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mercredi, 12 juin 2013

De la “chasse aux sorcières” à la dictature …

562549640.jpgRéseau Identités

Un jeune de 19 ans, activiste « antifasciste » est mort, mercredi soir. Mort parce que depuis des années, des lobbies associatifs, des politiciens, des journalistes, des éducateurs, des enseignants, apprennent, chaque jour, à la jeunesse de France à détester leur pays et les gens qui souhaitent le défendre. Il est mort dans une bagarre de rue, on ne peut plus banale, parce qu’il a voulu en découdre avec un groupe de jeunes patriotes qui sont montrés du doigt au quotidien. Il est mort parce que les provocations répétées ne peuvent rester indéfiniment impunies, et parce que d’autres jeunes ont, pour une fois, décidé de se défendre légitimement face à une agression. Ayant participé à Montpellier, il y a peu, à une assemblée publique des “Veilleurs”, nous avions dû subir, durant deux heures de temps, les insultes et menaces des “anti-fa”, sous l’œil imperturbable de la police à l’affut d’une éventuelle riposte…

Le Réseau identités dénonce le climat de chasse aux sorcières actuel, relayé jusqu’au sommet de l’Etat par des ministres qui appellent ouvertement à « tailler en pièce » les patriotes –plus de 500 interpellations depuis le début de l’année-. Si nous déplorons les conséquences de la rixe mortelle de mercredi, nous ne pouvons que constater qu’il ne s’agit que d’une bagarre parmi d’autres. Chaque semaine en France, des jeunes et moins jeunes meurent des suites d’agressions, sans que les médias, les politiciens et les riches “bobos” ne s’en émeuvent plus que cela.

La mise en détention d’Estéban pour un coup de poing à la face, alors que tous les témoignages s’accordent pour invoquer le guet-apens, la légitime défense et l’excuse de provocation, démontre, une fois encore, que le fléau de la balance a tendance à favoriser une famille bourgeoise de professeurs d’université plutôt que des jeunes issus des milieux populaires; les mises en examen et le contrôle judiciaire de trois autres garçons, dont l’implication est loin d’être attestée, nous montre qu’au “pays des droits de l’homme” le pouvoir socialiste, ne reconnait le droit à la présomption d’innocence qu’à ses affidés. Pour Estéban, un jour de prison en détention préventive, est un jour de trop!

Le Réseau identités, tient à avertir les politiciens et responsables associatifs zélés, qu’il n’acceptera jamais que le combat pour l’identité et pour la défense des couches populaires, soit systématiquement assimilé à de la délinquance; nous continuerons à dénoncer et à combattre, au quotidien, les fossoyeurs de nos peuples européens; enfin, nous apporterons notre soutien à toutes les associations ou individus qui œuvrent en ce sens ou qui subissent les foudres d’un système qui cherche à broyer, à détruire tout mouvement de résistance.

Les menaces de dissolutions d’organisations patriotes en conseil des ministres, outre le fait qu’elles dénotent une ingérence de l’exécutif dans l’application de la loi et une confusion des pouvoirs, sont la preuve éclatante que les socialistes ne gouvernent plus qu’à coups d’expédients, de rideaux de fumée et de scoops médiatiques… Les déclarations inouïes de Jean-Marc Ayrault, indiquant que le groupe des JNR serait dissout “sur la base d’éléments antérieurs et plus larges que la rixe (car ils étaient) … en passe de constituer un groupe de combat”, sont la preuve de l’inculture et de la duplicité du chef du gouvernement toujours prompt à rogner nos droits constitutionnels.

Le Réseau identités, toujours en pointe dans le combat pour les libertés publiques, répondra, coup pour coup dans les jours qui viennent, au glissement de la république vers une dictature de moins en moins molle…

Là où il y a une volonté, il y a un chemin !

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