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jeudi, 24 octobre 2019

GABRIELE ADINOLFI : IL FAUT CRÉER UNE CLASSE DIRIGEANTE RÉVOLUTIONNAIRE.

Discours de Gabriele Adinolfi, Institut Polaris, aux 13ème Journées de Synthèse Nationale, le samedi 12 octobre 2019 à Rungis.

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L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Eric Vieux de Morzadec consacrée à la Guerre de sécession américaine

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AUBE DORÉE : SOLIDARITÉ ENTRE LES PEUPLES D’EUROPE.

Intervention de Athanasios Konstantinou, député européen grec de l’Aube dorée, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le samedi 12 octobre 2019 à Rungis.

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ALBERTO MARTIN : LE PROBLÈME DE L’IMMIGRATION EN ESPAGNE.

Intervention d’Alberto Martin, nationaliste espagnol El Cadenazo, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le samedi 12 octobre 2019 à Rungis.

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CE JEUDI, SUR RADIO LIBERTÉS, L'ÉPOPÉE SUDISTE À L'HONNEUR AVEC ÉRIC VIEUX DE MORZADEC

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10:16 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL : L’EXEMPLE DE LA RÉPRESSION DU SYSTÈME SUR LES PATRIOTES.

Discours d’un ancien membre du Bastion social, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le samedi 12 octobre 2019 à Rungis.

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Débat sur les Institutions : seul l'État national pourra relever la France.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
En relançant, comme il s'y emploie dans son nouvel ouvrage, le débat sur les Institutions, François Hollande n'a bien sûr en tête qu'une seule idée : celle de son retour. Une obsession qu'il est, à l'évidence, le seul à nourrir tant son séjour à l'Élysée fut calamiteux.
 
Il n'est pourtant jamais inutile de se pencher sur l'architecture de l'État.
 
Au moment où s'accumulent les menaces sur notre Nation française - déferlante migratoire, islamisation, dislocation identitaire, déconstruction sociale, décomposition morale et désagrégation organique - nos compatriotes ressentent plus que jamais le besoin d'un État fort, maître de l'autorité, garant des libertés et de l'équité, pilier de force de notre destin.
 
Cet État doit être incarné. Profondément monarchistes sans être royalistes, les Français veulent un Chef qui dispose du temps long et soit dépositaire à la fois de la puissance publique, de la grandeur nationale et des équilibres sociaux.
 
L'introduction du quinquennat décidée conjointement par Chirac et Jospin, plus qu'une erreur, plus qu'une faute politique, fut un attentat contre la stabilité institutionnelle de la France, stabilité, il est vrai, déjà largement fragilisée par des dizaines de réformes constitutionnelles et par une pratique constante du pouvoir - celà dès l'origine du régime - proche de celles des pires républiques bananières.
 
Un Président au dessus de la mêlée politicienne mais décideur plus qu'arbitre, visionnaire, détenteur de l'autorité suprême et non partagée, Chef du peuple et de la Nation, un premier ministre qui coordonne l'action gouvernementale, un parlement représentatif qui légifère sans outrepasser ses droits, une Justice qui assume ses responsabilités mais ne s'érige pas en contre-pouvoir, voilà ce que doit être demain l'État national que nous appelons de nos vœux. 
 
Un État français, en somme. 

00:01 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |