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jeudi, 13 décembre 2018

La France, championne du monde des prélèvements fiscaux, doit se réformer !

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Marc Rousset

La France, selon l’OCDE, est le champion du monde des prélèvements fiscaux et parafiscaux, soit 47 % de notre PIB. À titre de comparaison, l’Italie se situe à environ 44 %, l’Allemagne à 37 %, le Royaume-Uni à 34 %, le Japon à 32 %, les États-Unis à 27 % et la moyenne générale de tous les pays de l’OCDE à 35 % ! Si l’on ramenait donc le prélèvement fiscal en France à la moyenne de l’OCDE, cela représenterait une minoration fiscale et parafiscale de 12 % du PIB, soit environ 270 milliards d’euros.

Un graphique établi par l’ACDEFI (sources : INSEE ; calculs ACDEFI) de 1960 (avec une pression fiscale de 30 %) à nos jours (avec une pression fiscale de 47 %) montre d’une façon indiscutable que plus la pression fiscale a augmenté en France, plus la croissance économique a évolué d’une façon inversement proportionnelle, puisqu’elle est passée, en cinquante ans, de 5 % par an à 1 %. Tandis que tous les autres pays de l’OCDE ont réduit drastiquement leur taux de chômage entre 2009 et 2019, de 8 % à 6 % pour le Canada, 7,5 % à 4 % pour le Royaume-Uni, 9 % à 4 % pour les États-Unis, 7,5 % à 3 % pour l’Allemagne et 5 % à 2 % pour le Japon, seule la France, avec ses taxations démoniaques, a gardé un taux de chômage inchangé inacceptable de 8,5 % !

Taxer stupidement aboutit immanquablement à appauvrir les nations. La justice fiscale consiste à taxer seulement relativement les riches plus que les pauvres, mais pas à voler tous les citoyens riches ou pauvres, à gaspiller, à faire rêver les citoyens en les incitant à prendre dans la poche des autres. Il importe donc de procéder, en France, à une révolution conservatrice conduisant à une baisse globale des impôts pour tous, qu’ils soient pauvres ou riches, d’autant plus que ces derniers trouvent la parade en quittant de plus en plus, à l’instar de Johnny et Depardieu, purement et simplement le pays.

Si les agents de conduite de la SNCF partaient à la retraite à 62 ans au lieu de 50 ou 52 ans, on pourrait abaisser leur effectif de 25 %. Si les aiguilleurs du ciel travaillaient autant que les Allemands, on pourrait réduire leur effectif de 50 %. Les fonctionnaires s’absentent deux fois plus que les salariés du privé. La France a un million de fonctionnaires en trop, toutes choses égales par ailleurs, par rapport à l’Allemagne. Ce sont toutes ces personnes et non les riches qui volent les Français.

Croire résoudre les problèmes français en rétablissant l’ISF est donc digne d’une stupidité gauchiste, socialiste, d’une démagogie déconcertante. L’ISF rapporte entre 5 et 7 milliards d’euros, mais entraîne un manque à gagner fiscal par la fuite des riches de 30 milliards d’euros. Rétablir l’ISF aurait donc pour effet inverse d’entraîner une ponction fiscale supplémentaire par l’État dans les poches des pauvres et des riches de 24 milliards d’euros !

L’immigration, le thème dont doivent s’emparer de plus en officiellement les gilets jaunes, pas encore libérés complètement de la pression bien-pensante, coûte à la France, selon les calculs sophistiqués de Polémia et de son président Jean-Yves Le Gallou, environ quatre-vingts milliards d’euros par an.

Le racket fiscal supplémentaire de l’État français par rapport à la moyenne des États de l’OCDE s’élève donc à 270 milliards d’euros, dont 24 milliards d’euros correspondent à la surtaxation engendrée par l’imbécile ISF et 80 milliards d’euros (soit environ 4 % du PIB) à l’immigration. Ce chiffre monstrueux devrait ouvrir les yeux des gilets jaunes face la tentative de récupération gauchiste « Demain on rasera gratis » à la Luigi Di Maio. Les gilets jaunes patriotes doivent, au contraire, combattre le racket fiscal de l’État obèse, l’arnaque du réchauffement climatique et la ruineuse invasion migratoire conduisant à la perte de notre identité française et européenne.

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23:55 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie prochaine du n°50 (hiver 2018-2019) de la revue Synthèse nationale

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10:42 Publié dans Gilets Jaunes, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

MARRAKECH : L’ESCROQUERIE DU PACTE SUR LES MIGRATIONS

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Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Le lundi 10 décembre, la majorité des membres de l’Organisation des Nations unies, 150 sur 194, a signé le «  Pacte pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, dit "Pacte de Marrakech" ». (Une ville qui, soit dit en passant, ne mérite pas tant d’éloges touristiques).

Ce texte, rédigé par des « experts » dans la foulée de la crise migratoire de 2015, entend répondre aux flux de populations qui vont aller, hélas, en empirant. En fait de régulation des migrations, c’est  un coup de pouce donné aux millions de clandestins qui veulent quitter des sociétés anarchiques et des pays ingrats qui ne peuvent assurer leur pitance, pour rechercher des conditions de vie meilleures. C’est humain, mais cela ne correspond pas à nos intérêts, pas à ceux, en tout cas, des peuples européens, à commencer par le peuple français qui a déjà beaucoup donné ! C’est peut-être égoïste, mais c’est comme ça : « charité bien ordonnée  commence par soi-même », n’en déplaise aux pleureuses professionnelles des ONG alimentaires et… alimentées de nos deniers ! Après la misère qui fait fuir des peuples, principalement d’Afrique, on nous fait le coup des réfugiés climatiques. En mars dernier, l’ONU préconisait déjà l’entrée, - excusez du peu ! -, de 159 millions d’immigrés sur notre vieux continent d’ici à 2025/2030.

Invraisemblable. Pour faire avaler cette couleuvre, on ressort toujours la même rengaine, les peuples européens sont épuisés, il faut un sang neuf et des bras pour l’industrie.

Les migrants n’importent que leurs problèmes

Mais dans des sociétés de plus en plus évoluées technologiquement, où les industries lourdes sont mortes, on peut douter que des armées d’analphabètes  puissent occuper des postes d’ingénieurs ou de techniciens. La grasse Allemagne en fournit un magnifique exemple : si quelques immigrés, déjà formés, ont pu trouver un job immédiatement après le rush de 2015, la plus grande partie, inadaptée au monde moderne, reste à la charge des contribuables de la RFA. Avec les conséquences sécuritaires que l’on connait. Aujourd’hui, l’ONU veut nous imposer « un mécanisme de renforcement des capacités (d’accueil) au sein du système des Nations (dites…) unies ». Parmi les exigences de ce pacte, « le renforcement des opérations maritimes pour sauver des vies », le renforcement également « de l’action internationale face aux trafics de migrants », l’obligation « de ne recourir au placement en rétention administrative qu’en dernier ressort » et permettre aussi l’accès, à ces mêmes migrants, « aux services de base ». Contribuables de tous les pays développés, à vos portefeuilles ! On nous dit « le pacte ne modifiera  pas les lois nationales et les Etats restent souverains ». Présenté comme un catalogue de nouveaux droits de l’homme, ce texte  induit de nouvelles obligations et de nouveaux devoirs aux Etats membres.

Si nos vieilles nations courbaient l’échine, c’en serait fini de notre «  modèle social » à la française, modèle qui, soit dit en passant, est déjà en train de s’écrouler sous les coups de butoir du laxisme social et de l’égoïsme des (trop) bien nantis. Il n’y a que des « ravis de la crèche » comme, par exemple le sénateur Patriat, ex-socialiste, leader du groupe des « Marcheurs » au sénat, pour qui « faire société », c’est « organiser le bien vivre ensemble » ! On voit ce que donne cette fumisterie avec, comme triste exemple, un de plus, la tuerie de Strasbourg commise par un descendant d’immigré maghrébin ! Pour en revenir au pacte signé au nom de la France par un obscur secrétaire d’état, le sieur  Le Moyne, dépêché par un Macron qui n’a pas osé y aller lui-même, « Gilets jaunes » obligent, il servira d’alibi commode aux clandestins déboutés du droit d’asile.

Un exemple abstrait aujourd’hui, concret demain

Prenons un exemple abstrait : Mr Mamadou, un Sénégalais, venant d’un pays « démocratique », en paix, entré clandestinement en France, est débouté du droit d’asile. Avant sa très problématique expulsion, - rappelons les chiffres dérisoires des « retours au pays » effectué  par la France, à peine un peu plus de 30 000 expulsions dont la moitié réalisées à partir de Mayotte et de la Guyane ! -, aiguillonné par l’une des nombreuses associations « caritatives » défendant d’abord le sort des migrants, il sollicitera la Cour européenne des droits de l’homme, la fameuse et redoutable CEDH. Elle lui donnera forcément raison, et ce jugement fera  jurisprudence pour les cas suivants. CQFD, la boucle sera  bouclée. De non contraignant au départ, les contenus du pacte s’appliqueront en vertu des décisions d’une instance judiciaire hors sol, anonyme et internationale, à laquelle un gouvernement de « dhimmis » comme celui de la France, n’osera pas s’opposer. Il y a, toutefois, dans ce tragique panorama, des résistances qui nous réchauffent le cœur.

Des pays qui, eux, sont debout

L’Italie et la Suisse n’étaient pas représentées au Maroc, la Belgique est en pleine crise gouvernementale, le principal parti représentant la communauté flamande refusant sa participation à cette farce, la Bulgarie a rejoint la liste des pays qui se sont officiellement déclarés hostiles à ce document, citons au hasard : Etats-Unis, Israël, Autriche, Estonie, Lettonie, Chili, République Dominicaine, - comme on la comprend avec Haïti à ses portes ! -, les quatre membres du groupe de Višegrad et bien d’autres Etats, une bonne quarantaine au total, refusent de se joindre à cette sinistre plaisanterie. Ils savent bien que cette marchandise est frelatée et que ce vote, pour l’instant de portée symbolique car il n’a, AUJOURD’HUI, aucune contrainte juridique, sera demain un véritable corset, un de plus  resserrant leur souveraineté. De plus, ce pacte ne promeut-il pas la propagande en faveur de l’accueil des immigrés et n’encourage-t-il pas des sanctions matérielles à l’endroit des médias hostiles à l’immigration de masse ? Et la juge canadienne Louise Arbour, qui manageait ce grand raoût mondialiste, a eu beau déclarer que les autres pays « finiront par y venir (à ce pacte, nda), car la migration est un sujet qui va nous interpeller pendant des décennies. Le pacte ce n’est pas la fin, mais le début de la nécessité d’une meilleur coopération », la résistance va s’organiser. D’abord, démocratiquement, dans les urnes comme la poussée populiste, - oh l’horrible mot ! -, le démontre chaque jour, en Europe comme ailleurs. Un dernier réconfort pour donner du baume au coeur ? 50 000 Canadiens ont approuvé une pétition hostile à la signature par le trublion Justin Trudeau, au nom du Canada, de ce « pacte » dont on souhaite bien volontiers, qu’il  finisse aux orties !

10:35 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

J’ai décortiqué le pacte de Marrakech : c’est encore pire que prévu !

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Viviane Lamarlère Riposte laïque cliquez ici

Plusieurs postulats de départ dans ce pacte qui ne reposent sur aucun fondement sérieux et scientifiquement éprouvé. En outre, un pacte qui s’appuie sur des conventions disparates et sans liens entre elles ne peut qu’inspirer de la suspicion, lire son préambule à la Prévert…

En guise d’apéritif :

1) L’alinéa 5 du préambule postule que ce pacte doit « rendre les migrations bénéfiques à tous », ce qui signifie qu’elles ne le sont pas actuellement.

2) Le 10 propose de « démonter les discours trompeurs qui donnent une image négative des migrants. » Autrement dit, rincer les cerveaux et les empêcher de voir et de dire.

3) Le 12 propose d’« atténuer les facteurs négatifs et structurels qui empêchent les individus de trouver et de conserver des moyens de subsistance durables dans leur pays d’origine et les forcent à rechercher un avenir ailleurs. »

On aimerait des précisions sur les moyens donnés aux régions de départ. Aide internationale ? Éradication de la corruption de leurs dirigeants ? Éducation renforcée des femmes dans ces pays ? Contrôle accru des naissances qui empêchent par leur nombre les femmes de vivre et leurs enfants de construire leur existence ?

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08:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les mahométans, « gentils donneurs de leçons de morale »

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Bernard Plouvier

Strasbourg (l’un des hauts-lieux de la politicaille européenne), soirée du 11 décembre 2018 : un fou furieux se réclamant du sieur allah tire sur les badauds d’un marché de Noël, en tue 3 et en blesse une douzaine, avant de fuir courageusement.

Pas de quoi s’en étonner : c’est l’attentat mahométan de la semaine en Europe. Depuis la proclamation du Djihâd par le fou furieux Abou Bakr II en 2014, nous sommes habitués aux actes terroristes de ces fous haineux, d’ailleurs généralement connus des services de police (variante : de nos efficaces services de renseignements).

C’est d’ailleurs le cas de ce tireur : djihadiste répertorié, ayant tâté de 6 mois de prison après une agression terroriste. Il avait écopé de deux ans, mais avec sursis pour la plus grande partie... ce qui est l’équivalent judiciaire d’une invitation à la récidive. C’est fait !

La surprise de l’honnête citoyen ne provient pas du sociopathe assassin, ni de l’absurdité d’un système laxiste, dans lequel des fonctionnaires de l’État font semblant de punir et d’autres ne peuvent rien faire d’utile. Sur ce point, l’alternative est simple : ou on élimine, discrètement mais impitoyablement, les mahométans qui prônent le djihâd dès qu’on les a repérés, ou on cesse de promettre aux Français une « protection » parfaitement illusoire. Tout cela, on le sait depuis 2015. 

La surprise – qui n’en est pas une vraie, car l’on avait déjà noté la tendance des jeunes mahométans à excuser les actes terroristes commis par les fous d’allah – vient d’une réaction à chaud d’un jeune mahométan qui crèche (c’est le mois idéal pour employer ce verbe !) à Strasbourg. Interrogé par un journaliste de Cnews (la chaîne d’info du groupe Canal+ & Bolloré), et bien qu’il sache le bilan sanglant de son ami, il n’a pas hésité à le présenter comme un barbu « super-gentil, cultivé... un grand-frère toujours prêt à donner des leçons de morale » !    

Face à de tels moralistes, il ne reste à la Nation qu’une ressource : passer des revendications fiscales qui mobilisent plusieurs millions de Français, si l’on prend en compte les participants et leurs sympathisants, à la création de milices citoyennes non armées – puisque seuls les voyous peuvent disputer l’exclusivité du port d’arme aux si efficaces forces de l’ordre -, mais d’une vigilance toujours en éveil, composée d’individus rompus aux sports de combat.

La Nation n’a rien à attendre des politiciens, fort peu des juges, à peine plus des policiers, surmenés à force de verbaliser sur les routes et de tenter de maîtriser ces casseurs encouragés par de curieux personnages – qui ne viennent pas de cette « droite extrême » dont on nous rebat les oreilles. La Nation doit légitimement se méfier des mahométans qui évoquent favorablement le djihâd ou prennent des assassins pour des héros.

Il est urgent d’exiger de nos princes inefficaces la tenue d’un referendum sur l’immigration extra-européenne et sur la liberté de culte sur le sol français pour les individus qui prônent l’imposition de la charî’a. La France a instauré, en 1905, une absolue séparation des Églises et de l’État. Même si le culte mahométan est financé par des millions de pétrodollars, seuls des corrompus peuvent accepter ses débordements.      

00:31 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |