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jeudi, 07 août 2014

Pourquoi le Réseau-Identités manifestera le dimanche 7 septembre à Calais...

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Richard Roudier

Président du Réseau Identités

Le dimanche 7 septembre, à l'initiative du collectif "Sauvons Calais", se tiendra un grand rassemblement contre l'invasion migratoire actuellement qui déferle en France et en Europe. Devenue une sorte de zone de non droit, Calais est aujourd'hui devenu le symbole de l'Europe passoire, celle qui est incapable de prendre des décisions fortes pour endiguer l'immigration continue qui n’a de cesse d'augmenter depuis que les puissances occidentales ont "liquidé" ou destitué certains dirigeants arabes (notamment Kadhafi, Saddam Hussein ...)

Que nos villes se nomment Calais, Melila ou Lampedusa, c'est aujourd'hui à l'assaut de toute l'Europe que se lancent des hommes, des femmes, des enfants venus d'ailleurs, à la recherche d'un Eldorado économique que nous ne pouvons leur offrir mais que nos décideurs continuent à leur promettre inlassablement.

- Parce que nous ne voulons pas que demain, la France et l'Europe, durement frappées par la crise, basculent dans la guerre civile, conséquence d'une société multi-ethnique devenue multi-conflictuelle,

- Parce qu'en ces temps de crise, les Européens ne doivent pas être concurrencés dans leur recherche d'emploi et dans leur travail par des mains d'oeuvre sous payées, souvent clandestines, toujours exploitées, importées en Europe par certains patrons véreux via des réseaux bien rodés,

- Parce que l'Europe, c'est la terre des Européens comme l'Afrique  est celle des africains et l'Asie celle des asiatiques et que nous souhaitons rester maîtres chez nous,

Parce qu'enfin, si nous n'agissons pas ici et maintenant, ça ne sont pas François Hollande et sa clique d'impuissants qui léverons le petit doigt pour sauver notre peuple...

Rassemblons-nous, le dimanche 7 septembre Place d’Armes à Calais, pour :

- Dire stop à l’immigration-invasion,

- Organiser la riposte face aux réseaux clandestins

- Faire déguerpir ceux qui voudraient s’installer chez nous sans y avoir été conviés.

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vendredi, 01 août 2014

Du 21 au 24 août : camp d'été du Renouveau français

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Plus d'infos cliquez ici

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lundi, 28 juillet 2014

La nouvelle affiche du GUD à la rentrée :

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mercredi, 23 juillet 2014

Mobilisation en faveur des chrétiens d'Irak...

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lundi, 21 juillet 2014

Troisième Voie face au Conseil d'Etat...

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Par Serge Ayoub

Le 9 juillet dernier, les recours en excès de pouvoir pour la dissolution de Troisième Voie, des JNR et d’Envie de Rêver ont été examinés par le Conseil d’État. Pourtant convaincu que la cause était entendue en notre défaveur, tant le Conseil d’État ne s’est pas illustré récemment par son ardeur à défendre les libertés publiques, je me suis néanmoins rendu à l’audience. J’étais en effet curieux d’entendre justifier l’inacceptable et la casuistique du rapporteur public Édouard Crépey. Je rappellerai que dans cette partie d’échecs juridique, le pouvoir est à la fois partie, et juge, puisque le Premier ministre en est officiellement le président. Premier ministre qui fut il y a un an l’instigateur même de ces dissolutions, en tant que ministre de l’intérieur : Valls.

Tout le monde se rappelle en effet de l’affaire Méric. Le 5 juin 2013, une bande de nervis antifas agressent des jeunes patriotes à la sortie d’une vente privée. Malheureusement pour eux leur agression fait long feu, au point que l’un des agresseurs y laisse la vie. La rouerie politique de Valls lui fait alors amalgamer ce fait divers à une violence portée par « l’extrême-droite » et les manifestants anti mariage-gay. Quelques heures après le drame, il nomme, avant même le début de l’enquête, les JNR comme les auteurs de cet « assassinat ». Une condamnation en dehors de toute enquête, instruction et jugement, qui s’effondre dès le lendemain, lorsque les enquêteurs m’entendent et confirment ma version selon laquelle aucun membre des JNR n’est impliqué de près ou de loin dans la rixe. La communication du ministre de l’intérieur Valls est néanmoins lancée : il a promis une dissolution, elle doit avoir lieu. Que de tels procédés politiques n’aient rien à voir avec les principes républicains, mais tout à voir avec ceux des régimes totalitaires ne le gêne absolument pas : quelques jours après la mort de Clément Méric, je reçois la notification de dissolution des JNR, puis de Troisième Voie et enfin d’Envie de Rêver, l’association qui gère le Local. Malgré les sorties à l’emporte-pièce de tout le gouvernement, il est juridiquement impossible de dissoudre quelque association que ce soit au motif qu’un membre réel ou supposé de celle-ci aurait commis un crime ou un délit, ou serait soupçonné de l’avoir fait. La procédure de dissolution accuse donc les JNR, Troisième Voie et Envie de Rêver « d’inciter à la haine et la discrimination en vue de la condition d’immigré (sic) » et d’être une ligue factieuse, ce qui permet de dissoudre par voie autoritaire. On cache la vraie mauvaise raison, derrière la fausse bonne raison. Cette procédure est donc dès son commencement fondée sur un mensonge.

Il faut, pour être une ligue et être dissous comme tel, correspondre à plusieurs critères : revendiquer publiquement son hostilité à la République et à la démocratie, inciter à la haine et à la discrimination, et être une organisation structurée, hiérarchisée et entrainée en vue de la préparation d’un coup d’État.

C’est sur cette définition que commence la partie d’échecs.

Le rapporteur public commence par soutenir que les JNR, qui n’étaient en réalité que le service d’ordre de Troisième Voie, comme il en existe dans tous les partis, syndicats et associations de concerts, étaient en fait une ligue parce qu’ils recevaient leurs ordres de moi. Démonstration éminemment farfelue quand on sait que tous les service d’ordre ont un responsable qui donne les directives. Si l’on poussait la démonstration du rapporteur public à son terme, il faudrait alors dissoudre Sécuritas et bien d’autres… Il appuie, sans crainte du ridicule, sa démonstration sur le physique « patibulaire » des membres des JNR, ainsi que sur la couleur du pantalon, trop noire à son goût, renforcée par celle du blouson, « qui est noire aussi ».

De notre côté, nous avançons que tout service d’ordre ou agent de sécurité porte une tenue spécifique, qui le fait reconnaître de loin et lui assure l’autorité nécessaire dans le cadre de sa mission. En l’occurrence une tenue souvent noire. C’est le cas de beaucoup d’agents de sécurité officiant dans les supermarchés et les parkings. Nous ajoutons que la hiérarchie existe dans toute société et notamment dans les services d’ordres, y compris celui du Parti Socialiste, qui protège Valls lors de ses meetings. Nous nous défendons également de suivre un entrainement groupé, et plus encore de préparer un coup d’État contre la République et la démocratie.

Notre bonne foi et les évidences n’ébranlent pourtant pas le rapporteur public Crépey. C’est acquis, la tenue noire symbolise une allégeance au fascisme, et il n’ y a qu’à regarder les photos des JNR pour voir qu’ils s’entrainent ensemble, sont prêts aux « coups de main » attendent mes ordres… D’où lui vient cette assurance ? Des notes blanches, c’est-à-dire des notes confidentielles rédigées par la DCRI. Des notes non-signées, bien évidemment. On ne peut donc ni savoir qui est responsable de ces propos et même si cette personne existe réellement. Reconnaître la moindre valeur à ces notes de basse police prouve que notre pays glisse vers un État de plus en plus policier.

Faute de démonstration, le rapporteur public gonfle alors artificiellement ses accusations d’éléments contextuels, comme les arrestations d’individus sans liens avérés avec l’organisation. Une grande majorité des noms cités dans cette litanie de faits divers insignifiants m’étaient mêmes inconnus. De surcroît, la quasi-totalité des affaires n’avaient débouchées sur aucune condamnation, ce qui empêche toute vérification des allégations du rapporteur.

Le comble de la mauvaise foi et de la maladresse est atteint lorsque le rapporteur public entreprend de retourner contre moi mes propres déclarations. « Si je reprend les déclarations de monsieur Ayoub, le JNR est le service d’ordre de Troisième Voie et donc fait partie intégrante de ce mouvement. Si c’est le cas, en application de la jurisprudence sur la dissolution du SAC, et au vue des preuves que nous venons d’apporter (sic) nous confirmons le décret de dissolution des JNR en tant que milice et par voie de conséquence du mouvement Troisième Voie dont il est partie intégrante. »

Le rapporteur public Crépey commet pourtant de nombreuses erreurs à travers ces propositions. 1ère erreur : la dissolution de Troisième Voie « par contagion »… de son propre service d’ordre. Plus qu’une erreur, c’est un scandale car cette notion de contagion n’existe pas dans le droit français. De plus, lorsqu’en 1995 la dissolution du DPS, le service d’ordre du Front National, avait été envisagée, il n’avait jamais été question de la dissolution « par contagion » du parti politique de Jean-Marie Le Pen. Seconde erreur, l’évocation de la jurisprudence de la dissolution du SAC, groupement lié au RPR à l’époque. La dissolution du SAC est en effet consécutive au massacre appelé "la tuerie d’Auriol" en juillet 1981. On est bien loin de la rixe accidentelle de Caumartin. Les barbouzeries du SAC, véritable police parallèle dans les années 60 et 70, sont bien loin aussi des activités des JNR ! On ne peut donc évoquer l’exemple de la dissolution du SAC qu’à la décharge du groupement JNR et de l’association Troisième Voie, tant les caractéristiques du premier sont éloignées de celles des seconds. Troisième erreur : le rapporteur évoque la dissolution du SAC, qui n’a pas mené à la moindre menace de dissolution contre le RPR, pour justifier la dissolution « par contagion » de Troisième Voie ! Ainsi, en appliquant comme il le souhaite la jurisprudence de la dissolution du SAC, il n’y a pas lieu de dissoudre Troisième Voie.

J’ajouterai que le rapporteur public a admis que rien, ni dans mes propos ni dans mes actes, ne pouvait relever de l’incitation à la haine ou la discrimination contre les étrangers. Rien non plus dans les pièces justificatives de l’activité de notre mouvement politique et de son service d’ordre. Le rapporteur public n’a pas non plus contesté la sincérité de notre attachement aux principes fondamentaux de la république et de la démocratie, revendiqué à de nombreuses reprises dans nos écrits. S’il ne l’a pas contesté, c’est qu’il l’a donc admis. Si les JNR, partie intégrante de Troisième Voie, n’incitent pas à la haine et n’ont pas pour but de fomenter un coup d’État contre la République et la démocratie qu’ils revendiquent de défendre, alors ils ne sont donc plus une milice. En effet personne ne pourrait croire que des mines jugées patibulaires et des blousons noirs suffisent à définir une milice…

Enfin et surtout, il y a un point fondamental qui mine cette procédure de dissolution contre Troisième Voie et les JNR, depuis le début. La liberté d’association est en effet une liberté fondamentale qui a valeur constitutionnelle. Cette liberté permet à tout citoyen de créer une association comme il le veut, librement et de la dissoudre à sa guise. Ainsi lorsque j’ai dissous pour l’honneur, en bonne et due forme et avant la décision du conseil des ministres, l’association Troisième Voie et son service d’ordre les JNR, la procédure de dissolution administrative a perdue sa raison d’être. On ne fusille pas un mort…

C’est cette thèse que nous avons soutenue et qui a bien embarrassé notre rapporteur public. Il l’a reconnu cette configuration est « nouvelle, intéressante, et embarrassante » pour le gouvernement.

Notre rapporteur public y a répondu avec un argument à sa mesure. Selon lui il ne faut pas tenir compte de cette dissolution volontaire, car tout le monde en profiterait alors pour se dissoudre et éviter ainsi une condamnation pour reconstitution de ligue dissoute. La raison invoquée par Ayoub, l’Honneur, pour expliquer et justifier l’autodissolution, ne serait aux yeux du gouvernement qu’une manœuvre.

Mais comment ce personnage se permet-il de supputer, d’imaginer ? Nous sommes au Conseil d’État, pas chez Thierry Ardisson, seul comptent les faits et aucunement les interprétations sans fondement. J’admets que la notion d’honneur soit si étrangère à nos différents gouvernants qu’elle puisse leur paraître une manœuvre, mais en l’occurrence ce n’est pas le cas. Surtout je rappellerai à ce rapporteur quelques fondamentaux de droits : lorsque la dissolution est volontaire, il n’est en aucun cas question que sa validité soit subordonnée au but poursuivi. C’est pourtant ce que soutient le représentant du gouvernement Edouard Crépey. En effet, pour dissoudre administrativement Troisième Voie et les JNR, il faudrait pour cela invalider la procédure de dissolution volontaire au motif que l’intention de cette dissolution volontaire ne serait qu’une manœuvre et ne serait pas en quelque sorte « sincère ». Autant dire que c’est impossible à prouver. La légalité d’une dissolution volontaire ne peut être affectée par cette perspective, ce qui compte c’est le respect des conditions prévues dans le contrat d’association initial. Si le droit est respecté, il n’y a donc pas la possibilité juridique de dissoudre une seconde fois Troisième Voie. Tel est le cas en l’espèce. De plus, aucun élément des observations présentées par Troisième Voie et les JNR n’accrédite cette thèse. C’est donc une pure affabulation du sieur Crépey. Par suite, les conclusions qui proposent de déclarer nulle et non avenue la dissolution volontaire de Troisième Voie et des JNR doivent être écartées.

Le rapporteur public reconnaît lui-même que la faculté d’autodissoudre son association relève bien d’une liberté fondamentale, puisqu’il propose en réalité de dissoudre Troisième Voie non plus en tant qu’association loi 1901, mais en tant que groupement de fait qui aurait « survécu à l’autodissolution ». Il admet donc que dissoudre administrativement une association déjà dissoute « de son plein gré » est une impasse juridique. Mais il reconnaît aussi que Troisième Voie a cessé toute activité politique depuis son autodissolution, et donc que Troisième Voie n’a pas perduré comme groupement de fait. Il y a tout de même une incohérence de taille à vouloir dissoudre un mouvement en tant que groupement de fait tout en reconnaissant que ce groupement de fait n’a aucune existence réelle.

Défait, le rapporteur public ose alors déclarer que nos observations aussi intéressantes soient-elles ne pouvaient être retenues, car elles émanent de « personnages » comme nous. Je me permet de rappeler à ce bonhomme ce qu’il semble avoir oublié et qui est le B.A.BA en la matière, que le recours pour excès de pouvoir est un recours dirigé contre un acte (in rem) et qu’il ne doit pas prendre en considération la personne du requérant. Le recours n’est pas in personam comme l’est une décision en matière pénale.

Les conclusions du rapporteur violent donc ce principe du contentieux qui ne peut être contesté.

Dans un État de droit, je serais sûr de la victoire, mais aujourd’hui, même au Conseil d’État, on ne peut plus savoir qui sera échec et mat, du gouvernement ou de la démocratie ?

Malheureusement, j’ai mon idée sur l’issue de la délibération qui devrait avoir lieu dans les prochains jours. J’en veux pour preuve les propos hallucinants du rapporteur public au sujet de la dissolution d’Envie de rêver, l’association qui gérait le Local. Le rapporteur lui-même propose en effet l’annulation de cette dissolution au Conseil d’État, tant celle-ci ne tient pas juridiquement, tout en s’excusant du fait que cette annulation « pourrait faire croire à une victoire pour les gens de ces idées-là ». Ce jour-là, au Conseil d’État, sanctuaire théorique de la République, de la démocratie et des libertés publiques, je n’ai vu qu’une casuistique dirigée contre un ennemi politique.

Dont acte.

Source Solidarisme cliquez ici

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dimanche, 20 juillet 2014

Pas de vacance pour le Parti de la France

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jeudi, 17 juillet 2014

La solidarité avec Anne-Sophie Leclère s'organise : un appel d'Entraide Solidarité

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François Marie,

Président d'Entraide Solidarité (Réseau Identités)

Non vous ne rêvez pas, la France vient officiellement de réintroduire la lettre de cachet. Anne-Sophie Leclere vient d’en faire les frais : elle a été condamnée hier, le 16 juillet, à 9 mois de prison ferme et 50 000 € d’amende pour avoir diffusé sur un réseau social un cliché peu flatteur pour la garde des Sceaux.

Cette décision est basée sur des critères exclusivement politiques. Ce n’est pas madame Taubira qui dira le contraire. Elle qui n’a eu de cesse depuis sa nomination au ministère de la Justice d’assouplir les lois pour protéger les criminels les plus dangereux, s’est félicité de cette décision. Par un lapsus lors d’une interview elle avouait même que cette décision est une injustice.

Oui, aujourd’hui en France, un montage photo peut vous envoyer en prison dès lors qu’il déplaît à l’un de nos dirigeants. Mais laissez-moi reprendre l’affaire depuis le début :

Il y a quelques semaines, madame Leclere, alors candidate du Front national aux élections municipales, publiait sur sa page Facebook un montage photographique comparant Christiane Taubira à un singe.

Certes, la plaisanterie est de mauvais goût. Ni plus ni moins que les dizaines de caricatures comparant Marine Le Pen à un étron dans des journaux nationaux ou les insultes caractérisées que subissent depuis des années les patriotes sur les plateaux télévisés aux heures de grande écoute.

Toutefois, immédiatement, la presse s’empare de l’affaire et y voit la preuve du retour du racisme, de la xénophobie et même du nazisme en France.

Les politiques ne se privent pas non plus de profiter de cette affaire montée de toutes pièces : rien de tel pour masquer leurs fautes et détourner les Français des vrais problèmes de notre pays qu’une manipulation médiatique.

Un parti politique indépendantiste Guyanais, Walwari, fondé par Christiane Taubira, s’empare sans attendre de l’affaire et se porte partie civile. Anne-Sophie Leclere sera jugé à Cayenne, par un juge membre du très à gauche Syndicat de la Magistrature. Il est évident que ce procès n’est qu’une mascarade.

Mais il y a encore plus grave, hélas.

Car si nos juges s’en donnent à cœur joie sur les Français qui ont le malheur de déplaire à l’intelligentsia au pouvoir, ils se montrent beaucoup plus coulants avec les vrais criminels.

Pour être condamné à neuf mois de prison, dans notre pays, il faut forcer un barrage et blesser sept policiers (Ouest-France, 1er juillet 2014), tabasser sa femme jusqu’à lui briser les côtes et agresser un unijambiste à l’aide d’une massue à pics (L’Observateur du Valenciennois, 9 mai 2011), ou encore tirer des coups de feu sur un passant (L’Observateur du Douaisis, le 29 octobre 2011) ou se livrer à une séance de torture raciste sur un étudiant blanc — agression, séquestration, vol — (Metro, 20 juin 2013).

Est ce que cela ressemble à l’idée que vous vous faites de la justice ? Est-ce que nous pouvons laisser se perpétrer un tel scandale ? La réponse est non et je sais que vous êtes d’accord avec moi. Notre association, qui lutte pour protéger nos compatriotes de ce genre de procès en sorcellerie, a immédiatement réagi. Anne-Sophie Leclere a décidé de se pourvoir en appel et nous serons à ses côtés.

Notre mission est aussi d’alerter nos concitoyens sur la disproportion scandaleuse de ce verdict, alors même que l’affaire était instruite en Guyane pour empêcher la défense d’être présente.

Mais pour mener à bien notre mission, nous avons besoin de votre aide. Nous avons immédiatement alerté nos avocats et nous leur avons demandé de prendre en charge ce dossier. Nous faisons également jouer notre réseau pour mettre cette affaire en lumière : les Français doivent savoir quels jugements iniques sont rendus en leur nom.

Toutefois, nous ne pourrons pas aider Anne-Sophie sans votre aide. Vous avez conscience des sommes colossales qui sont en jeu. Si jamais nous ne lui portons pas secours, cette femme courageuse, tenancière d’un magasin, sera ruinée.

Nous avons besoin de votre don pour offrir à cette compatriote tout le soutien qu’elle mérite face à cette justice aux ordres du pouvoir. Votre aide peut faire toute la différence pour une femme qui est menacée, aujourd’hui, de tout perdre. Je compte sur votre générosité.

Pour aider Anne-Sophie cliquez ici

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lundi, 07 juillet 2014

NE PAS OUBLIER...

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dimanche, 06 juillet 2014

Persécution judiciaire contre le Réseau identités et contre Riposte laïque

montpellier.jpgDevant la Cour d’Appel de Montpellier

mardi 8 juillet à 14 h

venez soutenir  Richard Roudier

(Ligue du Midi-Réseau Identités)

et Josiane Filio (Riposte Laïque)

contre le préfet de police Bernard Boucault

On se souvient, il y a moins de trois mois, du procès en 1ère instance à Carcassonne, sur plainte du Préfet Bernard Boucault, où le tribunal avait préféré jouer dans la demi-mesure en condamnant Richard Roudier et Josiane Filio à 200 € d’amende pour injure, assortis du sursis, ce qui constituait une peine ridicule, surtout quand l’accusation prétendait que l’on avait injurié un préfet de police détenteur de l’autorité publique. Mais pour notre camp, cette condamnation, véritable  pétard mouillé, constituait tout de même une condamnation alors que les deux accusés n’avaient fait qu’exercer leurs droits constitutionnels relatifs à la liberté d’expression.

Comme pour nous, la liberté d’expression est la mère des libertés publiques, il n’était pas question de déroger avec les principes et nos amis et leur conseil, avaient décidé unanimement  de faire appel de ce jugement et de donner à cette affaire le lustre qu’elle méritait désormais. Soyons clair, soit l’on est coupable et l’on doit être condamné, soit l’on est innocent et l’on doit être relaxé, c’est ce qu’avait évidemment plaidé  Me Gardères en 1ère instance demandant la relaxe, avec en prime la condamnation du préfet Boucault à acquitter 2.500 euros de frais de justice.

Afin de resituer l’ambiance de ce procès, rappelons que Me Gardères prenant la défense de Richard Roudier sur le ton de l’humour avait déclaré : « Ce dossier dérisoire me fait penser à une cour de récréation dans la France de 1950. Richard et Bernard se chamaillent, et le premier qualifie le second de « bourricot ». Certes, le jeu de mot est facile. On peut penser qu’il rappelle les heures les plus sombres de son enfance à Bernard Boucault, qui a sans doute souffert plusieurs fois de ce surnom, et en a gardé des traumatismes irréversibles, d’où sa sur-réaction »…Richard Roudier précisant : je n’ai pas dit le « bourricot de préfet », j’ai seulement écrit que toute analogie entre Boucault et Bourricot serait fortuite, ce qui est tout à fait différent, d’autant qu’il s’agit d’un propos venant en conclusion d’une Fable de la Fontaine, reproduite in extenso dans mon communiqué, intitulée l’âne chargé de reliques”.

On savait La Fontaine subversif à son époque, mais 3 siècles et demi  plus tard…quelle fraicheur !

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vendredi, 27 juin 2014

Le premier tract de la campagne contre le Traité tansatlantique

NON AU TRAITE

TRANSATLANTIQUE !

Depuis quelques années se concocte dans la plus grande discrétion un Traité qui liera définitivement le sort de l’Europe au bon vouloir des tenants de la haute-finance mondialiste.

Ce Traité aura pour conséquences :

la mise en place de nouvelles institutions transatlantiques pour influencer un nombre croissant de décisions politiques,

la standardisation, au mépris des particularismes locaux, de nombreuses législations européennes et américaines aussi bien sur le plan commercial que sécuritaire,

une diplomatie européenne de plus en plus alignée sur celle des Etats-Unis,

la mise en place d’une gouvernance mondiale basée sur les normes marchandes.

L’Europe de Bruxelles était un premier pas vers l’anéantissement des libertés et des identités, le Traité transatlantique est une nouvelle étape vers l’uniformisation planétaire.

En réalité ce Traité ne fera qu’accroitre le pouvoir de l’hyper-classe apatride au dépend des peuples et des nations.

Cela, nous ne pouvons l’accepter !

ILS VEULENT NOTRE SOUMISSION,

NOUS VOULONS NOTRE LIBERATION !

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LA REVUE NATIONALISTE ET IDENTITAIRE

Imprimez et diffusez ce tract autour de vous cliquez ici

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samedi, 21 juin 2014

Quand "La Voix du Nord" s'intéresse à la résistance nationale et identitaire à Lille, cela donne :

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Source La Voix du Nord cliquez ici

Le courrier est parti vendredi. Génération Identitaire propose officiellement à Transpole et au préfet du Nord sa coopération pour la sécurisation des transports. Le mouvement compte ouvrir une « Maison de l’identité » à Lille. Lille où la boutique Tribann, ouverte depuis trois ans, est régulièrement montrée du doigt par les militants « antifa » (pour « antifascistes »).

Aurélien Verhassel n’a rien contre le Front National. « Nous le suivons de près depuis des années, explique le chef de file de Génération Identitaire Flandre-Artois-Hainaut. Nos relations sont cordiales, comme avec les autres patriotes. » Lors de la récente campagne des élections municipales, Verhassel était régulièrement aux côtés des candidats FN de Lille. Reste la stratégie. Génération Identitaire peut être considérée comme une école de cadres. Ses principes sont clairs et tranchants : lutte contre l’uniformisation de la société et pour le localisme, ou contre « l’islamisation de la société ». Face à une « immigration incontrôlée » –« Regardez Lampedusa ! », pointe Verhassel – Génération Identitaire prône « la remigration ». « Nous appelons ces nouveaux arrivants à retourner chez eux, appuie le chef de file de Génération Identitaire. On leur vend des illusions, une image fausse de l’Occident figuré en eldorado. » L’immigration doit être « exceptionnelle, pas la norme ». Les militants ainsi formés n’ont pas forcément vocation, explique leur responsable, à donner dans l’entrisme dans les partis politiques. « Nous voulons créer des cadres qui pourront agir dans tous les champs de la société, reprend Verhassel, 29 ans. Qu’il s’agisse du culturel ou du social. Nous parlions de racisme antiblanc depuis dix ans. Jean-François Copé l’a repris. Une victoire politique pour nous. »

Rayonner à Lille

À Lille, les identitaires comptent bien exister. Après leurs « tournées citoyennes Génération anti-racaille » dans le métro (deux depuis mars), ils viennent d’adresser un courrier au préfet du Nord et à Transpole, leur proposant une « coopération pour la sécurisation des transports ». « Comment refuser ?, sourit ce jeune homme pétri de culture politique. On attend la réponse. » Une prochaine étape sera l’ouverture d’une Maison de l’identité à Lille. « Le projet est quasi abouti, confirme Aurélien Verhassel. Ce ne sera pas un bar en fond de cour. Le lieu sera ouvert à tous. » Les Identitaires Flandre-Artois-Hainaut revendiquent 300 membres et 1 500 sympathisants.

Le magasin Tribann Rijsel existe, lui, depuis trois ans. À la limite de Vauban et Wazemmes, il a été, le 5 juin, l’un des lieux surveillés par la police (comme le siège du FN) lors de la manifestation commémorant la mort de Clément Méric, militant « antifa » mort après une bagarre à Paris l’an dernier. Les antifas lillois accusent régulièrement Tribann de diffuser des « produits nazis ». « Je réfute en bloc, réagit Luc Pecharman, le patron de Tribann. Tout ce que je vends est sur le site internet et celui-ci est hébergé en France. » Pecharman, 42 ans, vend des vêtements basés sur « des thèmes celtiques et nordiques, les racines européennes et la mythologie nordique ». Il propose également des livres. L’un s’intitule Le Trotskysme dégénéré. Un autre est consacré au Belge Léon Degrelle, non pas pour ses liens avec le nazisme, mais « pour son épopée de combat sur le front de l’Est », appuie Pecharman.

Anti-Le Pen

Le patron de Tribann est lui-même engagé en politique. Le terme d’extrême droite ? « Si cela permet de nous situer sur l’échiquier politique... », souffle Pecharman. Ancien élu FN à Lomme, le militant n’a pas repris sa carte en 2007. Ce proche de Carl Lang co-anime la Nouvelle Droite populaire et une revue, Synthèse Nationale. Il se dit « déçu » des positions prises par Marine Le Pen. Dénonçant « une trahison des idéaux » par un FN édulcoré. « Le Front aurait dû être en tête des manifestations contre le Mariage pour tous, accuse Luc Pecharman. Il ne s’est même pas impliqué ! L’immigration doit également rester le point absolu. Tout découle de là. »

« Un lieu pour drainer les militants »

Chercheur à l’Institut de relations internationales et stratégiques, Jean-Yves Camus est spécialiste des nationalismes en Europe.

Comment comparer les Identitaires et Tribann ?

« Ils n’ont aucun lien l’un avec l’autre. Leurs choix d’alliance sont différents. En termes d’expression, la Nouvelle droite populaire, représentée à Lille par Luc Pecharman, est encore plus radicale que le Bloc identitaire. Enfin, à propos du magasin Tribann, le lieu est quasi unique en France. Il n’en existe pas ailleurs, même à Paris. Ce commerce a pignon sur rue et son activité se situe dans le cadre des lois en vigueur. »

Les différences entre Identitaires et FN sont-elles notables ?

« Les divergences sont fondamentales. Les Identitaires sont favorables aux identités régionales et à une Europe des identités régionales. Au Front National, c’est l’inverse. Le FN admet également dans son programme l’assimilation des étrangers non européens. Le Bloc identitaire est sur la ligne de la non-assimilité et défend la remigration des non-Européens. Les Identitaires n’ont pas réussi à trouver un quelconque accord électoral avec le FN. Ce qui n’a pas empêché certains militants identitaires de trouver leur place sur les listes Rassemblement Bleu Marine aux élections municipales. »

Une Maison de l’identité est en projet à Lille.

« Depuis longtemps, les Identitaires disposent de locaux dans certaines villes de province. Le premier a été ouvert à Nice. On y trouve un bar, des activités récréatives, une bibliothèque, une salle de conférences… Le but est de créer un lieu communautaire où se rassemblent les militants et d’en drainer de nouveaux. À Lille, après la disparition de la Maison Flamande il y a deux ans, il y a un créneau à occuper sur la défense de l’identité régionale. »

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vendredi, 20 juin 2014

La revue REBELLION part aussi en campagne contre le Traité transatlantique

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Dimanche prochain : élection législative partielle à Valenciennes

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mercredi, 18 juin 2014

Affaire Esteban : Samuel Dufour enfin libéré !

582460_199614276875308_1204076119_n.pngSamuel Dufour, qui croupissait en prison depuis plus d'un an pour simplement s'être légitimement défendu lors d'une agression commise par des racailles d'extrême-gauche (lors de laquelle Clément Méric a trouvé la mort), a enfin retrouvé la liberté.

Espérons que le principal accusé par la justice politique de la République socialiste, Esteban Morillo, soit enfin lui aussi libéré rapidement.

10:54 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 11 juin 2014

Mercredi 25 juin, TOUS A PARIS, CONTRE LE TRAITE TRANSATLANTIQUE !

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Valenciennes, vendredi prochain 13 juin, réunion publique avec Carl Lang

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Candidat du Parti de la France pour l'élection législative partielle de la 21e circonscription du Nord, Dominique Slabolepszy organise une réunion publique à Valenciennes vendredi 13 juin à 18h30, en présence de Carl Lang, président du Parti de la France.

07:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 06 juin 2014

Bordeaux, samedi 14 juin :

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jeudi, 05 juin 2014

Il y a un an, une bande de gauchistes agressait des jeunes patriotes à Paris...

Depuis un an, Esteban et Samuel, deux jeunes militants nationalistes, croupissent en prison.

Retour sur un scandale d'Etat :

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Pour mieux comprendre comment une véritable manipulation a été orchestrée par le pouvoir et en particulier par celui qui est devenu depuis Premier ministre, lisez le livre de Serge Ayoub.

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mardi, 03 juin 2014

Valenciennois : Dominique Slabolepszy candidat à la députation

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Source La Voix du Nord cliquez ici

Il doit aimer les campagnes électorales, Dominique Slabolepszy. Après avoir tenté les municipales, les cantonales et les législatives à plusieurs reprises au cours de sa longue vie, c’est sous les couleurs du Parti de la France qu’il se présente à la députation.

Il fait donc partie des neuf candidats aux législatives partielles des 22 et 29 juin. Dominique Slabolepszy n’a pas tardé à se décider. Pas avant, bien sûr, d’en avoir discuté avec son ami Carl Lang, fondateur dudit parti. Sa remplaçante est une femme, Katy Basseux : lors des municipales de mars, elle était déjà en deuxième position sur la liste de celui que ses proches appellent Slabo.

Connu comme le loup blanc dans le paysage politique valenciennois, copain avec un grand nombre de politiques de tout bord dans l’arrondissement, Slabo est un enfant du pays de Condé. « Un avantage » aux yeux de Carl Lang, venu soutenir « un homme de proximité et de fidélité ». Dominique Slabolepszy ancien secrétaire départemental du Front National a en effet rejoint Carl Lang, lui aussi ancien du FN, dans sa dissidence, survenue au cours des années 2000. C’est, du coup, son troisième parti : il y a bien longtemps, Slabo était à l’UDR.

La différence est dans l’économie

Infatigable candidat, Dominique Slabolepszy ? Il y a des chances. À 70 ans, l’ancien frontiste, qui fut un temps conseiller régional, entame là son énième campagne. Absolument pas refroidi par ses très maigres scores aux municipales à Valenciennes, surtout la dernière, brouillée par « la présence au dernier moment de Jean-Luc François Laurent (FN) et celle de Didier Legrand », explique-t-il.

Sauf qu’avec le Parti de la France, on a l’impression de voir double. Bref, l’organisation ressemble au front National, s’en approche au niveau des couleurs, des slogans et des postulats mais ce n’est pas le Front National. Pourquoi ? Parce que « Marine Le Pen n’affirme pas son appartenance à la droite, mais fait de la démagogie économique », en tenant « le même discours que Mélenchon ». Pour Carl Lang, son parti représente « la nouvelle droite populaire et nationale » et s’appuie sur un atout, « la défense de la force active de notre économie ».

Pour l’heure, le Parti de la France, fondé en 2009 après la rupture de Carl Lang avec le FN ne dispose d’aucun financement public, ni d’aucun député à l’assemblée. Malgré tout, Carl Lang y croit : son parti « a vocation à devenir une grande force politique ».

jeudi, 29 mai 2014

La nouvelle municipalité du Crotoy s’est opposé au dépôt de gerbe à Jeanne d’Arc

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Du 21 novembre au 20 décembre 1430 Jeanne d’Arc fut gardée prisonnière dans le château du Crotoy où elle fut livrée aux Anglais qui l’emmenèrent ensuite à Rouen pour son procès et son supplice.  Un statue en bronze, la représentant captive, fut inaugurée le 28 août 1881.  Sur la stèle on peut lire ces inscriptions :

ICI, LA LIBERATRICE DE LA FRANCE, ABANDONNÉE PAR CEUX QU’ELLE AVAIT SAUVÉS, EST RESTÉE PLUSIEURS MOIS PRISONNIÈRE AVANT D’ÊTRE CONDUITE A ROUEN OU S’ACHÈVERA SON MARTYRE  

A JEANNE D’ARC, CETTE FILLE DU PEUPLE QUI PLEINE DE FOI DANS LES DESTINÉES DE LA FRANCE, QUAND TOUS DÉSESPÉRAIENT, DÉLIVRA NOTRE PATRIE EN LAISSANT UN NOM SANS EGAL DANS L’HISTOIRE.

C’est la raison pour laquelle, la section de la Somme de La Restauration Nationale a pris l’habitude depuis plus de 20 ans d’aller rendre hommage, au nom de l’Action française, à la sainte de la patrie en fleurissant sa statue.

Cette année, à peine la gerbe déposée, une femme se présentant comme le nouveau maire du Crotoy, accompagnée de conseillers municipaux tenta de nous empêcher de continuer le déroulement de notre hommage au prétexte qu’il aurait fallu demander l’autorisation au préalable. Cette attitude, digne du totalitarisme socialiste ambiant, entraina quelques éclats de voix, mais n’empêcha pas la suite de notre courte manifestation de piété envers la sainte de la patrie. Environ une heure après, la gerbe,  était  enlevée furtivement par les services municipaux…

Source AF Picardie

10:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 27 mai 2014

Retour sur la Procession en honneur du 800e anniversaire de la naissance de Saint Louis

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Vous pouvez consulter sur le site de la Ligue francilienne un album photos consacré à cette belle manifestation qui s'est déroulée le samedi 17 mai dans les rue de Paris entre l'Eglise Saint Eugène et la Cathédrale Notre Dame. Cliquez ici

10:32 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 23 mai 2014

Lyon, samedi à 11 h, hommage des Caryatides à Jeanne d'Arc en présence de Pierre Sidos

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mardi, 20 mai 2014

800e anniversaire de Saint Louis : Richard Roudier a tenu à souligner le caractère profondément identitaire de l’évènement

saintlouis7.jpgRichard Roudier, Porte-parole du Réseau Identités (en médaillon, s'entretenant avec Mgr le Duc d'Anjou) :
 
La procession commémorant le huit centième anniversaire de la naissance de Saint Louis restera dans les mémoires, comme une manifestation de ferveur populaire à caractère fortement identitaire. A l’appel de l’association Oriflamme, ce sont environ 2000 personnes qui ont arpenté les rues du centre historique de Paris depuis l’église St Eugère située dans le 9° arrondissement jusqu’à la cathédrale Notre Dame.
 
La présence conjointe dans la manifestation des deux prétendants au trône de France, Louis de Bourbon, duc d’Anjou et Henri d’Orléans Comte de Paris accentuait le caractère profondément enraciné de cet évènement dans l’histoire de France. Derrière les ecclésiastiques, un groupe de chevaliers de l’Ordre de Malte en grande tenue précédait la statue de Saint Louis. Un groupe de chevaliers du Temple faisait forte impression sur les badauds massés tout au long du cortège à partir du Boulevard Poissonnières. Le choeur Montjoie Saint Denis ainsi que la Fanfare Royale “l’Avenir” d’Hanzine animaient la procession, alternant cantiques, litanies, chants en français et en latin, ainsi que des parties instrumentales.
 
La procession s’achevait dans la liesse populaire sur le parvis de Notre Dame avec le présentation des bannières ainsi qu’une ostention des reliques de la passion acquises par Saint Louis. On notait au milieu du cortège la présence de nombreux identitaires dont Richard Roudier précédé de la bannière de la Ligue du Midi. Celui-ci, présent lors de l’office solennel du matin en l’église St Eugène,  put à cette occasion échanger quelques propos avec le prétendant au trône de France Louis XX puis répondre aux interwiews de deux chaînes de télévision nationales auxquelles il se plaisait à souligner le caractère profondément unitaire et identitaire de cette manifestation.

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Avez-vous lu le livre de Richard Roudier ?

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Reims, dimanche prochain, les nationalistes fêteront Jeanne d'Arc...

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jeudi, 15 mai 2014

Nantes : plusieurs centaines de lycéens dans les rues contre la mascarade de la journée en jupes...

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Une poignée de lycéens soutenue par les profs et tous les rouages de la pensée unique envisage d'organiser demain vendredi un journée dans les établissements scolaires de la ville de Nantes au cours de laquelle les garçons viendraient habillés en jupe. Ce type d'initiative s'inscrivant parfaitement dans le processus de destruction des identités orchestré par l'oligarchie mondialiste.

Les quelques crétins qui sont à l'origine de cette piteuse mascarade ne pensaient pas qu'ils allaient réussir à unifier la jeunesse nantaise contre eux.

Ainsi, dès cet après midi, des centaines de jeunes, lycéens, collégiens et étudiants, soutenus par La Manif pour Tous, sont descendus dans les rues de la ville et en particulier devant le lycée Clemenceau, d'où est partie cette sinistre provocation, pour manifester leur légitime réprobation. Ce n'est qu'un début...

Correspondant Nantes

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lundi, 12 mai 2014

HOMMAGE PARISIEN A JEANNE D’ARC ET A St-LOUIS

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Source Le nouveau NH cliquez ici

Le traditionnel défilé organisé chaque année par l’Association Civitas pour rendre hommage à Jeanne d’Arc, revêtait cette année un caractère tout particulier en raison notamment de l’accélération qu’a connu depuis l’arrivée au pouvoir de François Hollande le processus de décadence auquel doit faire notre société. D’où la nécessité pour le Président de l’association Civitas, Alain Escada, « d’honorer des modèles de chefs héroïques et vertueux dont la rareté se fait cruellement sentir dans un temps où jour après jour se met en place le scénario orwellien d’une vie dans laquelle on fait de nous des nomades sans Foi, sans Famille et sans Patrie ». Engagée dans le mouvement de dissidence qui s’est manifesté depuis l’avènement des marches organisées pour le respect de la famille, la porte parole de la Journée de Retrait de l’Ecole (JRE), Farida Belghoul participait en tête de cortège aux côté d’Alain Escada à la manifestation. Les centaines de manifestants présents dans le cortège ont fait résonner des slogans rappelant que la France devait rester fidèle à sa tradition chrétienne, qu’elle devait demeurer catholique et non laïque et maçonnique. Le Président du parti de la France, Carl Lang, entouré de nombreux militants était également présent dans le cortège. La présence de nombreuses forces de l’ordre qui encadraient la manifestation ont permis à celle-ci de se dérouler sans incidents.

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samedi, 10 mai 2014

RAPPEL : dimanche 11 mai, fête de Jeanne d'Arc, plusieurs rendez-vous

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vendredi, 02 mai 2014

Centenaire de la Grande Guerre, 60e anniversaire de la Guerre d'Indochine : LETTRE OUVERTE DE ROGER HOLEINDRE

- — aux antimilitaristes traitres à leur pays

—- aux pleureuses professionnelles

— et aux défaitistes… jamais lassés de raconter des inepties

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Roger HOLEINDRE

Président du Cercle national des Combattants

Le centenaire de la déclaration de la guerre de 14-18 a permis à toute cette chienlit de déverser aussitôt, par médias interposés, des tombereaux de mensonges et de lamentations sur le sort des poilus de la Grande guerre… qui soi-disant… devait être la dernière.

Bien sûr, notre président de la République, entre deux rendez-vous galants, y a été aussi de sa pleurnicherie. Mais, comme pour les premiers cités, pas un mot de bravoure… de patriotisme… d’élan national.

Il n’y avait donc en 1914 que des “veaux” menés à l’abattoir !

Il est quand même scandaleux que tous ces gens, adeptes du dénigrement permanent, qui ont fait perdre à notre pays les notions de fierté et d’honneur… qui ont falsifié notre histoire, et pour qui la France a toujours tort, soient ceux qui donnent le tempo de la décadence à notre jeunesse. Celle-ci d’ailleurs ne sait plus d’où elle vient… et surtout… où elle va !

Si la vérité doit être dite sur cette guerre qui vit des tueries sans nom, et où nos soldats paysans montrèrent leur courage et leur abnégation… il est bien certain que de nombreuses erreurs commises les premiers mois de la guerre furent imputables au fait que le pouvoir civil avait promu un certain nombre d’incapables choisis pour leur seul “républicanisme”… au détriment de soldats de grande valeur, mais fichés par les francs-maçons comme catholiques pratiquants.

Il est aussi très significatif que, dans chacune de ces émissions, le nom du maréchal Pétain ne fut jamais prononcé, alors qu’il fut incontestablement un des principaux acteurs de la victoire et l’un des plus humains de nos généraux.

Il se trouve que cette année du centenaire de ce gigantesque conflit est aussi le soixantième anniversaire de la fin de la guerre d’Indochine, et donc de la chute de Dien Bien Phu.

Au nom de mes amis, anciens du Corps Expéditionnaire Français en Extrême-Orient… qui devait devenir l’Armée d’Indochine, je tiens à préciser à ces raconteurs d’histoire, que nous, “les anciens d’Indo”, nous n’avons besoin ni de leurs pleurs, ni de leurs regrets.

Le seul commentaire que j’ai entendu à ce sujet à la télévision était celui d’un olibrius qui, faisant parler des soldats de cette longue et lointaine guerre… les amenait à déclarer… « Ils nous ont volé notre jeunesse ! »

J’ai fait trois séjours complets en Indochine en unité opérationnelle, donc pendant plus de dix ans. Je n’ai jamais entendu un seul soldat déclarer ce genre d’élucubration. Nous étions tous volontaires… sachant pour la plupart d’entre nous… exactement… pourquoi nous nous battions.

Dès la première année du conflit, nous avions compris qu’il ne s’agissait plus d’une guerre de reconquête coloniale… mais d’une lutte à mort contre les communistes asiatiques… des fous furieux ! Officiellement certes, Ils proclamaient, leur désir d’indépendance et de liberté… mais en fait ne voulaient qu’une chose… instaurer une dictature communiste au Viêt-Nam… au Cambodge... et au Laos.

Il est quand même un fait irréfutable… Jamais… nulle part… sur la grande terre… le communisme n’est arrivé au pouvoir démocratiquement !

Il est aussi incontestable, que jamais les peuples des trois pays de la fédération indochinoise n’ont désiré être “libérés” par les hommes d’Ho Chi Minh, de Giap et de Pham Van Dong.

Alors, messieurs, racontez ce que vous voulez sur la guerre de 14-18… mais “lâchez-nous les baskets” au sujet de la guerre d’Indochine !

Nous avons fait cette guerre… terrible par moments… pour empêcher la mainmise marxiste sur des populations laborieuses dont des centaines de milliers se battaient à nos côtés, et n’ont jamais trahi.

Si vous voulez vraiment vous inquiéter des horreurs de cette guerre… de ses tueries… de ses goulags… de nos milliers de copains de toutes races et de toutes religions morts de désespoir dans les camps vietminh… penchez-vous donc sur la trahison généralisée qui, pendant huit longues années a été le fait de vos copains d’hier. Nous, nous n’oublions pas… qu’à plusieurs reprises le général Giap… désespéré par la résistance et l’allant de nos troupes, a déclaré… Si nous désespérions… la lecture des journaux français nous rendait le moral…

Oui, nous… personne ne nous a volé notre jeunesse ! C’est avec enthousiasme que nous sommes partis… délivrer l’Indochine de l’occupation japonaise… ensuite, pour la ramener dans l’Empire français… puis dans l’Union française… aidés par les gens de ces pays, pour empêcher la mainmise des fanatiques sur ces terres meurtries, mais qui furent paradisiaques.

Nous, la seule chose qui nous intéresse, c’est de savoir que ce n’est pas à Dien Bien Phu, mais à Paris que cette guerre a été perdue.

Je le répète… nous, nous savions pourquoi nous nous battions. Le gouvernement français  qui nous avait envoyés là-bas, ne l’a jamais su ! Mais il n’y eut jamais en Indochine de “quillards” ni d’adeptes de la FNACA.

Ce que nous reprochons encore aujourd’hui à nos gouvernants, soixante-dix ans après le début de la guerre, c’est de ne pas nous avoir défendu face à la trahison des communistes prétendument “français”. Ceux-là même qui ont travaillé avec nos ennemis asiatiques, comme ils avaient “collaboré” avec les nazis, tant que leur patron, Joseph Staline, s’était acoquiné avec Adolf Hitler.

Matériel saboté… Renseignements militaires fournis à l’ennemi… Notes signalétiques récupérées par les cellules communistes en France… sur tous nos prisonniers… et fournies à leurs geôliers. Collectes de sang sabotées… Blessés jetés des trains dans des gares françaises !

Pour nous, ce n’est que cela qui compte, car nous avions fait don de notre jeunesse, de notre allant et de notre patriotisme à la France.

Nous, anciens d’Indochine, pour la plupart à l’orée de notre vie… là, et là seulement, est notre regret le plus sincère… N’avoir pas été aimés par notre patrie que nous servions avec honneur et fidélité !

Comme le disait fort justement le commandant Guillaume, le célèbre “Crabe-Tambour”, qui comme nous tous a aimé ce pays et ses peuples travailleurs…  de tout son cœur… de toute son âme… et qui en avait fait sa devise de soldat de France, que beaucoup d’entre nous ont repris à leur compte…

            Mon âme à Dieu…

            Mon corps à la patrie…

            Mon honneur à moi !

Oui, messieurs les “anti tout”, lâchez-nous les baskets, et laissez-nous avec nos souvenirs… dans lesquels vous n’avez rien à voir !

 

Dans Synthèse nationale n°35, un grand entretien avec Roger Holeindre :

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mardi, 29 avril 2014

Commémoration de Sébastien Deyzieu le 9 mai à Paris...

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dimanche, 27 avril 2014

L'intervention d'Alain de Benoist samedi 26 avril au colloque d'Eléments sur l'Europe...

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L'intervention d'Alain de Benoist au colloque du 26 avril 2014.
De gauche à droite Alain de Benoist,
Patrick Péhèle et Pierre Le Vigan.

Source Le blog d'Eléments cliquez ici

Mesdames, Messieurs, chers Amis,

Il y a encore un quart de siècle, l’Europe apparaissait comme la solution à presque tous les problèmes. Aujourd’hui, elle est perçue comme un problème qui s’ajoute aux autres. Sous l’effet de la désillusion, les reproches pleuvent de partout. A la Commission européenne on reproche tout : de multiplier les contraintes, de se mêler de ce qui ne la regarde pas, de vouloir punir tout le monde, de paralyser nos institutions, d’être organisée de manière incompréhensible, d’être dépourvue de légitimité démocratique, d’anéantir la souveraineté des peuples et des nations, de n’être plus qu’une machine à ne pas gouverner. Dans la plupart des pays, les opinions positives sur l’Union européenne sont en chute libre depuis au moins dix ans. La proportion de ceux qui, en France, pensent que « l’appartenance à l’Union est une mauvaise chose » a même bondi de 25 % en 2004 à 41 % en 2013. Plus récemment encore, un sondage Ipsos révélait que 70 % des Français souhaitent « limiter les pouvoirs de l’Europe ».

C’est un fait que l’Union européenne traverse aujourd’hui une crise de légitimité sans précédent. C’est un fait aussi que le spectacle qu’elle offre n’a rien pour enthousiasmer. Mais comment en est-on arrivé là ?

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