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mercredi, 17 avril 2024

Charia, « islamisme d’atmosphère », et autres considérations sur la France actuelle

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Michel Festivi  

Des agressions se sont multipliées ces quelques derniers jours en rapport avec les pratiques de l’islam. Une adolescente qui ne respectait pas le ramadan en Alsace s’est fait frapper dans un bus ; une autre jeune fille a été gravement molestée à Montpellier car elle s’habillait à « l’européenne » ; un afghan à Bordeaux a mortellement poignardé un musulman et blessé son comparse car ils buvaient de l’alcool, le jour de l’Aïd ; le gérant d’un magasin a fait la Une de l’actualité, menacé de mort plus de cent fois, car il avait osé refuser d’employer une femme voilée dans son commerce, les réseaux sociaux se sont affolés. Tout dernièrement un adolescent de 13 ans a été roué de coups pour avoir diffusé la vidéo « d’une jeune fille qui danse ». Sans parler du tabassage à mort d’un gamin de 15 ans, par deux frères qui ne supportaient pas que leur sœur corresponde avec ce dernier, et on pourrait multiplier les exemples.

C’est Gilles Kepel, universitaire et spécialiste de l’islam, qui avait pour qualifier ce genre de faits désormais récurrents, employé l’expression de « djihadisme d’atmosphère ».  Il se refusait à évoquer « des loups solitaires » à juste raison. Pourquoi ? Car « ils ont été formatés, ils ont subi ... une mise en condition ». En Angleterre, 32% des musulmans veulent imposer la charia et 52% souhaitent rendre illégale toute représentation de Mahomet. Avec un premier ministre écossais d’un militantisme islamiste avéré, la Grande Bretagne prend une très mauvaise direction.

Dans un entretien au Figaro, Razika Adnani, qualifiée d’islamologue, va à l’essentiel « Les actes de violences que la France a connus... révèlent un désir de soumettre les musulmans de France à la charia... ». Car « c’est au nom de l’islam qu’on impose la charia ». Contrairement à tous les discours convenus et fallacieux de nos politiques, à de très rares exceptions près, le coran contient des sourates et des versets qui imposent un mode de vie et des relations humaines spécifiques, aux antipodes de nos mœurs et traditions, qui composent des règles qui font la charia.

Et d’enfoncer le clou pour tous ceux qui en France ne veulent pas comprendre et se bouchent les yeux et les oreilles « Pour les musulmans, l’islam n’est pas dissociable de la charia, c’est-à-dire de sa dimension juridique. ». Et de souligner, que la très grande majorité des pays musulmans pratiquent à des degrés divers la charia. Effectivement peu ou prou on applique la loi sur l’héritage qui veut qu’une fille aura moitié moins qu’un garçon, qu’une musulmane ne peut pas se marier avec un non musulman, ce faisant, la femme même majeure doit avoir un tuteur homme musulman, que la répudiation masculine est permise, que l’homme peut avoir quatre épouses et des concubines, qu’en justice il faut le témoignage de deux femmes pour égaler celui d’un homme, que la violence conjugale masculine est permise et acceptée etc...Toutes ces règles juridiques résultent du coran lui-même et sont appliquées avec plus ou moins de rigueur dans les pays musulmans selon que l’on se trouve en Tunisie, ou en Algérie, en Arabie Saoudite, au Pakistan, au Bangladesh ou pire encore en Iran ou en Afghanistan.

Et ce sont ces préceptes que des musulmans veulent voir appliquer en France et dans les pays européens. Et notre islamologue d’indiquer « L’islam est une religion qui se vit et existe davantage dans l’espace public que dans l’espace privé. » La pression sociale est en effet considérable, il suffit de se rendre dans certains quartiers pour le constater. Pour s’en sortir, elle préconise, ce que l’on appelle de nos vœux depuis des lustres, la fermeté de l’état, sa totale détermination à lutter contre l’islamisme, je rajouterai la sévérité absolue des peines pénales contre ceux qui enfreignent la loi, l’expulsion systématique de tous les délinquants étrangers, la lutte drastique contre l’immigration surtout illégale. On n’en prend pas le chemin hélas.  

Enfin, Razika Adnani appelle à en finir avec les idées totalement erronées, mais diffusées en permanence, en boucle, par nos médias, nos intellectuels, nos journalistes, nos politiques du moins très majoritairement : « Ce n’est pas l’islam mais seulement les musulmans » ou « ce n’est pas l’islam, mais l’islamisme ». Elle milite pour que les intellectuels musulmans proposent à leurs coreligionnaires un islam tourné vers la modernité, c’est-à-dire débarrassé de la charia et de toutes les règles juridiques. Cela n’est pas nouveau, mais chaque fois qu’une personnalité musulmane s’y est essayée elle a été au mieux rejetée et ostracisée de sa communauté, au pire, passée par le fil de l’épée, les exemples historiques abondent. Et elle revient sur le concept « d’islamophobie » qui n’est qu’un artifice des fondamentalistes et des Frères musulmans, pour stigmatiser et brider la pensée. Mais le problème est que contrairement à ce qu’elle indique à la fin de cet entretien, les autorités françaises n’ont rien compris au phénomène, ou ne veulent pas l’aborder ou le comprendre, et n’ont pas pris conscience de l’ampleur de la menace islamiste qui envahit et s’empare nos sociétés occidentales.

Très grave aussi, le linguiste Alain Bentolila vient de dénoncer que « dans certains quartiers, les filles se voient reprocher tout succès scolaire trop affiché ». Elles sont menacées, nous explique-t-il par « une police des mœurs », un peu comme en Iran ou dans d’autres pays musulmans. Oui décidément, la charia avance dans notre pays, mais les autorités regardent ailleurs. Forçons-les à voir et à agir, par notre vote du 9 juin par exemple.

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Eric Zemmour et Patricia Chagnon, député du RN, interdits de parole par le maire de Saint Josse près de Bruxelles

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Source Lionel Baland cliquez ici

Lors du premier jour, ce 16 avril, de la conférence des nationaux-conservateurs à Saint-Josse, une commune située à côté de Bruxelles, le bourgmestre (maire) ex-socialiste Emir Kir a interdit l’événement. La police a empêché les personnes arrivant plus tard d’entrer. Éric Zemmour de Reconquête et Patricia Chagnon du Rassemblement national, qui intervenaient tardivement durant la journée, n’ont pas pu prendre part à l’événement.

Ryszard Legutko du PiS, Tom Vandendriessche du Vlaams Belang, Nigel Farage de Reform UK, Hermann Tertsch de Vox, Rob Roos (ex-Forum voor Democratie et ex-JA21), ainsi que Suella Braverman et Miriam Cates du Parti conservateur britannique, ont pris la parole aux côtés d’autres orateurs.

La réaction sur place d'Eric Zemmour : En ce moment même, le bourgmestre socialiste Émir Kir, proche des islamistes turcs, utilise la police comme une milice privée pour interdire la conférence bruxelloise dont je suis l’invité avec Viktor Orban et Nigel Farage.

Jadis, la Belgique accueillait Victor Hugo en exil. Désormais, ce pays vit entre le califat et la dictature.

Dernière minute : Belgique. Le Conseil d’État a pris une décision en faveur des organisateurs de la conférence à Bruxelles. Celle-ci se poursuivra ce jour en présence du Premier ministre hongrois Viktor Orban (Lionel Baland).

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11:52 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : Quel est l'objectif de la liste Forteresse Europe ?

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Pierre-Marie Bonneau

Tête de liste Forteresse Europe cliquez ici

L'objectif n'est pas de faire élire une poignée de députés dans un parlement qui n'est qu'une chambre d'enregistrement, le pouvoir réel étant à la Commission européenne, dont les membres sont nommés par les chefs d'État européens

L'objectif est de faire entendre la voix des nationalistes au plus grand nombre avec le clip de campagne qui sera diffusé sur les télévisions et le programme politique publié sur le site officiel de l'élection. Depuis trop longtemps, cette voix est étouffée par les médias de l'oligarchie et sanctionnée par les tribunaux rouges.

Ce n'est pas parce qu'il y a déjà des listes de la mouvance nationale au sens large, qu'il faut s'interdire d'en présenter une autre. D'une part parce que nous portons un projet différent, sans concession et authentiquement nationaliste ; et d'autre part parce que plus il y aura de listes de la tendance nationale, plus nos thèmes et nos idées seront martelés aux Français et prendront place dans leur esprit.

Nous n'avons pas la prétention de vouloir transformer des dizaines de millions de Français en militants nationalistes. À long terme, l'objectif est de constituer une minorité suffisamment nombreuse et formée pour changer le cours des choses le moment voulu. C'est toujours ainsi que s'écrit l'histoire. À court terme, l'objectif est de faire entendre les positions nationalistes dans un espace médiatico-politique saturé d' « indigénistes », de libéraux-sionistes et de nationaux-sionistes.

Et quelle est l'utilité du vote en lui-même ? Un million de voix pour un programme mou n'a guère d'impact. Dix mille bulletins de vote téléchargés sur internet, imprimés et glissés dans l'urne, c'est un acte militant et une démonstration de force en faveur d'un programme radical.

11:51 Publié dans Européennes 2024, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'Italie n'a pas peur de son Histoire : elle vient d'éditer un timbre à la mémoire de Giovanni Gentile

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Giovanni Gentile (1875-1944), figure majeure de la vie intellectuelle italienne de la première moitié du vingtième siècle, se décrivait lui-même comme le « philosophe du fascisme ». Il a en grande partie rédigé pour Benito Mussolini le livre La Doctrine du fascisme en 1932.

Durant le ventennio fasciste (1922-1945), il occupa de nombreuses responsabilités dont celle de ministre de l'Éducation. 

Resté fidèle jusqu'au bout à l'idéal fasciste et à la République sociale, il fut assassiné à Florence le 15 avril 1944 par des terroristes communistes.

Aujourd'hui, en publiant ce timbre, l'Italie honore ce grand personnage de son Histoire.

S N

01:25 Publié dans En Europe et ailleurs..., Gabriele Adinolfi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |