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lundi, 15 septembre 2025

L’AFD continue sa route à la conquête de l’Allemagne et du peuple allemand

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Míchel Festivi

Depuis sa création quasiment ex-nihilo en 2013, par des anciens de la CDU qui, a juste titre, estimaient que ce parti de centre-droit ne luttait pas contre l’immigration invasive et la déferlante islamique, L’AfD a subi les pires avanies, les attaques les plus scélérates de tout l’appareil d’État, des services secrets aux ordres du pouvoir,  pour tenter de la faire interdire. 
 
Ces opérations sont d’ailleurs toujours en cours, et des manifestations monstres ont été organisées par les gauches allemandes et bien au delà, pour tenter d’en finir avec un parti qualifié par toute l’intelligentsia de « nazi », de « fasciste », selon les vulgates habituelles mille fois ressassées. 
 
Et bien malgré toutes ces entraves, dont les dernières furent la mort plus que mystérieuse de six candidats de l’AfD, et les polémiques qui s’en suivirent, hier, le dimanche 14 septembre, lors des élections locales dans l’Ouest de l’Allemagne, dans la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, le mouvement anti immigration, a connu un nouveau succès considérable, dans les plus des 400 villes de ce territoire, lors d’élections municipales. 
 
En effet, dans cette terre de mission pour l’AfD, qui n’avait obtenu que 5% des voix aux elections locales précédentes, elle a désormais atteint plus que 15% des suffrages devant les Verts qui ont reculé de plus de 6 points. Si la CDU reste en tête, elle stagne et même régresse un peu. Quant à la gauche allemande, le SPD, il obtient son plus mauvais score depuis 1946, dans ce fief traditionnel pour lui. C’est d’autant plus grave pour le SPD, que l’une de ses nouvelles coprésidentes, Bärbel Bas est de Duisbourg.  
 
Cette région, traditionnellement très riche, subi les crises de la machine-outil, la chimie, l’acier, et bien sûr de l’automobile, à cause des politiques suicidaires des Verts, politiques adoubées tant par le SPD que par la CDU. 
 
Ce résultat est d’autant plus spectaculaire pour l’AfD, que si elle a le vent en poupe dans les Länders de l’Est, jusqu’à présent l’Ouest du pays lui était beaucoup moins favorable. Mais la crise économique, la forte poussée de la délinquance en lien bien souvent avec l’immigration massive ont changé la donne dans ce Land le plus peuplé du pays avec plus de 18 millions d’habitants. 
 
Tino Chrupalla le coprésident de l’AfD, s’est réjoui de cette victoire, alors qu’hypocritement le président de la région, le CDU Hendrik Wüst a lâché benoîtement :  «  ce résultat doit nous faire réfléchir, on ne peut pas dormir tranquille après cela ». Qu’au pays  des aveugles, les borgnes sont rois !
 
En 2023, l’AfD avait fortement progressé en Bavière, en Hesse, en 2024 en Thuringe le parti était devenu le premier de tous, et cette année aux élections législatives, il emportait plus de 150 députés avec 20,8%, devenant le deuxième parti d’Allemagne devant le SPD, les verts et les Libéraux. 
 
Pourtant, rien ne lui est épargné, dont  les enquêtes policières pour, au nom de la Constitution de 1949, la faire interdire pour « résurgence du nazisme » notamment . L’AfD doit affronter de multiples procédures qui n’ont pour but que d’essayer de la rayer du paysage politique, avec l’appui des gauches et extrêmes gauches allemandes, mais également avec la complicité de la CDU qui n’y verrait bien au contraire, aucun inconvénient. 
 
Frederich Merz, le chancelier, qui grâce à l’AfD n’a pas obtenu en début d’année la majorité au Bundestag , a préféré, une nouvelle fois, faire alliance avec le SPD, qui avait pris une déculottée historique alors. Et les dirigeants de la CDU osent encore se poser des questions sur le pourquoi et le comment de la montée de L’AfD. 
 
Décidément il n’y a pas qu’en France,  que les fausses droites sont les plus bêtes du monde. 

12:54 Publié dans En Europe et ailleurs..., Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mise en vente du n°1 du journal "Pour un Ordre nouveau" paru au cours de l'été 1971

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Le 28 juin 1973, suite à l’attaque par plusieurs milliers de gauchistes du meeting contre l’immigration sauvage qu’il avait organisé à la Mutualité (Paris) la semaine précédente, le Mouvement Ordre nouveau est interdit par le pouvoir gaulliste de l’époque.

Ordre nouveau éditait un mensuel de combat, Pour un Ordre nouveau, diffusé à plusieurs milliers d’exemplaires par ses militants. Après la dissolution, les stocks de journaux furent saisis. Quelques exemplaires cependant ont échappé aux rapaces de la police politique.

52 ans après, certains numéros, parmi les 20 livraisons éditées alors, sont ressortis du fond d’un grenier et remis en vente pour les collectionneurs et amateurs (1).

Le reflet d’une époque, un document historique à ne pas manquer…

Après le n°12 (juin 1972) et le n°15 (octobre 1972) de Pour un Ordre nouveau, proposés sur ce site au printemps dernier, nous mettons en vente le n°1 (juillet – août 1971) du mythique journal du mouvement nationaliste Ordre nouveau.

Un document indispensable pour ceux qui veulent se remettre dans le contexte pour le moins agité de cette époque

D’autres numéros seront bientôt mis en vente…

(1) Déjà, en 2018, nous avions débusqué un stock mais celui-ci fut très vite épuisé.

Pour commander le n°1 de

Pour un Ordre nouveau cliquez ici

11:53 Publié dans Pour un Ordre nouveau | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour était dimanche soir sur LCI

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Nous mettrons en ligne la vidéo de son intervention dès qu'elle sera disponible

10:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Suite aux menaces du groupe liberticide intitulé LFI, le Parti de la France est contraint d'annuler la fête du cochon prévue dimanche prochain

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Un communiqué du Parti de la France :

Suite à de graves menaces et pressions dont ont été l'objet les propriétaires des lieux qui accueillent chaque année la Fête du Cochon du PdF Bretagne à Treffendel, nous sommes dans l'obligation d'annuler cet événement.

Ces intimidations ont eu lieu immédiatement après la parution d'un article dans Ouest-France où la députée LFI de la circonscription, Mathilde Hignet, une sorte de sous-Mathilde Panot, a qualifié notre fête de « tribune de l’idéologie raciste ». L'élue d'extrême-gauche a réclamé l'interdiction de ce rassemblement alors qu'il avait lieu dans une propriété privée.

Ce n'est évidemment que partie remise et la Fête du Cochon du Parti de la France reviendra très prochainement en Bretagne.

 

NDLR SN : Synthèse nationale tient à exprimer toute sa solidarité à Jean-Marie Lebraud et à la fédération bretonne du Parti de la France, victimes des menaces terroristes des chiens de garde du Système (LFI et autres antifas).

L'adhésion de plus en plus massive du peuple breton aux idées nationales et identitaires rend visiblement malades et hargneux les derniers laquais du stalinisme local.

Il faudra pourtant bien qu'ils s'y fassent...

09:26 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Royaume-Uni. Manifestations géantes, victoire incertaine

L'extrême droite a réuni jusqu'à 150 000 personnes à Londres; incidents  avec la police | Radio-Canada

Balbino Katz, chroniqueur des vents et des marées

Assis ce dimanche matin au Bar des Brisants, le ciel bas et humide ne m’invite guère à sortir. J’irai tout à l’heure au marché du Guilvinec acheter ma tranche de lard rôti chez Jackie Landouille, mais pour l’heure je contemple sur mon écran la presse britannique. Elle bruisse d’un événement singulier : la manifestation « Unite the Kingdom », convoquée par Tommy Robinson au cœur de Londres. Une foule immense, entre cent mille et peut-être un demi-million de personnes, a défilé pour marquer son refus de l’immigration de peuplement. C’est la première fois dans l’histoire moderne de l’Angleterre qu’un tel rassemblement a lieu.

Ce qui me frappe, c’est l’art consommé avec lequel les journaux d’outre-Manche ont choisi de détourner le regard du fait principal pour insister sur les marges anecdotiques. Au lieu de s’interroger sur la signification d’une telle marée humaine, ils ont préféré ne retenir que les heurts de fin de cortège, quelques bouteilles lancées, vingt-cinq arrestations à la périphérie. Deux poids, deux mesures, dirait-on en Bretagne, où le marin sait que seule la houle dit la force de la tempête, et non l’écume qui se brise aux rochers.

Tommy Robinson, honni par les progressistes, détesté par la classe médiatique, a réussi un tour de force : attirer hors des foyers une population ordinaire, des familles, des drapeaux, une nation qui se redresse. À ses côtés, Éric Zemmour venu de France et, par l’écran, Elon Musk qui fit entendre une voix d’airain. « Que vous choisissiez la violence ou non, la violence vient à vous », déclara-t-il, « il faut résister ou mourir ». Ces paroles, traduites en langage simple, disent ceci : l’histoire a cessé d’être neutre. Richard North, dans Turbulent Times, l’a relevé avec justesse, rappelant qu’à l’instant où l’espérance politique s’efface, les foules deviennent incontrôlables.

Les parallèles abondent. En Europe, les agressions se multiplient contre les populations autochtones, et l’actualité récente nous l’a rappelé avec horreur : dans un train américain, une jeune réfugiée ukrainienne a été tuée à coups de couteau par un agresseur noir, multirécidiviste. Ses derniers mots, d’une brutalité nue, résonnent comme un symbole : « j’ai buté la fille blanche ». Cette scène, d’une ignominie rare, condense le drame de tout un continent.

Aux États-Unis encore, l’assassinat de Charlie Kirk, figure de la droite conservatrice, sous les acclamations obscènes de ses ennemis, a révélé une haine désormais sans masque. La gauche ne se contente plus d’excuser la violence, elle la célèbre quand elle frappe ses adversaires. Elon Musk a trouvé la formule : « le parti du meurtre ».

Ce surgissement populaire de Londres rappelle étrangement la démonstration chartiste de 1848. Le gouvernement victorien, terrifié, fit déployer cavalerie, artillerie et milliers de constables pour bloquer les ponts de la Tamise. L’épisode s’acheva sans effusion de sang, mais il révéla à quel point les élites craignent la multitude lorsqu’elle ose franchir les ponts de l’histoire. Pourtant, l’expérience montre que les foules immenses ne suffisent pas à infléchir le cours des choses. La France en sait quelque chose : la grande marche contre la guerre en Irak en 2003, ou plus récemment la mobilisation contre la réforme des retraites, n’ont en rien infléchi les décisions du pouvoir.

Carl Schmitt l’avait vu : le politique naît toujours de la distinction ami-ennemi. Ernst Jünger ajoutait que les masses cherchent un chef pour dompter le chaos. Moeller van den Bruck annonçait une Troisième Rome qui redonnerait à l’Europe une mission. Quant à Spengler, il prévoyait l’entrée dans l’ère des Césars, où seule la force tranche le destin des civilisations. Ces intuitions convergent vers le même point : quand un peuple voit sa survie menacée, l’ordre ancien se délite et un autre, imprévu, surgit.

Pourtant, aucune marée humaine, si haute soit-elle, ne peut suffire si elle ne se traduit pas dans les urnes. Le tumulte des rues doit se muer en victoire électorale, sans quoi il ne restera qu’un écho de colère, vite dissipé. L’Europe entière, telle une falaise battue par la marée, attend le moment où le roc se brisera. Mais ce jour-là, il faudra qu’une force politique, armée d’un projet clair, saisisse l’occasion. Sans cela, la tempête retombera comme un souffle perdu.

Article paru dur Breizh-Info, cliquez ici.

08:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tous diplômés, tous frustrés !

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C’est l’un des grands paradoxes de ce temps : on n’a jamais eu autant de diplômés… qui ne trouvent pas de travail et qui se sentent frustrés. Autre paradoxe de ce temps, comme le souligne un rapport de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique), «  certains adultes français diplômés de l’université n’ont pas les compétences à l’écrit d’un enfant de dix ans ». Il n’en faut pas plus à Pascal Praud, dans Le Journal du dimanche, pour nous livrer quelques réflexions de bon sens, sur ce que ce phénomène induit.

Lire la suite ICI

Source : Le Journal du dimanche 14/09/2025

06:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |