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dimanche, 28 juin 2015

VENDREDI 26 JUIN : UNE JOURNÉE DE L’ABJECTION Quelle stratégie contre les crimes de haine

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Raoul Fougax Métamag cliquez ici

Les journalistes, quand un blanc tire sur des noirs, savent qualifier ce crime de «  crime de haine  ». Un crime contre l’autre parce qu’il est autre.

Les crimes islamistes sont donc des crimes de haine et il faut les traiter comme tels en criminalisant l’adhésion à la violence d’une idéologie religieuse  préconisant la mort pour ceux qui ne se soumettent pas ou qui sont considérés comme des impies. L’adhésion au salafisme est incompatible avec nos valeurs et notre nationalité historique. Il faut enfin en tirer les conséquences.

Pour une fois cependant  le terme est approprié : abject. Un terrorisme abject, de sauvages et pas seulement de barbares qui a frappé trois fois.

Chaque fois, on nous rappelle que ce ne sont pas des musulmans mais des terroristes. C’est un peu lassant. Et puis, on nous explique que ce mois est le plus dangereux, qu’on s’attendait à des horreurs car c’est le mois saint, le mois de ramadan. N’y aurait-il pas tout de même une légère contradiction.

Ce terrorisme est une maladie de l’islam, une gangrène de cette religion. Dans les reportages sur France info, il y a toujours une musulmane voilée mais tolérante qui explique que le terroriste n’a rien compris à l'islam.

Abject, ce qui s’est passé en France où un islamiste radical est passé à l’acte terroriste dans une forme d’attentat suicide après avoir coupé la tête de son patron ou collègue de travail, sans oublier de l’accrocher au portail avec des inscriptions en langue arabe. Un homme connu, surveillé mais pas trop et qui a transformé en Djihad une haine privée, passant à l’acte terroriste.

Abject en Tunisie cette fusillade qui a fait prés de 40 morts, des touristes sur les plages, des employés de l’établissement dans l'hôtel même, un homme seul se faisant passer pour un baigneur  comme les autres, une horreur venue du bord de mer. Sous le sable et les matelas en Tunisie la mort.

Abject en plein ramadan, le vendredi, heure de la prière en ce début de ramadan, cette bombe au Koweït dans une mosquée chiite, un acte signé Daesh.

Alors  bien sûr la condamnation et la compassion ne servent à rien, la preuve par 3, l’appel à la solidarité surtout sans fausse note et sans amalgame est dérisoire et même devient insupportable.

Il faut éradiquer l'islamisme la-bas et chez nous et faire la guerre à ceux qui nous rejettent et veulent nous tuer.

Il faut les rejeter même si c’est sans doute trop tard. Comment ?

Il y a des gouvernants, nos admirables gouvernants qui le feront très bien sans pratiquer l’amalgame bien sûr ! Et pendant ce temps accueillons les migrants au nom de la compassion.

Mortelle compassion.

08:55 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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