Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 05 avril 2024

Demain, samedi 6 avril, à Paris : colloque de l'Iliade

unnamed.jpg

unnamed-1.png

unnamed.png

18:49 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le collège musulman Avicenne de Nice dans le collimateur des autorités

téléchargement (4).jpeg

Michel Festivi 

Dans ces colonnes j’ai souvent évoqué le combat des autorités administratives et judiciaires contre le lycée musulman Averroès de Lille qui a vu son contrat d’association résilié par le Préfet des Hauts-de-France, et des recours qui s’en sont suivis. Et bien le collège musulman Avicenne, sis à Nice, dans le quartier sensible de l’Arianne, a reçu un arrêté préfectoral de fermeture définitive pour la fin de cette année scolaire. Il s’agirait du seul collège musulman des Alpes-Maritimes.

Hugues Moutouh, préfet des Alpes- Maritimes a invoqué le 14 mars dernier « des financements opaques et des irrégularités financières manifeste ». Il s’agit cette fois-ci, d’un collège hors-contrat, d’environ 100 élèves et vingt professeurs, et qui avait été créé en 2015. Même la très laxiste et indulgente Nicole Belloubet avait manifesté son intention de voir fermer cet établissement sous le couvert de la loi de 2021 contre « le séparatisme ». Le préfet a aussi motivé sa décision sur « un financement opaque, contraire à la loi », termes repris par la ministre de l’éducation nationale.

Selon les autorités préfectorales, les dirigeants du collège n’ont pas répondu aux multiples demandes et relances sur des opérations « imprécises » et « intraçables », des « prêts suspects » accordés par des particuliers pour près de 500 000 euros, mais aussi des prêts et des dons octroyés par le collège à des tiers.

Pour la Rectrice de l’académie de Nice, les difficultés rencontrées sont uniquement comptables et budgétaires, et elle s’évertue à répéter que ce n’est ni un problème d’embrigadement ou de radicalisation. Pourtant le Maire de Nice, le très macro-compatible Christian Estrosi s’était déclaré contre son ouverture en 2015 et s’était vivement opposé à son agrandissement voilà quelques mois. Quant à l’élu d’opposition de Reconquête, Philippe Vardon il avait dénoncé « les liens directs de ce collège avec l’ex-UOIF, et donc la mouvance islamiste des Frères musulmans ». Qui croire ?

A noter également qu’une enquête préliminaire a été ouverte pour « abus de confiance » sur signalement du préfet et de la rectrice auprès du parquet de Nice, selon les déclarations du procureur de la république, Damien Martinelli.

L’avocat du collège musulman, vient d’annoncer une multitude de recours, un référé administratif suspensif, un recours pour « excès de pouvoir » et même une QPC, une question prioritaire de constitutionnalité. En tout cas selon les informations données par Le Figaro, 83% du financement en 2022 aurait été jugé non conforme par les différents services de tutelle et aussi des « dons suspects ». Il semble aussi que le coût d’une année de scolarité qui s’élèverait à 1590 euros par enfant serait insuffisant pour assurer un autofinancement pérenne.

Compte tenu de la multiplicité des recours qui viennent d’être déposés, cette affaire n’a pas fini de faire parler d’elle, nous vous tiendrons informés de ses rebondissements éventuels.

10:33 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : dimanche 7 avril, à Combourg (35), Roland Hélie invité du Parti de la France

2024 04 07 combourg pdf.jpeg

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, et Pierre-Nicolas Nups, membre de la direction du PdF.

10:30 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rationnement numérique

téléchargement (3).jpeg

La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

De 2014 à 2017, Najet Vallaud-Belkacem (ci-dessus) occupa le ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche sous la présidence du calamiteux François « Flamby » Hollande. Sous sa direction catastrophique, la bureaucratie pédagogiste déconstruisit encore plus les programmes de français, de mathématiques et d’histoire – géographie, et introduisit sans grand succès immédiat le gendérisme. Contre la bonne vieille notation sur dix ou sur vingt, elle encouragea une « évaluation » positive, simpliste et compréhensible par tous, censée valoriser les progrès de l’élève et qui accompagne ses initiatives superficielles.

En militante socialiste zélée, elle avait auparavant exprimé son envie d’accorder aux élections locales le droit de vote des étrangers présents en France depuis au moins cinq ans. Battue aux élections législatives en 2017, elle se retire de la vie politique politicienne. Dès 2019, l’éditeur Fayard l’engage pour animer la collection « Raison de plus ». Elle organise en parallèle à Sciences-Po Paris, ce guêpier wokiste, un plan en faveur de l’égalité femmes – hommes dans les politiques publiques. En 2020, elle devient la directrice de la branche française de l’ONG One. Fondée par le chanteur Bono du groupe U2, cette association lutte contre l’extrême pauvreté et les maladies infectieuses en Afrique. En 2022, elle prend enfin la présidence de l’ONG France Terre d’Asile, une officine subventionnée qui contribue à la subversion migratoire et au grand remplacement démographique.

C’est à ce double titre qu’elle publie une tribune parue le 18 mars 2024 « Libérons-nous des écrans, rationnons Internet ! ». S’agit-il d’un texte politique ? Oui ! En 2021, elle entre au conseil régional Auvergne – Rhône-Alpes dans lequel elle dirige le groupe Socialistes, écologistes et démocrates. Pourquoi ne mentionne-t-elle pas son mandat politique ? En aurait-elle honte ou bien le cacherait-elle ?

Sa contribution critique l’usage d’Internet qui « est moins souvent une solution qu’un facteur aggravant ». Toutefois, ne rêvons pas ! L’autrice n’a pas rallié les néo-luddites et semble toujours méconnaître les essais de Jacques Ellul, de Bernard Charbonneau et d’Ivan Illich. Elle affirme qu’« il y a une urgence numérique comme il y a une urgence climatique. Elle ne consiste pas à envoyer dans l’espace des satellites supplémentaires, mais à débrancher la prise, à éteindre nos écrans et à commencer à revivre, enfin ». Relevons que, pour elle, l’urgence migratoire n’existe pas…

Lire la suite

10:28 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jusqu’où vont-ils tomber ?… c’est la honte absolue pour eux !

Yann-pompier.jpg

Bernard Germain

Yann Valerie est un homme respectable et droit. Il est le fondateur et l’animateur principal du média Breizh-Info, un site internet - situé en Bretagne - qui informe honnêtement les gens et pratique un véritable journalisme. C’est à dire qui expose les faits et les évènements laissant à chacun le droit et lui donnant les moyens de se faire une opinion à partir d’éléments précis et non d’une propagande mensongère et outrancière.

Yann Valerie est également un homme de cœur qui s’intéresse au sort de ses concitoyens. C’est ce qui l’a amené à devenir pompier volontaire à Callac.

Oui… Callac, vous savez le petit village qui n’a pas voulu laisser mettre en œuvre le projet Horizon de la fondation Merci de Madame Cohen. Projet qui voulait imposer à ce petit bourg de 2 200 habitants l’arrivée de centaines de migrants venant d’Afrique, pour lesquels il y avait des millions d’Euros alors qu’il n’y a pas un euro pour aider les habitants modestes de cette localité.

Alors la population n’a pas accepté et la mairie, les « progressistes » (principalement du PCF) et la droite (car la droite au conseil municipal est également pour ce projet) ont dû reculer et annoncer le 11 janvier 2023 que le projet était abandonné.

C’est notre honneur d’avoir mené le combat victorieux pour faire échouer ce projet. Et ce « nous » représente l’association « les Amis de Callac et ses environs », Reconquête !, le Parti de la France, Les Patriotes, Riposte laïque, Résistance républicaine, Synthèse nationale… et tant d’autres qui avec la population se sont mobilisés pour imposer la défaite à ce maire qui a osé déclarer le 5 octobre 2022, vers 10H30 sur le marché de Callac, devant des dizaines de témoins « je ne ferais pas de référendum sur ce projet car je sais que 80 % de la population est contre ».

Ce maire anti-démocratique a été obligé de baisser pavillon devant le refus de ses administrés.

Cela la « gauche » ne nous le pardonne pas. Depuis, elle est folle de rage de ce revers dont la France entière a parlé. Et même encore aujourd’hui, elle montre qu’elle ne se remet pas de cette défaite.

Ce combat et ces évènements, Breizh-Info s’en est fait l’écho tout au long du conflit qui a été mené pendant plusieurs mois. Mais contrairement à la presse bien pensante (Le Monde, Libération, l’Humanité, Médiapart…) Breizh-Info n’a pas accepté de hurler avec les loups et donc de raconter des mensonges plus gros les uns que les autres, comme les prétendues « violences de l’extrême-droite » dont plus d’un an après l’arrêt du projet aucune ne s’est traduite par des poursuites et encore moins des condamnations. Et pour cause, puisqu’il n’y a eu aucune violence de la part des opposants au projet Horizon. Il n’y a eu que la population imposant son point de vue au maire, avec notre aide.

Pour avoir fait son travail honnêtement et ne pas avoir colporté tous les mensonges dits et répétés jusqu’à la nausée contre « l’extrême droite » afin de discréditer le combat à Callac, Yann Valerie est devenu une cible pour cette prétendue gauche et tous les bien pensants.

Comme je vous le disais, Yann Valerie est pompier volontaire à Callac. Pour des raisons qui ne regardent que lui, il s’était mis en disponibilité. Aujourd’hui il souhaite réintégrer la brigade de Callac et y reprendre ses activités de pompier. Quelle aubaine… pour ses collègues qui sont en sous-effectif notoire, les amenant à constater une à deux fois par semaine une « absence de pompiers locaux » affirme le lieutenant Patrick Guégan, chef du centre d’incendie et de secours (CIS), de Callac.

Mais le 2 avril, au conseil municipal des voix se sont élevées contre ce retour, notamment de la part de Laure-Line Inderbitzin la pasionaria du projet Horizon. Cette dame s’est crue autorisée à évoquer le rôle de Yann Valerie au travers de Breizh-Info durant le conflit de Callac. Ce qui justifierait selon elle l’interdiction du retour de Yann Valerie au sein de la brigade de Callac.

Il y a eu également la voix de Lise Bouillot, l’ancien maire, qui est furieuse que personne n’empêche Yann Valerie de réintégrer la brigade, notamment ses collègues (les pompiers de Callac ont voté majoritairement pour son retour) et le colonel des pompiers à la tête du SDIS 22 a accepté. Elle propose aussi d’en appeler au préfet de région puisque le préfet des Côtes d'Armor ne veut pas obtempérer aux injonctions des petits Torquemada du conseil municipal de Callac.

À tous ces inquisiteurs, je pose deux questions : va-t-il falloir dans chaque profession demander à chacun ses opinions et pour qui il vote ?

Va-t-il falloir décréter une interdiction professionnelle pour ceux qui ne pensent pas comme le veulent les bien pensants ?

Il est vrai que dans ce registre Ouest France avait montré la voie avec un très vilain exemple en écrivant au maire de Lorient pour lui indiquer qu’un de ses jeunes employés était à Reconquête !, afin de lui faire perdre son emploi. Manifestement cela fait tâche d’huile…

À propos de « journaliste », il serait très injuste d’oublier, dans la liste de ceux qui veulent la peau de Yann Valerie, un certain Erwan Chartier.

Vous l’avez peut-être oublié, mais c’est ce petit, tout petit monsieur, qui m’a traîné au tribunal pour l’avoir parait-il insulté dans un article qui ne faisait que répondre fermement mais correctement à l’un des siens paru sur le petit, tout petit journal local nommé Le Poher, dans lequel à l’époque il nous avait quasiment traités de nazis. En première instance au tribunal de Lorient, ce grand résistant a perdu… mais ça, il ne le dit pas. C’est aussi lui qui se répand partout en Bretagne répétant comme un orgue de barbarie la même petite musique à savoir qu’il y a eu des violences de l’extrême droite à Callac. Tout en étant incapable d’apporter le moindre commencement de preuve cliquez ici.

Exactement comme pour les prétendues menaces de mort qu’il aurait reçues l’an dernier, tout comme cette imaginaire alerte à la bombe dans les locaux de son journal. Des affirmations répétées en boucle, mais aucune preuve. Jamais.

Beaumarchais disait : « calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ».

Et c’est encore lui qui court partout ces derniers temps pour présenter son « livre », son tout petit livre qui raconte les « obsessions de l’extrême droite à Callac ». En réalité, le seul qui a des obsessions, c’est ce monsieur Chartier qui voit des « fachos » partout et s’en va répétant comme le lapin Duracelle qui bat son tambour, que la France est en danger mais qu’heureusement lui, le grand résistant, est là pour sauver le pays des hordes fascistes.

Alors, évidemment, ce monsieur n’allait pas louper l’occasion d’écrire un article écœurant dont il a le secret contre Yann Valerie, montrant clairement qu’il est aussi pour l’interdiction de son retour au sein de la brigade de Callac. Et cette occasion il ne l’a pas manquée et a montré à nouveau sa conception d’une information honnête et impartiale ainsi que son éthique du journalisme.

Le mot de la fin revient à Yann Valerie qui a répondu à « cette gauche haineuse et à cette droite intolérante qui veulent m’empêcher de sauver des vies et de réintégrer les pompiers » avec quelques mots qui l’honorent : « J’irais sauver ceux qui me diffament et les aider aussi sans me poser de question, si un jour, cela s’avérait nécessaire » cliquez ici.

Quant à ceux qui le diffament, et se sont à nouveau discrédités avec ce nouvel épisode, ils montrent toute l’estime et la considération qu’on peut avoir pour eux.

Heureusement qu’ils ne savent pas ce qu’est la honte, sinon ils ne se remettraient pas de ce qu’ils font et disent.

Lisez Breizh-Info cliquez là

00:30 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |