jeudi, 13 juin 2024
Pierre-Marie Bonneau, tête de liste Forteresse Europe, remercie ses électeurs
Pierre-Marie Bonneau, liste Forteresse Europe
Au lendemain de cette élection européenne, je tiens à remercier tous nos activistes, qui ont permis à notre liste d’exister, ainsi que tous nos sympathisants, qui ont dû imprimer leur bulletin « Forteresse Europe » pour aller le glisser dans l’urne.
En effet, notre liste était avant tout une liste militante dans laquelle chacun devait, des organisateurs aux électeurs, en passant bien évidemment par les candidats, dont je n’oublie pas le courage, s’investir.
Il n’est pas facile, en ces temps de répression contre les nationalistes, d’apparaître à visage découvert et de clamer haut et fort ce que trop de Français ont presque honte de penser, tant le matraquage médiatique que nous subissons chaque instant est lourd et permanent.
D’ores et déjà, nous pouvons célébrer trois victoires.
Nous avons tout d’abord réussi à monter et déposer une liste sur des positions sans concession, malgré la période d’intense répression et l’hostilité du ministère de l’intérieur en charge de l’organisation des dites élections, que nous subissons depuis plusieurs années de plein fouet.
Cette élection nous a permis d’organiser nombre de manifestations, publiques ou privées, qui auraient été sans doute, si nous n’avions pas bénéficié de ce cadre, purement et simplement interdites.
Cela nous a aussi permis, au travers des deux courtes vidéos que j’ai pu réaliser, de toucher, par le biais de la campagne officielle, un nombre de Français auxquels nous n’avions depuis trop longtemps plus accès.
Je tiens encore à ce titre a remercier pour leur courage tranquille l’ensemble de mes colistiers. Tant que des Français non reniés comme ceux-là existeront, la France vivra.
La dynamique de cette campagne, organisée grâce au formidable travail des militants dans toute la France, avec des moyens financiers dérisoires, doit maintenant se traduire par une reprise commune des activités militantes.
La convergence des luttes n’est plus une chimère mais devient réalité avec le rassemblement initié, autour de cette initiative, notre liste Forteresse Europe.
Des centaines de militants, de toutes sensibilités au sein de la mouvance, se sont mobilisés autour d’un projet cohérent.
Il nous faut maintenant profiter de ce faisceau que nous avons constitué, en unissant dans un combat commun nos structures respectives, locales ou nationales, pour « battre le fer tant qu’il est chaud » : il n’est pas question pour chacun d’entre nous de renoncer à nos identités, nos particularismes propres, mais de trouver une nouvelle façon de militer, de coopérer, par exemple au travers de campagnes d’opinion ou d’initiatives communes.
L’avenir nous appartient, retroussons nos manches et au travail !
Qui vive ? France !
Source Jeune nation cliquez ici
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Elections européennes (suite), remigration, vous avez dit remigration !
Michel Festivi
Il y a des mots qui fâchent, des mots interdits, que les oukases des gauches qui suintent les proscriptions à tout va et se répandent partout, entendent définitivement bannir du vocabulaire. J’ai souvent écrit que la guerre des mots est capitale dans le combat des idées. Le terme de « remigration » en est l’exemple type. Pourtant à l’issue des élections européennes du 9 juin, force est de constater que ce vocable que nos adversaires islamogauchistes voudraient sulfureux, retrouve et va retrouver toute sa place dans la vie politique européenne, car ce n’est pas un gros mot. Prenons deux exemples, celui de l’Allemagne et de l’Autriche.
On se rappelle, que suite à une réunion fin novembre 2023 à Potsdam, entre des cadres de l’AFD et des membres de la CDU, il avait été envisagé l’idée un programme de retour dans leurs pays d’un certain nombre d’immigrés, et ce de toute façon en liaison avec les pays d’où ces immigrés étaient originaires. Pas de quoi secouer un chat donc ! A la suite de cette révélation, et pendant des mois et des mois, des centaines de milliers d’Allemands ont défilé dans les principales villes du pays demandant ni plus ni moins l’interdiction et la dissolution de l’AFD. Les dirigeants de la coalition gauchiste qui gouverne outre-Rhin n’avaient pas eu de mots assez durs contre « ces fascistes, ces nazis ». La bête immonde est toujours de retour, c’est bien connu.
L’AFD qui avait le vent en poupe à la suite de plusieurs succès à des élections régionales ou municipales, était soudain donnée en totale perdition par tous les médias du système. Mais patatras, quelques jours avant le scrutin, lors de réunions de l’AFD, des immigrés avaient blessé au couteau de paisibles participants, même le Chancelier Scholz s’en était ému et avait dénoncé ces attaques. Les élections européennes allemandes ont apporté un démenti considérable aux prédictions funestes sur l’avenir de l’AFD.
Avec 15,9% des voix soit 4,5 points de plus qu’en 2019, elle se hisse en seconde position, derrière la CDU, devançant les socialistes du SPD. L’AFD conquiert 15 députés, 6 de plus qu’en 2019. Le SPD en perd deux, les verts 9. C’est la débâcle pour les partis de la coalition gouvernementale. C’est un revers cinglant pour tous les grands démocrates qui voulaient supprimer un parti politique toujours en ascension, et qui tremblent à des résultants exceptionnels pour l’AFD lors d’élections régionales en septembre dans l’est du pays. Il faut noter de surcroit la création d’un nouveau parti de gauche en Allemagne, mais qui s’est prononcé contre l’immigration et contre le soutien à l’Ukraine. Ce parti tout récent, dont l’acronyme est BSW, s’est constitué dans le cadre d’une scission de Die Linke, le parti d’extrême gauche. C’est un ancien membre du Parti communiste Est-allemand, Sahra Wagenknecht qui en a pris la tête. Ce parti tout jeune, vient d’obtenir 6,2% des voix et 6 députés. On en reparlera sûrement, car dans les zones de l’Est du pays il peut concurrencer l’AFD.
En Autriche, ce dimanche 9 juin, Le FPÔ, le Parti de la Liberté, annoncé aussi comme subclaquant, devient le premier parti du pays avec 25,4%, augmentant son résultat de plus de 8 points, et obtenant 6 députés, soit 3 sièges de plus. Des élections législatives sont prévues en septembre, là aussi le FPÔ pourrait arriver en tête et conquérir le pouvoir. Dans un article du 13 juin, Valeurs Actuelles nous apprend que Christian Hafenecker, le Secrétaire général du Parti, a demandé à l’Europe, le 11 juin la nomination « d’un commissaire à la remigration », car a-t-il précisé : « Ce que j’ai remarqué ces dernières semaines durant la campagne, c’est qu’il fallait avant tout une politique migratoire raisonnable, qu’il y a un besoin de remigration. ». Il y a fort à parier que notre Ursula Von der Leyen va s’étouffer de rage !
Le Chef du FPÔ, Herbert Kickl a quant à lui estimé que « les électeurs ont écrit une page d’histoire et exprimé la volonté d’ouvrir une nouvelle ère politique en Autriche et en Europe. » Une précision intéressante, le FPÔ siège au Parlement européen au sein du groupe Identité et Démocratie (ID), justement celui du Rassemblement National. Il faut toujours écouter ses alliés quand ils ont de bonnes idées.
15:54 Publié dans Européennes 2024, Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 10 juin 2024
Les européennes en Espagne, le PSOE résiste, le PP l’emporte, mais Vox améliore ses positions.
Michel Festivi
Les élections européennes en Espagne, se sont déroulées dans un contexte très particulier après des élections régionales qui avaient vu au Pays Basque et en Catalogne des poussées indépendantistes fortes. D’autre part le gouvernement socialo-communiste de Pedro Sanchez, minoritaire, est contraint de tout céder et aux indépendantistes- comme une loi d’amnistie qui pose d’énormes problèmes juridiques et judiciaires-et à son extrême gauche communiste, multipliant ainsi les lois sociétales les plus ubuesques, comme la liberté quasi absolue de changer de genre, sans quasiment aucune contrainte.
Comme l’a dit très justement un commentateur politique, il faut toujours comparer des élections, aux précédentes de même nature. L’Espagne envoi 61 députés à Bruxelles, 2 de plus que lors du scrutin de 2019. Son système électoral est complètement différent du nôtre, car il n’existe pas la barre fatidique des 5% des suffrages exprimés. Les sièges sont attribués au fur et à mesure en fonction des pourcentages obtenus jusqu’à épuisement des 61 sièges. Ainsi la liste CEUS, de gauche qui a obtenu 1,61% des voix a eu un député. Les abstentions ont dépassé les 50%.
La victoire en termes de voix et de sièges est revenue au Parti Populaire de centre droit, le PP qui augmente très nettement son résultat de plus de 14 points, et obtient 22 sièges soit 9 de plus que précédemment. N’oublions pas de souligner qu’en 2019, le PP se trouvait embarqué dans une tourmente interne extrême, après sa chute gouvernementale de 2018, où il avait subi une motion de censure qui l’avait éjecté du pouvoir.
Le PSOE, qui fait l’objet de multiples accusations de détournements de fonds ou de favoritisme, résiste néanmoins, en obtenant 20 députés soit 1 de moins seulement qu’en 2019. Mais c’est Vox, le parti de Santiago Abascal, qui réalise un très bon score avec 9,62% et un gain de plus de 3 points et deux députés de plus soit 6 sièges. Il figure donc sur le podium très loin devant le 4ème parti, un ramassis de républicains, alliés au groupe européen des verts.
Ce résultat est d’autant plus méritoire, que suite aux législatives de l’an dernier, Vox qui avait chuté en nombre de sièges avait connu une période de forte instabilité. Un vieux dicton populaire ne dit-il pas que lorsqu’il y a moins d’avoine dans la mangeoire, les chevaux se battent entre eux ! Vox avait déjà démontré aux dernières élections régionales catalanes d’avril qu’il résistait très convenablement en maintenant son très bon score, obtenu deux ans auparavant.
De plus, cette fois ci, Vox était concurrencé par un tout nouveau regroupement, mouvement constitué ces toutes dernières semaines, et dénommé assez malicieusement Se Acabo La Fiesta (SALF), la fête est finie. Il s’agit d’un mouvement assez iconoclaste, se voulant anti-corruption, fondé par Alvise Pérez, qui déploie une activité intense sur les réseaux sociaux et qui veut pourfendre « l’état profond », souhaitant lutter contre la prévarication généralisée qui gangrène son pays. A cet égard depuis plusieurs mois, des proches de Pedro Sanchez, dont son demi-frère et son épouse, Begoña Gomez, sont dans l’œil du cyclone, avec des enquêtes judiciaires qui se multiplient. Pedro Sanchez se permettant une pression absolue sur la justice. Comme ces personnages douteux du PSOE sont suspectés d’avoir détourné aussi des fonds européens, le Parquet européen se mêle désormais de cette affaire, ce qui a rendu fou furieux Pedro Sanchez, qui avait menacé de démissionner il y a quelques semaines sur l’air du « Retenez moi ou je fais un malheur ».
Eh bien, Se Acabo La Fiesta, contre toute attente, obtient plus de 800 000 voix, faisant jeu égal avec les communistes de Sumar, et recueille 3 élus avec 4,59% des voix. Incontestablement, ce parti a mordu sur l’électorat de Vox, ce qui rend le résultat de Vox encore plus intéressant. Quelle est la philosophie de ce parti ? Il est encore trop tôt pour le dire, les médias aux ordres le qualifiant invariablement « d’extrême droite ». Affaire à suivre.
A l’extrémité ouest de la péninsule, au Portugal, le parti de la droite forte, Chega, qui lors des dernières élections législatives avait fait une entrée en force au parlement avec 50 élus, obtient à ces élections auxquelles il se présentait pour la première fois, 9,8% des voix et 2 députés, derrière respectivement les socialistes portugais et l’alliance démocratique avec 8 et 7 sièges. Nous saurons dans les prochains jours dans quels groupes siègeront ces députés et comment se constitueront les groupes politiques qui refusent et le socialisme et le centrisme mou du PPE.
12:14 Publié dans En Europe et ailleurs..., Européennes 2024, Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Européennes 2024 : la réaction d'Eric Zemmour
01:26 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 08 juin 2024
Le 9 juin, le vote "utile", c’est le vote pour la liste de Marion Maréchal…
Roland Hélie
directeur de Synthèse nationale
Nous l’avons dit et redit, nous l’avons écrit : nous ne nous faisons plus aucune illusion sur l’avenir, ni même sur la raison d’être, de l’Union européenne. L’UE, telle qu’elle est aujourd’hui, n’est plus réformable. Elle est devenue une structure technocratique et supranationale, un véritable marchepied vers la gouvernance mondiale… Pour sauver la France, il faut donc en sortir et, autant que faire se peut, au plus vite.
Cela étant dit, cette nécessité ne se réalisera pas avant le 9 juin, date du prochain scrutin européen. Alors, que faire ?
Lorsque nous sommes confrontés à un problème, le seul choix qui doit s’imposer, c’est celui qui sert l’intérêt national.
Certains, par pureté idéologique ou par refus des carcans bruxellois, pensent qu’il faut snober cette échéance en se réfugiant dans l’abstention ou le vote nul. C’est oublier la maxime « qui ne dit mot, consent ». Qu’on le veuille ou non, s’abstenir dans le système démocratique, c’est servir les intérêts de nos adversaires. C’est-à-dire ceux des partis de l’anti-France qui vont de l’extrême gauche islamo-wokiste aux résidus de la pseudo droite, dite "républicaine", d’antan.
Le choix ne peut se faire qu’entre les différentes listes se réclamant du courant national. Et, à ce jour, elles sont pléthore…
Il y a bien sûr les listes de souverainistes, comme celle des Patriotes de Florian Philippot, celles de nationalistes, telle la liste du courageux avocat toulousain Maître Pierre-Marie Bonneau, auxquelles il faut en ajouter quelques autres, comme celles de l’UPR de François Asselineau ou de l’Alliance rurale (Nicolas Dupont-Aignan s’étant, pour sa part, retiré récemment de la compétition). Mais aucune d’entre elles, aussi sympathiques soient-elles, ne peut espérer passer la fameuse barre des 5% lui permettant d’avoir des élus. Par conséquent, les deux seules listes qui peuvent jouer un rôle sont celles du Rassemblement national, menée par Jordan Bardella, et celle de Reconquête, conduite par Marion Maréchal. Rappelons que pour la France, il y a 81 sièges à pourvoir et que leur répartition se fait en fonction des résultats des différentes listes qui passent la barre fatidique.
L’intérêt national, c’est qu’il y ait un maximum d’élus nationaux le 7 juin.
À quelques semaines du scrutin, si l’on s’en tient aux sondages, la liste du RN arrive largement en tête, avec près de 30% des intentions de vote, et celle de Reconquête oscille entre 5 et 7%. Le total des deux listes tourne autour de 40%, ce qui équivaut, à peu près, au score de Marine Le Pen au second tour de la dernière présidentielle (2022). Tenons-nous en à cette hypothèse…
Avec 30% des suffrages exprimés, la liste RN peut espérer avoir une trentaine d’élus. Si la liste de Marion Maréchal fait plus que 5%, elle en aura quatre ou cinq (en dessous, elle n’en aura aucun).
J’entends parfois, ici et là, des amis qui ont soutenu Éric Zemmour lors de la présidentielle, éblouis peut-être par les sondages actuels, me faire part de leur intention de voter "utile" aux européennes en donnant leur voix à la liste RN. Font-ils le choix de l’efficacité ? Si la finalité est d’avoir un maximum d’élus nationaux au Parlement européen, permettez-moi d’en douter…
Je ne remets pas en cause leur sincérité mais, par manque d’information, ils ne connaissent pas tous les rouages de ce type de scrutin. Je les invite donc à réfléchir sur les cas de figure suivants :
• Dans la perspective la plus vraisemblable évoquée ci-dessus, si 1% des électeurs potentiels de Marion se reporte sur la liste RN, plaçant ainsi Reconquête en-dessous des cinq points, cela fera peut-être un élu en plus pour le RN mais cela fera surtout aucun élu pour Reconquête et donc, à l’arrivée, au mieux trente-et-un élus nationaux au lieu de trente-quatre ou trente-cinq… Est-ce un bon calcul ?
• Second cas de figure : la liste de Marion Maréchal dépasse les 5%. Cela ne fera pas un élu en moins pour le RN, mais cela fera quatre ou cinq élus de plus pour le courant national. Ce qui, bien sûr, ne peut être que bénéfique pour la France !
Le parti Reconquête sera-t-il l’instrument permettant au RN et à la droite nationale dans son ensemble de sortir de son isolement ?
Vous le savez, à Synthèse nationale, notre préférence va plutôt à la liste conduite par Marion Maréchal. Il en a été de même, il y a deux ans, lors de la présidentielle, avec Éric Zemmour. Nous avons à maintes reprises exposés nos critiques à l’encontre de ce qu’est devenu le Rassemblement national ces dernières années. Néanmoins, nous considérons que ce parti, malgré ses dérives "dédiabolisatrices", sa quête de "respectabilité" et ses votes douteux à l’Assemblée nationale, fait partie de notre courant de pensée. Nous n’allons donc pas nous plaindre de le voir progresser comme c’est le cas actuellement.
En revanche, le problème qui a toujours été celui, d’abord du Front national, puis du RN, c’est l’impossibilité, faute de partenaire(s) conséquent(s), de pouvoir contracter des alliances. Or, en France, c’est un fait, il est impossible d’arriver seul au pouvoir (le PS s’est allié avec le PC, le RPR avec l’UDF, Macron avec le Modem...). Bref, jusqu’à aujourd’hui, en dehors de quelques alliances ponctuelles avec des groupuscules éphémères, le FN/RN est demeuré cloîtré dans une solitude certaine. L’émergence de Reconquête, qui clame sa volonté de voir se réaliser l’union des droites, est peut-être la chance historique de notre famille politique. Mais encore faut-il que cette émergence se confirme et se consolide… Espérons aussi que, d'un côté comme de l'autre, au cours de cette campagne, on mette de côté les rancunes et les invectives inutiles...
Les prochaines élections européennes sont donc cruciales pour l’avenir de la droite nationale et, plus encore, pour l’avenir de la France. Voilà pourquoi, le 9 juin, nous vous invitons à voter pour la liste Reconquête conduite par Marion Maréchal !
Editorial publié le 11 avril dernier.
Publié aussi dans la revue Synthèse nationale cliquez ici
15:39 Publié dans Editoriaux, Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 07 juin 2024
Il faut voter Marion dimanche !
Julien Rochedy, ancien responsable national du FNJ, essayiste
Après avoir hésité entre Marion Maréchal et Jordan Bardella, j’ai décidé de voter pour la liste de Marion et je vous invite à faire de même lors des élections européennes qui ont lieu dimanche.
Au-delà de l’amitié que j’ai pour elle, au-delà du fait que c’est une fille super et surtout de confiance – ce qui n’est pas rien –, je pense que voter pour elle, c’est faire une pierre deux coups, c’est-à-dire, d’une certaine façon, aussi voter pour Bardella.
Je m’explique.
Le RN a absolument besoin d’un parti sur sa droite pour gagner les prochaines élections présidentielles. Elle ne l’avouera pas, mais Zemmour a fait beaucoup de bien à Marine en 2022. Il l’a recentrée. Il a pris les coups pour elle. Il a été au cœur des polémiques à sa place. Et pour gagner – et mieux : pour gouverner – il faut impérativement des alliés. Dans cette même logique, Bardella aura indéniablement besoin de Marion à l’avenir, comme le RN de Reconquête.
C’est pourquoi toutes leurs guéguerres sont stupides. En vérité, ils ont besoin les uns des autres.
D’autant que Bardella et Marion sont l’avenir de la politique française, en particulier à droite. Ils seront nécessairement amenés à travailler ensemble un jour ou l’autre pour le pays.
C’est pourquoi il faut faire en sorte que la liste de Marion dépasse les 5% car cela conditionne en partie le futur de Reconquête, utile au débat public et… au RN.
Pour ces raisons (entre autres), il faut voter Marion dimanche !
23:53 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 9 juin, votez Marion Maréchal !
Un communiqué de Thomas Joly, Président du Parti de la France
Comme annoncé début janvier, le Parti de la France a soutenu et fait campagne pour la liste menée par Marion Maréchal pour ces élections européennes.
Peu importe la frilosité de la candidate et de son entourage à notre égard, certains errements communautaires de Reconquête, il est de notre devoir d'appeler à voter pour la seule liste qui a fait campagne sur la défense de notre civilisation, la remigration et le refus de voir notre pays et l'Europe toute entière devenir un coupe-gorge islamisé, thèmes abandonnés depuis bien longtemps par un RN qui a déjà renoncé sur tout avant même d'arriver - hypothétiquement - au pouvoir.
Dimanche 9 juin, le vote le plus utile ou le moins inutile est celui en faveur de Marion Maréchal qui a un véritable projet de droite nationale, en digne héritière de son grand-père, Jean-Marie Le Pen.
23:21 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le meeting de Marion Maréchal et Eric Zemmour à Nice
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jeudi, 06 juin 2024
Echos de la campagne...
Enorme succès, hier soir, du meeting de Marion Maréchal et Eric Zemmour à Nice
Notre Amie Valérie Laupies candidate en quatrième position sur la liste de Florian Philippot cliquez ici
Maïtre Pierre-Marie Bonneau (liste Forteresse Europe) répond à François Asselineau
12:05 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 05 juin 2024
Mercredi 5 juin, à Nice : meeting avec Marion Maréchal et Eric Zemmour
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mardi, 04 juin 2024
Marion Maréchal : "je suis la candidate de la France qui ne veut pas mourir"
Pour regarder le clip officiel cliquez ici
01:28 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le clip officiel de la liste Forteresse Europe
01:02 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 01 juin 2024
Marion Maréchal sur C-News
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vendredi, 31 mai 2024
ENTRETIEN PUBLIÉ AUJOURD'HUI DANS OUEST-FRANCE. Marion Maréchal : « Je veux une triple frontière contre les clandestins »
Texte publié dans Ouest-France cliquez ici
La tête de liste Reconquête espère créer la surprise lors des élections européennes du dimanche 9 juin. « Cette triple frontière sera nécessaire pour dissuader, bloquer et expulser les clandestins », dit-elle
Quelle est la proposition phare de votre programme ?
La « triple frontière », pour dissuader, bloquer et expulser les clandestins. Une première frontière hors du territoire de l’Union, qui prendra la forme d’accords avec les pays de départ où nous ouvrirons des centres pour examiner les demandes d’asile. Une frontière européenne, avec la mise en place d’un blocus militaire naval en Méditerranée et le financement des murs demandés par les pays confrontés aux afflux de migrants. Une frontière nationale, basée sur la fin de la libre circulation des extra-Européens au sein de l’espace Schengen, la suppression de la directive sur le regroupement familial et la mise sous condition de l’aide au développement, réservée aux seuls pays qui accepteront de reprendre leurs ressortissants expulsés.
Comment organiserez-vous les contrôles au sein de l’espace Schengen ?
Nous avions des frontières nationales avant 1985. Il reste des barrières physiques à chaque point d’entrée sur le territoire national. On peut y restaurer des contrôles, avec des files rapides réservées aux Européens, qui n’auront qu’à montrer leur passeport, et des dispositifs facilitant le passage des transfrontaliers, type télépéage ou reconnaissance automatique des immatriculations. Mais les non Européens ne pourront plus passer d’un État à un autre sans visa et contrôle de celui-ci à chaque frontière.
Comment comptez-vous mobiliser vos électeurs le 9 juin ?
D’abord en leur rappelant qu’il n’y a pas de vote perdu ou inutile, puisque c’est la seule élection à la proportionnelle intégrale à un tour que nous ayons en France. Toutes les listes qui feront plus de 5 % auront des élus. Le seul vote utile le 9 juin, c’est de voter pour le parti qui défend le mieux vos convictions, avec le plus de force et de courage. C’est d’autant plus important que pour la première fois, la coalition qui dirige l’Union depuis des décennies (l’alliance des LR, des socialistes et désormais des Macronistes) peut être renversée. Le groupe, qui peut devenir la force centrale de cette recomposition à droite, est le nôtre, celui des conservateurs et réformistes européens (ECR), avec nos dix-sept alliés européens.
09:45 Publié dans Européennes 2024, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Profusion de listes pour les européennes 2024
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Le vendredi 17 mai à minuit s’achevait le dépôt au ministère de l’Intérieur à Paris des listes pour les élections européennes du 9 juin prochain. Quelques heures plus tard, les vérifications légales effectuées, le Journal officiel publiait l’identité des candidats inscrits sur les trente-sept listes en lice, soit trois de plus qu’en 2019.
Si on excepte les européennes de 2004, de 2009 et de 2014 qui se déroulèrent dans des circonscriptions régionales (l’Île-de-France) ou interrégionales (Rhône-Alpes, Provence – Alpes – Côte d’Azur et Corse), depuis 1979, ce scrutin à la proportionnelle se passe dans le cadre national, outre-mer compris. Cette particularité en fait une « présidentielle du pauvre ». En effet, hormis l’obligation de parité entre les femmes et les hommes (on oublie les non-binaires et autres trans…), il est moins difficile de constituer une liste que d’obtenir les cinq cents parrainages nécessaires. Les souverainistes de Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan et les royalistes de l’Alliance royale ont pourtant renoncé pour diverses raisons.
Chaque liste témoigne d’une grande variété politique et catégorielle. Au risque de paraître fastidieux, intéressons-nous donc à ces listes dont il faudra parfois imprimer chez soi le bulletin. Dans la République hexagonale, les frais d’impression élevés supportés par les listes entravent la liberté de candidature. L’État dépense des millions pour financer chaque année des formations politiciennes bien souvent parasites. Il devrait plutôt prendre à sa charge toute la propagande électorale au nom de l’égalité entre les candidats.
Abordons maintenant la plupart des listes. Existent au préalable trois listes inclassables. « Défendre les enfants » réclame la protection des enfants sans bien sûr remettre en cause l’IVG. « Décidons nous-mêmes ! » défend la démocratie directe et le référendum d’initiative populaire. « Pour une humanité souveraine ! (sic !) » reste un concept hautement flou, pour ne pas dire impolitique.
Oublions le pseudo-populisme de l’Alliance rurale conduite par Jean Lassalle, longtemps député centriste et proche de François Bayrou. Le troisième de la liste, Willy Schraen, président de la fédération nationale des chasseurs, a signé un bouquin préfacé par Éric Dupont-Moretti qui allait devenir le ministre de la Justice. Cette liste apparaît comme une manœuvre discrète de l’Élysée vers la « France périphérique » ou plutôt celle du « rural profond » afin de priver le RN de quelques voix originaires des campagnes.
09:29 Publié dans Européennes 2024, Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tribune libre à Maïtre Pierre-Marie Bonneau (liste Forteresse Europe)
Pierre-Marie Bonneau
Tête de liste Forteresse Europe
L’objectif n’est pas de faire élire une poignée de députés dans un parlement qui n’est qu’une chambre d’enregistrement, le pouvoir réel étant à la Commission européenne, dont les membres sont nommés par les chefs d’État européens.
L’objectif est de faire entendre la voix des nationalistes au plus grand nombre avec le clip de campagne qui sera diffusé sur les télévisions et le programme politique publié sur le site officiel de l’élection. Depuis trop longtemps, cette voix est étouffée par les médias de l’oligarchie et sanctionnée par les tribunaux rouges.
Ce n’est pas parce qu’il y a déjà des listes de la mouvance nationale au sens large, qu’il faut s’interdire d’en présenter une autre. D’une part parce que nous portons un projet différent, sans concession et authentiquement nationaliste ; et d’autre part parce que plus il y aura de listes de la tendance nationale, plus nos thèmes et nos idées seront martelés aux Français et prendront place dans leur esprit.
Nous n’avons pas la prétention de vouloir transformer des dizaines de millions de Français en militants nationalistes. À long terme, l’objectif est de constituer une minorité suffisamment nombreuse et formée pour changer le cours des choses le moment voulu. C’est toujours ainsi que s’écrit l’histoire. À court terme, l’objectif est de faire entendre les positions nationalistes dans un espace médiatico-politique saturé d’ « indigénistes », de libéraux-sionistes et de nationaux-sionistes.
Et quelle est l’utilité du vote en lui-même ? Un million de voix pour un programme mou n’a guère d’impact. Dix mille bulletins de vote téléchargés sur internet, imprimés et glissés dans l’urne, c’est un acte militant et une démonstration de force en faveur d’un programme radical.
Le site Forteresse Europe : cliquez ici
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Il faut lire le manifeste identitaire de Maximilian Krah, figure de l’AfD attaquée par le RN
Maximilian Krah est au cœur d’une tourmente politique puisque ce sont ses déclarations – nous laisserons nos lecteurs juger du fond, de la forme et de l’opportunité de celles-ci par eux-mêmes – qui ont déclenché l’expulsion de l’AfD du groupe ID au Parlement européen, à la demande du Rassemblement national. En réalité, la crise couvait depuis des mois entre le RN et l’AfD et Maximilian Krah n’a sans doute été qu’un prétexte à cette rupture vue comme inévitable par beaucoup de cadres du RN. Reste que Maximilian Krah est en fait très éloigné de la caricature qu’en font les journalistes ! En témoigne son passionnant livre-programme pour ces élections européennes. Michel Geoffroy l’a lu et il a été conquis.
Polémia
Michel Geoffroy, Polémia cliquez ici
Les amateurs de scandales entre le RN et l’AfD seront déçus
Les éditions La Nouvelle Librairie ont eu la bonne idée de traduire le livre publié en 2023 par Maximilian Krah qui sera candidat de l’AfD pour les élections européennes de 2024 : Politik von rechts, sous le titre Allemagne : plaidoyer pour une droite identitaire, avec une préface de François Bousquet [1].
Cette publication vient à propos, au moment où les polémiques enflent contre l’AfD, des deux côtés du Rhin, puisque les sondages annoncent une percée électorale qui inquiète le Système.
Mais les amateurs de scandales médiatisés en seront pour leurs frais : le « plaidoyer pour une droite identitaire » de Maximilian Krah n’évoque ni la Seconde Guerre mondiale, ni les SS, ni la chevauchée des Walkyries. Et il ne propose pas de trucider les immigrants.
Le livre rassemble en réalité un ensemble de réflexions – de « vues de droite » pour reprendre le titre d’un essai fondateur d’Alain de Benoist – sur l’état de l’Allemagne, de l’Europe et du monde en général. Avec un fil conducteur, d’où le titre français de l’essai : quel serait la déclinaison d’un programme identitaire de droite, appliqué à différents domaines tels que l’État, l’économie, le social, les relations internationales, l’Europe ou le politique.
Maximilian Krah embrasse donc un très vaste champ de réflexion qui, bien que faisant évidemment souvent référence à la situation particulière de l’Allemagne, vaut aussi pour nous puisque l’Europe se trouve soumise à des maux convergents. Ce qui rend cet essai intéressant pour un Français aussi.
Il n’y a pas de solution progressiste à la crise du progressisme pour Maximilian Krah
« Ce ne sont pas les problèmes qui sont trop grands, mais le cadre du débat qui est trop étroit. Cela empêche l’application d’idées et de solutions qui pourraient sauver ce qui semble perdu [2] », écrit d’emblée Maximilian Krah dans son introduction, donnant le sens de l’ouvrage.
La crise de civilisation que nous vivons vient en effet de la mise en œuvre de l’idéologie progressiste (l’idéologie de la gauche dans sa forme libérale libertaire actuelle) et par conséquent, dès lors que le débat politique est monopolisé et censuré par les mêmes, aucune solution ne pourra en sortir. Cela explique la vanité du débat électoral actuel en Europe.
Il est donc temps d’oser une politique qui ne soit pas de gauche : une politique de droite et donc une politique identitaire. Car « la promesse de la droite politique est une vie en harmonie avec soi-même, la nature et les valeurs ancestrales, une vie qui vaut donc la peine d’être transmise [3] », écrit l’auteur. Tout ce que récuse la gauche quelle qu’en soit la forme ; car « l’identité de la gauche est la rupture avec ce qui est réellement [4] », écrit Maximilian Krah, qui a le sens des formules.
L’intellectualisme contre la nature et la tradition
L’auteur fait d’ailleurs justement remarquer que la gauche domine sur le plan idéologique parce que précisément elle ne peut exister qu’en faisant de très gros efforts de justification abstraite et intellectuelle pour prétendre qu’il faut s’écarter de la tradition et de la nature. Alors qu’être en accord avec la nature et la tradition, ce qui constitue le véritable positionnement de la droite à ses yeux, ne nécessite pas de tels efforts.
Donc, dans les joutes intellectuelles, la gauche est toujours mieux armée que la droite, mais cette domination ne traduit pas le fait que la gauche ait raison pour autant, comme nous le voyons clairement aujourd’hui.
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mardi, 28 mai 2024
Marie, Manon et Léon... Pierre Cassen se les paye tous...
18:41 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 27 mai 2024
Quelques nouvelles d'Europe :
Flandre : le Vlaams belang en tête le 9 juin :
Espagne : Vox va se faire entendre :
Italie : la Ligue contre la présence de soldats italiens en Ukraine :
Source : le site de Lionel Baland cliquez là
09:19 Publié dans En Europe et ailleurs..., Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 23 mai 2024
Marion Maréchal chez Cyril Hanouna
19:20 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 22 mai 2024
Nouveau reniement de Jordan Bardella...
11:51 Publié dans Communiqués de presse, Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 17 mai 2024
La liste "Forteresse Europe" a été déposée jeudi...
Un communiqué de Maître Pierre-Marie Bonneau :
Les représentants de la liste Forteresse Europe ont déposé aujourd'hui à Paris, au ministère de l'Intérieur, les dossiers de candidature des 81 colistiers de la liste. Les fonctionnaires du ministère ont contrôlé les dossiers un par un puis délivré un reçu provisoire. Le ministère effectuera des contrôles complémentaires et sous six jours, si tout est conforme, délivrera un reçu définitif.
Nous avons finalement obtenu, grâce à votre mobilisation, un surplus de candidatures. Nous avons veillé à privilégier les candidatures des personnes plus âgées afin de limiter l'exposition des plus jeunes.
Il est temps maintenant de passer, après la constitution de la liste, à la diffusion de la propagande. Nous vous invitons à contacter euronat@proton.me pour obtenir des affiches et des tracts. Envoyez des photos de vos collages / boitages / tractages !
Nous vous invitons également à participer au vote du 9 juin dont l'objectif, rappelons-le, n'est pas d'envoyer une poignée de députés dans un Parlement-croupion, mais de manifester un fort soutien populaire envers un programme radical. Pour cet acte militant, il vous faudra imprimer le bulletin de vote qui sera publié sur notre site internet fin mai.
Nous adressons nos plus vifs remerciements aux colistiers qui ont accepté de placer leur nom sur une liste sans concession, aux militants qui se consacrent sans relâche à l'organisation de la campagne, et aux nombreux sympathisants qui ont également aidé à trouver des colistiers et déjà commandé des affiches et tracts.
Qui vive ? France !
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jeudi, 16 mai 2024
Dimanche 26 mai, à Poligné, une nouvelle conférence de Bernard Germain en Ille-et-Vilaine
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20:50 Publié dans Bernard Germain, Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 15 mai 2024
Eric Zemmour sur BFM TV ce matin
16:24 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 12 mai 2024
Avec élégance et intelligence, Thomas Joly, président du Parti de la France, répond à Marion à propos des affiches de son parti la soutenant...
Suite à un surprenant courrier de Marion Maréchal clique ici au sujet de l'affichage du PdF, voici la réponse de Thomas Joly :
Chère Marion,
Quelle polémique bien inutile.
D'une part, le Parti de la France a annoncé son soutien à votre candidature dès début janvier car votre combat civilisationnel est aussi le nôtre. D'autre part, il n'a jamais été question de manipuler qui et quoi que ce soit puisque les affiches que nous avons produites indiquent seulement que le Parti de la France vous soutient pour cette élection européenne. Comme nous l'avions d'ailleurs fait avec Éric Zemmour pour la Présidentielle en 2022 sans que cela ne suscite une telle réaction épidermique.
Enfin, croyez-vous qu'il soit raisonnable, à un mois du scrutin, de vous désolidariser ainsi du seul parti politique en dehors de Reconquête qui soutient votre candidature ? Ne vous laissez pas influencer par un entourage de tièdes ou de courtisans veules qui ne cherchent qu'à diviser.
L'union des droites passe aussi par l'union avec ceux qui se revendiquent du Front National de votre grand-père comme le fait le Parti de la France.
Le Parti de la France vous souhaite le meilleur score possible le 9 juin ! Amitiés nationales.
Thomas Joly
Président du Parti de la France
NDLR SN : lorsque l'on est à 6 ou 7 % dans les sondages, il est dommage de traiter ainsi les bonnes volontés qui viennent vous soutenir. Heureusement, Thomas Joly et ses amis en ont vu d'autres et ils savent raison garder...
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11:07 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 09 mai 2024
Samedi 11 et dimanche 12 mai, à Paris : réunion et défilé de la liste Forteresse Europe menée par Pierre-Marie Bonneau
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dimanche, 05 mai 2024
LÂCHE AGRESSION CONTRE ÉRIC ZEMMOUR À AJACCIO
Éric Zemmour lâchement agressé dans le dos par une hystérique antifa à Ajaccio.
Alors qu'il menait campagne sur le marché de la préfecture de la Corse, accompagné par plusieurs candidats de la liste de Marion Maréchal, et qu'il recevait un accueil plus que favorable de la part de la population, le président de Reconquête ! a été lâchement agressé par une bande de nervis. Heureusement, Éric Zemmour, déjà rôdé à ce type de danger, s'est courageusement défendu et a repoussé l'hystérique qui s'était jetée sur lui par derrière. Le soir même, malgré la violence gauchiste, il a tenu un grand meeting qui a rassemblé des centaines de patriotes corses venus l'acclamé.
Notons au passage le silence assourdissant de la classe politique face à cette odieuse agression. D'habitude si prompte à l'indignation volubile lorsque l'on découvre une svastika taguée sur une boite à lettres ou tracée à la craie derrière une vespasienne, celle-ci reste bien muette aujourd'hui. Quant-aux plumitifs de la presse aux ordres, ils ont tenté, sans grand succès il faut bien le dire, de travestir le déroulement des faits en confondant sournoisement les agresseurs et l'agressé.
Ce terrible incident révèle, une fois de plus, la nécessité d'en finir avec les agissements criminels des gangs islamogauchistes. Dans un État national digne de ce nom, il faudra mettre hors la loi les groupes prétendus anti-fascistes qui manipulent les cerveaux et agressent les patriotes ; il faudra aussi en finir avec les partis, tels LFI et quelques autres, qui encouragent le terrorisme et cautionnent les agissements des milices islamistes sur notre sol.
En attendant, manifestons notre totale solidarité militante avec Éric Zemmour et espérons que, dorénavant, Darmanin, le matamore de la place Beauvau, mettra autant de zèle à veiller au bon déroulement de la campagne qu'il en met à s'acharner contre les organisations nationalistes et identitaires qui elles, soulignons-le, ne se livrent à aucune violence. On peut toujours rêver...
Roland Hélie
Sur ce sujet, lire aussi l'article de Patrick Jardin publié sur Riposte laïque cliquez ici
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13:18 Publié dans Editoriaux, Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 02 mai 2024
Marion Maréchal nous parle de Jeanne d'Arc à Domrémy le 1er mai
15:33 Publié dans Européennes 2024, TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 28 avril 2024
Élections européennes du 9 juin prochain : pour nous, il n’y a qu’un seul vote possible, celui pour la liste Reconquête ! conduite par Marion Maréchal
Didier Lecerf
En matière d’élection, comme en tout autre matière d’ailleurs, la macronie aime aller au plus facile. Son conformisme bien-pensant, son manque d’imagination et de courage la portent naturellement à se tourner vers les vieilles recettes, même les plus éculées. À trois mois des prochaines élections européennes, la voici donc qui, une nouvelle fois, déploie la tactique en deux temps à laquelle elle a déjà eu recours à l’occasion des précédents scrutins.
1 - Elle s’emploie à imposer l’idée que tout se joue entre elle-même et le RN.
2 - Elle s’efforce de « rediaboliser » ce dernier.
L’objectif de la manœuvre est clair. D’une part, provoquer un réflexe de "vote utile" en faveur des deux adversaires présentés comme étant les "principaux", afin de marginaliser tous les autres. D’autre part, susciter la peur dans une partie de l’électorat, avec l’espoir de se renforcer au détriment du parti de Marine Le Pen et de Jordan Bardella… La ficelle est un peu grosse mais puisqu’elle a déjà servi avec succès pourquoi ne pas nous en remettre une couche…
Pour notre part, nous ne marchons pas ! Les européennes sont en effet des élections à un seul tour, au scrutin de listes à la proportionnelle (à la plus forte moyenne). Ce qui signifie que la notion de "vote utile" n’a pour ce scrutin aucun sens. À condition de franchir la barre des 5%, toutes les voix obtenues permettent d’avoir des élus et donc de faire représenter ses idées au sein du Parlement européen. Il ne s’agit donc pas de voter pour la liste qui paraît la mieux placer face à celles que l’on veut contrecarrer, mais de voter pour ses idées, pour la liste qui les incarne le mieux, c’est-à-dire, en ce qui nous concerne, pour celle de Reconquête ! menée par Marion Maréchal !
Petit rappel : l’un des enseignements de la dernière présidentielle, à méditer, est que le "bloc national" a progressé grâce à Zemmour, et que Marine Le Pen stagne à un peu plus de 16% des électeurs inscrits…
Si on regarde de près les résultats des dernières élections présidentielles, on constate que, de 2012 à 2017, le "bloc national" a gagné environ 2,3 millions de voix (+32,7%) réparties comme suit : Marine Le Pen : +1,26 millions de voix (+19,6%) – Nicolas Dupont-Aignan, +1 million de voix (+163%). Le "bloc national" a donc progressé 1,67 fois plus que Marine Le Pen seule.
De 2017 à 2022, le "bloc national" a gagné près de 2 millions de voix (+21%) réparties comme suit : Marine Le Pen, +457 000 (+6%) – Éric Zemmour et Nicolas Dupont-Aignan ensemble (par rapport au score de Nicolas Dupont-Aignan en 2017), +1,5 million (+90% environ). Le « bloc national » a donc progressé 3,5 fois plus que Marine Le Pen seule, essentiellement grâce à Éric Zemmour qui a attiré de nombreux électeurs LR, Nicolas Dupont-Aignan ayant perdu un peu plus de 57% de ses voix de 2017 à 2022 (-970 000 environ).
Ainsi, de 2012 à 2022, la progression du "bloc national" est due surtout à l’offre politique autre que celle de Marine Le Pen et du Rassemblement national (Nicolas Dupont-Aignan ou Zemmour). Ces autres candidats "nationaux" permettent d’attirer dans ledit "bloc national" des électeurs qui ne se reportent pas volontiers sur Marine Le Pen pour diverses raisons. Il est ainsi certain que l’essentiel des 2,5 millions de suffrages obtenus par Éric Zemmour sont ceux d’électeurs ayant voté précédemment pour LR et qui l’auraient fait cette fois encore (ou auraient voté pour Nicolas Dupont-Aignan) si Zemmour ne s’était pas présenté…
En 2017, le "bloc national" a attiré près de 20% des électeurs inscrits (16% environ pour Marine Le Pen et 3,5% pour Nicolas Dupont-Aignan). En 2022, "bloc national" en totalise un peu plus de 23% (près de 17% pour Marine Le Pen, 1,5% pour Nicolas Dupont-Aignan et 5% pour Éric Zemmour). On peut ainsi constater que, de 2017 à 2022, Marine Le Pen stagne à 16-17% des inscrits et que la progression du "bloc national" est due à l’irruption d’Éric Zemmour dans la campagne…
À méditer, dans l’optique des prochaines élections européennes…
Lire aussi cliquez ici
18:37 Publié dans Didier Lecerf, Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi, Eric Zemmour était à Lille
11:55 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |