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mercredi, 18 janvier 2023

Liberté d’expression ? une plaisanterie !

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Robert Spieler

Tout le monde dans le milieu nationaliste connaît le très sympathique et dynamique Jean-Christophe Gruau, qui fut plusieurs années durant l’employé très efficace et fort agréable de la Librairie française dans le quinzième arrondissement de Paris. Figurez-vous que Gruau, ancien conseiller municipal de Laval, vient d’être condamné à six mois de prison avec sursis, à deux publications judiciaires dans les journaux et à plusieurs milliers de dommages et intérêts, dont 1 000 euros pour Bruno Bertier, le premier adjoint au maire de Laval. Jean-Christophe Gruau s’était en effet autorisé quelques toutes petites considérations qui furent considérées comme “homophobes” par l’intéressé, qui porta plainte. Gruau s’en était pris à Bertier qui fut père de famille et marié à une femme, la mère de ses enfants, avant de tourner casaque, et qui fut de droite, avant d’être de gauche. L’ancien élu de Laval a été condamné pour injure pour les deux tweets suivants : « Minable Bertier ! Ta ville, comme tu le dis, a vécu des siècles et des siècles sans faire de la propagande pour tes “penchants” que tu ne cesses de mettre en avant!»; « Lui au moins, cet Idrissa Gueye (milieu de terrain sénégalais musulman du PSG qui avait déclaré forfait pour ne pas avoir à porter un maillot aux couleurs arc-en-ciel des fiertés LGBT), il ne ferait pas bon ménage avec le premier adjoint de la mairie de Laval... Et il refuserait de marcher sur les passages cloutés aux couleurs de l’arc-en-ciel “tantouzoulâtre’’ qui ridiculisent ma ville préférée, celle de ma jeunesse ! »

Ces considérations audacieuses et courageuses ont ainsi valu à Jean-Christophe Gruau, qui a interjeté appel, une lourde condamnation. Il considère que « ces deux tweets ne constituent pas une injure au sens de la loi sur la presse et qu’il doit être relaxé au nom de la liberté d’expression ». Mais la liberté d’expression, aujourd’hui en France, n’est qu’une vaste plaisanterie ! Même un Eric Zemmour fait les frais de la tyrannie ambiante. Il vient en effet d’être condamné à 4 000 euros d’amende pour injure raciste, le parquet ayant requis 20 000 euros, et à 3 000 euros de dommages et intérêts à verser à Hapsatou Sy ainsi qu’à 2 000 euros en frais d’avocats pour avoir qualifié le prénom de l’ex-chroniqueuse du groupe Canal+ Hapsatou Sy d« insulte à la France ». Zemmour est visé par de nombreuses procédures. En 2023, il doit être prévenu dans huit procès à Paris après des plaintes visant des propos qu’il a tenus.

Source : Rivarol 18/1/2023

Jean-Christophe Gruau sur TV Libertés, c'était en juillet 2021 cliquez ici 

 

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mardi, 17 janvier 2023

Virginie Joron décrit la corruption des institutions européennes

Interview de la députée européenne Virginie Joron, qui décrit, du Pfizergate au Qatargate, la corruption au sein des institutions européennes. Accrochez-vous, ça envoie du bois !

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Source : Le Courrier des Stratèges

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Pierre De Gaulle : "Ils ont détruit la France de mon grand-père !"

Avec Pierre De Gaulle, petit-fils du général de Gaulle

Retrouvez Bercoff dans tous ses états avec André Bercoff du lundi au vendredi de 12 h 30 à 14 h sur #SudRadio.

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Alexis Arette, le paysan poète, militant infatigable de la cause nationale, est décédé

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Béarnais, agriculteur engagé, écrivain talentueux, poète, militant infatigable de la cause nationale, homme de qualité, Alexis Arette, né en 1923, vient de nous quitter. 

Après être parti se battre en Indochine en 1949, d'où il revint blessé (et aussi décoré de la Légion d'honneur et de quelques autres médailles), Alexis fut de tous les combats, socio-professionnels et politiques, de ces 70 dernières années.

Syndicaliste agricole, il défendit sans cesse l'enracinement et le travail de la Terre. Il fut en 1957 élu "Premier paysan de France" par le Conseil national des jeunes agriculteurs (CNJA) et finit par accéder, en 1982, à la présidence de la Fédération française de l'agriculture (FFA). Alexis Arette inscrivait son combat dans la continuité de celui du leader paysan des années 1930, Henri Dorgères. Il fut aussi l'un des promoteurs de l'agriculture biologique. 

Il en allait de même en politique. Après s'être engagé dans le combat pour l'Algérie française au début des années 1960 (ce qui lui valut de la prison pour militantisme pro-OAS), et avoir participé à tous les combats nationalistes, il devint, de 1986 à 1998, conseiller régional d'Aquitaine sous l'étiquette du Front national alors présidé par Jean-Marie Le Pen.

Alexis Arette témoigna à de nombreuses reprises son intérêt pour Synthèse nationale. Il intervint lors de notre première Journée nationale et identitaire en 2007 à Paris.

Depuis quelques années, il vivait retiré dans son Béarn qu'il aimait tant. RIP.

Roland Hélie

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Alexis Arette, premier à partir de la gauche, à côté de Jack Marchal, en octobre 2007 lors d'une Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale.

Les obsèques d'Alexis Arette se dérouleront ce mercredi 18 janvier, à 15 h. 00, en l'église de son village natal de Momas, près de Pau (64).

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Eléments pour une doctrine française de l’immigration

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La question de l’immigration n’en finit pas de susciter des controverses passionnées, où les points de vue nuancés ont depuis longtemps cédé la place aux slogans. Il est urgent de poser le problème en interrogeant les fondamentaux de la vie en société et la longue désagrégation sociale et sociétale de notre Europe. Alain de Benoist nous propose ici plusieurs points de départ pour reprendre à nouveaux frais la question migratoire, avant que la France ne devienne une sorte de terrain vague ouvert à toutes les formes de camping sauvage au nom de la libre circulation des personnes et des biens.

Lire la suite ICI

Source : Monde et Vie 30/12/2022

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Samedi 28 janvier, à La Flotte en Ré : rassemblement pour défendre la statue

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10:44 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La filière gaz et pétrole de schiste français doit être testée de façon urgente !

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Marc Rousset

L’hiver énergétique 2024 sera beaucoup plus difficile à surmonter que l’hiver 2023 car les températures seront probablement moins clémentes et parce que les stocks de gaz n’auront pas été remplis, comme en 2022, avec du gaz russe bon marché de Nordstream.

« The Shift project », groupe de réflexion français sur la transition énergétique, présidé par le polytechnicien Jean-Marc Jancovici, s’inquiète sur la situation difficile pour la France et l’UE, après 2023. Il prévoit des déficits structurels à venir en matière de gaz. Dans une étude conduite pour le ministère des Armées, le « Shift Project » estime qu’en cas d’arrêt durable des livraisons russes, 40 % des besoins de l’UE ne seraient pas couverts par des contrats d’importation déjà identifiés.

Or, suite à l’inacceptable sabotage des gazoducs Nord Stream par l’Angleterre, avec l’accord des États-Unis, il faut s’attendre à des années de faibles livraisons de gaz russe. La seule issue possible consisterait à diminuer fortement la consommation de gaz de l’UE car les livraisons de gaz GNL, en provenance du Qatar et des États-Unis ne seront pas suffisantes La demande de l’Asie est appelée en effet à dépasser celle de l’Europe et une concurrence pour s’approvisionner en GNL entre l’Europe de l’Ouest, l’Asie, et de nombreux pays en développements est à redouter. La concurrence jouera même, de surcroît, entre les pays membres de l’UE.

Le « Shift Project » s’insurge contre l’aveuglement et la naïveté de l’UE en matière de géopolitique de l’énergie. En Chine, par exemple, 100 % des besoins estimés de gaz en 2025 sont déjà couverts par des contrats à long terme. La France se doit donc d’étudier sérieusement la possibilité du gaz de schiste français, au lieu de se lancer d’une façon aveugle avec Macron dans la croissance des capacités d’énergie renouvelable dont les calamiteuses, polluantes, ruineuses éoliennes imposées d’une façon dictatoriale, contre l’avis des populations, dans les ahurissants et inimaginables actuels projets de loi.

Il se trouve que la France dispose d’un atout considérable qui est complètement exclu du débat public : l’exploitation du gaz de schiste dont les enjeux ne peuvent écartés pour des raisons idéologiques. Le gaz de schiste américain est exploité depuis la fin des années 2000 aux États-Unis. L’exploitation est actuellement interdite en France, suite aux pressions des bien-pensants, des Khmers verts et des gauchistes, alors que le rapport remis au ministre Arnaud Montebourg ouvrait des perspectives d’avenir.

Ce rapport souligne tout d’abord les quantités phénoménales de gaz et pétrole de schiste techniquement exploitable dans le sous-sol français. Situés principalement dans le nord-est et le sud-est de la France, les bassins d’extraction français pourraient fournir environ 16 milliards d’équivalents barils de pétrole, soit 26 ans de consommation française. En ce qui concerne le gaz, le potentiel estimé est de 3870 milliards de mètres cubes, soit 90 ans de consommation française. La rente économique de l’exploitation de ces hydrocarbures d’avenir pourrait atteindre 294 milliards d’euros en étant optimiste et au minimum 103 milliards d’euros en étant pessimiste, ce qui pour un pays en faillite, comme la France, présente un intérêt non négligeable.

Le rapport n’élude pas la question des conséquences environnementales et rejette catégoriquement la technique américaine de la fracturation hydraulique qui nécessite l’utilisation de grandes quantités d’eau ainsi que d’additifs. Le rapport souligne, par contre, et met en avant une autre technique de fracturation de la roche en utilisant de l’heptafluoropropane, gaz non inflammable qui permet de mettre la roche sous pression aussi efficacement qu’avec de l’eau, mais en minimisant les risques pour l’environnement et en limitant les risques industriels. Le sous-sol français est donc doté de réserves d’hydrocarbures considérables qui peuvent être exploitées par des techniques prometteuses et respectueuses de l’environnement.

L’indépendance énergétique de la France et de l’UE s’en trouverait considérablement accrue. L’UE se suicide économiquement en croyant se libérer de la dépendance énergétique russe, pour se mettre sous la dépendance énergétique des États-Unis, du Qatar, de l’Azerbaïdjan, comme on l’a vu lors du scandale des pots-de-vin qataris au Parlement européen, avec chantage et menaces de ruptures d’approvisionnement en provenance du Qatar.
De plus, nous importons des États-Unis à un prix astronomique du gaz de schiste que nous avons sous nos pieds, alors qu’il a été extrait avec la fracturation hydraulique que nous refusons d’employer en France. Enfin, en exploitant son propre gaz de schiste, la France éviterait la pollution des océans par les méthaniers et les pertes de gaz lors des processus de liquéfaction dans les pays fournisseurs et de regazéification à l’arrivée dans les ports européens. Ce gaz de schiste français permettrait à la France d’attendre avec plus de sérénité la mise en exploitation en 2035, au plus tôt, des 6 réacteurs nucléaires EPR.

En négligeant depuis 15 ans notre filière nucléaire, Macron et Cie ont mis à mal la souveraineté énergétique française. La France est obligée d’importer du gaz de schiste américain liquéfié qui pollue l’océan Atlantique et de faire à nouveau fonctionner ses centrales à charbon qui émettent 1058 grammes de CO2 par kWh ! La France doit donc vaincre le tabou de l’exploitation du gaz de schiste qui représente une opportunité unique et vitale dans l’attente de la construction des 6 réacteurs nucléaires en 2035, et plus vraisemblablement en 2040, puisqu’il aura fallu 16 ans pour construire Flamanville !

Avant de se jeter trop rapidement sur le renouvelable (solaire et éolienne) polluant et trop onéreux, de la même façon qu ’il a fermé stupidement et aussi vite Fessenheim, avec des actuels projets de loi dignes d’un régime totalitaire ne laissant aucune possibilité aux habitants concernés de s’opposer aux divers projets, Macron ferait mieux de faire auditer une exploitation pilote de gaz de schiste en France ! Avec bien évidemment les dernières techniques respectant l’environnement telles que celle de l’heptafluoropropane !

10:41 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 16 janvier 2023

Énergie : Un scandale français absolu, tous les traîtres méritent d’être condamnés !

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Bernard Germain

Nous sommes en train de vivre, en France, un scandale qui dépasse tout ce qui est imaginable !

Les faits que je vais évoquer relèvent de la haute trahison, le mot est faible, et les responsables mériteraient d’être jugés, condamnés et si c’était possible d’être fusillés.

La crise énergétique que nous traversons actuellement est en train de ravager notre pays et son économie.

La population française est frappée extrêmement durement, les boulangers aussi et de nombreuses profession artisanales, tout comme la restauration, sans oublier l’industrie. Ainsi que tant d’autres professions.

Tout le monde reçoit des factures d’électricité délirantes.

Le pays est au bord de la faillite.

Mais sachez-le… cela est voulu et organisé par le Président de la République, le gouvernement et l’État français.

Oui, vous avez bien lu… c’est voulu et organisé sciemment !

Certains se diront peut-être que j’ai perdu tout sens de la mesure et que je raconte n’importe quoi.

À vous de juger. Voici les éléments du dossier.

Le premier élément, c’est la politique énergétique de l’Allemagne.

A partir de l’arrivée au pouvoir d’une coalition verts – SPD, en 1998, la décision fut prise d’arrêter le nucléaire en Allemagne.

C’est Angela Merckel qui mit en œuvre cette politique à partir de 2011. Un programme d’arrêt des centrales nucléaires fut décidé. Il devait s’arrêter fin 2022.

Pour compenser, l’Allemagne s’est couverte d’éoliennes. Plus de 30.000 en service à ce jour. Mais comme chacun sait les éoliennes ne fonctionnent que 25 % du temps. En complément, les allemand ont eu recours massivement aux centrales à gaz pour produire leur électricité. Gaz qui était acheté à la Russie et acheminé par les gazoducs Nord Stream et Nord Stream2.

Le tout étant fait au nom de la lutte contre le réchauffement climatique et donc avec utilisation d’« énergies renouvelables ».

Avec l’explosion du prix du gaz, l’Allemagne est en train de rouvrir 27 centrales à charbon.

En fait, et personne ne le nie, ces structures produisent énormément plus de carbone que le nucléaire. Donc au nom de la lutte contre le réchauffement climatique l’Allemagne a fait un choix qui produit infiniment plus de CO2 qu’avant. Sous les applaudissements des écolos !

Second élément, la France disposait il y a encore une vingtaine d’années du plus beau parc nucléaire, sans doute du monde. Notre production d’électricité était largement excédentaire et procurait au pays une électricité peu chère, très décarbonée, et dont nous vendions une part importante à l’exportation, ce qui était bon pour notre balance commerciale.

Mais c’était inacceptable pour les allemands qui voyaient cela comme un avantage insupportable pour notre industrie vis à vis de la sienne.

Ils ont donc œuvré via l’Europe pour couler notre parc nucléaire et supprimer ainsi l’avantage que la France avait sur l’Allemagne.

Henri Proglio (ex PDG d’EDF 2009-2014) l’a confirmé devant la commission parlementaire fin 2022 en déclarant : « L’obsession allemande depuis 30 ans, c’est la désintégration d’EDF. Ils ont réussi »

Pour arriver à ce résultat l’Allemagne a d’abord demandé à l’Europe de lister les énergies propres, celles dont elle allait faire la promotion.

C’est à cette occasion que Dominique Voynet, ministre « vert » du gouvernement Jospin, a trahi la France et le mandat qu’elle avait reçu, en torpillant le nucléaire avec l’aide de son collègue anglais.

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20:52 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

NON au démontage de la statue de l'Île de Ré ! Signez la pétition nationale

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Des militants d’extrême-gauche veulent faire démonter la statue de la Vierge sur l’Île de Ré.

Cette statue a été édifiée en 1945 pour une famille, après le retour d’un père et de son fils de la Seconde Guerre mondiale.

Pour couper la France de son héritage culturel, ces extrémistes détournent la loi de 1905 qui défend la neutralité de l’État, l’égalité des citoyens et la liberté de conscience.

C’est l’un des nombreux assauts du mouvement « woke » contre la France. 

Ils voudraient bien réécrire l’Histoire de France et en arracher les racines chrétiennes !

L’idéologie destructrice de la Cancel culture est un poison qui se répand dans les esprits universitaires, dans les administrations françaises et bruxelloises, dans les tribunaux… Même Macron avait annoncé la couleur en déclarant avant sa première élection qu’ « il n’y a pas de culture française ».

L’enjeu dépasse largement le cadre municipal. C’est un enjeu de civilisation. Si vous ne la combattez pas avec fermeté maintenant, cette idéologie en sortira renforcée et continuera de se propager comme un cancer.

Signez la pétition pour manifester votre protestation : NON au démontage des statues pour des raisons idéologiques ! Ne touchez pas à nos racines !

SIGNEZ LA PÉTITION MAINTENANT ! 

Lire aussi cliquez là - Pour signer cliquez ici

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Dimanche 29 janvier, près de Rennes : Galette des rois du Parti de la France (35)

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19:34 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le négociateur

Analyse de la nomination de Kevin McCarthy comme Speaker et les crimes médiatiques liés à la censure des effets secondaires des vaccins avec Alexis Cossette.

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16:41 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Le lobby éolien essaie par tous les moyens d'accélérer les énergies renouvelables !"

Fabien Bouglé, expert en politique énergétique et auteur de Éoliennes : la face noire de la transition écologique Éditions du Rocher.

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16:02 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le grand vertige

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Tanguy de l’Espinay *

L’intelligence artificielle sort enfin de la brume. Popularisée par un ordinateur champion d’échecs puis un film de Spielberg au tournant  du millénaire, l’Inteligence Aartificielle (IA), concept encore flou pour le commun des mortels, vient de débouler avec fracas dans notre réalité quotidienne. Depuis quelques semaines, ChatGPT, un robot en ligne capable de produire sur commande, et en quelques secondes, des textes  d’une précision bluffante, fait sensation.

C’est bien simple : ce petit agent conversationnel peut pondre à peu près ce qui vous chante : une recette de cuisine, une histoire pour endormir  vos enfants, une lettre d’amour, une notice de montage. Le tout en français, en chinois, en langage HTML, en verlan ou en alexandrins. Accessible à tous et gratuit, ChatGPT tape souvent dans le mille si vous jouez à Trivial Pursuit avec lui, et pour cause : il a ingéré Wikipédia, Google et des milliers de contenus en ligne.

« Rupture technologique majeure », « bouleversement civilisationnel » : les mots pleuvent ici et là pour décrire ce qui constitue a minima un événement vertigineux, au sens où l’horizon des tâches intellectuelles que l’on peut sous-traiter à l’ordinateur vient de s’élargir au champ  du quotidien. Pour le meilleur... et pour le pire : l’élève flemmard peut désormais lui confier ses devoirs, le malade naïf un protocole thérapeutique, le cyberpirate l’écriture d’un code malveillant.

Chaque progrès charrie son lot de fantasmes, mais ne faisons jamais l’erreur de considérer l’IA pour plus qu’elle n’est : sous perfusion de données fixes et périssables, ChatGPT n’est qu’une illusion d’intelligence qu’il nous faut justement accueillir avec... intelligence : sans paniquer mais avec prudence, pourquoi pas en le bannissant de l’école, comme l’a fait la ville de New York, au moins en le régulant, comme l’Europe tente de le faire, avec un AI Act en préparation.

« ChatGPT est un outil, pas une solution magique », rappelle-t-il d’ailleurs lorsqu’on lui demande d’écrire un édito sur lui-même. Ça vaut pour toute l’IA.  À l’homme de garder le doigt sur le bouton.

 (*) Rédacteur en chef adjoint, chef du service Futurs au Parisien

 Précision : ChatGPT est un projet de pointe lancé par OpenAI, un institut de recherche à la base non lucratif créé en 2015 par l’Américain Elon Musk et Sam Altman.

Source : Le Parisien 16/1/2023

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Revue de presse : Callac, petite ville à la campagne, vous accueille !

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Louis-Joseph Delanglade Je suis français cliquez ici

Cette invitation du site officiel de la commune de Callac (Côtes-d’Armor) prend une signification bien particulière, un tantinet ironique, depuis que M. Rolland, le maire tendance gauche « humaniste » (c’est-à-dire, en l’occurrence et en bon français, « immigrationniste »), a déclaré mercredi 11 renoncer au projet Horizon. Lui et sa garde rapprochée ont justifié la reculade par l’hostilité d’une majorité d’habitants (jusqu’à 80% selon certains) et du conseil municipal (vote du 21 décembre) mais aussi par la violence d’une certaine extrême droite. L’association « Les Amis de Callac et ses environs », association née pour la circonstance, se félicite quant à elle de cette décision.

Et nous avec. En effet, le projet Horizon prévoyait d’accueillir (c’est-à-dire loger) quelques dizaines d’immigrés venus en famille d’Afrique noire (environ soixante-dix familles, ce qui n’est pas rien pour une commune de 2200 habitants) en situation régulière (c’est la moindre des choses) et avec un projet professionnel garanti (une aubaine pour eux mais une injustice pour les quelque 20% de chômeurs que compte la bourgade). Le tout avec l’appui financier du fonds de dotation privé Merci. L’objectif avoué de l’opération était de redynamiser une petite ville bretonne pour en faire « un  village multiculturel peuplé d’habitants réfugiés [les Africains] et non réfugiés [les Bretons ?] ». On comprend que le projet ait pu enthousiasmer les uns, idéologues de tout poil qu’aucune utopie ne rebutera jamais, et hérisser les autres, pour lesquels il ne saurait être question de transformer la nature même de Callac pour en faire un « village pionnier » et un « modèle duplicable ».

Pour l’instant, ce sont donc ces derniers qui semblent l’emporter. On doit s’en réjouir, mais on peut surtout s’inquiéter. En effet, cette tentative, même avortée après deux années de préparation, laisse présager des lendemains difficiles. Ainsi faut-il savoir que Callac avait été choisi parmi une vingtaine de localités candidates et que d’autres Callac risquent de suivre. D’ailleurs, en septembre dernier, devant ses préfets, M. Macron a bien repris à son compte l’idée d’instiller une partie de la population immigrée – notamment afro-musulmane, familles entières et/ou mineurs « isolés » – dans les campagnes françaises. Comme celles-ci ne compteraient actuellement que 5% d’immigrés, le processus permettrait de mieux intégrer ces étranges étrangers.

Utopie ou cynisme ? On a toutes les bonnes raisons de penser que le risque est de voir les nouveaux venus accélérer le processus de désintégration de la France rurale et même de craindre que cela ne soit le véritable mobile du parti immigrationniste. Ainsi existe-t-il déjà une association, Viltaïs, dûment subventionnée par l’État, c’est-à-dire par nous, qui a pour but avoué, reconnu et donc financé, de gérer l’arrivée, l’installation et le suivi des familles « réfugiées » (mot fourre-tout qui permet toutes les dérives) dans toute la France. Rappelons que, dans le cas de Callac et si l’on en croit la préfecture, le projet d’acquisition de plusieurs maisons par Viltaïs n’est pas annulé.  

L’affaire de Callac est exemplaire : elle prouve que certaines « élites » ont effectivement décidé qu’il fallait aider les immigrés plutôt que les autochtones. Pourquoi, en effet, ne pas financer un projet Callac à destination de ceux de ses ex-habitants qui ont été obligés de quitter le pays (un tiers des habitants ont dû quitter Callac au cours du dernier demi-siècle) et qui pourraient souhaiter revenir s’y installer et y travailler ? D’ailleurs une telle mesure, si elle était généralisée, présenterait le mérite collatéral de supprimer une « pompe aspirante » pour l’immigration. 

10:36 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 15 janvier 2023

A LA FLOTTE EN RÉ (17), ILS VEULENT ENLEVER LA STATUE DE LA SAINTE VIERGE

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Comme aux Sables d'Olonne avec la statue de Saint-Michel, la secte islamo-gauchiste intitulée "les Libres penseurs" à la prétention, au nom de sa volonté obsessionnelle de déchristianisation de la France, de faire enlever une statue de la Sainte Vierge située à La Flotte en Ré sur l'Ile de Ré.

Inutile de préciser qu'en Charente-Maritime, comme ailleurs, les lieux de culte musulmans se multiplient sans que cela semble heurter la conscience de ces rouges inquisiteurs.

Déjà, la résistance populaire commence à s'organiser. Des manifestations sont prévues. Les habitants de la commune sont opposés à cette décision de justice et les jeunes commencent à se mobiliser. Comme à Callac, c'est la détermination de ceux-ci qui fera reculer le Pouvoir.

Il faut soutenir les initiatives qui seront prises pour défendre la statue de la Sainte Vierge de La Flotte en Ré. On en reparle.

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Signez la pétition nationale cliquez ici

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Déjà, à l'avant-garde, les jeunes catholiques de la Flotte en Ré se sont mobilisés cette semaine devant la statue.

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samedi, 14 janvier 2023

Le 25 janvier, sortie nationale du film Vaincre ou Mourir

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Pour ne pas oublier les morts de Vendée :

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Le projet de réforme des retraites est celui de la Commission européenne

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Bernard Monot

Un communiqué du Cercle national des économistes

 

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Cliquez sur ce communiqué pour le grossir.

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Emmanuel Todd : la troisième guerre mondiale a commencé

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Penseur scandaleux pour les uns, intellectuel visionnaire pour les autres, « rebelle destroy » selon ses propres termes, Emmanuel Todd ne laisse pas indifférent. L’auteur de La Chute finale, qui prédisait dès 1976 l’effondrement de l’Union soviétique, était resté discret en France sur la question de la guerre en Ukraine. L’anthropologue réservait jusqu’ici la plupart de ses interventions sur le sujet au public japonais, publiant même dans l’Archipel un essai au titre provocateur : La Troisième Guerre mondiale a déjà commencé.
Pour Le Figaro, il détaille sa thèse iconoclaste. Il y rappelle que si l’Ukraine résiste militairement, la Russie n’a pas été écrasée économiquement. Une double surprise qui rend, selon lui, incertaine l’issue du conflit. Au-delà de l’affrontement militaire, Todd, en anthropologue, insiste sur la dimension idéologique et culturelle de cette guerre et sur l’opposition entre l’Occident libéral et le reste du monde acquis à une vision conservatrice et autoritaire. Les plus isolées ne sont pas, selon lui, ceux qu’on croit.

Lire l’entretien ICI

Source : Le Figaro 13/1/2023

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Journal du chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

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RAPPEL : Philippe Randa dédicacera ses livres samedi 14 janvier à la Librairie Vincent à Paris

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Pour se procurer ce livre cliquez ici

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vendredi, 13 janvier 2023

Un nouveau livre de Franck Abed consacré à Napoléon

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Franck Abed est passionné par l'Histoire de France et par la politique. D'ailleurs, l'un va rarement sans l'autre. Militant, il anime tout un réseau de médias alternatifs. Il fut l'un des premiers, au début des années 2000 à réaliser des entretiens politiques filmés qui avaient, avant l'heure, déjà une belle audience.

Il vient d'écrire un ouvrage consacré à Napoléon et il explique dans un entretien qu'il a édité récemment sur son site son intérêt pour celui qu'il appelle "le héros éternel". Entretien que nous publions aujourd'hui pour présenter son livre.

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La légende de Napoléon est indissociable des circonstances de la bataille qui mit fin au « retour de l’Aigle ». Vous avez toujours affirmé que le 18 juin 1815 la victoire était à la portée de l’Empereur. Confirmez-vous encore ce propos ?

Je le confirme et le maintiens sur la base de faits historiques que tout à chacun est libre de constater. Mais avant de répondre sur la dimension à proprement parler militaire, je tiens à rappeler les intentions de Napoléon une fois revenu à Paris. N’oublions donc pas qu’il a adressé aux différents souverains d’Europe des offres de paix qui ne reçurent que dédain et mépris. Devant cette arrogance et intransigeance diplomatiques, Napoléon est reparti sur le sentier de la guerre avec l’objectif de remporter une victoire éclatante afin de gagner une paix durable.


Toutefois, il existait en mars 1815 deux écueils majeurs auxquels Napoléon était confronté. Tout d’abord, il sentait bien qu’autour de lui l’enthousiasme était chancelant. En effet, les piliers de l’Empire montraient quelques signes de fragilité. Ensuite, il a véritablement sous-estimé la haine des chefs d'États coalisés à son égard. Il ne pouvait que difficilement saisir la jalousie qui animait les vieilles têtes couronnées. Le projet de la septième coalition ne souffrait d’aucune équivoque. Assurément, dès l’annonce de son retour d’exil, ils ont confirmé leur volonté de l’éliminer, lui et sa famille, du jeu politique continental… Le retour glorieux de Napoléon ne doit pas occulter ce contexte géopolitique si particulier ainsi que l’ambivalence du soutien des notables français à l’égard de Napoléon.

La campagne de Belgique s’ouvrit sous les meilleurs auspices. Les anglo-prussiens sont surpris de l’audace napoléonienne quand ils apprennent qu’il a traversé la frontière avec ses troupes. Les états-majors ennemis pensaient que Napoléon adopterait une posture attentiste ou plus exactement défensive. Après tout ce temps, c’était mal le connaître ou le sous-estimer. Wellington en apprenant l’avancée de l’armée française dira : « Napoléon m’a volé un jour de marche ».

Sur le papier, le plan de l’Empereur était parfait : s’insérer entre les deux armées et les battre séparément. Cette tactique, Napoléon l’avait déjà employée plusieurs fois avec succès au cours de sa prodigieuse carrière. Cette fois-ci, malheureusement, les applications concrètes de cette stratégie se heurteront au mur implacable des manquements, des insuffisances et des non-dits. Napoléon est vainqueur à Ligny, mais la victoire se révèle non définitive ni totale. L’armée prussienne est battue mais non détruite. Elle demeure en capacité de reprendre le combat. Quant à Ney, aux Quatre-Bras, il n’a pas totalement exécuté les ordres de l’Empereur. La suite est connue, Grouchy part à la poursuite des Prussiens et Napoléon se prépare pour la grande confrontation contre Wellington.

Nonobstant les erreurs, les trahisons et les hésitations, Wellington le 18 juin 1815 vers 18h00 donna des ordres pour préparer la retraite. Il dit même le propos suivant : « Give me night or give me Blücher », c’est dire la confiance qu’il accordait  à ses troupes pour la victoire finale. Pourtant, les Prussiens avaient commencé à débouler sur notre droite dès 16h30. Une heure trente plus tard, Wellington doutait encore du succès de son plan et supplia que la nuit ou Blücher arrivent, tels le deus ex machina des tragédies grecques, pour lui éviter une défaite certaine. De même, Wellington fut prévenu par - au moins - un traître que des bataillons de la Moyenne Garde se préparaient à l’attaquer. Cette information cruciale, reçue au meilleur moment, lui permit de renforcer son centre.

Concrètement, cette défaite aux retombées incalculables se joua à très peu de choses. Nous sommes loin, très loin, d’une victoire coalisée brillante. L’armée napoléonienne ne fut pas défaite par manque de courage ou parce que les soldats ennemis se montraient supérieurs dans le combat. Elle ne fut pas non plus battue grâce à l’exécution d’une brillante manœuvre décidée par l’Anglais ou le Prussien. Elle a succombé par le nombre, les erreurs et les trahisons. Waterloo aurait pu être une victoire française.

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La victoire de Callac, tout le monde en parle...

Bernard Germain invité chez André Bercoff Sud Radio

Breizh Info

Radio Courtoisie

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IL N'Y A PAS DE FATALITÉ DU DÉCLIN : SEULES LA DÉTERMINATION ET LA FORCE PAYENT !

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Pour une fois que le courant national et identitaire remporte une victoire, nous n'allons pas cacher notre joie. Certes, celle-ci est modeste et ne concerne qu'une petite commune bretonne qui, s'il n'y avait pas eu une formidable mobilisation à la fois de sa population et des organisations de la droite nationale localement implantées, se serait réveillée en véritable laboratoire de la transition démographique tant souhaitée par le pouvoir macronien.

Depuis quelques mois en effet se tramait à Callac, bourg situé en Centre Bretagne, une affaire qui allait prendre une dimension nationale. En sourdine, la municipalité était en négociation avec une fondation parisienne, la "Fondation Merci", afin d'implanter dans cette commune (qui compte 2.200 âmes) 70 familles de migrants (soit environ 500 personnes). L'article de notre ami Erwan Houardon (en page 19 du n°62 de Synthèse nationale qui sortira la semaine prochaine cliquez ici) expose tout cela dans le détail.

Dans bien des cités, cela serait passé comme une lettre à la poste. Mais à Callac, nos thuriféraires du "vivre ensemble" sont mal tombés. Car il existe dans cette région un grand nombre de foyers de résistance nationale et identitaire qui n'entendent pas se laisser imposer le grand remplacement sans réagir. Dès le mois de juin, nationalistes français, autonomistes bretons (de droite) et identitaires européens décident de passer à l'offensive. Depuis, manifestations (rassemblant jusqu'à près d'un millier de personnes à celle du 5 novembre), réunions, tractages, collages, conférences de presse, édition d'un livre "Callac, la mère des batailles" (Bernard Germain, édité par Synthèse nationale cliquez ici), pétitions, prises de paroles lors des conseils municipaux... se sont succédés et, finalement, nous venons de l'apprendre, le maire vient de renoncer à ce funeste projet. Bien sûr, si nous savourons cette victoire, nous ne sommes pas dupes et nous savons que nos ennemis s'évertueront à trouver un autre endroit pour réaliser leur projet. Nous devons rester vigilants...

Mais, ce qui est intéressant dans cette affaire, au-delà du fait que les Callacoises et les Callacois échappent à un avenir sombre, c'est que la réaction militante a prouvé que, lorsqu'il y a une volonté, la détermination et la force peuvent faire reculer le processus de brassement des populations. Il n'y a pas de fatalité du déclin civilisationnel, Callac est désormais un exemple à suivre partout où notre identité française et européenne sera menacée.

Depuis un demi-siècle, le mouvement national, sous ses différentes formes, se bat sans relâche pour sauver notre patrie. Il a payé un lourd tribu (dissolutions, procès, incarcérations, assassinats...) pour défendre la cause du peuple et de la nation et pour faire reculer les trahisons de l'oligarchie. Aujourd'hui, avec cette "affaire Callac", la preuve est faite qu'il ne faut jamais reculer et que la victoire est toujours possible !  Il faut arrêter avec le désespoir et le défaitisme, là où on se bat, tout devient possible... Y compris la victoire. Qu'on se le tienne pour dit.... 

Editorial du n°62 (Hiver 2022 2023) de la revue Synthèse nationale (sortie 20 janvier 2023) cliquez ici 

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Pour commander ce livre cliquez ici

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L’Afrique, un puit sans fond ?

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Bernard Lugan

Bilan et perspectives pour 2023

Dans les années 1950, juste avant les indépendances, le monde en perdition n’était pas l’Afrique, mais l’Asie qui paraissait alors condamnée par de terrifiantes famines et de sanglants conflits : guerre civile chinoise,  guerres de Corée, guerres d’Indochine et guerres indo-pakistanaises. En comparaison, durant la décennie 1950-1960, les habitants de l'Afrique mangeaient à leur faim, étaient gratuitement soignés et pouvaient se déplacer le long de routes ou de pistes entretenues  sans risquer de se faire attaquer et rançonner. 
Ce temps lointain était celui des colonies, époque dont il est impossible de parler d’une manière objective et au sujet de laquelle il est obligatoire de dire que ce fut l’enfer sur terre…

Or, soixante-dix ans plus tard, le contraste est saisissant avec des dizaines de milliers de migrants qui se livrent au bon vouloir de gangs qui les lancent dans de mortelles traversées en direction de la « terre promise » européenne. Les crises alimentaires sont  permanentes, les infrastructures de santé ont disparu, l'insécurité est généralisée et la pauvreté atteint des niveaux sidérants. Quotidiennement, les journaux et les divers organes d'information font état de famines, d'épidémies, de massacres qui montrent que le continent africain s’enfonce chaque jour un peu plus dans un néant dans lequel surnagent quelques îlots pétroliers. 

Que s’est-il donc passé pour que, malgré ses immenses richesses naturelles et en dépit des océans d'aides aveuglément déversées par les pays dits riches, l'Afrique connaisse un tel naufrage, ne parvenant même plus à nourrir sa population ? 

Et que l’on ne vienne pas nous parler des aléas climatiques car le continent possède certaines des terres les plus fertiles de la planète sur lesquelles jusqu'à trois récoltes annuelles sont possibles. De plus, l'agriculture africaine n'est pas paralysée par un long hiver, par un tapis neigeux ou par les glaces. Avec ses de 9.000.000 km2, le Sahara représente certes environ 25% de la superficie du continent, mais proportionnellement moins que la toundra eurasienne ou nord-américaine où l'on ne parle pourtant pas de malédiction. 

Le problème est que le continent africain s’auto-suicide avec sa démographie, car, chaque année, l’écart se creuse entre le nombre de bouches à nourrir et les productions alimentaires. La catastrophe est donc programmée. Un exemple : au Sahel, les 10 à 20 millions d'habitants d'avant la colonisation sont aujourd'hui 180 millions. Voilà qui explique pourquoi la subtile alchimie de ce fragile milieu de 3 millions de km2 a été détruite. Au même moment, les 40 millions de Sibériens sont à l'aise sur plus de 13 millions de km2  d’une nature hostile. 

La réalité est que les Africains n'étant pas des Européens pauvres à la peau noire,  parce que le corps social africain n’est pas celui de l’Europe, ou celui de l’Asie, nos modèles politiques n'y ont pas réussi. 

Or, si la greffe européenne n'a pas pris sur le porte-greffe africain, c’est parce que, comme le dit le proverbe congolais : « Ce n’est pas parce qu’il pousse au bord du marigot que le manguier devient crocodile. »

Source : site l’Afrique réelle

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Quelques mots à Madame Cohen : sortez votre chéquier pour les Français

image-94.pngCatherine Blein

Présidente des Amis de Callac et ses environs

Les membres des Amis de Callac et ses environs et moi même avons pris connaissance, comme tout un chacun, du communiqué envoyé à la presse par la présidente du fonds de dotation Merci, à l’origine du projet Horizon.

Nous comprenons la déception de Madame Cohen devant l’annulation par le maire de Callac de son projet Horizon, devant l’évidence surtout que les Bretons, les Français en général, ne veulent pas de ces importations massives de populations qui sont étrangères à tout ce que nous sommes, non pas par xénophobie mais par simple bon sens et observation des lois naturelles.

Madame Cohen dénonce, dans ces lignes,  « la campagne de désinformation de groupes et de médias d’extrême droite, visant à diviser la population et à déstabiliser le conseil municipal ».

Là nous nous sentons visés, mes Amis et moi. Alors permettez-moi de vous répondre, Madame, que s’il y avait eu information, de votre part comme de celle du maire et du conseil, on aurait pu juger d’une éventuelle désinformation de la nôtre et mesurer son degré de nuisance. Mais comme il n’y a eu d’information ni de votre part, ni de celle du maire, votre remarque me semble être un coup d’épée dans l’eau.

Vous accusez les « groupes d’extrême droite »… Bien sûr les groupes qui s’opposent à l’islamisation de la France (en général « groupuscules » est choisi car plus méprisant encore), ces groupes donc sont dits « d’extrême droite. »

Le lecteur notera que lorsqu’il s’agit de la gauche, celle qui casse tout, brûle et empêche toute manifestation légale de la démocratie, elle est qualifiée, elle, de « radicale », terme beaucoup plus acceptable.

L’islam, lui aussi, a droit à l’adjectif plutôt gentillet de « radical »,même s’il égorge à tour de bras.

Mais nous, qui ne tuons ni ne brûlons, on nous relègue aux abominables et infréquentables « extrêmes », alors qu’au fond ce que nous voulons ce sont des mesures « radicales », c’est à dire qui visent à agir sur les causes profondes de nos maux, ou si vous préférez « efficaces »comme on les voit au Danemark, en Italie, en Hongrie, en Israël, mesures efficaces par opposition aux politiques « molles » menées depuis 40 ans et qui nous ont conduit à devenir une sorte de pays du tiers-monde où le plus armé et le plus violent fait la loi.

Vous parlez également, Madame, de « campagne nauséabonde, aux relents racistes et antisémites »

Ah! les trois adjectifs assassins sont là : nauséabond, raciste, antisémite ! Vous avez oublié fasciste, c’est bien aussi fasciste, ça fait toujours recette. Que du bonheur pour les gauchistes de tout poil.

Je n’ai pas à répondre sur ces allégations, ne me sentant, ni moi ni d’ailleurs aucun membre des Amis de Callac ou de Reconquête, concernée. Toutefois, j’ai le droit de dénoncer qu’une certaine ambiguïté est présente dans vos propos qui sentent fort l’amalgame, tant décrié par ailleurs…

J’ai le droit également de me demander pourquoi aucune de ces lettres anonymes, antisémites (?), menaces de mort, ou captures d’écran injurieuses n’a été divulguée à la presse. Cela aurait donné du poids à vos accusations.

J’ai le droit également de commenter vos propos et je m’autorise à les qualifier de communs et d’assez éculés.

Oui, une femme comme vous, qui expliquait il y a peu que sa vision de l’entreprenariat était de « ne pas être là où tout le monde est », se voit aujourd’hui prise en défaut, vous êtes, dans vos propos, là où tout le monde de gauche est, et c’est décevant de la part de quelqu’un de créatif !

Vous manquez d’arguments et votre discours est affligeant, répétitif, fatigant. Comme le disait Lénine, « quand vous n’avez pas d’arguments, traitez-les de fascistes, ça marche toujours ! »

Enfin, Madame, vous qui voulez vous consacrer «  à l’amélioration des conditions de vie des humains, sur les plans éducatif, social, sanitaire, économique et culturel… et accompagner la construction d’un monde plus juste, solidaire et durable », je vous invite à Callac, où l’on ne vous a jamais vue.

Je vous invite à venir dépenser les deux cent mille euros que vous prévoyiez pour les familles africaines pour construire une crèche et aider à l’installation de vrais commerçants, dynamiques et ouverts chaque jour, dont Callac a besoin.

Je vous invite aussi à venir avec votre chéquier pour restaurer par exemple des maisons, habitées par des personnes âgées en général, dont les sols sont encore en terre battue et l’isolation des murs très approximative. On y a froid, voyez vous !

Ces personnes auraient bien besoin d’un « projet Horizon », mais elles ne viennent pas d’Afrique, elles sont d’ici et ce n’est sans doute pas assez exotique pour vous.

Ou alors, je vais finir par croire que vous être Celtiphobe ou anti-celte, ce qui n’est pas un bon point pour votre image.

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Les saltimbanques de l’intolérance

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La chronique de Philippe Randa

Le festival musical Les Déferlantes devant se tenir l’été prochain à Perpignan, les groupes Louise Attaque et Indochine dont la venue était programmée, ont immédiatement menacé de ne pas s’y rendre à cause du maire Rassemblement national Louis Alliot.

Les dirigeant des Déferlantes ont donc préféré plier et chercher un autre lieu dans les Pyrénées-Orientales.

Il aurait été intéressant de connaître – en l’absence de ces deux groupes et leur remplacement que l’on peut supposer assez facile par d’autres chanteurs, peut-être de moindre notoriété, mais qui auraient sans doute saisi l’opportunité de se produire à cette occasion – quelle aurait été la réaction du public.

Ce fait-divers politico-artistique rappellera à beaucoup l’attitude qui fut celles de responsables politiques (principalement socialistes et communistes) au début des années 80 du siècle dernier quand des représentants du Front national, alors au début de sa percée, étaient invités à débattre avec eux sur les plateaux de télévision : quasiment tous les auto-proclamés démocrates quittaient alors les lieux avec des mines de vierges effarouchées, de douairières offusquées, de grenouilles de bénitiers croisant la route du Diable !

Néanmoins, leur grotesque comédie tourna court rapidement : socialistes et communistes s’aperçurent vite que leurs départs n’empêchaient non seulement pas les Frontistes de s’exprimer, mais que leur conception du débat démocratique, de la tolérance et de la liberté d’expression choquait tout de même nombre de nos concitoyens.

L’un après l’autre, ces élus de gauche mirent leur indignation au fond de leur poche et revinrent, penauds, affronter la « bête immonde »… Et cela fait bien longtemps que quiconque ne songerait plus à quitter un plateau de radio ou de télévision en prétextant de la présence d’un élu du Rassemblement national de Jordan Bardella ou d’un membre du Parti Reconquête d’Éric Zemmour.

Aujourd’hui, seuls quelques saltimbanques, cherchant peut-être simplement à faire parler d’eux à moindre frais, se croient encore permis de donner de telles spectacles de pitoyables indignations sur fond de haineuses intolérances politiques.

On les a moins entendus s’exprimer lors du tabassage meurtrier de l’actrice Marie Trintignant par leur confrère Bertrand Cantat, lui aussi alors grand donneur des mêmes leçons politiques.

Que vont penser les électeurs de Louis Alliot de l’affront que ces saltimbanques leurs infligent bien davantage qu’à leur maire puisque celui-ci leur doit d’abord à eux, et à eux seuls, la fonction qu’il occupe ?

Et au-delà de Perpignan, que vont penser les 13 288 686 Françaises et Français qui ont voté Marine Le Pen le dimanche 24 avril 2022 ?

Peut-être aurons-nous la réponse cet été en jugeant de l’affluence aux Déferlantes… là où le spectacle aura lieu. S’il a lieu !

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Retenez cette date : dimanche 23 avril, en Mayenne

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jeudi, 12 janvier 2023

Déclin ? Non, destruction planifiée

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On nous expliquera, écrit Natacha Polony dans son édito du 12/1, bien sûr que la guerre en Ukraine a tout déréglé et a provoqué cette inflation en cascade, que c’est « le prix de notre liberté ». En fait, nous comprenons tous que, face à un monde qui se dérègle, nous payons le démantèlement volontaire, programme, applaudi, de toutes les protections qui faisaient de la France une grande nation.

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Source : Marianne 12/1/2023

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mercredi, 11 janvier 2023

Callac : un entretien avec Catherine Blein sur Riposte laïque

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Riposte Laïque : Vous êtes la présidente des Amis de Callac et des environs. Pouvez-vous nous expliquer l’histoire de cette association ?

Catherine Blein : J’ai, avec d’autres, notamment Bernard Germain et Patrice Riou, entendu parler du projet Horizon au mois de juin, me semble t-il, et j’ai immédiatement pensé qu’il nous faudrait aider et participer à une lutte certainement difficile. Ne sachant pas trop, au tout début, si une initiative avait déjà été prise dans ce sens, j’ai commencé à prendre quelques contacts pour en savoir davantage. C’est ainsi que j’ai rencontré Danielle Le Men, dont on m’avait parlé comme étant la créatrice d’un collectif opposé à ce projet. Danielle avait donc réuni deux autres personnes afin de créer son collectif, lesquelles ne se sont pas montrées fiables et ont rapidement laissé tomber. Elle était donc seule, et ne sachant plus très bien comment elle allait parvenir à se battre. C’est alors que l’idée m’est venue de créer une association, indépendante de Reconquête mais proche toutefois, ne serait-ce que parce que je suis moi-même responsable de la 4e circonscription des Côtes d'Armor pour Reconquête et que des amis de notre formation politique ont très vite rejoint notre association..

Dans un premier temps, Les Amis de Callac ont fusionné avec le collectif de Danielle. C’est ainsi qu’est née l’association, dont j’ai pris la présidence et dont Danielle est vice-présidente. Nous ne sommes qu’une vingtaine d’adhérents véritables pour l’instant, mais il y a un noyau dur d’une dizaine de personnes qui est très militant et déterminé et c’est avec ce petit groupe que nous avons mené toute les actions. Lorsque, très vite en septembre nous avons envisagé la première manifestation, un comité d’organisation s’est crée, dont le porte-parole est Bernard Germain, et qui comprend vous le savez Riposte Laïque (toujours dans les bons coups), Résistance Républicaine, mais aussi Reconquête !, Place d’Armes, Les Maires pour le Bien commun, Les Patriotes de Philippot, le Parti de la France et les Vendéens d’Eric Monvoisin-Delavaud, ainsi que le Collectif de Saint Brévin dont j’oublie le nom exact.

Riposte Laïque : Vous avez donc appris que votre combat a été victorieux, et que le projet Horizon a été retiré. Quelle est votre première réaction ?

Catherine Blein: Une grande joie bien sûr, et la perspective d’un bon Champagne qui me séduit toujours ! Et puis j’ai immédiatement envoyé la bonne nouvelle à des amis, et à quelques journalistes que je connais, et j’ai twité goulument ! Malgré tout l’effet de surprise aura été relatif car on s’en doutait déjà depuis plusieurs jours. Pour ma part, j’ai également aussitôt pensé à l’étape suivante qui va être peut-être plus coriace, c’est à dire le combat contre un deuxième projet semblable à Horizon, à Callac toujours, et qui est porté par une association Viltaïs proche de Macron.

Riposte Laïque : Quels sont les faits qui vous ont le plus marqués, durant les longs mois de combats que vous avez menés, avec vos compagnons de lutte ?

Catherine Blein : Ce qui m’a le plus marquée c’est le décalage qu’il y a entre des gens comme nous, les vieux de la vieille, blanchis sous le harnais et qui avons la conscience aigüe de la réalité de la situation de notre pays et la candeur de ceux qui débarquent dans l’action politique… Alors, pour ne pas les froisser et les brutaliser psychiquement, il faut faire attention et y aller par étape, et ça, quand on a la hantise du temps qui presse, du fait que c’est peut-être déjà bien tard… c’est dur à vivre. Mais heureusement, ce qui m’a marquée également c’est justement le « chemin parcouru » par certains, leur évolution assez rapide et leur capacité, aujourd’hui, après six mois de combats et de discussions, à appréhender le problème dans sa globalité. Beaucoup durant les premiers mois ne voyaient dans ce combat que l’affaire Horizon, or notre combat est civilisationnel, Callac n’étant qu’une pièce du vaste puzzle à déconstruire.

Riposte Laïque : Considérez-vous cette victoire comme définitive ?

Catherine Blein : Il semble que pour Horizon à Callac, l’affaire soit dans le sac, mais le bruit court qu’ils vont tenter un projet similaire à Paimpol. A mon avis ils vont avoir quelques surprises dans l’accueil que vont leur réserver mes petits camarades de la 5e circo ! Et nous iront les aider bien sûr. Et puis Horizon en fait devient Viltaïs, et c’est un autre combat à livrer et à gagner. Il n’est pas question que la Bretagne devienne le camp de retranchement de tous les migrants en mal de territoire. Encore une fois, s’ils gagnent à Callac, ils gagneront ailleurs, puis ailleurs encore.Il faut donc tuer ces initiatives dans l’oeuf. Apparemment nos choix d’action ont été les bons et nous avons montré une grande pugnacité qui a impressionné les élus de Callac, peu habitués, comme le dit très justement notre ami Yann Vallerie, à un tel déploiement de force. Et c’est là qu’il a fallu convaincre les adhérents de l’association dont certains auraient souhaité des actions plus douces. Non ! Dans l’état où se trouve la France et avec ces menaces omniprésentes, et un chef d’Etat qui veut notre remplacement, il faut taper fort !

Riposte Laïque : Comment voyez-vous la suite de votre action, à la tête de l’association ?

Catherine Blein : On va déclarer la guerre à Viltaïs. Ça va commencer avec une Lettre ouverte des Amis de Callac aux Callacois dans la presse, en début de semaine prochaine, afin de les avertir, de les mettre en garde, de leur expliquer Viltaïs et de les inviter chaudement à nous rejoindre s’ils veulent gagner.

Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Catherine ?

Catherine Blein : Oui, merci à RL et à vous mon cher Pierre, toujours à la pointe du combat ! Horizon aura eu un point positif : ils sont nombreux à Callac à lire RL maintenant !

Et puis le grand enseignement, toujours le même: si on se bat vraiment on gagne ! Il va falloir nous battre, et nous battre encore, en espérant que des millions de Français se joindront à nous, car c’est aussi pour LEURS enfants qu’on fait ça !

Propos recueillis par Pierre Cassen

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