des résidences principales et secondaires. Des députés de la majorité présidentielle macronienne ont déjà suggéré de taxer les propriétaires parce qu’ils ne paient aucun loyer au contraire des locataires. Oui, Gribouille est vraiment bien au pouvoir ! Dans le même ordre d’idée, la réforme de l’impôt sur la fortune pénalise l’immobilier et favorise les valeurs mobilières.

La crise sanitaire et ses effets économiques et sociaux désastreux assèchent les budgets nationaux. Peu soucieux de contraindre les GAFAM à payer plus d’impôts et impuissants de réduire l’hémorragie financière due à l’accueil d’une immigration allogène, les gouvernements cherchent à améliorer la pression fiscale sur les classes moyennes. L’« étatisation » du domaine immobilier, la collectivisation des foyers ou, pour le moins, la mise en place d’une copropriété impérative n’a pas qu’une fin seulement fiscale. Il s’agit aussi d’optimiser la surveillance globale de la population en transformant les domiciles en ergastules interconnectés.

Le ministre de la Justice du gouvernement autonome écossais, Humza Haroon Yousaf, tout droit originaire des Shetland du Pakistan, se trouve en pointe dans le combat « eschatologique » contre la HAINE ! L’excellente lettre d’informations confidentielles fondée par Emmanuel Ratier, Faits & Documents, n°490, rapporte que cet indépendantiste écossais (prière de ne pas rire) « envisage d’inclure dans la loi sur les “ crimes haineux ” […] les conversations tenues à l’intérieur des foyers ainsi que la possession, à domicile, de “ matériel incendiaire ”, comprendre des œuvres dérogeant aux canons actuels du politiquement correct ».

Comment ? L’incitation à la délation de tous par tous ne suffira pas, surtout dans la sphère privée. Devenu copropriétaire de chaque résidence, l’État pourrait exiger l’installation chez soi dans toutes les pièces (même les plus intimes ?) d’appareils connectés réactifs tels l’enceinte Alexa. Ces dispositifs enregistreraient tous les propos tenus du matin jusqu’au soir, jusque sous les draps, et les soumettraient au crible du civiquement correct âce aux algorithmes et à l’intelligence artificielle.

Ces mouchards 2.0 se doteraient vite de caméras afin de scruter en permanence les faits et gestes des personnes. Il deviendrait impossible en pratique d’écouter Radio Méridien Zéro, de regarder les émissions de TVLibertés, de lire Réfléchir et Agir ou un bon roman de Jean Raspail. Par ailleurs, cette étatisation permettrait aux autorités de les perquisitionner vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept. Certains propriétaires aux États-Unis exigent déjà de leurs locataires qu’ils ne fument pas chez eux. On peut envisager que les régimes occidentaux interdisent à terme la détention de revues, de journaux et d’ouvrages défavorables au prêt-à-penser officiel.

On intégrera dans ce scénario dystopique la réquisition, au moins partielle, d’une part non négligeable de tous les comptes bancaires et de l’épargne des particuliers. Elle serait officiellement compensée par l’application d’une allocation universelle d’existence (AUDE). Son versement mensuel d’un montant de sept à huit cents euros ne s’effectuerait qu’en monnaie électronique. Obligés de justifier leurs dépenses s’ils utilisent leur AUDE, les bénéficiaires seraient dans l’incapacité de s’abonner à Synthèse nationale, de faire des dons militants ou même d’adhérer à une formation de l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne. Les réfractaires tomberaient alors dans l’indigence matérielle et pâtiraient d’une mort sociale foudroyante.

Ravie de la victoire falsifiée de Biden le Gâteux, l’hyper-classe cosmopolite ne veut plus revivre une nouvelle présidence « populiste », ni une protestation populaire massive du type des « Gilets jaunes ». Si elle incite les médiats dominants d’occupation mentale à sidérer l’opinion publique à propos des variants du coronavirus, elle réduit au silence les peuples. Elle les remplace par des machines réflexives, des êtres vivants post-sexués et des masses étrangères déracinées, revendicatives et manipulées.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°200, mise en ligne sur TVLibertés, le 2 février 2021.

Source Europe maxima cliquez ici

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Si Léonidas revenait, que dirait-il de tout cela ?

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Jérémy Silvares Jéronimo

Vous aimez imaginer des situations improbables ou même carrément fantaisistes ? Pas moi, je suis très peu imaginatif, très cartésien et même si j’adore lire des livres sur les différentes mythologies ou voir des films tels la fameuse trilogie Le Seigneur des Anneaux, je n’ai jamais eu, même petit, une très grande imagination fantaisiste. Pourtant, cette fois-ci je vais essayer, et je vous demande de m’accompagner et de laisser votre imagination divaguer un tout petit peu.

Imaginons que des archéologues retrouvent les restes du très grand roi spartiate Léonidas, celui qui avec 300 de ses spartiates a réussi à tenir tête durant quelques jours à des dizaines de milliers de perses. Les historiens contemporains s’accordent sur au moins 50 000 à 100 000 perses, quant aux historiens de l’époque ils les chiffraient bien au-delà de ces chiffres…

Et maintenant imaginons que des scientifiques français (noblesse oblige !) arrivent à travers l’ADN, à le cloner, et qu’il sorte déjà adulte d’une machine (c’est de la science-fiction, dans le film Star Wars on entend bien des bruits d´explosion dans l’espace !). Mieux encore, il en sort adulte et avec sa mémoire intacte… Voilà notre Léonidas en chair et en os. Et on lui narre l’histoire de l’Europe de sa mort jusqu’à aujourd’hui…

Quel choc ce serait pour lui ! Que dirait-il s’il voyait l’état de l’Europe, de tout l’Occident, cet Occident qui n’existe tel quel que grâce à la Civilisation Classique Grecque dont il fut un si grand défenseur ?

Continuons à imaginer Léonidas en train de lire le journal le matin et de voir cette nouvelle : « Le Ministre Darmanin demande la dissolution de Génération Identitaire ».

Deux minutes après il lit dans Le Figaro cette autre nouvelle : « Qui est Utopia56, cette association qui défie l’État Français ? »

Ne comprenant pas de quoi il s’agit, il nous demande des explications…

« Pourquoi Génération Identitaire est-elle dissoute ? », demande Léonidas.

« Parce qu’ils ont défendu les frontières françaises et essayent d’empêcher tant bien que mal le passage de clandestins », lui répond-on…

« Et cette association, Utopia 56 qui a emmené plus de 200 clandestins dans un bâtiment public, que leur est-il arrivé ? » demande Léonidas qui commence à bouillir…

« Rien Sire, la mairie de Paris a trouvé à loger les clandestins dans un gymnase, quant aux membres d’Utopia même si ce qu’ils font est illégal, ils sont applaudis par les élites ».

Maintenant mettons-nous à la place de Léonidas. Que dirait-il ce grand roi ? Et qui dit Léonidas dit Charles Martel, Charlemagne, Saint Louis, ou Juan d’Autriche (et la liste est fort longue). Que diraient toutes ces grandes figures de cette Haute Civilisation qu’est la Civilisation Occidentale si elles revenaient ? Croyez-vous qu’ils trouveraient normal que des associations qui enfreignent des lois nationales soient défendues par tout ce que notre pays contient de média, sans parler du monde du showbiz et des élites politiques ? Et qu’une association, Génération Identitaire, qui n’a rien fait d’illégal, soit dissoute ?

« Est-ce pour cela que mes 300 Spartiates sont morts ? », dirait Léonidas…

Ils sont morts pour faire respecter les lois de la Cité, et pourtant, de nos jours ceux et celles qui protègent la Cité et ses lois sont vilipendés. Triste époque pour les héros.

Source EuroLibertés cliquez ici

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Trappes, « ville perdue »

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Franck Delétraz

Avec sa population à une écrasante majorité musulmane et ses 70 nationalités, ses mosquées salafistes et ses rues envahies de commerces mahométans, ses quelque 80 départs de djihadistes pour la Syrie et son maire qui ne cache pas ses sympathies pour les « barbus », la réputation de la ville de Trappes (Yvelines), surnommé le « Trappistan » par nos services de renseignements, n’est plus vraiment à faire. Emblématique de ces innombrables enclaves étrangères islamistes qui se constituent sur notre sol depuis des années grâce à l’incroyable lâcheté de nos gouvernements de droite comme de gauche, cette « Molenbeek française » nous donne cependant aujourd’hui, au travers du cauchemar que subit depuis des mois le professeur Didier Lemaire, un avant-goût de plus de ce que sera bientôt notre pays tout entier si les autorités continuent de fermer lâchement les yeux.

Depuis novembre 2020, en effet, cet enseignant en philosophie, dont il faut saluer ici le courage, ne peut quasiment plus sortir de chez lui, et, lorsqu’il y est contraint, ne peut le faire que sous escorte policière ! Son « crime » ? Avoir osé publier, à la suite de l’égorgement de Samuel Paty par un djihadiste tchétchène, une lettre ouverte pour dénoncer « la menace islamiste dans sa ville » et la responsabilité accablante du gouvernement dans cette très grave et inquiétante dérive. Il faut dire que, après une vingtaine d’années passées dans un lycée ethnique de Trappes, Didier Lemaire sait largement de quoi il parle : témoin privilégié de l’islamisation à marche forcée de sa ville, il a même déjà tenté d’alerter le président en 2018 en lui adressant, avec Jean-Pierre Obin, une lettre pour l’exhorter à agir enfin « pour protéger la jeunesse de l’influence des islamistes ». Et depuis ? Depuis, rien n’a été fait. Au point que, comme le confie aujourd’hui Didier Lemaire, « je considère Trappes comme une ville définitivement perdue. [...] On n’a plus beaucoup de temps avant que cela ne dégénère. Nombre de ces enfants sont élevés dans la haine de la France. Nous ne sommes pas loin d’un scénario à l’algérienne et nous ne sommes plus dans un état de paix. Il nous faut des lois d’exception qui visent l’ennemi et ne s’appliquent qu’à l’ennemi ».

Un discours de vérité qui lui vaut non seulement d’innombrables menaces de mort, mais aussi de faire l’objet d’une ignoble cabale orchestrée par le maire lui-même, Ali Rabeh, dont l’élection vient d’être annulée par la justice et qui a été condamné à un an d’inéligibilité. En effet, a témoigné l’enseignant, « le maire colporte dans la ville des accusations mensongères et haineuses qui me désignent en tant que cible potentielle ». Or, « c’est un procédé dégueulasse, après ce qui est arrivé à Samuel Paty. Il me jette en pâture et me met en danger ». Et pourtant les autorités ne semblent pas s’inquiéter plus que cela de cette situation.

En tout cas, il y en a un que l’islamisation de Trappes ne dérange pas et rend même plutôt « enthousiaste » : c’est le père Etienne Guillet, prêtre du diocèse de Versailles depuis 2006, qui expliquait encore récemment avoir « bâti avec les musulmans » de la commune « une belle relation de confiance » et se vantait de tutoyer le maire aux sympathies salafistes pourtant à peine déguisées.

Source : Présent 9/02/2021

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Derrière la cancel culture, le racisme «anti-Blancs» ?

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Lydia Guirous

La récente décision de la plateforme Disney+ de rendre inaccessibles aux « profils enfants » certains dessins animés, en raison de leurs stéréotypes, relève selon Lydia Guirous d'une cancel culture ciblant l'« l’homme blanc » et son supposé « privilège ».

La plateforme Disney+ a cédé aux nouveaux censeurs de la cancel culture. Ces gens haïssent l’humanité au point de vouloir effacer ses génies, ses chefs-d’œuvres, ses grands hommes, ceux qui ont fait sa grandeur, sa beauté et plus largement qui ont contribué au progrès de notre humanité.

Au nom d’une pseudo-vertu, d'une morale et d'une justice pour les minorités oppressées jadis, ils déboulonnent, effacent, censurent, boycottent, tirent un trait à l'encre rouge, annulent le talent et l’œuvre de l'homme. Ils refusent qu’en chaque homme sommeille une part d’obscurité et plus simplement de son époque.

Fini Woody Allen, fini Colbert, fini Gauguin, fini, exit, on efface. Ils veulent de l’irréprochable, du propre... Avec une intransigeance terrifiante, ils excluent, rejettent au nom des minorités, au nom de faits historiques que chacun condamne aujourd’hui. Ils créent des problèmes, des polémiques, là où l’Histoire et le progrès humain ont apporté une condamnation sans faille. L’esclavagisme ? Le code noir ? Le colonialisme ? Qui ne condamne pas ? C’est l’Histoire et ça restera notre Histoire.

Effacer, censurer, ajouter un avertissement moralisateur et infantilisant à chaque plaque de rue, chaque statue, chaque œuvre de peintre, musicien, auteur, réalisateur... n’effacera pas la réalité de notre histoire. Ce n’est pas parce que l’on censure Autant en emporte le vent que l’esclavagisme n’aura pas existé !... ou sans doute faudrait-il accepter une seule et unique lecture et représentation de l’Histoire pour satisfaire ces nouveaux tyrans du bien ?

Ces gens ne sont que dans la lutte des « races » et ne voient plus des hommes mais des couleurs, des ethnies et des religions. Les fous de la « race » sont dans la revanche ethnique et c’est une évolution dramatique. Un drame pour les démocraties occidentales dont les fleurons de la soft culture baissent pavillon et cèdent aux dingues made in USA qui essaiment de plus en plus chez nous.

Désormais vos enfants auront donc droit à leur part de cancel culture. Interdit donc de se détendre, de rêver et de rire devant les classiques de Disney Peter Pan, Dumbo, Les Aristochats, La Belle et le Clochard et Le livre de la jungle en utilisant un « profil enfant ». Ils comporteraient des représentations trop stéréotypées et dommageables pour les minorités. J’imagine que la Belle au bois dormant, la Belle et la Bête, Blanche Neige et les sept nains et Cendrillon sont les prochains sur la liste. Avis aux néo-féministes : voici un combat bobo-déconnecté qui pourrait occuper de l’espace médiatique pour pas cher !

Pour les adultes, Disney nous offre un infantilisant et ridicule carton d’avertissement afin de prévenir que le film contient des représentations datées ou négatives de minorités et de cultures. Sous couvert de bonnes intentions, pour nous éduquer, les tenants de la cancel culture nient l’Histoire. Ils voient l’homme uniquement comme une menace pour l’Homme. Ils l’infantilisent, en niant sa capacité de recul, d’esprit critique, d’évolution et de bienveillance. Ils ne croient pas en l’intelligence. Ils sont dans une démarche de vengeance contre « l’homme blanc » et son fameux « privilège ».

Face à eux et la puissance de nuisance des réseaux sociaux qui peuvent détruire une image de marque, Disney se couche... comme d'autres marques de la mode se sont couchées face au potentiel marché de la mode islamique. Derrière cette pseudo-morale culpabilisatrice, le dieu argent – et un signe de plus de l’effritement de la civilisation occidentale.

Source : site RT France

09:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ceci n’est pas un complot

"Comment les médias racontent le Covid".

Un film de Bernard Crutzen sur le traitement médiatique de la crise par les médias belges francophones. Ce qu'ils disent, comment ils le disent, et ce qu'ils taisent. Avec une attention particulière à la notion de "complot"

Partagez largement, il faut faire bouger les lignes !

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00:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |