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mercredi, 16 mars 2016

La pitrerie Antifa fait toujours recette auprès des media, beaucoup moins auprès des électeurs

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Dr Bernard Plouvier

On le sait depuis des siècles : la propagande cible les masses, soit – en tout continent et dans toutes les races et leurs sous-variantes – les 75% de sous- et de moyennement doués, qui forment l’écrasante majorité des opinions publiques et des électorats.

Il est réconfortant de constater qu’aux USA également, la comédie burlesque du « combat antifasciste » exerce ses charmes ravageurs. Du coup les Européens en paraissent (un peu) moins idiots dans leur acharnement à poursuivre cette vieille lune.

Les méthodes sont inchangées depuis les années 1920. Des « pacifistes », des « antiracistes », des « antimilitaristes », bref des tas de gens autoproclamés « non-violents » usent de la force, de l’hystérie médiatique, du matraquage publicitaire, et volontiers d’arguments « démocratiquement frappants », pour interdire de parole des hommes politiques qu’ils sont incapables de contrer par le raisonnement.

C’est toujours d’un gros rendement, auprès des faibles en esprit critique, que d’user et d’abuser du sentiment, de la noble indignation hypocrite, de la plus basse démagogie (étymologiquement : ce qui plait au peuple inculte et irréfléchi) pour s’attaquer à des orateurs trop efficaces dans le déroulement logique de leur argumentation. Cela vaut en Europe occidentale pour la diabolisation des mouvements populistes. La pré-campagne des présidentielles aux USA nous apprend que cette pratique y (re)devient à la mode.

En l’occurrence, Donald Trump vole de succès en écrasement de ses adversaires (remportant jusqu’à présent 70% des primaires), parce qu’il refuse le discours gnan-gnan, à la sauce de feu Walt ‘’Disney’’-Elias, de la politicaille US et qu’il propose des solutions dictées par la froide raison et le pur bon sens, en matière d’immigration, de coût en dépenses de santé, de réduction du déficit de l’État central, de politique fiscale, de régulation du commerce international, de relations politiques cordiales avec la Russie et de lutte impitoyable contre toutes les formes de terrorisme. Contrairement à ce qu’assène la « presse internationale », Trump est l’unique candidat présentant un programme cohérent, antidémagogique, fort peu favorable aux maîtres de la globalo-mondialisation.

Cela ne fait absolument pas les affaires d’un candidat démocrate, lamentablement dominé par l’épouse la plus trompée des USA, lady Clinton, et qu’il ne parvient même pas à capter l’attention et les subsides de sa très riche communauté judéo-US… à dire vrai, qui veut encore d’un « socialiste » aux USA, où ce terme n’a jamais signifié que : « marxiste qui n’ose pas avouer son obédience » ? On comprend que cet authentique démagogue ait besoin de coups de publicité pour ne pas sombrer.

D’un autre côté, quelques Noires, partisanes d’une immigration noire massive aux USA, ont profité d’affrontements violents entre des voyous noirs et des policiers blancs pour lancer un mouvement « pacifiste », intitulé Black Lives Matter (les vies de Noirs sont d’une grande importance)… ce qui, pour des militants noirs, n’est qu’une lapalissade.

Or, les nervis du « socialiste » Bernie Sanders et les « pacifistes » à gros bras du mouvement BLM ont organisé des émotions populaires à Chicago pour protester contre un meeting électoral prévu par le candidat populiste républicain. Pour éviter toute effusion de sang, Trump a fort justement annulé ce meeting, le vendredi 11 mars 2016… ce qui a entraîné la fureur des « pacifistes » qui s’en sont pris à la police et aux partisans de Trump (des gens coupables d’arborer une cocarde ou un insigne, comme cela se fait couramment aux USA). La presse internationale, qui ne rate jamais une ânerie quand il s’agit de défendre de très gros intérêts, dénonce la haine de… Trump !

De même, le spéculateur juif le plus connu de la planète, le sieur György Schwartz, plus connu sous le nom de George Soros (même après 1945, de nombreux Juifs sont restés des Fregoli du changement de patronyme), vomit Trump, coupable d’excès de popularité, alors que Soros accumule vainement les œuvres dites philanthropiques pour faire oublier ses spéculations sur les monnaies et les matières premières qui font de lui un être méprisé par tous les honnêtes travailleurs de la planète. Condamné par la Justice française pour une canaillerie boursière, Soros est partisan de l’immigration musulmane massive en notre pays et il la finance… on se venge comme l’on peut !

Le locataire, sur le départ, de la Maison Blanche, qui hait tous les candidats et qui estime que « tout va bien aux USA », joue les bons apôtres en prêchant le retour au calme, sans condamner le moins du monde les vrais responsables ; bien au contraire, c’est Trump qu’il conspue ! C’est comme cela que l’on se prépare une confortable retraite : des conférences dans les riches Universités US, payées 20 000 $ de l’heure.

La comédie Antifa reste immuable dans ses procédés, prouvant à la fraction la moins sotte de l’humanité que la bête immonde marxiste et trotskiste n’est pas morte et que le racisme anti-Blancs est devenu une valeur sûre, un peu partout dans notre monde frelaté, saturé de bêtise, d’hypocrisie et de pseudo-humanisme de pacotille. 

18:16 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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