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mercredi, 22 février 2023

Jean-Marc Jancovici démonte les arguments anti-nucléaires un par un

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Iran : Le Régime islamiste peut-il tomber ?

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Michel Festivi 

Depuis la mort tragique de Mahsa Amini, en septembre dernier à Téhéran, jeune Kurde iranienne de 22 ans, brutalisée dans un commissariat, par la police des mœurs pour « ne pas avoir respecté le code vestimentaire imposé aux femmes », et l’ensemble des manifestations qui s’en sont suivies, beaucoup d’analystes posent la question de savoir si l’Iran serait susceptible d’en finir avec la république islamique des mollahs, ce qui aurait des conséquences géopolitiques considérables.

Si les grandes manifestations se raréfient, et on peut le comprendre, compte tenu de la répression massive qu’elles entrainent, beaucoup de femmes néanmoins accompagnées d’hommes, et avec un courage remarquable, compte tenu des risques qu’elles (qu’ils) encourent, continuent de défier le pouvoir autocrate religieux et beaucoup d’iraniennes osent sortir sans le voile règlementaire. Cf l’entretien de Mahnaz Shirali le 16 février 2023 au Figaro.

C’est ainsi par exemple, que tout dernièrement, une iranienne, qui avait vu sa candidature au conseil d’administration des ingénieurs de construction de Téhéran rejetée, a quitté la salle en jetant à terre de colère son voile, sous les applaudissements de l’assemblée, car elle soutenait ne pas être pour le port du voile obligatoire. Les autorités ont annoncé qu’elle sera poursuivie « et qu’une action en justice a été déposée pour insulte au hijab » la courte vidéo sur YouTube faisant des millions de vues.

Car la loi iranienne islamique impose que les femmes âgées de plus de 9 ans, recouvrent leur tête et leur cou d’un voile cachant les cheveux. Et les sanctions sont extrêmement sévères. Cette loi et la police des mœurs ont été créés dès mars 1979, dès l’installation de la république islamique.

Autre exemple, Sara Khadem, joueuse d’échecs iranienne qui avait comparu tête nue au Championnat du monde d’échecs de parties rapides au Kazakhstan en fin d’année dernière, s’est exilée en Espagne pour échapper aux foudres des ayatollahs, avec son mari et son jeune fils. Pourtant elle avait une vie aisée, et de par ses activités, elle pouvait voyager dans le monde entier.

Même la fille d’un ancien président du pays, Faezeh Rafsanjani accusée « de propagande contre la république islamique », pour avoir soutenu les manifestations des femmes a été écrouée, alors qu’elle pensait que peut-être, compte tenu de sa filiation, elle aurait pu être épargnée.

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Discours annuel de VLADIMIR POUTINE devant l'Assemblée fédérale

Discours annuel devant l'Assemblée fédérale ce 21 février 2023 du président russe Vladimir Poutine. 
Sur l'Occident :
Ils détruisent l'institution de la famille, leur identité culturelle historique, et diverses perversions, à l'égard des enfants, jusqu'à la pédophilie, sont acceptées comme la nouvelle norme, et les prêtres sont forcés de reconnaître et d'officier les mariages entre personnes du même sexe.
Analyse de l’occident relativement juste.
Salutations au peuple russe.

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Caroline Galacteros - "L'Europe doit accepter le monde multipolaire sinon elle va mourir"

Caroline Galacteros, géopolitologue, docteur en sciences politiques, ancienne directrice de séminaire à l’École de guerre (Paris), elle dirige le think tank GEOPRAGMA - Pôle français de géopolitique réaliste (Paris). Elle est également l’auteur du blog Bouger les lignes.

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Révélations par Trump sur l'Ukraine

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Le Parti de la France soutient le combat des habitants de Saint-Brévin-les-Pins

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Un communiqué du Parti de la France :

Après Callac (22), c'est à Saint-Brévin (44) que le maire Yannick Morez et l'association immigrationniste Aurore veulent imposer aux habitants pas moins de 120 clandestins qui seront logés juste à côté de l'école maternelle !

Le Parti de la France appelle ses militants, adhérents et sympathisants à se joindre à cette manifestation unitaire contre l'invasion migratoire de nos campagnes qui se déroulera samedi 25 février, de 14h à 17h, devant la mairie de Saint-Brévin.

11:13 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SAINT-BRÉVIN-LES-PINS, SAMEDI 25 FÉVRIER : FRANÇOIS BILLOT DE LOCHNER, PRÉSIDENT DE LIBERTÉS POLITIQUE, PRENDRA LA PAROLE

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10:53 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Poher : alerte à la bombe, menaces de mort, à qui profite le crime ?

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Bernard Germain

Voyez-vous, la France serait au bord du fascisme. Sandrine Rousseau ne cesse de le répéter, tout comme la France Insoumise, ainsi que la presse dans son immense majorité et tous les bien-pensants.

Diable, on tremble. Brrrr…

Et chaque événement est utilisé pour essayer d’accréditer cette thèse totalement délirante.

On en a vu un nouvel exemple avec le feuilleton du journal « Le Poher », petit journal gauchiste (6 000 ex) dont le siège se trouve proche de Callac.

Tout a commencé le 5 novembre 2022. Ce jour-là, le rédacteur en chef était, paraît-il, sur place pour couvrir la manifestation que nous organisions devant la mairie contre le projet « Horizon » qui entendait faire venir plus de 500 migrants dans ce village de 2 200 habitants.

Ce Monsieur prétend avoir été « pris à partie » par des manifestants. Vraiment ? A-t-il été blessé ? A-t-il eu des jours d’ITT ? A-t-il porté plainte ? Nullement.

Pourtant la presse bien-pensante va se faire l’écho de ses affirmations, auxquelles il ne peut pourtant apporter aucune preuve. Et bien sûr, les coupables sont « l’extrême droite » et la « fachosphère ».

Que ce soit vrai ou pas importe peu à ces « journalistes ». Ce qui compte c’est de pouvoir remettre une pièce et faire rejouer le refrain qui prouverait qu’on est en route pour le fascisme. De Libération, Le Monde, Ouest-France, le Télégramme de Brest au journal Le Poher, ils sont tous comme cela.

On me permettra à cette occasion de souligner que la profession de journaliste a bien changé. Il fut un temps – révolu – où l’on apprenait dans les écoles de journalisme qu’une des premières choses à faire avant de publier un article était de vérifier les faits, de les recouper avec d’autres informations, afin de s’assurer de leur véracité. En ce temps-là aussi, on apprenait aux journalistes que leur rôle était d’informer le lecteur aussi objectivement que possible et que c’était à ce dernier de se faire une opinion sur la base des faits rapportés par les journalistes.

Mais cette période est finie depuis longtemps.

Aujourd’hui, un journaliste  – du moins leur quasi-totalité – se contente de rapporter des faits, sans rien vérifier et surtout en bâtissant un article dans lequel on voit très clairement ses opinions.

Ce faisant, il n’informe plus le lecteur. Il l’embrigade et l’intoxique comme un propagandiste. À croire que le journalisme que pratiquait La Pravda est devenu le modèle à suivre. C’est totalement consternant, mais c’est la triste réalité.

Il y a quelques jours, le Journal Le Poher – du moins son rédacteur en chef – s’est plaint de recevoir des menaces de mort.

Immédiatement, en voiture Simone, c’est reparti pour un tour.

Et toute la presse bien-pensante de se faire l’écho de ces « menaces » et de hurler son soutien à ce journal ainsi qu’à la liberté de la presse. Sans oublier les partis de gauche, associations et syndicats.

Mais personne ne s’est interrogé sur la réalité des faits.

Peut-être qu’un taré se livre à ces menaces contre le rédacteur en chef et ses collaborateurs. Mais peut-être aussi que ces menaces n’existent pas. Ce ne serait pas la première fois qu’on découvrirait que quelqu’un essaye de se faire passer pour une personne menacée, alors que ce n’est pas la réalité. En tout cas, ce qui est étonnant, c’est que les mails et coups de téléphone menaçants, à ce jour, n’ont toujours pas été identifiés.

Pourtant, que je sache, si la DGSI ou la gendarmerie veulent savoir si ces messages sont réels ou pas, ils ont des outils très puissants qui devraient leur permettre d’identifier les auteurs.

Or, rien n’avance sur ce plan. Étonnant, non ?

Cela n’empêche pas la presse bien-pensante d’inonder lelecteurs d’articles dans lesquels on accuse ouvertement ou on insinue perfidement que « l’extrême droite » et la « fachosphère » sont derrière tout cela.

Et puis hier, lundi, rebelote.

Cette fois, Le Poher se dit victime d’une alerte à la bombe. Franchement, cela commence à faire beaucoup pour un petit journal comme Le Poher, qui visiblement serait une « cible » majeure. Majeure pour qui ? Majeure pour quoi ? Toujours est-il que le journal aurait reçu un coup de téléphone annonçant « Vous allez crever, une bombe a été placée dans les bureaux de la rédaction. Vous allez sauter ». Les gendarmes alertés arrivent ainsi que les services de déminage. Rien. Nada.

Par contre la presse nationale et régionale se fait largement l’écho de cette info qui est peut-être bidon.

Cela a au moins l’avantage de confirmer qu’on vit une époque terrible et que la France est vraiment « au seuil du fascisme ». Et puis ça permet d’en remettre une couche contre « l’extrême droite » et la « fachosphère ».

Donc ils peuvent joindre l’utile à l’agréable. Quel bonheur !

Au final, on assisterait donc à une montée en puissance des périls qui guettent ce petit journal. D’abord, une prétendue menace contre le rédacteur en chef. Puis des menaces de mort, par mail et coups de téléphone, sans que la police ne trouve l’auteur. Maintenant une alerte à la bombe.

C’est quoi la prochaine étape ? Parce qu’après les bombes, on a du mal à voir une menace supérieure.

Au passage on rappellera ce qu’un policier avait dit en 1983 à Roland Hélie (directeur de Synthèse nationale) qui venait de subir un attentat à la bombe ayant ravagé trois étages du bâtiment (heureusement il n’y était pas) dans lequel il travaillait : « Les attentats sont rarement précédés de menaces et les menaces sont rarement suivies d’attentats »

Par contre ce qui est prouvé et indéniable, c’est qu’à chaque fois que Le Poher relate des menaces et agressions – réelles ou pas – il y a un acharnement de la presse bien-pensante contre les patriotes qui défendent leurs pays. C’est un élément majeur du dossier.

Beaumarchais disait : « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ».

Indiscutablement moult journalistes ont fait de cette maxime leur credo professionnel.

Reste une question : au final, à qui profite le crime ?

On pourrait poser la question autrement : le journal Le Poher a-t-il quelque chose à gagner à se victimiser de la sorte ?

Voyez-vous, je pense que oui.

En effet, le 3 mars prochain aura lieu à Lorient au tribunal judiciaire l’ouverture du procès que m’intente le journal Le Poher, pour « injures publiques » et « diffamation ».

Mon assignation devant ce tribunal résulte d’un article que j’ai écrit en réponse à celui de Le Poher paru durant la bataille de Callac. L’article du Poher était particulièrement ignoble puisqu’il nous accusait quasiment ouvertement d’être des nazis.

Quant au mien, il était resté tout à fait dans le cadre de ce que l’on appelle une polémique politique classique, sans insulte ni noms d’oiseaux.

Pour preuve de la mauvaise foi et de l’exagération du journal Le Poher, je ne citerai qu’un exemple.

J’ai écrit dans l’article qui me vaut d’être traduit en justice : « Toute personne normalement constituée et qui n’a pas une cervelle de poisson rouge comprend que ça va poser de sérieux problèmes, vu les différences de culture et de conception de la vie en société, d’implanter plus de 500 personnes (25 % de le population) dans cette bourgade. »

Le paragraphe d’après j’écrivais : « Mais pas ce journaliste. Lui n’y voit que du bien et soutient totalement le projet du maire ».

Et le journal Le Poher de déclarer que c’est de la diffamation et une injure publique d’écrire cela. Puisque cela tendrait à affirmer que ce journaliste a « une cervelle de poisson rouge ».

Vous venez peut-être de l’apprendre, mais avoir « une cervelle de poisson rouge » est une injure inacceptable qui peut, comme on le voit, vous amener devant un tribunal. En tout cas pour Le Poher.

Par contre, écrire que nous sommes quasiment des nazis, c’est tout à fait correct et ce n’est ni de la diffamation, ni une injure publique.

Je laisse chaque lecteur apprécier.

Pour reprendre ce que je disais, je pense que le journal Le Poher a tout intérêt, en ce moment, à se victimiser et à laisser croire qu’il est la cible de l’extrême droite. Et ce, à de multiples occasions. Par écrit et par des menaces physiques d’autre part. Sans aucune preuve de ses accusations. Mais l’important c’est de l’affirmer. Il se trouvera bien quelques faibles d’esprit ou des complices pour propager la chose, ou y croire.

Ce journal pense sans doute que cela pourra lui donner un petit coup de pouce devant la cour de se présenter devant les juges avec cette réputation de pauvre « victime » et nous avec celle d’horribles fachos, dangereux par ailleurs, et prêts à utiliser les pires violences pour arriver à nos fins.

Ce sera en tout cas l’occasion pour la presse bien-pensante de remettre une pièce pour nous rejouer l’air bien connu de la France « au seuil du fascisme » et m’accabler, moi l’horrible facho qui menace le pays et les pauvres victimes du journal Le Poher qui résistent comme elles peuvent.

En réalité, et ils le savent tous, nous condamnons totalement les menaces, intimidations et actions violentes.

Nous combattons à visage découvert et « à la loyale ».

Mais surtout, ce que tous ne supportent pas, c’est d’avoir perdu à Callac !

Quant à nous, nous avons gagné parce que la population était largement avec nous et contre le projet Horizon.

Avoir été compris et soutenus par les habitants. C’est cela qu’ils ne nous pardonneront jamais.

NDLR SN : pour aider notre ami Bernard Germain à  faire face à la Justice : cliquez ici

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