mercredi, 11 janvier 2023
Eric Zemmour félicite les militants de Reconquête 22 pour leur engagement à Callac
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19:03 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Algérie : Du « royaume Arabe » à la départementalisation jacobine
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Dans les années 1950, juste avant les indépendances, le monde en perdition n’était pas l’Afrique, mais l’Asie qui paraissait alors condamnée par de terrifiantes famines et de sanglants conflits : guerre civile chinoise, guerres de Corée, guerres d’Indochine et guerres indo-pakistanaises. En comparaison, durant la décennie 1950-1960, les habitants de l'Afrique mangeaient à leur faim, étaient gratuitement soignés et pouvaient se déplacer le long de routes ou de pistes entretenues sans risquer de se faire attaquer et rançonner.
Ce temps lointain était celui des colonies, époque dont il est impossible de parler d’une manière objective et au sujet de laquelle il est obligatoire de dire que ce fut l’enfer sur terre…
Or, soixante-dix ans plus tard, le contraste est saisissant avec des dizaines de milliers de migrants qui se livrent au bon vouloir de gangs qui les lancent dans de mortelles traversées en direction de la « terre promise » européenne. Les crises alimentaires sont permanentes, les infrastructures de santé ont disparu, l'insécurité est généralisée et la pauvreté atteint des niveaux sidérants. Quotidiennement, les journaux et les divers organes d'information font état de famines, d'épidémies, de massacres qui montrent que le continent africain s’enfonce chaque jour un peu plus dans un néant dans lequel surnagent quelques îlots pétroliers.
Que s’est-il donc passé pour que, malgré ses immenses richesses naturelles et en dépit des océans d'aides aveuglément déversées par les pays dits riches, l'Afrique connaisse un tel naufrage, ne parvenant même plus à nourrir sa population ?
Et que l’on ne vienne pas nous parler des aléas climatiques car le continent possède certaines des terres les plus fertiles de la planète sur lesquelles jusqu'à trois récoltes annuelles sont possibles. De plus, l'agriculture africaine n'est pas paralysée par un long hiver, par un tapis neigeux ou par les glaces. Avec ses de 9.000.000 km2, le Sahara représente certes environ 25% de la superficie du continent, mais proportionnellement moins que la toundra eurasienne ou nord-américaine où l'on ne parle pourtant pas de malédiction.
Le problème est que le continent africain s’auto-suicide avec sa démographie, car, chaque année, l’écart se creuse entre le nombre de bouches à nourrir et les productions alimentaires. La catastrophe est donc programmée. Un exemple : au Sahel, les 10 à 20 millions d'habitants d'avant la colonisation sont aujourd'hui 180 millions. Voilà qui explique pourquoi la subtile alchimie de ce fragile milieu de 3 millions de km2 a été détruite. Au même moment, les 40 millions de Sibériens sont à l'aise sur plus de 13 millions de km2 d’une nature hostile.
La réalité est que les Africains n'étant pas des Européens pauvres à la peau noire, parce que le corps social africain n’est pas celui de l’Europe, ou celui de l’Asie, nos modèles politiques n'y ont pas réussi.
Or, si la greffe européenne n'a pas pris sur le porte-greffe africain, c’est parce que, comme le dit le proverbe congolais : « Ce n’est pas parce qu’il pousse au bord du marigot que le manguier devient crocodile. »
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C'est officiel, la mairie de Callac renonce au projet Horizon. Une grande victoire pour la Bretagne !
Paru ce jour sur Breizh infos :
Le projet Horizon de Callac, consistant notamment à accueillir des familles de migrants dans la commune, vient d’être enterré par la municipalité.
Cela après de nombreux mois de tensions dans la commune, de manifestations, d’oppositions, de pressions diverses.
« Personnellement, j’étais pour le projet mais ce n’était plus tenable, le conseil municipal allait tomber. J’ai pris la décision de les entendre, de les écouter », explique le maire. Une décision qu’il assure assumer, même s’il regrette la situation. « C’était un projet humain d’une très grande valeur, sans doute très important pour Callac dans l’avenir. » indique-t-il, fatigué par cette bataille politique, et concédant qu’il vaut mieux, pour la paix de la commune, qu’il en soit ainsi.
La famille Cohen, famille de parisiens ayant pensé débarquer en terrain conquis pour instaurer un laboratoire à Callac, l’a mauvaise :
Dans un communiqué, le Fonds de dotation Merci dit regretter « la décision prise par le maire et des élus de Callac ». « Le Fonds de dotation Merci dénonce la campagne de désinformation, de groupes et de médias d’extrême-droite visant à diviser la population et à déstabiliser le Conseil municipal. Cette campagne nauséabonde aux relents racistes et antisémites est fondée sur des méthodes de harcèlement et d’intimidation, y compris des menaces de mort, ciblant le maire et plusieurs conseillers municipaux – jusque dans leur vie privée. »
Source cliquez ici
14:09 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 10 janvier 2023
Callac : le projet Horizon est abandonné !
Communiqué du Comité d’Organisation contre le projet Horizon à Callac
C’est avec un plaisir non dissimulé que nous annonçons que le projet Horizon de la fondation MERCI est abandonné par le Conseil Municipal de Callac.
Ce projet prévoyait à l’origine la venue de 70 familles issues du continent africain. Soit au total environ 530 personnes (7,6 personnes par famille selon les chiffres de Ouest France du 14 septembre 2022) dans un petit bourg de Bretagne de 2 200 habitants. Cela représentait donc l’arrivée de 25 % de la population actuelle. Un projet insensé qui aurait été source de nombreux problèmes.
D’abord, ce projet était très injuste pour la population locale dont beaucoup sont des familles modestes. Pour les jeunes, il était inacceptable. Ils sont obligés de partir de Callac car il n’y a pas de travail pour eux. La municipalité déclarait ne pas avoir d’argent pour aider les gens modestes et les jeunes.
Mais subitement des millions arrivaient, ainsi que des emplois, pour accueillir des personnes venues de l’autre bout de la terre. De l’argent manifestement il y en a, mais pas pour les Français. Qui pouvait comprendre cela ?
Contre ce projet fou, l’Association « Les Amis de Callac et ses environs » (présidée par Mme Catherine Blein - NDLR) mené une bataille acharnée pendant des mois. Un combat remarquable et obstiné malgré l’adversité. Ses militants furent présents chaque mercredi sur le marché pour faire signer des pétitions, mobiliser la population et organiser les opposants au projet.
Des centaines de signatures ont été collectées. Des milliers de tracts furent distribués dans les boîtes aux lettres. Deux manifestations furent organisées, l’une le 17 septembre (environ 500 personnes) et l’autre le 5 novembre (environ 1000 personnes – 600 d’après la police). Face à ce combat acharné, pour défendre Callac contre cette invasion visant à y construire un village « multiculturel » rien ne nous fut épargné :
• Les insultes (« fascistes », « extrême-droite », « racistes », « xénophobes », …) d’abord,
• Les violences ensuite des antifas qui à chacune des deux manifestations ont tenté d’attaquer le rassemblement des patriotes avec le soutien actif des élus de la mairie de Callac, notamment la célèbre Laure Line Interbitzin, et de toute la « gauche » locale et régionale ainsi que des syndicats. Heureusement, les forces de gendarmerie, déployées sur ordre du Préfet, firent parfaitement leur travail lors des deux manifestations et empêchèrent les antifas de faire taire les patriotes, par la violence.
• La presse aux ordres (Le Télégramme, Ouest-France, Le Poher…), de son côté, ne manqua aucune occasion pour salir ce mouvement patriote.
En vain.
Très récemment, le conseil municipal s’est réuni, en secret, et a voté sur le projet Horizon. Le résultat du vote fut le suivant :
- 8 pour l’arrêt du projet Horizon (dont le maire lui-même)
- 6 pour continuer (2 membres de la majorité Interbitzin et Morcet et les 4 « opposants » de droite républicaine)
Résultat : le projet est abandonné ! Preuve est faite que lorsqu’on se bat, on peut gagner.
Nous nous étonnons seulement du silence de la mairie sur cette bonne nouvelle, alors que tout le monde le sait dans le village. Peut-être le maire se réserve-t-il de faire cette annonce lors de ses vœux à la population qui auront lieu dans les prochains jours ? Ce qui marquerait un excellent début de cette année 2023.
A l’heure ou la Loi de Transition Démographique va venir prochainement devant l’Assemblée nationale, plongeant - si elle est votée - de nombreuses municipalités dans les mêmes problèmes, sombrer dans le désespoir n’est pas la solution. Il faut s’organiser et se battre avec constance et obstination. La victoire est à ce prix.
Reste que les problèmes ne sont pas forcément définitivement réglés à Callac.
Quelle sera la position du Préfet des Côtes d'Armor qui dispose également des services de l’association Viltaïs pour reprendre le flambeau et tenter d’imposer la venue de migrants à Callac ? Le plus sage serait que tout projet soit abandonné à Callac. D’autant que pour le Préfet l’affaire s’annonce difficile :
• La mairie vient de jeter l’éponge
• Viltaïs est une association qui ne jouit pas d’une réputation « exemplaire »
• l’Association « Les amis de Callac et ses environs » est toujours en ordre de bataille et ne manquera pas de réactiver immédiatement son combat si Viltaïs tente de réaliser ce que la Fondation MERCI a raté.
Enfin, dernière information, la Fondation MERCI semble ne pas se consoler de son échec à Callac. Il se murmure qu’elle souhaite mettre en œuvre un nouveau projet… à Paimpol cette fois. Toujours dans le département des Côtes d’Armor. Nous lui promettons que l’accueil sera le même, voire plus frais encore, dans cette localité.
Le Comité d’organisation remercie tous ceux qui ont participé à son action et ont contribué à cette première victoire, notamment l’Association « Les Amis de Callac et ses environs », mais aussi Reconquête, Riposte Laïque, Résistance Républicaine, Les Patriotes et le Parti de la France. Nous n’oublions pas non plus de remercier tous ceux qui nous ont aidés : Gilbert Collard, Patrick Jardin, la Ligue du Midi, Place d’armes, Les Maires pour le bien commun, et toutes les personnes célèbres ou simples citoyens qui ont œuvré à nos côtés pour faire échouer ce projet mortifère.
La France doit rester la France
VIVE LA FRANCE !
Bernard Germain
Porte-parole du Comité d’organisation
contre le projet Horizon
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18:51 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Age de départ à la retraite :… le vrai problème c’est la Loi Touraine, votée par la gauche !
Bernard Germain
63 ans, 64 ans, 65 ans… voire plus, comme âge de départ à la retraite ?
C’est la question qui fait le «buzz» en ce moment, auprès des partis politiques, syndicats et associations, suite à l’annonce faite par Macron de mettre en œuvre la réforme des retraites dès l’été prochain.
La «Gauche» (partis, syndicats, …) est vent debout contre la modification voulue par Macron.
Une manifestation est appelée le 10 janvier à Paris (et ailleurs) sur le thème.
On notera d’abord que ceux qui appellent à cette manifestation sont pour le moins… gonflés.
En Avril 2022, ils ont tous appelé à voter Macron «pour empêcher la France de sombrer dans le fascisme».
Peut-être n’avaient-ils pas imaginé que Macron, une fois élu, allait reprendre la mise en œuvre de ses mesures anti-sociales ?
Son 1er quinquennat avait pourtant eu un bilan des plus consternants sur ce plan. Mais cela ne leur suffisait sans doute pas pour comprendre, ils ont donc remis une pièce dans le bastringue pour que ça continue 5 ans de plus.
Et ça continue…
On notera au passage que le RN a une position bien plus favorable aux salariés sur le sujet.
Mais … chuttt ! Le RN, c’est les « fascistes ». Donc, il ne faut pas dire qu’ils ont cette position.
Bref, s’ajoutant à la crise énergétique, le problème des retraites contribue à faire monter la tension sociale et le gouvernement est très inquiet quant à sa capacité à faire passer la mesure sans recours au 49.3, c’est à dire sans passer en force. En fait, tout va dépendre de la position des « Républicains » d’Eric Ciotti pour bâtir ou non une majorité au parlement sur ce point.
Reste que 49.3 ou majorité au parlement sur ce projet, le cocktail est explosif surtout en cette période ou une simple étincelle pourrait bien mettre le feu aux poudres.
Mais le problème se limite-t-il au problème de l’âge de départ à la retraite ?
Il se trouve que non, car l’affaire est bien plus compliquée qu’il n’y paraît.
Tout d’abord, il faut se souvenir que l’âge de départ n’est qu’un aspect du problème.
En effet, un second élément existe – très souvent oublié- qui est pourtant fort important : le nombre d’annuités nécessaires pour partir… à taux plein !
Partir à 62 ans, comme actuellement, est une chose, mais si c’est avec une décote qui ampute sérieusement le montant que le retraité touchera … est-ce une bonne affaire pour lui ?
Les syndicats, notamment, hurlent qu’il ne faut pas modifier l’âge de départ, mais ils ne disent pas que dans l’ombre, la réforme Touraine continue son œuvre d’érosion du montant des retraites versées.
Concrètement, depuis la loi Touraine (merci les socialistes), votée en 2014 mais appliquée depuis 2020, la durée de cotisation pour obtenir une retraite à taux plein augmente d’un trimestre tous les trois ans. Premières à avoir été concernées en 2020, les générations nées entre 1958 et 1960, qui doivent désormais cotiser 167 trimestres (soit 41 ans et 9 mois). Suivront en 2023 celles nées entre 1961 et 1963 (168 trimestres), puis celles nées entre 1964 et 1965 (169 trimestres), etc. L’objectif étant d’atteindre 172 trimestres en 2035, soit 43 années de cotisation pour les Français ayant vu le jour en 1973.
Donc, et c’est simplement mathématique, si -dans ces conditions - on garde l’âge de départ à 62 ans, le montant des retraites va mécaniquement baisser jusqu’en 2035 à cause de la décote qui sera appliquée puisque le salarié aura de moins en moins le nombre d’annuités suffisantes pour bénéficier du taux plein.
Partir à 62 ans, c’est une chose, mais si on n’a pas de quoi vivre, … ça peut poser problème !
D’ailleurs, avec l’allongement de la durée de la scolarité, nous travaillons tous déjà plus longtemps que prévu, principalement pour éviter d’avoir une pension amputée. L’âge moyen de départ pointe ainsi à 62 ans et dix mois. Il est probable qu’il arrive à 64 ans d’ici une dizaine d’années.
Si on veut partir à taux plein !
C’est lorsqu’on reçoit le document de la caisse de retraite, vous indiquant le montant de votre retraite, que l’on prend la mesure du problème.
Au final, le problème n’est pas en soi l’âge de départ à la retraite, mais du fait du système pourri voté par les socialistes et autres en 2014 sur le nombre d’annuités nécessaires, qui s’applique depuis 2020, … A QUEL ÂGE DOIS-JE PARTIR POUR AVOIR UNE RETRAITE A TAUX PLEIN ?
Il est donc ridicule de s’arc-bouter sur 63, 64 ou 65 ans. Ce n’est qu’une partie du problème.
Élisabeth Borne a déclaré : «Nous n’irons pas au-delà de 43 ans de cotisations».
C’est à dire l’application pure et simple de la Loi Touraine des socialistes. Ce faisant sa déclaration montre bien que le vrai problème est là.
Et pour chaque salarié, le choix devient donc : «Est-ce que je veux absolument partir à 62 ans (condition actuelle) quitte à avoir une méchante décote qui va fortement réduire ma retraite du fait de la Loi Touraine ?».
Lorsqu’on pose la question ainsi, cela change nettement la discussion sur l’âge de départ.
En fait, mettre l’âge de la retraite à 63, 64 ou 65 ans ne ferait qu’officialiser ce que la Loi Touraine impose déjà. Pour avoir son taux plein.
Garder à tout prix 62 ans, comme âge de départ, implique qu’une décote importante sera appliquée aux salariés qui n’auront pas les annuités nécessaires. C’est à dire presque tout le monde, sauf ceux qui ont travaillé très jeunes, mais ils sont de moins en moins nombreux.
En résumé :
- Si on garde 62 ans comme âge de départ, avec la Loi Touraine, au fur et mesure des années les salariés partiront avec une retraite amputée d’une décote de plus en plus conséquente
- Si on recule l’âge de la retraite, du fait de l’entrée de plus en plus tardive dans la vie active, on réduira la décote qui s’appliquera. Ce qui ne fera qu’officialiser ce qu’on constate à savoir que beaucoup de salariés partent plus tard que l’âge légal car ils n’ont pas assez d’annuités et ne veulent pas subir de décote.
Ce débat sur l’âge de départ à la retraite, tel qu’il est présenté, est un débat totalement biaisé puisqu’il ne prend pas en compte la Loi Touraine et ses conséquences sur le montant de la retraite.
J’ajoute que s’ils étaient cohérents, ceux qui se veulent inflexibles sur les 62 ans, devraient demander l’abrogation de la Loi Touraine … mais c’est eux qui l’ont mise en place.
En fait, c’est, pardonnez-moi l’expression, un authentique « foutage de gueule ».
La « gauche » appelle les salariés à se mobiliser pour défendre les retraites, mais en cachant :
- Que c’est eux qui ont élu Macron auteur de la réforme qu’ils prétendent combattre
- Que c’est eux qui ont voté la Loi Touraine qui attaque gravement le montant des retraites
La gauche se présente comme défenseur des salariés, alors qu’en fait, ils en sont les fossoyeurs.
Le 10 janvier je ne cautionnerait pas cette ignoble farce.
Je n’irai pas manifester avec ces gens.
Bossuet disait : « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes »
Reste un problème que je n’ignore pas : les métiers pénibles.
Il serait socialement tout à fait juste qu’un régime spécial s’applique aux salariés concernés.
Afin qu’après avoir été usés par le travail, ils puissent partir en retraite plus jeune leur laissant espérer de profiter plus longtemps de leur retraite bien méritée.
Un système est actuellement en place qui permet d’accorder des « points ». Chaque tranche de 10 points donne droit à l’équivalent d’un trimestre cotisé.
Au moment du décompte final, cela permet soit de partir plus tôt, soit de compenser une décote.
Ce système pourrait certainement être affiné, voire amélioré.
Mais l’important est que la pénibilité soit prise en compte.
Un autre aspect du problème mérite d’être souligné : la tartufferie du pouvoir et surtout du patronat s’agissant de l’âge de départ à la retraite.
Le patronat et le gouvernement veulent repousser cet âge «afin d’équilibrer les comptes».
C’est une très mauvaise blague.
En effet, si l’on prétend «équilibrer les comptes» il faut avoir une vision globale du sujet. Pas en prenant simplement le problème des retraites.
Or, il est de notoriété publique que très nombreux sont les salariés qui sont licenciés par les entreprises autour de l’âge de 55 ans.
Donc, ils viennent grossir les rangs des chômeurs. Et sont donc à la charge de la collectivité, même si ce n’est pas sur la même ligne budgétaire qui est impactée.
Comment les employeurs peuvent-ils être pour le recul de l’âge de départ à la retraite « afin d’équilibrer les comptes » et virer en même temps les salariés de plus de 55 ans ce qui plombe les comptes de l’indemnisation du chômage ?
Il faudra m’expliquer cette contradiction. Et surtout que les gouvernements successifs laissent faire cela sans réagir.
Une dernière piste consiste à reconnaître un cynisme absolu à certains employeurs qui pratiquent ces licenciements systématiques vers 55 ans. Pourquoi les font-ils ? D’abord parce que ce sont les salariés qui coûtent le plus cher. Mais aussi et tout simplement parce que ces 7 à 8 ans ou 10 ans de baisse de revenu (période de chômage) auront un impact sur le montant des retraites des salariés concernés.
Nous rappelons que pour ce calcul, on ne prend pas en compte les 25 «meilleures» années (c’était l’ancien système), mais les 25 … dernières années (système actuel).
Et si vous avez 1/3 voire la moitié de ces 25 dernières années qui sont des périodes de chômage ça ne passera pas inaperçu au moment du calcul du montant de votre retraite.
Le nombre de salariés concernés, dans ce cas, n’est pas négligeable. Ce serait sans doute fort instructif de calculer l’impact que cela a sur le montant total des retraites versées
Dernier point : on est en droit de s’interroger sur les vraies raisons qui poussent Macron à vouloir à tout prix cette réforme, qui ne changera rien, pour les raisons indiquées.
Je n’en vois qu’une seule : l’Europe.
La France est couverte de dettes … plus de 3000 milliards.
Elle a absolument besoin de pouvoir emprunter sur les marchés financiers. Sinon c’est la faillite.
Or qui pilote tout cela … l’Europe dominée par les allemands, avec la BCE.
Dès lors, puisque l’Allemagne, donc l’Europe, veut à tout prix imposer cette réforme à la France, Macron n’a pas de marge de manœuvre.
Il faut qu’il s’exécute. D’où son acharnement à imposer la réforme des retraites.
Sauf à se couper toute possibilité d’obtenir des crédits.
C’est le même problème que la crise actuelle de l’énergie.
La seule solution sérieuse serait de sortir du système européen qui lie le prix de l’électricité à celui du gaz (et de supprimer en France le système de l’ARENH).
Mais qui a voulu ce système : … l’Allemagne. Pour contrer l’avantage que la France avait avec son parc nucléaire. Et l’Allemagne ne laissera pas facilement la France sortir du système, ce qui pourtant mettrait un terme en France à la crise que nous connaissons.
Pour preuve, le gouvernement, totalement affolé, indique toute une batterie de mesures … sauf de sortir du système européen imposé par l’Allemagne.
Les semaines et mois qui viennent ne vont pas être une sinécure pour le gouvernement … !
16:59 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Samedi 28 janvier : Hommage à Roger Holeindre
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Redécouvrir Homère...
Scipion de Salm
Tout Homère est un ouvrage épais au titre ambitieux. Il propose tout d’abord l’œuvre d’Homère reconnue par les historiens et philologues sérieux, soit l’Iliade et l’Odyssée. On les relit toujours avec plaisir et profit.
Puis, suivent de nombreuses histoires complémentaires grecques antiques édifiées autour de la matière troyenne. Les attributions en sont plus problématiques pour les plus anciennes, tandis que des auteurs plus récents ont signé de leurs noms leurs développements de l’univers homérique. En effet, Homère a décrit dans ses deux longs poèmes fondamentaux un an du Siège de Troie, celui de la colère d’Achille, et ses conséquences, dans l’Iliade, et les pérégrinations d’Ulysse, de manière relativement concise, dans l’Odyssée.
Des épisodes fameux comme la mort d’Achille, la Prise de Troie, n’y figurent pas. Or, ce corpus immense, comprenant tous les registres, de l’épopée à la parodie et au roman d’amour, a pour l’essentiel disparu. Les fragments proposés n’en sont que plus précieux. Les traductions sont de qualité. Les commentaires sont pertinents et intéressants.
Tout Homère, Hélène Monsacre (direction), Albin Michel, Belles Lettres, 2019, 1300 pages, 35,00 €
10:21 Publié dans Livres, Scipion de Salm | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
France-Alemagne, le divorce inévitable
On parle souvent dans les médias mainstream du couple franco-allemand. S’il y a couple, il faut le plus vite possible l’orienter vers le divorce tant les manipulations allemandes nuisent aux intérêts les plus élémentaires de la France, avec la complicité de notre classe politique. Une analyse rigoureuse de Roland Hureaux, agrégé d’histoire, ENA, et ancien haut fonctionnaire.
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Source : Mode et Vie, janvier 2023
10:10 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 09 janvier 2023
Hier, pas de profs ; maintenant, manque de médecins ; demain, plus de pain ?
Pieter Kerstens
Non aux apprentis sorciers.
Il faut congédier les charlatans qui prônent l’égalitarisme absolu. Il faut renvoyer ces faux prophètes du diplôme garanti et de la réussite pour tous. Après avoir conduit l’économie française dans le gouffre, ces socialos menteurs et leurs laquais libéraux ont gangrené tout le système scolaire. Par des réformes successives, toutes plus opaques et plus médiocres les unes que les autres, voici que le ministre chargé de l’Éducation nationale imagine de nouvelles mesures, vecteurs d’émancipation. Dans ce fatras de propositions « transversales », tout est virtuel : « l’hétérogénéité » désignant le multiculturel imposé ou encore les « projets » concernant les utopies gauchistes et « l’école de la réussite » qui permettrait à tous les incapables un accès garanti dans le milieu universitaire ou professionnel. Encore une utopie.
Assez de stupidités !
Depuis 30 ans, le système scolaire a produit une foule d’élèves ignares et vindicatifs. Le métissage des classes explique aussi le faible niveau d’acquisition des connaissances et il est clair que le Quotient Intellectuel (Q.I) d’un élève n’est pas égal à celui de son copain ! Nier cette évidence est infantile. Le savoir ne se distribue pas, il s’acquiert. Sans contrôle permanent des connaissances et de l’assiduité des élèves par des devoirs et des examens rigoureux, il ne sera pas possible d’inverser la tendance de la médiocrité généralisée qui a plongé le niveau scolaire de la France dans le classement des nullités.
« Il n’y a pas de sot métier, il n’y a que de sottes gens » Nicolas Boileau.
L’éducation, c’est le rôle des parents, l’enseignement des disciplines peut être dispensé par l’État ou par le clergé ou par l’armée, mais il n’est pas tolérable que les instituteurs et les professeurs doivent combler les carences familiales !
Cela fait très longtemps que le marché du travail réclame des secrétaires trilingues, des électriciens, des paveurs ou des bouchers. De son côté, Pôle Emploi recense 300.000 postes disponibles et de plus, 200.000 analphabètes hantent les statistiques depuis 20 ans : où est l’erreur ?
Non aux classes poubelles
Il est urgent de rétablir la discipline, d’exiger le respect du corps enseignant, dont les membres doivent cesser de se comporter en « copain » vis-à-vis des élèves et qui avec efficacité et bon sens feront preuve de compétence. Il est indispensable de renvoyer les quelques perturbateurs qui polluent la bonne entente dans les classes et si nécessaire supprimer les allocations familiales aux parents trop laxistes.
En outre, nous ne devons plus accepter les touristes dans nos grandes écoles ou dans nos universités, ni tolérer des étudiants qui viennent à nos frais musarder dans les amphithéâtres pendant des années sans obtenir le moindre diplôme.
Il faut stopper cette hérésie et restaurer le goût de l’effort et du travail
Ces ministres suffisants et arrogants, ces idéologues irresponsables ont excommunié la mémoire, l’histoire et la liberté, en organisant une production à la chaîne d’élèves amnésiques, parfaits robots manipulables par des politiciens corrompus. Il faut s’opposer à ces dérives sectaires contraires aux intérêts de nos enfants, car elles interdisent toutes références à notre passé civilisateur et à nos valeurs ancestrales, racines indispensables au développement de notre culture et de notre avenir.
L’école de demain doit être l’école de tous, mais garante de la qualité et de la différence au terme des études. La réussite pour tous est une vaste fumisterie socialiste.
Par bêtise, par manque d’anticipation et courage politique, les princes qui nous gouvernent depuis 40 ans sont responsables de l’état de délabrement du système éducatif. Cette absence de vision explique le manque de médecins et la crise profonde des hôpitaux. Mais l’on retrouve également cette incapacité à prévoir ou à anticiper la hausse des matières premières depuis 2019 et bien sûr la gestion absurde de l’épidémie de Covid-19, des problèmes de sécurité dans nos villes, et surtout de la crise énergétique actuelle.
Il faut en finir avec les chimères du Docteur Micron et le sous-développement général du pays.
21:50 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Marche Pour La Vie Montparnasse le 22 janvier à 14h !
14:28 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Appel à la réunion des résistances
Que l'année 2023 - année de tous les dangers, mais aussi de tous les possibles - soit celle de la mise en échec de l'agenda pervers des pouvoirs et des élites dégénérées…
14:18 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 08 janvier 2023
A contretemps
Vincent Trémolet de Villers
De l’autre côté du Rhin, le rêve éolien s’achève en centrales à charbon. En attendant les énergies vertueuses, la France et l’Allemagne dépendent, cet hiver, de l’énergie polluante. Ce nuage de fumée qui plane au-dessus du projet de loi soumis mardi prochain au vote des députés assombrit un peu plus encore les blanches promesses du renouvelable. Quand la crise de l’énergie frappe indistinctement la boulangerie du coin et nos plus grandes entreprises, ce débat parlementaire apparaît complètement à contretemps. Plutôt que de vouloir accélérer l’implantation de gigantesques mâts métalliques dans nos mers et nos campagnes, nos gouvernants, s’ils avaient un atome de bon sens, privilegieraient deux urgences absolument prioritaires.
L’état de notre parc nucléaire, d’abord. Emmanuel Macron a multiplié les déclarations et les promesses pour améliorer son entretien et développer la filière, mais pourquoi ne pas avoir fixé immédiatement cette intention louable dans l’agenda législatif? Aujourd’hui encore, dans les textes (ce ne sera heureusement pas le cas dans les faits), la loi de programmation de l’énergie qui prévoit le démantèlement de 14 réacteurs nucléaires s’applique toujours !
Le marché européen de l’énergie, ensuite. Ce système délirant dont l’effet immédiat est de menacer nombre de nos entreprises de ruine. Cela fait des mois que des voix venant de toutes parts demandent au president de la République de suspendre ou de réformer les règles invraisemblables qui fixent le prix de l’électricité. Ce qui ne ferait évidemment pas les affaires de nos voisins allemands. Las, malgré la promesse toujours recommencée d’amender le système, rien n’a changé.
À l’heure des conséquences, la France paye cher son énergie et, pour éviter que ce coût n’affaiblisse trop nos entreprises, l’État (donc, à terme, les citoyens) paye une seconde fois : c’est surréaliste ! L’énergie, aujourd’hui, c’est comme le football hier : malgré une suite de fautes évidentes, à la fin, c’est l’Allemagne qui gagne.
Source : Le Figaro 7/1/2023
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samedi, 07 janvier 2023
Décès d'Hubert Fayard, militant de toujours de la cause nationale
Une fois de plus, une triste nouvelle frappe le camp national. Nous venons d'apprendre le décès, suite à une longue maladie, de notre ami Hubert Fayard, ancien conseiller régional d'Auvergne et militant assidu du combat nationaliste.
Hubert avait rejoint le FN au milieu des années 1980. Il vivait alors au Puy-en-Velay. Il devint responsable départemental de la Haute-Loire du Front en 1988 suite à une rencontre, à Montluçon, avec Jean-Pierre Stirbois. Plus tard, à la fin des années 1990, il participa à l'aventure du MNR et occupa de lourdes responsabilités dans la municipalité de Vitrolles (13) un moment dirigée par Catherine Mégret. Il s'installa alors définitivement en PACA.
Depuis quelques années, Hubert s'est aussi consacré sans relâche à la cause de la République du Donbass dont il était le représentant officiel à Marseille. Cette activité lui permit d'être reçu à plusieurs reprises par les dirigeants russes.
En janvier dernier, il m'avait contacté pour me faire part de son soutien à la candidature d'Eric Zemmour à la présidentielle.
Hubert, veuf depuis une vingtaine d'années, était père de quatre enfants. Sa dernière fille vient d'obtenir son diplôme d'avocat, ce dont il était très fier.
A toute sa famille, Synthèse nationale présente ses condoléances attristées.
R H
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Le gouvernement veut briser les reins de France Soir
Thierry Decruzy
Liberté de l’information, pluralisme, indépendance des journalistes… Des mots qui servent de paravent au totalitarisme médiatique actuel. Le cas de FranceSoir est emblématique.
Soutenir pour se détromper
En France, les publications doivent recevoir un agrément délivré par la CPPAP (Commission paritaire des agences de presse), organisme dépendant du ministère de la Culture. En mars 2021, cet agrément avait été accordé par Roselyne Bachelot, la ministre de l’époque, établissant ainsi que le titre présentait « des informations, des analyses et des commentaires […] susceptibles d’éclairer le jugement des citoyens », comme le veut l’article 2 du décret du 29 octobre 2009 qui fixe les critères d’admission. Le 30 novembre 2022, FranceSoir apprend par voie de presse que le ministère a décidé de ne pas renouveler l’agrément CPPAP du journal pour « un défaut d’intérêt général » et que les contenus à propos de la crise du COVID-19 porteraient « atteinte à la protection de la santé publique ». À quelques mois d’écart, quel grave changement a pu amener la nouvelle ministre de la Culture à désavouer son prédécesseur ? La décision serait-elle liée au révélations de FranceSoir avec le dossier Fact & Furious quinze jours avant ?
Dénigreur des politiques de santé publique ?
FranceSoir est en première ligne depuis l’épidémie du COVID-19. Il fait partie des rares médias à donner la parole à des spécialistes en infectiologie comme le Pr Didier Raoult ou le Pr Christian Perronne. Accusé d’avoir dénigré les « politiques de santé publique » mises en place par le gouvernement, le Pr Perronne est complètement blanchi de ces accusations par la chambre disciplinaire de première instance d’Île-de-France de l’Ordre des médecins le 22 octobre 2022. Cette décision montre le professionnalisme des rédacteurs de FranceSoir qui ont ouvert leur média à cet épidémiologiste compétent alors que ses positions étaient contestées par les “experts” officiels déployés par les médias du régime.
Les bras cassés du debunking
L’agrément de la CPPAP est indispensable car il conditionne la défiscalisation des dons. Or FranceSoir ne vend pas d’édition papier, ses revenus sont issus uniquement des dons de ses lecteurs en ligne. La ministre le sait très bien. La proximité des dates entre les révélations de FranceSoir et la suppression de son agrément incitent à faire le lien. D’autant plus quand on regarde le dossier et les conditions d’agrément de la CPPAP à Fact & Furious, augmentées d’un contrat avec l’AFP et de l’accréditation des médias nationaux et même “oxydantaux”, comme site de “debunkig” anticomplotiste. Les compétences de l’individu, ancien militaire et ancien barman opérant seul au fond de son garage, ne sont journalistiques que par l’adoubement des officines ministérielles et de leurs affidés.
La mission de tromper
Cette affaire met à jour les dessous actuels du traitement de l’information. Pour accréditer leurs thèses (COVID, climat, énergie…), le régime en est réduit à faire appel à ce niveau de compétence. Même leurs écoles de journalistes pourtant soigneusement formatés ne sont plus capables de fournir ce type de rédacteur. Le paravent des médias officiels, reconnus et légitimés n’est qu’un décor digne des marionnettes. Pendant que des professionnels débitent leurs informations sur les plateaux et dans leurs journaux à grands renforts de subventions, le brouet indigeste est préparé au fond de garages par des bras cassés. Comme Antoine Daoust, fondateur de Fast & Furious, tellement sérieux qu’il a été obligé de fermer son site, mettant à jour tout le montage avec des soutiens de l’AFP à l’Élysée, validés par les médias officiels, tous pris la main dans le sac. À ce niveau, ce n’est évidemment plus une erreur, mais une volonté manifeste de tromper l’opinion publique. L’énormité du dossier inciterait à la méfiance, sauf qu’un phénomène similaire de manipulation a été mis à jour aux États-Unis par Elon Musk avec Twitter et que, comme par hasard, les GAFAM s’en sont pris à FranceSoir. En 2021, Google déférençait le titre et YouTube censurait sa chaîne. Les complotistes ont bon dos…
Subventionné ou libre
Aujourd’hui en France, les seuls médias reconnus officiellement sont tous subventionnés, et grassement :
Les rares rédactions dissidentes à l’équilibre économique précaire, sont sous surveillance (Valeurs actuelles, Politique Magazine…), voire persécutées (Rivarol…) ou disparaissent (Minute…). Un seul exemple emblématique : L’Humanité, quotidien d’un Parti communiste incapable de constituer un groupe parlementaire, ne survivrait pas sans l’aide de l’État, alors que le quotidien indépendant Présent a cessé de paraître.
Face à la puissance de l’appareil d’État, la situation pourrait sembler désespérée. Elle est au contraire une extraordinaire occasion de manifester un vrai soutien à la liberté d’expression. Toujours dans l’Histoire, seule compte la population dans les rues, aucun pouvoir ne peut résister. Ça tombe bien, une manifestation est prévue pour soutenir FranceSoir samedi 14h30, 38 rue Fabert 75007 Paris :
France Soir cliquez ici
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Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
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vendredi, 06 janvier 2023
ÉTAT PROFOND : HORS SERVICE
14:03 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Covid19, Twitter Files, Politique - Charles Gave : "L'empire du mensonge est en train de s'écrouler"
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Quand tous les boulangers auront crevé…
Une fois de plus, Natacha Polony frappe juste. La sonnette d’alarme des boulangers au sujet de leur facture d’électricité n’est que le début des conséquences engendrées par l’irresponsable politique européenne menée par Bruxelles concernant les sanctions votées contre la Russie. Alors que l’Europe était en position de négociateur entre la Russie et l’Ukraine, la Commission de Bruxelles a renforcé notre vassalité à l’égard des Américains. Les conséquences de cet aveuglement impacte toute la politique d’Emmaneul Macron.
On voit mal en effet où nous emmène une politique dont on comprend bien qu'elle ne sert qu'à acheter la paix sociale sans jamais préparer l'avenir, c'est-à-dire bâtir (pour reprendre la nouvelle métaphore élyséenne), ou plutôt rebâtir l'outil productif français. Les Allemands, eux, ont fait le choix de financer massivement leurs entreprises, considérant que l'urgence était de les empécher de fermer sous le coup de factures énergétiques délirantes.
Lire la suite ICI
Source : Marianne 5/1/2023
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La faillite de la France et l’explosion de la zone euro sont inéluctables
Il n’ y a plus que l’inconscient technocrate Macron pour ne pas croire aux sombres prédictions économiques de 2023, alors que les raisons sont nombreuses : sanctions économiques suicidaires et contre-productives avec la Russie, poursuite de l’inflation, des prix délirants, variables et incompréhensibles de l’électricité pour les entreprises, les artisans, les boulangers, les restaurateurs, les PME qui ne peuvent être abaissés que par la fin du Système mis en place, une véritable usine à gaz inventée par Macron afin de brouiller les cartes (établissement d’un prix clair, juste et compréhensible de l’électricité en sortant du marché européen comme en Espagne et au Portugal ou en pratiquant une politique claire du « quoi qu’il en coûte » comme en Allemagne), hausse des taux d’intérêt, dégonflement des bulles boursières ,obligataires et immobilières, risques de croissance zéro et de récession en Europe, hausse des faillites à venir, double déficit du budget public et de la balance commerciale, dégradation de la notation de la dette française, crise latente de l’UE et explosion inéluctable à venir de la zone euro, tout cela dans un monde malsain avec un endettement public mondial de 96 % du PIB mondial , et même de 247 % si l’on ajoute la dette des ménages et des entreprises !
La France de plus en plus désindustrialisée s’est éloignée de l’Allemagne et des pays de l’Europe du Nord pour devenir un pays de l’Europe du Sud surendetté et non compétitif qui n’attire plus les grands investisseurs industriels (Tesla, projets d’usines de puces, semi-conducteurs tous dirigés vers l’Allemagne). La dette publique française est passée de 20 % du PIB en 1980, à 58 % en 2000, 85 % en 2010 pour atteindre le ratio insoutenable de 114,5 % en 2022. La dette française (2956,8 milliards d’euros) approche les 3000 miliards d’euros et a progressé de 115,9 milliards d’euros en un an.
La France s’enlise en matière de dette avec le cinquième rang dans le peloton de queue européen, après la Grèce (171,1%), l’Italie (144,6%), le Portugal (115,9 %) et l’Espagne (114 %) alors que le taux des obligations du Trésor français (OAT) à dix ans vient de dépasser les 3 %, soit le taux de début 2012, pour la première fois ; il y a un an le taux était de seulement 0,20 %. On assiste donc à une véritable envolée des taux d’intérêt. En un an, en 2022, les intérêts de la dette publique ont augmenté de 34 % pour atteindre 51 milliards d’euros. Mais selon le Président de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, chaque point d’augmentation sur les taux d’intérêt se traduira en effet pleinement, seulement au bout de 10 ans (emprunts nouveaux pour remplacer progressivement la totalité des anciens emprunts venant à échéance), par une augmentation annuelle de 40 miliards d’euros de la charge de la dette, soit le montant du budget des Armées.
A terme, donc, au bout de 10 ans, la seule augmentation de taux d’intérêt à 3% correspondra d’ores et déjà à une charge irréversible et insupportable de 120 milliards d’euros ! Les 51 Milliards d’euros actuels d’intérêt au budget 2023 ne représentent donc que moins de 50% des 120 miliards d’euros d’intérêt à venir ! Si les taux d’intérêt devaient s’élever dans les années qui viennent de 3 % à 6 %, au bout de 10 ans, la France devrait payer 240 milliards d’intérêt, soit 80 % des recettes du budget de l’Etat qui est de l’ordre de 300 milliards d’euros ! Or l’Italie paie déjà 4,63 % de taux d’intérêt et l’Allemagne seulement 2,50 %. Pas besoin donc de sortir de Centrale ou de Polytechnique pour réaliser vers quelle catastrophe la France se dirige, même si les taux d’intérêt devaient rester à 3%, et a fortiori s’ils devaient passer par malheur à 6% !
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Vendredi 20 janvier à Paris : soirée Livr'arbitres consacrée à Tolkien
00:09 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 05 janvier 2023
Macron – Le Maire - Borne pensent-ils vraiment qu’on est des lapins de 6 semaines ?
Bernard Germain
Je le disais dans un article précédent… la chose a remplacé le verbe.
Visiblement, les Français ne comprenaient pas lorsque nous dénoncions la machine diabolique qu’est devenue l’Europe.
À l’origine, conçue pour être une Europe des nations du temps du Général De Gaulle elle s’est transformée en une machine de guerre pour détruire les nations et les peuples d’Europe.
Hier ce n’était que des mots, pour certains. Aujourd’hui cette réalité s’impose à tous, dans toute sa brutalité.
Johnny Blanc, fromager de son état, a été interviewé récemment sur BFMTV concernant le prix de l’énergie qui explose et les conséquences prévisibles de ce phénomène.
Pour lui le problème est d’une simplicité biblique : sa facture d’électricité mensuelle qui était de 4.700€ (ce qui est déjà fort dynamique) est passée à … 30.000€ par mois !
Le malheureux n’est absolument pas un cas isolé.
Les restaurateurs, boulangers, pâtissiers, fromagers,… bref une kyrielle de professions de l’artisanat sont frappées de plein fouet.
Il en est de même pour les industriels, grands et petits.
Sans oublier, bien sûr les particuliers.
Pour un nombre considérable de professionnels, l’alternative est des plus simples :
- Trouver un moyen d’en revenir à des factures normales
- Sinon, mettre la clé sous la porte et déposer le bilan.
Le pouvoir, paniqué par la situation et les conséquences à venir, essaye d’éteindre l’incendie.
Avec des arguments plus mauvais les uns que les autres.
Élisabeth Borne indique que l’État va « accorder un report du paiement des taxes et impôts »
Bruno Le Maire déclare qu’il va « hausser le ton ».
Quant à Macron, il a déclaré lors de ses vœux « Qui aurait pu prédire la vague d’inflation ? »
17:20 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Marc Doyer : 15 jours après le vaccin, ma femme a contracté Creutzfeld-Jacob
Dans la nuit du 3 au 4 mai, Mauricette est décédée après près d’un an de souffrances intenses. Huit mois plus tôt, son mari Marc Doyer et elle, partaient recevoir leur deuxième dose de vaccin Pfizer. Couple très dynamique, ils dirigent ensemble un cabaret. Mauricette se produit sur scène presque tous les soirs ! Quinze jours plus tard, Mauricette ressent des picotements dans les jambes. Un symptôme anodin qui va s’accompagner de plein d’autres jusqu’au diagnostic final : la maladie de Creutzfeld-Jacob, une encéphalopathie spongiforme, ce que l’on appelle communément la maladie de la vache folle.
Marc Doyer a désormais décidé de se constituer partie civile et dépose plainte contre Pfizer, Olivier Véran, Jean Castex, entre autres. Il réclame la vérité sur les effets secondaires des vaccins. Marc Doyer veut savoir pourquoi le risque de contracter la maladie de Mauricette n’était pas expliqué alors qu’elle faisait partie des rapports de l’EMA, l’Agence européenne du médicament, pourquoi son consentement libre et éclairé, fondement de la médecine, n’a pas été respecté. Pour tout cela, Marc Doyer demande justice et il l’affirme : il ne lâchera rien ! Il appelle toutes les victimes d'effets secondaires des vaccins contre le covid-19 à le rejoindre pour mener une action en justice.
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Décès de Pierre Le Morvan, militant historique du combat national et catholique
Cadre historique du MJCF, membre fondateur et premier secrétaire général du Centre Charlier et de Chrétienté-Solidarité, soutien depuis l’origine du pèlerinage de Chrétienté, voix inimitable du Choeur Montjoie Saint Denis, Pierre Le Morvan a été rappelé à Dieu hier.
Source Le Salon beige cliquez ici
Homme de convictions, combattant infatigable, Pierre faisait parti de ces militants exemplaires qui ont contribué au retour sur la scène politique, au début des années 1980, de la droite nationale. Humble, il n'a jamais cherché à tirer un quelconque profit de cette qualité. Il connaissait l'histoire de notre famille politique et il avait la foi chevillée au corps. C'était toujours un plaisir de le retrouver.
Synthèse nationale s'associe à la peine de sa famille et de ses camarades de Chrétienté solidarité.
Roland Hélie
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mercredi, 04 janvier 2023
Défi américain, autosatisfaction européenne
Renaud Girard
Quand on se penche sur les déclarations des dirigeants des grands pays européens ou des institutions de l’Union européenne (UE), on est frappé par leur haut niveau d’autosatisfaction. Depuis une génération, l’Europe progresse technologiquement moins vite que l’Amérique, mais personne ne semble responsable. Pire, personne ne cherche sérieusement les racines de ce déclin relatif. Personne ne s’est jamais interrogé sur les raisons de l’échec du programme de Lisbonne lancé le 24 mars 2000 par le Conseil européen, qui visait à définir pour l’UE « un nouvel objectif stratégique dans le but de renforcer l’emploi, la réforme économique et la cohésion sociale dans le cadre d’une économie fondée sur la connaissance ».
S’il y a une région du monde libre où se développe l’innovation, c’est l’Amérique et non l’Europe. Les cerveaux européens sont au moins aussi capables que les cerveaux américains à faire progresser l’économie de la connaissance - et le démontrent souvent sur le sol américain. En Europe, c’est l’écosystème qui est défaillant. La bureaucratie cumulée des États et de la Commission européenne paralyse la mise en œuvre industrielle des percées scientifiques.
Dans l’espace, l’Europe est, en ce début d’année 2023, à court de fusées pour un accès autonome à l’espace. Ariane 5 a rendu de bons et loyaux services mais est désormais hors production ; Ariane 6 est encore en phase de test. Quant à Vega, tous ses vols ont été annulés après l’accident du 21 décembre 2022, où le deuxième étage de la fusée s’est montré défaillant. L’Agence spatiale européenne n’est plus en mesure de répondre à la demande croissante de lancement venue des États-Unis, de la Chine et de l’Inde. SpaceX, l’entreprise d’Elon Musk, a connu en revanche une année 2022 spectaculairement réussie. Cinquante- neuf tirs avec son lanceur Falcon 9, sans un seul raté. Starlink, du même Musk, est de loin le leader mondial du service d’accès à internet par satellite. Un entrepreneur privé américain a donc donné à son pays un avantage géostratégique important, lorsqu’il a offert un réseau internet de secours à l’Ukraine, dont les communications militaires avaient été neutralisées par une cyberattaque russe.
Dans l’industrie militaire, ce sont surtout des armes américaines qui ont permis à l’armée ukrainienne de résister à l’agression russe : on pense aux armes antichars ou antiaériennes portables Javelin, Stinger, Switchblade ; aux lance-missiles Himars permettant de détruire en profondeur les dépôts de munitions russes ; aux nouveaux drones Phoenix Ghost développés en un temps record. Il est incroyable qu’un pays comme la France, dotée d’une brillante tradition d’industrie militaire, ait été incapable de développer une gamme de drones de combat, alors que la Turquie et l’Iran l’ont fait. Des drones seraient aujourd’hui très utiles aux Arméniens (que la France veut aider), face aux attaques de l’Azerbaïdjan, aidé par la Turquie. Il n’y a pas un seul responsable français qui soit venu à la télévision nous expliquer ce loupé stratégique et quelles leçons le pays allait pouvoir en tirer.
Guidé par l’Office of Science and Technology directement rattaché à la Maison-Blanche, Joe Biden a lancé des investissements massifs dans le domaine des puces nanométriques et des ordinateurs quantiques, qui sont la clé de la suprématie numérique de demain. Rien de comparable en Europe.
Dans l’innovation et l’industrie médicale, américaines sont les trois firmes qui ont produit à une vitesse record les vaccins efficaces qui, en Occident, ont relégué le Covid au statut de simple grippe. On peut se consoler en se disant que le leader de Moderna est un Français et que le vaccin Pfizer a été inventé par un couple de chercheurs allemands d’origine turque. Mais on reste abasourdi que l’Institut Pasteur n’ait pas été à l’origine d’un vaccin français. Quant à la recherche contre le cancer, les principales avancées sont américaines.
Dans le secteur de l’énergie, les Européens n’avaient, à la fin du XXe siècle, rien à envier à l’Amérique. Leurs centrales nucléaires étaient admirées par le monde entier. Hélas, la chancelière Merkel a détruit l’industrie nucléaire allemande dans un geste de démagogie électorale après l’accident de Fukushima (2011) et les récents présidents français, hypnotisés par les écologistes les plus bêtes du monde, ont saboté le formidable outil nucléaire hérité de l’époque gaullo-pompidolienne. Les Européens prendront-ils leur revanche avec l’hydrogène ? Le match transatlantique est encore en cours.
Qui veut investir dans l’innovation songera prioritairement aujourd’hui à l’Amérique, comme l’a fait le centralien Stéphane Bancel, pour le développement de Moderna. Pourquoi ? Tout se passe comme si l’Amérique avait gardé son goût du challenge et de la new frontier, alors que les Européens restent paralysés par leurs bureaucraties autosatisfaites.
Source : Le Figaro 3/1/2023
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mardi, 03 janvier 2023
Nancy, jeudi 5 janvier 2023 : commémoration de la bataille de Nancy
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Vous avez dit bonne année ! Quelle bonne année ?
Le billet de Patrick Parment
C’est bien évidemment le rôle d’un président de cette fantoche république de dire que demain on rasera gratis. Sauf que, en guise d’amuse-gueule, la réforme macronienne des retraites fait bondir tout le landerneau syndical et pas que. Au risque de précipiter une fois de plus les gens dans la rue. Mais, ce n’est pas à nos yeux le sujet principal.
Le vrai sujet est la dégradation de tout ce qui relève du pouvoir régalien et qui part de plus en plus à la dérive. Il n’y a pas de degré dans cette descente aux enfers.
En premier lieu, et le plus inquiétant, c’est l’insécurité dans laquelle sombre ce pays du fait d’une immigration non maîtrisée mais plus encore du refus d’employer la force et d’imposer les lois de la République sur tout le territoire. De ne pas laisser se constituer des ghettos qui sont des zones de non droit. Et de renvoyer chez eux les délinquants et leurs familles. En faisant pression sur les pays d’origine. En réservant les aides publiques aux immigrés qui travaillent. Et en n’hésitant pas à dénationaliser les délinquants et supprimer la double nationalité. Bref, un grand nettoyage qui devrait rapidement calmer les esprits. Mais surtout la rue.
A ce dossier, on peut ajouter celui de la justice qui est dans un état lamentable : manque de moyens, certes, mais aussi des juges irresponsables qui remettent en liberté les délinquants… souvent faute de place dans les prisons. Quant à l’incompétent Dupond-Lajoie-Moretti, il est contesté par les troupes qu’il est censé diriger. C’est Guignol au prétoire.
L’Education nationale, quant à elle, part aussi à la dérive. Hier encore instruction publique, dire Education aujourd’hui relève d’un non-sens. Et pourtant. Il revient aux parents de faire l’éduction de leurs enfants et à l’école de les instruire. Le problème est que les parents n’éduquent plus et que l’école n’instruit plus. Il n’y a plus de boussole dans cette école qui ne forme plus des citoyens mais des individus. En tuant « nos ancêtres les Gaulois » on a fait perdre à nos enfants leurs racines et leur identité. Dès lors, pourquoi aller défendre un pays dont on ignore tout du magnifique héritage humaniste qu’il nous laisse ? Rendez-nous le Lagarde et Michard.
En matière de santé, une remise à niveau de notre système de santé s’impose. Pour se faire, je pense qu’il faut d’abord écouter les médecins et surtout arrêter de contraindre les hôpitaux à la rentabilité. Raisonnement absurde. Il est évident que l’on doit revoir le système en rationalisant les actes médicaux afin d’éviter, entre autres, tous les actes inutiles. Il serait temps aussi de nettoyer les fichiers de la Sécurité sociale où les arnaques sont trop nombreuses. Un état des lieux s’impose. Pour se faire, il faudra mettre au pas une administration un tantinet laxiste.
Autre volet, les transports. Nos gouvernants successifs ces dernières années n’ont rien trouvé de mieux que démanteler la SCNF en la fractionnant en divers unités. Ce qui a entraîné un déséquilibre entre secteur bénéficiaire et déficitaire. Par ailleurs, rien n’a été fait dans l’entretien général du réseau qui aujourd’hui est vieillissant. On a par ailleurs largement réduit le maillage du territoire en fermant les petites lignes. Grossière erreur. A l’heure des économies d’énergie, le train est nettement moins polluant qu’un camion. D’où l’idée d’imposer autant que faire se peut, le ferroutage. Là encore, on paie la note de technocrates inconséquent.
Le dossier nucléaire est peut-être le plus révélateur de la bêtise d’une énarco-bobologie totalement inculte et sous-dévelopée. Alors que nos centrales nucléaires nous assuraient une large autonomie énergétique et surtout électrique, nos responsables politiques, Macron en tête, et sous la pression des Allemands il faut le préciser, ont démantelé ce magnifique instrument garant de notre souveraineté. Tout ça pour faire plaisir à ces imbéciles d’écolos tant allemands que français. Conclusion, nous voici contraint à former une nouvelle génération de spécialistes en la matière et à tous les niveaux, de l’ingénieur au technicien. Henri Proglio, qui fut un temps à la tête d’EDF, avait tiré la sonnette d’alarme. Il n’a pas été écouté. Résultat des courses, nous voici obligés d’importer de l’électricité au même titre que du gaz et du pétrole. Pour ne rien arranger, les Allemands persistent dans leur aveuglement nucléaire, mettant cette triste Union européenne en danger. Le soi-disant axe franco-allemand est un leurre. Et il y a fort à parier que chaque pays européen réagira différemment quand la crise énergétique fera exploser cette chimère qu’est l’Union européenne, dans sa version actuelle.
Autre dossier sensible : l’armée. C’est depuis des décennies la mal aimée de nos gouvernants qui n’ont eu de cesse que d’amputer son budget. Aujourd’hui notre armée est un fantôme. Son matériel est défaillant à l’exception de quelques pépites qui maintiennent l’illusion comme nos avions Rafale et nos sous-marins nucléaires. La valeur de nos troupes n’est pas en cause, nos militaires font ce qu’ils peuvent avec ce qu’ils ont sous la main et nos commandos valent largement ceux des autres armées. Mais, ici comme ailleurs, on manque de tout. Nos militaires, eux aussi, ont tiré la sonnette d’alarme. Ce qui a amené, par exemple, le général de Villiers à démissionner. Le moral des officiers et au plus bas. Et en plus, on nous demande d’aider l’Ukraine. C’est-à-dire d’en rajouter au suicide de l’Europe.
Bref, on a le sentiment que nos soi-disant élites des broussailles, sont en train de brader ce pays déjà bien immolé sur l’autel du libre-échangisme. Et l’Union européenne ne fait qu’en rajouter des couches. Au lieu, de défendre nos intérêts, la mère van der Leyen ne fait qu’accentuer notre vassalité à l’égard d’une Amerique qui met le chaos dans le monde depuis 1945 et dont les armées vont de défaite en défaite du Vietnam à l’Afghanistan pour finir au Moyen-Orient. Aujourd’hui, elle mène une guerre contre la Russie par Ukraine interposée, et c’est toute l’Europe qu’elle met en danger. Et ce pour une simple et bonne raison : l’Europe refuse de se voir comme une puissance – ce qu’elle est dans les faits – sous la pression des Américains. Ce qui se joue aujourd’hui, à travers le conflit ukrainien, c’est une vision du monde : le refus d’un monde unipolaire libéral porté par ce que l’on appelle les Occidentaux, face aux tenants d’un monde multipolaire qui respecte les peuples, leurs différences et leur souveraineté telles la Russie, la Chine et l’Inde. Dit autrement et en termes de géopolitique, c’est l’affrontement entre puissance maritime (Amérique) et puissance continentale (Russie, Chine, Inde), la terre contre la mer. L’Europe devrait être du côté de la terre. Elle n’en est pas. Parce que nos élites sont aveugles, incultes, bornés et pas à la hauteur des enjeux.
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L'état mental de Macron est-il compatible avec l'exercice de son mandat ?
François Asselineau explique depuis plus de 15 ans que l'appartenance de la France à l'Union européenne interdit aux présidents de la République de défendre prioritairement les intérêts de la France et des Français.
Non seulement Macron ne fait pas exception à cette règle, mais encore il met un zèle tout particulier à détruire la France dans tous les domaines.
À ce constat de haute trahison, s'ajoute le comportement personnel de plus en plus inquiétant et déséquilibré de Macron, qui signale une santé mentale en grave détérioration.
Entre prétendue « grave dépression », inventions d'entretiens avec des chefs d'État étrangers qui n'ont pas lieu, annonces de projets grandioses mort-nés, comportements erratiques et hystériques et déclarations sans queue ni tête, Macron achève de se ridiculiser et de ruiner le peu de crédibilité qu'il restait à la France sur la scène mondiale.
Les Français vont-ils pouvoir supporter encore presque quatre ans et demi un président de la République frappé de troubles mentaux évidents et de plus en plus fréquents ?
La question de la santé mentale de Macron est posée ; l'article 68 de notre Constitution permet d'y répondre : « Le Président de la République ne peut être destitué qu'en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat ».
L'ÉTAT MENTAL DE MACRON EST-IL ENCORE « COMPATIBLE » AVEC SA FONCTION ?
Article 68 de la Constitution – Le dossier sur la destitution de Macron est disponible ici : https://www.upr.fr/article-68-le-doss…
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lundi, 02 janvier 2023
Pays-Bas : un modèle pour le meilleur des mondes écomoderniste ?
Colin Todhunter
Le « capitalisme du désastre » [1] et les récits de crise servent actuellement à manipuler l’opinion publique et à faire accepter une série de mesures douloureuses qui, sans cela, ne bénéficieraient pas d’un soutien politique suffisant.
Ces mesures sont promues par de puissants intérêts financiers espérant en tirer des gains atteignant des milliards de dollars. Ils cherchent à obtenir le contrôle total de l’alimentation et de la manière dont elle est produite. Leur vision fait partie d’un programme plus large visant à redéfinir la façon dont l’humanité vit, pense et agit.
Les manifestations d’agriculteurs néerlandais ont fait la une des journaux pendant une grande partie de l’année 2022. Les projets visant à réduire de moitié la production d’azote des Pays-Bas d'ici à 2030 ont provoqué des manifestations massives. Le gouvernement leur oppose la sortie nécessaire de l’agriculture animale, citant l’impact de ses émissions sur le climat.
Cette « transition alimentaire » va souvent de pair avec la promotion de « l’agriculture de précision », du génie génétique, des aliments synthétiques fabriqués en laboratoire et de la réduction du nombre des agriculteurs et d’exploitations agricoles. Cette transition est présentée comme étant « respectueuse du climat », conformément au récit relatif à « l’urgence climatique ».
Le militant Willem Engel affirme que le gouvernement néerlandais ne cherche pas à éliminer les agriculteurs pour des raisons environnementales, mais plutôt pour faire place à la « Tristate City », une mégalopole d’environ 45 millions d’habitants s’étendant jusqu’en Allemagne et la Belgique.
Engel soutient que la « crise de l’azote » est une manipulation visant à faire passer des mesures qui permettront de remodeler le paysage national. Il énonce que le principal émetteur d’azote aux Pays-Bas n’est pas l’agriculture, mais l’industrie. Toutefois, les terres actuellement occupées par les exploitations agricoles revêtent une importance stratégique pour l’industrie et le logement.
23:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |