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vendredi, 30 septembre 2022

Ferhat Mehenni - Pour une Kabylie indépendante

Jusqu’au milieu du XIXème siècle, la Kabylie était indépendante dans l’Empire ottoman, les Turcs n’avaient jamais réussi à l’intégrer. Elle devient une région de l’Algérie colonisée par la France ensuite. Mais dès l’indépendance en 1962, une guerre de deux ans entre le pouvoir algérien et les indépendantistes kabyles éclate. Les revendications d’autonomie reprennent dès les années 80 et s'amplifient dans les années 2000. Depuis une décennie, c’est l’indépendance qu’exigent les opposants au pouvoir arabo-islamique d’Alger.

Richard Haddad reçoit le Président du gouvernement provisoire Kabyle en exil, Ferhat Mehenni, et son Porte-parole, Aksel Ameziane. Les deux personnalités expliqueront dans cette émission les différences fondamentales, culturelles, religieuses, politiques et historiques entre les Kabyles et les Arabes. Ils évoqueront la tolérance et l’ouverture de leur peuple épris de liberté. La laïcité et la liberté religieuse sont au cœur de leur projet qu’ils développeront afin d’éclairer les téléspectateurs sur ce qu’ils voudraient faire de cette région si proche de la France.

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Les 40 ans du pèlerinage de Chartres

 La joie passe par les pieds, la grâce passe par le cœur !

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RICHARD ROUDIER, PRÉSIDENT DE LA LIGUE DU MIDI, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE DIMANCHE 16 OCTOBRE

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Notre Pays retrouvera-t-il ses chansons ?

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François Floc'h

Le dimanche 16 octobre prochain se déroulera la 14e journée de Synthèse Nationale. N'en doutons pas, l'ambiance y sera joyeuse, appliquant la recommandation du bon maître François Rabelais : « Il vaut mieux évoquer le rire que les larmes parce que le rire est le propre de l'homme. Vivez joyeux !»

Espérons aussi que ce jour-là quelques gais lurons de Flandre ou d'ailleurs pousseront la chansonnette ! Pour les plus jeunes qui participeront à ces retrouvailles militantes, un rappel peut être bénéfique…

A tout précurseur il faut rendre honneur. Jean-Marie Le Pen est de ceux-là. En 1963, en créant la SERP – Société d'études et de relations publiques ! – il allait réaliser une œuvre salutaire : tirer de l'oubli et mettre en valeur le patrimoine sonore et surtout musical de nos soldats, des militants nationalistes, du petit peuple de nos provinces, mais aussi, sans sectarisme aucun, de nos adversaires comme la CGT ! Et combien d'autres archives sonores qui lui valurent, déjà, plusieurs procès…  Par les disques microsillon puis par les mini-cassettes, il allait ainsi promouvoir le riche répertoire du Chœur Montjoie Saint-Denis (ci-dessus) qui anima tant de nos réunions et banquets. On ne peut oublier les fameuses collections Chants d'Europe, Chants de France et Chants de tradition ?

Mais l'écrit garde toujours son importance. En 2017 aux Éditions Synthèse nationale comme il se doit, Thierry Bouzard, grand spécialiste des musiques militaires, publiait un gros "carnet de chants" (318 pages !) que tous les militants doivent posséder et utiliser sans modération : Les chansons de notre identité, 220 chansons pour aujourd’hui et pour demain. cliquez là

Plus récemment, deux amis bretons, Rémi Creissels et Charles Dor, ont eu une idée originale : créer une application informatique répertoriant tous les chants traditionnels.

C'est devenu Canto, un carnet de chants en ligne cliquez ici  

1 600 fiches de chants, podcasts, interviews, tutos… Quelle mine !

Interrogé sur Boulevard Voltaire, Charles Dor précise leurs objectifs : « Chez Canto, nous avons trois piliers auxquels nous tenons. Le premier, c’est de préserver le patrimoine. Le second pilier, c’est de faire vivre ce patrimoine, cela se fait par le biais de l’événementiel. Le troisième, c’est de transmettre, en priorité dans les écoles primaires et ensuite dans les établissements pour personnes âgées. Canto est devenu un projet culturel de sauvegarde du patrimoine local, traditionnel et populaire.»

Lire la suite

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Les distributeurs automatiques à l’assaut des campagnes !

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La chronique de Philippe Randa

Il est de bon ton de se désoler de la désertification des campagnes à tout niveau : écoles, transports, hôpitaux, etc. D’ailleurs, aucun candidat à une élection locale n’oublierait la sacro-sainte promesse électorale de stopper la fermeture des magasins en centre-ville et de tout faire – mais alors tout, hein ! et plus encore – pour réimplanter ces petits commerces d’antan qui faisaient la richesse et la beauté de nos rues… Ils étaient tellement indispensables, n’est-ce pas ! On se demande bien pourquoi ils disparaissent les uns après les autres…

Un jour, je demandais à un jeune, dynamique et sympathique maire, récemment élu à la tête d’une petite ville, s’il croyait possible cette réimplantation des commerces ; il me donna cette réponse aussi sincère que sibylline : « Non ! Mais il faut y croire ! »

Il y a quelques années, un reportage diffusé lors d’un Journal télévisé nous faisait découvrir un entrepreneur particulièrement optimiste dont l’activité était justement de « réimplanter » dans les villages qui en étaient démunis, un commerce qui allait faire office d’épicerie, boulangerie, point poste, bistrot, tabac et plus si affinités… Il trouvait ainsi le ou les gérants et les aidait dans leurs démarches et leur(s) installation(s) jusqu’au jour J, soit l’ouverture du commerce tant attendu par monsieur le Maire et ses administrés qui étaient tous conviés à célébrer comme il se devait l’événement avec vin d’honneur et ripailleries… Et tous étaient là ! Et tous félicitaient l’entrepreneur de « sauver » ainsi leur village et ses alentours grâce à cette si formidable initiative.

Et ?… Et ?… Et l’entrepreneur concluait, un peu dépité :

— L’enthousiasme le jour de l’ouverture était bien réel… Seulement, dès le lendemain, tous ces villageois prenaient leur voiture pour rouler 20 kilomètres et faire leurs courses à la grande surface la plus proche. La force de l’habitude !

Les petits commerces ainsi réimplantés vivotaient alors misérablement… ou disparaissaient plus sûrement encore.

Mais la nature a horreur du vide, même au fin fond des campagnes… et à Trifouillis-les-Oies ou à Pétaouchnock-sur-betteraves, on n’arrête pas plus le progrès qu’ailleurs…

Fini les petits commerçants ? À l’évidence !… Alors bienvenus aux distributeurs automatiques, aussi vieux que le début du XXe siècle où ils sont d’abord apparus dans le métro parisien, puis se sont déployés dans les sociétés et les lieux publics des grandes villes avec l’apparition des machines à café et des distributeurs de boissons.

Et maintenant, ils fleurissent dans les campagnes où l’on a souvent pris l’habitude d’y récupérer sa baguette de pain, tout comme ses billets de banque… et déjà (presque) tout le reste de nos besoins ; comme l’explique une enquête du Monde : « Depuis le début du XXIe siècle, les robots ravitailleurs prospèrent au pays de Gault et Millau. L’institut d’études Gira Foodservice en dénombre aujourd’hui près de 80 000 exemplaires qui délivrent, sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, une multitude de produits, du pain aux huîtres, sans oublier la cancoillotte, le boudin blanc, les œufs, le lait cru et la pizza quatre fromages. Ils sont taillés tels des frigos américains, éclairés la nuit (jusqu’à quand ?) et hyperconnectés. De quoi nourrir la version 3.0 du Tour de Gaule d’Astérix (Dargaud, 1965). »

Il est certain que les grandes surfaces ont eu la peau des petits commerçants, qu’on s’en indigne ou non… Les distributeurs automatiques auront-ils, à terme, celle des Super U, Intermarché, Leclerc et autres Carrefour ?

À l’intérieur de ceux-ci, les caisses automatiques sont déjà à la manœuvre pour avoir celle des dernières caissières… Pourront-elles être sauvées ?

Un maire jeune, dynamique et sympathique répondrait sûrement : « Oui, bien sûr… »

Et ajouterait aussitôt : « Enfin, il faut y croire ! »

Lire EuroLibertés cliquez là

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jeudi, 29 septembre 2022

Remarques sur des funérailles planétaires

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Pendant une journée, Londres a retrouvé son rang de capitale du monde qui fut le sien sous la reine Victoria (1819-1837–1901). Plus d’une centaine de chefs d’État parmi lesquels de très nombreuses têtes couronnées dont l’empereur du Japon lui-même, et des chefs de gouvernement, venus du Commonwealth ou pas, ont assisté aux obsèques de la reine Elizabeth II le lundi 19 septembre dernier.

La médiasphère occidentale s’est complue pendant cette séquence dans l’émotion, la superficialité et l’hagiographie. Une grandiose entreprise de sidération de masse s’est déroulée sous nos yeux crédules. Oubliées par conséquent les questions gênantes autour de cet événement.

Par exemple, comment peut-on justifier une file longue, selon les journalistes sur place, de plusieurs kilomètres et une attente variable entre douze et vingt-quatre heures au moment où le Royaume Uni vient à peine de sortir de la crise covidienne ? L’organisation de soirées privées dans les ministères au temps du confinement – le célèbre Partygate – a provoqué la démission du Premier ministre Boris Johnson. Dans un royaume chagriné, des millions de Britanniques se réunissent et se côtoient pendant de longues heures sans craindre la moindre contamination. Certes, ils patientent dans les rues et bravent la nuit, le froid et le vent… Ces attroupements gigantesques ne favorisent-ils pas néanmoins l’apparition de foyers de contagion géants ? Sinon ces scènes n’invalident-elles pas le port de la muselière hors de son domicile ? À moins que le covid contribue à sa manière à respecter le deuil national d’Albion.

Tous les commentateurs s’esbaudissent des hommages rendus à la reine défunte. Maints reportages montrent un peuple éploré. Nul n’aurait l’idée de se gausser de ces manifestations de respect. En décembre 2011, quand décéda subitement le président de la Commission nationale de défense de la République populaire démocratique de Corée, Kim Jung Il, les Occidentaux se moquèrent des foules massées dans les artères principales de Pyongyang qui pleuraient la disparition de leur dirigeant bien-aimé. Avec leurs clichés modernes, ils y voyaient au mieux une manipulation, au pis un fanatisme orchestré. Or, « les lamentations collectives, écrit Philippe Pons dans Le Monde du 22 décembre 2011, font partie des expressions de la douleur du deuil dans la culture coréenne. […] Les Coréens sont extravertis dans la joie comme dans la douleur. Lors des funérailles d’un parent, ces derniers “ crient “ leur chagrin. Exprimer ses condoléances par des larmes relève de l’étiquette sociale ». C’est en effet à travers les rites funèbres que se découvre l’âme profonde des peuples. Encore faudrait-il que les journalistes de l’Occident global soient compétents en ethno-psychologie...

À l’heure où l’empreinte carbone devient un critère prioritaire de « gouvernance », quel est donc l’impact environnemental d’une telle concentration humaine ? Ne faut-il pas prendre en compte le ballet des avions des responsables politiques arrivant à Londres ? N’aurait-il pas été souhaitable qu’ils viennent tous en char à voile et en trottinette électrique ? Ils appellent leurs populations à la sobriété énergétique, mais ils se moquent volontiers de leurs injonctions qui ne les concernent pas. Insupportable « deux poids deux mesures » !

Derrière l’apparat traditionnel – la proclamation de Charles III par le roi d’arme de l’Ordre de la Jarretière au palais Saint-James – se tapie un ultra-progressisme inquiétant d’inspiration spéculative franc-maçonne. Les  Windsor-Mountbatten représentent une famille cosmopolite. David Icke y voit des « reptiliens ». La réalité est plus prosaïque. Cette dynastie d’origine germanique et danoise sert depuis la chute des Stuart en 1688 la véritable souveraine d’Angleterre : la finance de la City de Londres !

La reine a nommé sous son règne quinze premiers ministres. Le dernier, deux jours avant sa mort, est la conservatrice Liz Truss qui s’appelle en réalité Mary Elizabeth Truss. La reine se prénommait Elizabeth Alexandra Mary. L’inversion des prénoms n’est-elle pas, sinon une singulière coïncidence, un signe digne des augures ? Par ailleurs, à propos du nouveau roi, son prénom reste problématique dans l’histoire anglaise. Charles Ier Stuart meurt décapité en 1649 sur l’ordre d’Oliver Cromwell. Le général Monck restaure en 1660 la royauté en faveur de Charles II, le fils du monarque assassiné, qui règne jusqu’en 1685. La « Grande Peste » de 1665 (environ 80 000 morts), le « Grand Incendie » de Londres en 1666 (près de 14 000 maisons et églises détruites) et la promulgation de l’Habeas Corpus de 1679 qui limite son absolutisme imité de Louis XIV marquent ce quart de siècle « carolien ». Toujours sous Charles II émergent au Parlement les factions whigs (référence aux paysans calvinistes écossais révoltés) et tories (allusion aux brigands, catholiques ou non, irlandais).

Les funérailles solennelles d’Elizabeth II préfigurent-elles l’enterrement du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord ? Promoteur du multiculturalisme et habitué aux réunions annuelles de Davos, Charles III pourrait voir l’éclatement de son royaume avec l’indépendance de l’Écosse, la réunification de l’Irlande - bien que dans ces deux cas, les indépendantistes soient eux aussi des globalistes gendéristes -, et la fragmentation socio-culturelle de l’Angleterre. On sait maintenant qu’Elizabeth II n’appréciait guère le premier ministre travailliste Anthony Blair. Outre son rôle intrusif dans la gestion médiatique de la mort soudaine de la princesse Diana et l’attitude plus que hautaine de la républicaine catholique Cherie Blair, la reine regrettait la Dévolution envers l’Écosse, le Pays de Galles et l’instauration de la puissante mairie du Grand Londres.

Les obsèques d’audience planétaire d’Elizabeth II détournent pour l’instant l’immense colère sociale. Une inflation élevée déclenche de nombreuses grèves, pour l’heure suspendues. Le gouvernement pseudo-conservateur et véritablement financiariste profite des circonstances pour tenter d’étouffer les tensions socio-économiques. Attention ! Cela ne veut pas dire que la reine coule maintenant des jours heureux sur une quelconque île des Bahamas en compagnie d’Elvis Presley !

Certes, Elizabeth II a montré tout au long de sa vie un grand sens du devoir. Mais, en son nom, elle a entériné le conflit honteux en 1983 contre l’Argentine dans l’Atlantique Sud, accepté la répression inacceptable pendant trois décennies en Irlande du Nord et cautionné en tant que reine du Canada l’occupation pluriséculaire du Québec et l’asservissement des autres communautés canadiennes-françaises. On attend toujours des excuses officielles et sincères de Londres pour le « Grand Dérangement » des Acadiens au milieu du XVIIIe siècle.

À l’instar des autres monarchies modernes, la royauté britannique n’est qu’une parodie de traditions dévaluées. Les membres des familles régnantes (ou non) actuelles se vautrent dans le politiquement correct. Le prince de Galles William réclame la censure sur Internet des supposés discours de  « haiiiiinnnnne ». Les couronnes se parent dorénavant de wokisme. Croire en un sursaut national, populaire et européen en rétablissant une auctoritas royale devient un grave contre-sens. Les monarchies occidentales valident toutes les involutions sociétales. Finalement, les seules à garantir leurs intérêts nationaux sont les républiques dynastiques coréenne du Nord et syrienne !

Salutations flibustières !

 « Vigie d’un monde en ébullition », n°44, mise en ligne le 27 septembre 2022 sur Radio Méridien Zéro.

23:00 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Docteur Alwest - Hiver sans chauffage !

Les analyses de Docteur Alwest sur la politique énergétique d’Emmanuel Macron.

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18:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jacques Baud - "Les USA sont probablement responsables de l’explosion des gazoducs russes !"

Jacques Baud, ex-membre des renseignements suisse et chef de la doctrine des opérations de la paix pour les Nations Unies, revient sur les récentes explosions des gazoducs Nordstream 1 et 2.

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Source : Ligne Droite

17:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour sauver Callac, pour lutter contre le grand remplacement, 100 patriotes lancent un Appal national :

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Grâce à la mobilisation des Bretons, le projet Horizon, impulsé par une riche famille parisienne voulant imposer la présence de 70 familles de migrants dans le centre-ville de Callac, est à présent évoqué dans tous les grands médias.

Depuis des années, à l’échelle locale comme nationale, les différents gouvernements ont abandonné les petits villages, préférant déverser les milliards des Français sur ce que l’on appelle « les Territoires perdus de la République ». Pour le résultat que l’on connaît.

Stupéfaits, indignés, les Français apprennent qu’il n’y avait pas d’argent pour les jeunes salariés, pour les chômeurs (18 % à Callac), pour les agriculteurs, mais qu’il y a des millions d’euros disponibles pour installer des dizaines de familles de nouveaux venus, d’une autre culture, d’une autre religion, d’une autre civilisation, dans leurs centres-ville. C’est le mode de vie à la Française des habitants de ces petites villes qui se trouve menacé.

Le maire de Callac qui refuse de consulter sa population, ne cache pas sa fierté d’être un laboratoire, considérant donc ses administrés comme des cobayes.

L’association « Merci », qui gère le projet Horizon, a révélé que déjà des dizaines d’autres Callac sont à l’étude dans toute la France.

Le président de la République, devant ses préfets, a défendu l’idée de remplir nos campagnes, jusqu’à maintenant préservées  des migrants – malgré la montée d’actes de délinquances et de vols de plus en plus nombreux. Il a évoqué le terme « transition démographique », donnant sa caution à une politique de Grand Remplacement dans les campagnes françaises. Il annonce vouloir imposer cette politique à tous les Français, par la loi, en début 2023.

Le combat de Callac est donc décisif pour l’avenir de notre pays et de sa ruralité. Si Macron, la famille Cohen et le maire de Callac imposent ce projet mortifère, il leur sera plus facile de mettre en place ailleurs des dizaines d’autres projets de ce type. Nos campagnes subiraient alors le sort de toutes les grandes villes, avec leur lot de délinquance et d’insécurité.

Les signataires à la suite du Comité National de l’appel des 100 apportent tout leur soutien aux citoyens de Callac et des environs qui s’opposent au projet « Horizon » au nom d’un principe simple : « Callac doit rester Callac, la Bretagne doit rester la Bretagne, la France doit rester la France ».

Pour conserver un mode de vie à la française, il faut sauver Callac! Signez la pétition en fin d’article!

APPEL DES CENT PATRIOTES

  • Robert Albarèdes, maire honoraire de Gréasque (Bouches-du-Rhône)
  • Thierry Annereau, maire de Bois (Charente)
  • Bernard Antony, président de l’Agrif
  • Bruno Attal, vice-président du Syndicat France Police
  • Salem Benammar, patriote et fils de patriote
  • Joëlle Bergeron, ancien député européen RN
  • Charles Berthollet, maire de Rouvray (Yonne)
  • Anne-Laure Blanc, mère de famille et militante associative
  • Jean-Claude Blanchard, conseiller régional des Pays de la Loire de 2015 à 2021, ancien conseiller municipal de Saint-Nazaire
  • Jean-Marc Bled, coordinateur régional Reconquête du 76
  • Catherine Blein, présidente de l’association « Les Amis de Callac et ses environs »
  • Jacques Bompard, ancien député, maire honoraire d’Orange
  • Major Alain Bonte, citoyen engagé
  • Gérard Boyadjian, acteur et réalisateur
  • Gérard Brazon, ancien syndicaliste à la RATP, ancien conseiller municipal à Puteaux
  • Franck Buhler, co-fondateur des Gilets jaunes
  • Renaud Camus, écrivain, inventeur du concept du Grand Remplacement
  • Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque
  • Benoit-Gérard Casterman, prêtre
  • Erick Cavaglia, professeur de lycée, vice-président de la Ligue du Midi
  • Lucien Cerise, écrivain, spécialisé dans l’ingénierie sociale
  • Jean-François Cerisier, colonel, auteur de Guerre à l’Occident, guerre en occident
  • Franck Chevrel, chef d’entreprise
  • Jean-Louis Chollet, architecte d’intérieur et artiste
  • Georges Clément, président du Comité Trump France, écrivain
  • Jacques Clostermann, Officier de réserve de l’Armée de l’Air
  • Gilbert Collard, député européen, président-fondateur d’Alternative France
  • Christian Combaz, journaliste, écrivain
  • Général André Coustou, signataire de la lettre ouverte contre le Pacte de Marrakech
  • Emmanuel Crenne, conseiller régional Occitanie de 2015 à 2021
  • Stanislas Czerwinski, conseiller municipal à Pons
  • Tristan Cuminal, chef d’entreprise
  • Tarick Dali, porte-parole de la Droite libre, membre du bureau national du CNIP
  • Michel Dargent, maire de Ceaucé (Orne)
  • Charles Demassieux, auteur
  • Thais d’Escufon, vidéaste, ex porte-parole de Génération Identitaire
  • Eric de Verdelhan, ancien parachutiste, écrivain
  • Philippe de Veulle, avocat spécialisé dans la défense des victimes du terrorisme
  • Guillaume de Vigneral, maire de Ri (Orne)
  • Eric Dick, réalisateur du film « Et les cloches se sont tues »
  • Général Antoine Martinez, président des Volontaires pour la France
  • Jean Messiha, président de l’Institut Apollon
  • Raphaël Delpard, cinéaste, écrivain
  • Laurent Droit, ancien miltiaire d’active, électronicien et informaticien
  • Josiane Filio, retraitée, assistante de direction, technicienne supérieure de gestion
  • François Galvaire, blogueur
  • Bernard Gantois, polytechnicien, écrivain
  • Général François Gaubert
  • Bernard Germain, essayiste, auteur de Déconstruire la woke idéologie, porte-parole du Comité d’organisation de Callac contre le projet Horizon
  • Jean-Luc Gosse, commerçant, acteur socio-économique
  • Marcus Graven, écrivain, auteur de L’immigration, un naufrage français
  • Francis Gruzelle, président des apiculteurs de l’Ardèche et de la Drôme, journaliste, écrivain
  • Lieutenant-colonel Jacques Guillemain, ex-pilote de l’Armée de l’Air, auteur de « Macron, le pire fossoyeur de la France »
  • Stéphane Guillemain, conseiller municipale à Marguerittes
  • Stéphane Haddad, avocat
  • Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale
  • Véronique Hervouet, psychanalyste
  • Pascal Hilout, né Mohamed
  • Bernard Huet, ancien maire-adjoint des Clayes-sous-Bois
  • Patrick Isnard, chef d’entreprise
  • Jean-Loup Izambert, journaliste et écrivain
  • Claude Janvier, Ecrivain et essayiste
  • Patrick Jardin, père de Nathalie, assassinée au Bataclan
  • François Jay, ingénieur, ancien conseiller municipal de Bordeaux
  • Elisabeth Lalesart, née en Iran, auteur de « Pas de voile pour Marianne »
  • Valérie Laupies, enseignante, ancienne conseillère régionale
  • Jean-Yves Le Gallou, président de Polemia, cofondateur de l’Institut Iliade
  • Christophe Lefèvre, conseiller municipal de Saint-Gilles
  • Régis Le Gall, Docteur en histoire médiévale
  • Danielle Le Men, Vice présidente des Amis de Callac et ses environs
  • François Billot de Lochner, président de la fondation Liberté Politique
  • Yves Maillard, capitaine de vaisseau
  • René Marchand, ancien journaliste, auteur de « Reconquista ou Mort de l’Europe »
  • Franck Martin, défenseur de la ruralité française
  • Charles-Stéphane Mercier, promoteur immobilier, conseiller financier
  • Benoit Meugniot, maire de Salignac-de-Mirambeau (Charente)
  • Nicole Mina, conseillère régionale d’Occitanie
  • Jean-Marie Moulin, maire de Saint-Bonnet-du Gard
  • Lucien Samir Oulahbib, auteur, chroniqueur, enseignant, chercheur
  • Christian Navis, grand voyageur, journaliste et écrivain
  • Abbé Guy Pagès, fondateur du site Islam et vérité, auteur
  • Lara Parrenin née Stamboltsian, ancienne conseillère municipale d’Asnieres (92), animatrice sur Radio Courtoisie
  • Nicolas Pougnet, ingénieur, spécialiste sécurité sanitaire
  • Colonel Daniel Péré, retraité
  • Alain de Peretti, vétérinaire, président de Vigilance halal
  • Frédéric Pichon, avocat
  • Général Christian Piquemal, retraité
  • Philippe Randa, éditeur et écrivain
  • André Regéreau, ancien officier de l’Armée de Terre
    Sophie Régnier, enseignante
  • Martine Rigaudie, journaliste
  • Michel Riou, ancien maire-adjoint de Callac
  • Richard Roudier, président de la Ligue du Midi, syndicaliste agricole
  • Alain Sautreau, infirmier
  • Jean Schoving, athlète, traducteur et écrivain
  • Guy Sebag, président de Riposte Laïque
  • Maurice Signolet, commissaire divisionnaire honoraire
  • Hubert Stalla, consultant
  • Marc Stahler, directeur de Minurne
  • Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine
  • Marc Taulelle, conseiller municipal à Nîmes, conseiller communautaire
  • Lysiane Tendil, maire de Saint-Jean-du Bruel (Aveyron)
  • Pierre-Yves Thomas, responsable départemental Reconquête des Côtes d’Armor
  • Véronique Tilly, enseignante
  • Jean-Louis Trainar, économiste, formateur et consultant
  • Guillaume de Thieulloy, directeur du Salon Beige
  • Richard Trinquier, médecin anesthésiste, ancien maire de Wissous (Essonne)
  • Christian Vanneste, député honoraire, président de la Droite Libre et de Démocratie Directe en France
  • Vincent Vauclin, président du Mouvement National-Démocrate
  • Eric Viaud, maire de Bussière (Vienne), président des Maires pour le Bien Commun
  • Maurice Vidal, professeur de philosophie, auteur de « La colère d’un Français »
  • Maryvonne Villard, actrice du secteur associatif-environnement
  • Thomas Whyte, fondateur du Rucher Patriote, site d’annonces et d’échanges entre patriotes

Synthèse nationale apporte bien sûr son soutien à cet appel. Pour le signer, cliquez ici

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Thomas Joly, président du Parti de la France, interviendra dimanche 16 octobre lors du Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge de Synthèse nationale

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En savoir plus cliquez ici

Prenez votre billet cliquez là

RAPPEL : DIMANCHE 16 OCTOBRE, TOUS AU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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Plus d'informations cliquez ici

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10:24 Publié dans 14 - Les 14e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roland Hélie invité jeudi soir au Forum du PdF

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Dans le Forum du PdF du jeudi 29 septembre, Alexandre Hinger reçoit Roland Hélie (Directeur de Synthèse nationale) et Ludovic Lefebvre (Délégué du Parti de la France pour Paris). L'émission sera consacrée au wokisme et à l'actualité politique. C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram cliquez ici

00:03 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Acheter ce numéro 62 cliquez ici

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mercredi, 28 septembre 2022

Callac : Bernard Germain en direct sur Radio Courtoisie à 19 h 30

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Notre ami Bernard Germain, qui, avec d’autres, anime le combat de Callac contre le projet Horizon et le Grand Remplacement dans nos campagnes, interviendra ce mercredi 28 septembre à 19 h 30 sur Radio Courtoisie, invité par Nicolas Stoquer, dans le Libre journal de la Résistance française.

Le titre de l’émission, entre 18 H 00 et 21 H 00,  a pour thème : L’oligarchie mondialiste, une démocratie sans peuple.

• Première partie: 18 H 00 / 19 H 30 : Nouvelle d’Ukraine, avec Jacques Baud auteur d’Opération Z aux Ed Max Milo, et Dimitri de Kochko.

• Deuxième partie: 19 H 30 / 21 H 00 : De Callac à St Michel, le combat contre le déracinement en France aujourd’hui, avec Bernard Germain et Eric Mauvoisin.

Pour écouter l’émission : cliquez ici

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Les livres de Bernard Germain cliquez là

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mardi, 27 septembre 2022

THIERRY BOUCLIER INTERVIENDRA LE DIMANCHE 18 OCTOBRE LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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LISEZ LE DERNIER ROMAN DE

THIERRY BOUCLIER CLIQUEZ ICI

Riposte laïque publie un nouveau livre : SORTIR DE L’EUROPE question de vie ou de mort

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Note de l'éditeur cliquez ici

SORTIR DE L’EUROPE question de vie ou de mort « ll ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens ››.

Cette déclaration de Jean-Claude Juncker, ancien Président de la Commission européenne, sonne comme un avertissement, car elle est malheureusement juridiquement exacte.

Pendant 40 ans, la construction européenne s’est déroulée sans nous ; depuis la ratification du traité de Maastricht, elle se fait malgré nous.

L’euro ne constitue absolument pas une sécurité pour la France et les Français, au contraire. L’Allemagne vampirise l’Europe. La guerre menée contre la Russie, sous l’égide de l’0tan, va d’abord frapper les peuples européens, et accélérer l’inévitable krach financier.

Les instances européennes mettent délibérément nos vies en danger. La monnaie numérique que l’Union européenne rêve de mettre en place dissimule une ultime spoliation des citoyens. Après le passe sanitaire, ils rêvent de mettre en place le passe climatique, pour aller vers un contrôle social à la Chinoise dela population.

Si nous ne prenons pas collectivement conscience de l’état critique de la situation, en sortant de l’Union européenne et de l’euro, nous allons entériner la disparition d’un pays vieux de 1500 ans.

ll est encore possible d”éviter cette catastrophe, mais le temps nous est compté. Question de vie ou de mort.

PRIX 14,00€ 1 exemplaire, 25,00€ deux exemplaires, 30,00€ trois exemplaires .

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Philippe Murer - Le suicide européen par le délire idéologique

"Nous sommes en guerre" ! Comme contre le covid, Emmanuel Macron nous refait le coup... Les sanctions contre la Russie, prises sans le consentement du Parlement, devaient mettre Moscou à genou mais par une sorte de justice immanente, elles reviennent comme un boomerang à la figure des Européens et l'économie russe croule sous le cash. En conséquence, le chef de l'État a exhorté les Français à être au rendez-vous de la sobriété, pour éviter les coupures d'électricité cet hiver, et de la solidarité européenne, car la France s'apprête à livrer du gaz... à "nos amis allemands". Malgré tout, les fermetures de nos centrales annoncées par le chef de l'État en 2018 sont toujours à l'ordre du jour et Ursula von der Leyen l'a annoncé : "les sanctions contre la Russie vont continuer et il ne faut pas chercher l’apaisement". Face au délire idéologique de nos maîtres, l'économiste Philippe Murer se montre quelque peu pessimiste pour les Français tant à court qu'à moyen terme : il redoute la pire récession depuis 1945... 

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Le mouvement WOKE s'attaque aux archétypes

Le mouvement WOKE lance une offensive sans précédent sur la psychologie des enfants.

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La victoire des droites en Italie quesionne les droites françaises

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La victoire de Giorgina Meloni en Italie ne manque pas de faire couler beaucoup d’encre. Avec la victoire des nationalistes en Suède et le clan des « populistes » - Pologne et Hongrie – une opposition à Bruxelles se dessine, non dans la forme mais dans le fond. Les peuples européens sont excédés par le pouvoir sans contrôle de la Commission qui n’a aucune légitimité démocratique, puisque ses membres ne sont pas élus. Mais ce n’est pas le seul et unique sujet. On ne peut s’empêcher de comparer la situation italienne avec la France. En Italie, Giorgina Meloni a réussi à faire l’union des droites. La question est donc de savoir si, en France, une telle union est possible dans un pays qui se droite de plus en plus ? Alexandre Devecchio, du Figaro, tente de répondre à cette épineuse question.

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Source, Le Figaro, 27/9/2022

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Un entretien avec Bernard Germain sur la méthanisation publié dans Rivarol

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Entretien publié dans le n°3532 de Rivarol (cliquez ici)

La crise du « gaz russe » est un rappel de l’importance de l’indépendance énergétique pour une nation. La situation implique aussi d’ouvrir un débat sur l’utilité réelle des « énergies vertes » pour assurer notre approvisionnement stratégique. Bernard Germain revient pour nous sur ce sujet qu’il connaît bien.

Rivarol : Vous vous attaquez dans vos livres à l’escroquerie des énergies vertes. De quand date l’apparition de ce terme et pourquoi est-il devenu si important dans la propagande étatique ?

Bernard Germain : Le terme « énergies vertes » est un synonyme d’« énergies renouvelables ». Ces termes sont apparus au début des années 2000 et proviennent d’un double phénomène :

- l’apparition de la théorie du réchauffement climatique en 1990, devenue « dé- règlement climatique » car cette théorie du réchauffement a quelques difficultés à s’imposer scientifiquement. En effet, le GIEC (qui dépend de l’ONU) a été pris la main dans le sac, à plusieurs reprises, à tordre la réalité afin de confirmer ses affirmations loin d’être évidentes et surtout non confirmées scientifiquement. Le CO2 a toutefois été décrété responsable de tous nos malheurs climatiques et le « bilan carbone » est devenu le nouveau credo des « progressistes » et gouvernements.

- suite à l’arrivée au pouvoir en Allemagne en 1998 d’une coalition sociaux-démocrates et Verts, l’abandon du nucléaire a été décidé. Le processus d’arrêt du nucléaire doit se terminer en Allemagne fin 2022. En remplacement du nucléaire, l’Allemagne a décidé de recourir massivement aux énergies renouvelables. Ce pays est donc couvert d’éoliennes, de panneaux solaires et de méthanisations. L’Europe étant largement dominée par ce pays, ses théories ont été aisément adoptées et se diffusent largement au sein des pays membres, notamment en France.

On peut donc affirmer sans risque de se tromper que c’est par pure idéologie que la propagande étatique fait la promotion de ces énergies renouvelables. C’est d’autant plus vrai que la France avait un parc nucléaire que le monde entier nous enviait, qui nous assurait une électricité à très bas coût, le nucléaire étant par ailleurs l’énergie la plus décarbonée. Il n’y avait donc aucune raison de l’abandonner. C’est pour un minable accord électoral avec les Verts en 2012, que Hollande a accordé aux Verts l’arrêt de Fessenheim et a emmené la France sur la voie du désengagement nucléaire. La fermeture a été réalisée par Macron et bien sûr la promotion du « renouvelable » n’a fait que croître en parallèle. Afin de « compenser » la baisse de la part du nucléaire dont l’objectif affiché est de la ramener à 50 %.

Rien ne justifie cette politique mortifère, impulsée par l’Europe – Allemagne en tête –, devant laquelle se couchent nos gouvernants, accompagnée de pauvres combines politiques dans notre pays. Défendre les intérêts de la France n’est pas leur préoccupation, vendus qu’ils sont aux théories « européistes ». Même si cela doit se faire au détriment des intérêts de notre pays.

Les parcs d’éoliennes ont été une première étape dans le domaine des énergies vertes. Après 10 ans d’exploitation, quel bilan en faire ?

Si l’on est simplement honnête intellectuellement on ne peut que reconnaître que le bilan est catastrophique.

Pour une raison toute simple : le vent est une énergie intermittente. Les éoliennes ne produisent de l’électricité que 25 % du temps. Mais comme il est impossible de stocker l’électricité, il faut être capable d’ajuster la production au fur et à mesure des besoins. Ce qui implique obligatoirement d’avoir recours à d’autres sources d’énergie, lorsqu’il n’y a pas de vent. Ces autres sources, ce sont des centrales à gaz ou à charbon. Beaucoup plus polluantes que le nucléaire.

Avec le nucléaire, la production de 1 MGW d’électricité génère 3 grammes de CO2. Avec la centrale à charbon de Saint-Avold (67) qui est en phase de réouverture, cela produira, par MGW, 850 grammes de CO2. Au nom de la lutte contre le réchauffement climatique et pour faire baisser la part du nucléaire, on réactive des centrales qui sont infiniment plus polluantes. L’Allemagne vient ainsi de décider de fermer ses 3 derniers réacteurs nucléaires et de rouvrir dans le même temps 27 centrales à charbon. La seule centrale de Jänschwalde produira 25 millions de tonnes de CO2 par an. Et comme il y en a 27, on peut estimer que cela générera autour de 650 millions de tonnes de CO2 par an. Un délire complet !

Rappelons que la France produit moins de 1 % du CO2 mondial. En revanche, la Chine et les États-Unis produisent près de 50 % du CO2 mondial. C’est là que se trouve le problème. Pas dans notre pays.

Pourtant de grotesques polémiques ont lieu, par exemple, sur les jets privés. Le sort de la planète serait en jeu. Galtier, l’entraîneur du PSG, y a répondu, avec ironie et justesse, en indiquant que le PSG travaillait à faire ses prochains déplacements en « char à voile ». En retour, il s’est pris la rafale et s’est vite couché devant les bien-pensants, retirant sa blague. Pourtant il avait raison. TF1 info a publié le chiffre du CO2 produit par la totalité du transport aérien en France pour l’année 2018 (donc y compris les jets privés) : 22 millions de tonnes de CO2.

Un déplacement en avion du PSG et c’est l’émeute. Mais 650 millions de tonnes de CO2 en un an pour les centrales à charbon allemandes, là c’est un lourd silence des bien-pensants. Deux poids et deux mesures ! Et une intoxication idéologique de masse au nom du « bien ».

La France n’a aucunement besoin de mener cette politique d’énergies renouvelables qui, de plus, aggrave largement ce qui est prétendument combattu, à savoir la production de CO2. Ce qu’il faut, c’est entretenir et étendre notre parc nucléaire et arrêter complètement la filière des énergies renouvelables qui est un gouffre financier pour des résultats ridicules.

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De Stockholm à Rome

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Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez ici

En moins de 15 jours, au nord comme au sud du Vieux Continent, deux peuples européens ont marqué, de la même manière, leur rupture avec l'idéologie dominante. Les Suédois le 11 septembre, suivis des Italiens le 25, ont donc mal voté, en faveur des alliances formées entre les partis nationaux, conservateurs et libéraux.

Personne ne saurait remettre en cause, dans les deux cas, la régularité du choix opéré par le suffrage universel;

Aucun des partis vainqueurs, ni les "Démocrates de Suède", ni bien entendu les conservateurs, les chrétiens-démocrates et les libéraux scandinaves, pas plus que Fratelli d'Italia, la Lega ou Forza Italia ne remettent en cause les institutions des deux pays, ni même ne prétendent déchirer les traités européens, comme le promettaient déjà en 1957 les gaullistes... qui s'empressèrent  de les ratifier, après le retour au pouvoir du général De Gaulle en 1958...

On a d'ailleurs sur-interprété les propos maladroits de la présidente de la Commission rappelant que si une voie "difficile" apparaissait il existait des moyens de pression. La victoire d'une majorité solide en Italie, pays actuellement surendettée, à concurrence de 150 % ne s'apprête pas à déstabiliser la zone euro, mais au contraire à mettre de l'ordre dans les finances publiques : de ce point de vue, le budget que Mme Borne, et MM. Macron et Le Maire se proposent de faire voter créera une situation beaucoup plus "difficile". Comportant 5 % de déficit public, portant la dette française à plus de 3 000 milliards, supportant 51 milliards de charge d'emprunt, il devra être négocié devant une Assemblée nationale où n'existe pas de majorité...

Ce 26 septembre dès le matin, on apprenait la déroute, sans précédent depuis 1946, des partis traditionnels italiens de la gauche, de l'extrême gauche et du centre-gauche. Recul également du conglomérat "dégagiste" Cinq étoiles. Comme prévu les sirènes antifascistes rouillées ont immédiatement répété à l'identique leurs vieilles antiennes, inventées en 1935 par le VIIe congrès du Komintern, jamais renouvelées, semble-t-il, depuis la mort de Dimitrov et de son maître Joseph Staline.

Rien ne ressemble moins, pourtant, à la marche sur Rome de 1922, 100 ans plus tard, que ces élections de 2022, assurément démocratiques. Elles ont été marquées seulement par un taux d'abstention considéré comme préoccupant à hauteur de 36 %, – alors que les élections législatives françaises du 19 juin ont enregistré 52,5 % au premier tour et 53,8 % au second... Où donc se situe la crise de la démocratie ?

Rien n'est plus éloigné, non plus, de la Doctrine du fascisme publiée par Mussolini, de son socialisme autoritaire, des affiches de la guerre d'Ethiopie le portraiturant en cavalier de l'islam et de sa préoccupation de l'émigration de sa "nation prolétaire" en quête d'empire  – que la résistance identitaire inverse, opposée à l'immigration incontrôlée et à l'islamisation de l'Europe, de moins en moins rampante, de plus en plus conquérante.

Le monde a totalement changé : la seule chose qui ne changera jamais c'est la bêtise humaine à laquelle une certaine gauche sacrifie.

Soulignons que la victoire de Giorgia Meloni est d'abord celle d'une coalition des droites, rejetant les excès de la gauche, et notamment la faiblesse face à l'insécurité. Idem en Suède, pays autrefois présenté comme la vitrine de la sociale démocratie.

Fratelli d’Italia obtient un pourcentage record de 26 % des voix. L'ensemble recueille en tout 44 %. Ses principaux alliés la Ligue de Matteo Salvini, et Forza Italia de Silvio Berlusconi obtiennent respectivement 9 % et 8 %, le reste, soit environ 3 %, se reporte sur des petites formations de centre droit. On ne connaît pas encore la répartition exacte des députés et sénateurs élus au scrutin uninominal qui composeront 37 % des assemblées. La complexité de cette loi électorale hybride, voulu par les majorités sortantes, n'ont pas permis que l'on nous dise dès maintenant son résultat global. Mais l'on sait déjà que les droites se présentaient unies dans chacune des circonscriptions, alors que leurs adversaires demeuraient divisés, ce qui conduira sans doute à une majorité encore plus forte.

L'Italie, pays où la dénatalité atteint des records, a besoin d'un gouvernement réhabilitant la famille, que cela plaise ou non à Mme Borne. L'Europe de demain aura besoin d'une Italie forte, bienvenue par conséquent au nouveau gouvernement de Rome.

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Thaïs d'Escufon analyse les élections italiennes

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lundi, 26 septembre 2022

DIMANCHE 16 OCTOBRE, GABRIELE ADINOLFI INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS (94)

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RÉACTIONS EN FRANCE SUITE AUX ÉLECTIONS ITALIENNES :

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Eric Zemmour, président de Reconquête !

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Pierre Vial, président de Terre & peuple

Un grand bravo à nos camarades italiens qui ont su faire face victorieusement aux oukases des européistes bruxellois. Après la victoire des patriotes suédois c’est le signe que l’Europe des patries et des peuples est enfin de retour et brise le carcan que veulent imposer les yankees et leurs larbins de Berlin, de Paris et d’ailleurs.

Il faut particulièrement saluer la belle réussite de Giorgia Meloni, qui a su faire de ses Fratelli une force dynamique, conquérante. Bien entendu, en France, il y a les éternels donneurs de conseils et de leçons, qui trouvent que Giogia est trop ceci ou pas assez cela… eux qui ne bougent leurs fesses de devant leur ordinateur et ne savent pas ce que c’est que coller une affiche ou distribuer un tract, tâches indignes de ces intellectuels qui méprisent ceux qu’ils appellent avec dédain « les militants ».

Laissons ces gens à leur médiocrité. Quant aux harpies féministes elles écument de voir une femme prendre la tête de ce beau pays qu’est l’Italie, auquel nous adressons notre salut. Romain, comme il se doit.

Thomas Joly, président du Parti de la France
 
L’Italie a franchi dimanche un cap décisif. Pour la première fois, une femme pourrait accéder au pouvoir exécutif. Elle montrerait aux Italiens et à l’Europe entière que le centrisme mondialiste et européen peut être battu.
 
Contrairement aux éternels aigris du camp national qui voient des « oppositions contrôlées » partout, saluons cette victoire historique et jugeons le nouveau gouvernement italien sur ses actes !

16:37 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Stagflation en 2023, fin de l’euro en 2024, hyperinflation en 2025 !

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Marc Rousset

La Bourse de Paris, suite aux risques de récession en zone euro et à l’augmentation des taux d’intérêt par les banques centrales, a cédé 2,28 % ce vendredi, reculant à son plus bas niveau depuis un an et demi, tandis que Milan, Francfort et le Dow Jones à Wall Street perdaient respectivement 3,36 %, 1,97 % et 1,62 %. Toutes les banques centrales dans le monde, à l’exception du Japon, face à l’inflation qui est de 9,1 % en zone euro et de 8,3 % aux États-Unis, relèvent leurs taux d’intérêt malgré la récession, ce qui pourrait conduire à des tempêtes d’automne. Les taux d’intérêt à 10 ans sur les marchés obligataires ont eux aussi très rapidement augmenté à 4,72 % en Grèce, 4,6 % en Italie, 2,54 % en France (son plus haut niveau depuis 9 ans), 1,96 % en Allemagne, et 3,5 % aux États-Unis (son plus haut niveau depuis 2011).

On assiste aussi aux États-Unis à l‘inversion de la courbe des taux, annonciatrice des récessions, car le rendement des bons du Trésor à dix ans (3,5 %) est inférieur au taux de rendement des bons à 2 ans (3,88 %). Selon Scott Minerd du fonds d’investissement Guggenheim, le programme anti-inflation de la Fed est trop agressif et « tout cela se terminera en larmes » pour certains investisseurs ainsi que pour plusieurs pays émergents.

Quant à l’économiste Nouriel Roubini qui a prédit la crise financière de 2008, il prévoit une récession « longue et horrible » aux États-Unis et dans le monde à la fin de 2022 et potentiellement tout au long de l’année 2023. Les actions US, si l’on se réfère à l’indice boursier SP&500, pourraient s’écrouler de 40 %, le minimum pour une petite récession ordinaire étant de 30 %. Ramener l’inflation à 2 % est une mission impossible pour la Fed car les ratios d’endettement des entreprises et des gouvernements sont trop élevés. Roubini a déclaré que « de nombreuses institutions zombies, ménages zombies, entreprises zombies, banques fantômes et pays zombies vont mourir. (…) Nous verrons qui se baigne tout nu ».
Une fois que le monde sera en récession, Roubini prévoit que l’endettement des gouvernements les empêchera de prendre des mesures de relance budgétaire, d’autant plus qu’il y aurait le risque de relancer l’inflation. Roubini prévoit donc une stagflation semblable à celle des années 1970 : « Ce ne sera pas une récession courte et superficielle ; elle sera sévère, longue et horrible ».

Jeremy Grantham, célèbre investisseur britannique, est lui aussi très pessimiste quant aux marchés boursiers ; il prédit l’explosion à venir d’une « super-bulle ». Après les trois « super-bulles » financières qui ont suivi les krachs boursiers de 1929, 1973 et 2000, bientôt celle de 2022 ou 2023 ? Selon Jeremy Grantham « la super-bulle actuelle présente un mélange, sans précédent, très dangereux d’actifs surévalués » ; les actions, obligations et logements sont tous « surévalués » et « perdent rapidement leur élan ». Selon le célèbre investisseur « chaque cycle est différent et unique », mais chaque parallèle historique suggère que le pire est encore à venir ».

Toujours selon Grantham, les trois précédentes « superbulles » ont toutes été caractérisées par un sentiment de panique sur les faibles valeurs des actions, puis d’une vague de « comportements fous des investisseurs. Or, un tel schéma est visible après la récession de cet été. L’indicateur le plus significatif est « l’explosion de confiance, de spéculation et de vœux pieux fous » chez les investisseurs, malgré l’inflation croissante et la récession. Et d’ajouter :    « Ce qui va suivre ne va pas être joli. Il y a maintenant une probabilité élevée d’autres accidents financiers et économiques inattendus : augmentation de l’insécurité financière et alimentaire, luttes pour les ressources et poursuite de l’inflation ».

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15:52 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ROLAND HÉLIE INVITÉ À L'ÉMISSION QUESTIONS RÉPONSES D'ÉPONNA

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14:48 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 25 septembre 2022

C’est la faute à Poutine

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« La diabolisation de Poutine n’est pas une politique, c’est l’alibi pour ne pas en avoir une », a dit Henry Kissinger. Gérard Conio, professeur émérite de l’Université Nancy-2, qui a dirigé la fabuleuse collection « Classiques slaves » à l’Âge d’Homme, nous explique les conséquences en cascade de cette attitude. Jusqu’à l’escalade 

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Source : site de la revue d'Eléments

11:13 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 24 septembre 2022

Journal du chaos

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vendredi, 23 septembre 2022

Virginie Joron pourrait attaquer pénalement Ursula von der Leyen

Interview de Virginie Joron à propos du rapport de la Cour des Comptes européenne sur les achats de vaccins par la Commission Européenne.

La Cour des Comptes européenne a publié un rapport d’audit sur l’achat de vaccins par la Commission présidée par Ursula von der Leyen. La députée Virginie Joron, qui avait initialement demandé cet audit, en pointe les conclusions les plus cruelles pour Ursula von der Leyen. En particulier, on notera que pour ce marché public le plus important passé par la Commission depuis sa création, les procédures habituelles d’achat n’ont pas été respectées. Et la présidente refuse toujours de communiquer ses messages privés avec le patron de Pfizer, qu’elle est soupçonnée d’avoir favorisé au détriment du droit de l’Union, et plus encore au détriment du citoyen européen. 

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Source : Le Courrier des Stratèges

15:02 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JEAN-GILLES MALLIARAKIS, ÉDITEUR ET DIRECTEUR DU SITE "L'INSOLENT", INTERVIENDRA LE DIMANCHE 16 OCTOBRE LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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