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dimanche, 14 février 2021

Le gouvernement veut dissoudre Génération identitaire

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François Bousquet
 
C’est fait. Le gouvernement vient de lancer la procédure de dissolution de Génération identitaire. La dissolution, c’est la peine de mort pour un mouvement politique. Il y a cinquante ans, ses membres auraient été des héros, disait Zemmour, aujourd’hui ce sont des parias.
 
Gérald Darmanin est un homme émotif – et pressé. Le 26 janvier, il se disait « scandalisé » par les opérations anti-migrants de Génération identitaire dans les Alpes et les Pyrénées. Le pauvre d’homme ! Tartuffe s’est toujours scandalisé d’un rien, c’est même à cela qu’on reconnaît le personnage de Molière. Très bien ! Mais un ministre de l’Intérieur, voilà qui ne laisse pas se surprendre. On attendrait d’un tel homme, « premier flic de France », qu’il se scandalise plutôt du flot de migrants qui font des selfies en passant nos frontières. Ça n’est apparemment pas le cas : les passeurs de migrants ont droit à tous les égards médiatiques. Les sentinelles symboliques au contraire qui veillent à nos frontières sont le seul danger. Ainsi ce 26 janvier Darmanin annonçait-il manu policiari, fort de ses pouvoirs de censure administrative, qu’il n’hésiterait pas à dissoudre Génération identitaire. Quinze jours plus tard, le 12 février, ses services, inhabituellement diligents et efficaces, lançaient la procédure de dissolution du mouvement.

Si jamais le ministre de l’Intérieur devait parvenir à ses fins, ce n’est pas seulement Génération identitaire qui serait dissoute, mais bel et bien notre identité. Car c’est de cela qu’il s’agit. La dissolution, c’est ce qui nous menace tous : dissolution de la France, dissolution de l’Europe, dissolution de notre être même. Ainsi l’exigerait le destin liquide des identités solides. La dissolution, c’est l’épée de Damoclès suspendue sur tous les courants identitaires. Interdit de revendiquer une identité autre que celle de l’état civil. Nouvel avatar de la « cancel culture », cette fois-ci portée au plus niveau de l’État : nous effacer, nous bannir, nous dissoudre dans le Grand Tout diversitaire.

Nous ou les « z’autres » ?

Pourquoi frapper Génération identitaire ? Parce que c’est frapper l’identité au cœur. Génération identitaire s’est imposée depuis des années comme l’organisation la plus dynamique, la plus structurée, la plus imaginative, la seule susceptible de rivaliser en termes d’efficacité avec nos adversaires, dans la défense de nos identités menacées. L’attaquer, c’est attaquer notre avant-garde militante ; c’est accélérer le mouvement de dissolution. La dissolution est un processus physico-historique par lequel une identité millénaire incorporée dans un solvant républicain doit se transformer en une formule hybride, schizo et sans-frontiériste. Tel est le devenir français et européen, à ce qu’il semble, selon notre ministre.

Alors, Darmanin pire que Castaner ? Castaner, le « Kéké de la République », prédécesseur de Darmanin place Beauvau, s’était contenté d’assurer que les manifestations « indigénistes » contre le racisme et les violences policières ne seraient pas sanctionnées, Darmanin fait mieux. Lui, il sanctionnera les indigènes que nous sommes et les organisations qui les défendent. Nous ou les « z’autres » ? Les z’autres ! La République a choisi son camp.

Darmanin a beaucoup à se faire pardonner. Carriériste furieux, certes comme la République en a toujours fabriqué treize à la douzaine, avec cependant chez lui une voracité si transparente qu’elle en devient gênante. C’est qu’il revient de loin. Le gaullisme, le bonapartisme, l’Action français, la Manif pour tous : c’est tout son passé-passif qu’il est en train de liquider. Quand un homme trahit à ce point, il éprouve toujours le besoin d’en effacer les traces.

Comment ne défendrait-on pas Génération identitaire ? Génération identitaire, c’est nous, c’est nos enfants. Intergénération identitaire !

Source Éléments cliquez ici

Quelques réactions :

• Jean-François Touzé (membre de la direction du Parti de la France)

Nos jeunes camarades de Génération Identitaire, enfermés dans un certain autisme militant, n'ont jamais fait preuve d'une grande solidarité envers les mouvements ou personnalités natios précédemment ciblés par le pouvoir. Il va pourtant de soi que notre soutien doit être total et sans réserve. La dissolution de GI serait un acte arbitraire de plus de la part d'un régime en voie accélérée de totalitarisme progressiste.

• Thomas Joly (Président du PdF)

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• Gilles-William Goldnadel (avocat, polémiste)

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• Marion Maréchal (ancien député)

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• André Bercoff (journaliste, chroniqueur, écrivain)

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• Julien Rochedy (essayiste)

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21:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

D’un inceste, l’autre : quand accusation vaut condamnation...

balance-justice.jpgLa chronique de Philippe Randa

Les accusations d’ignominies sexuelles – et la pire de toutes, l’inceste ! – se suivent, se ressemblent, mais les mis en cause ne réagissent pas tous de la même façon. Le silence d’Olivier Duhamel n’a pu qu’accréditer sa culpabilité, alors que l’acteur Richard Berry, accusé – ainsi que son ancienne épouse la chanteuse Jeanne Manson – de viol et d’agressions sexuelles plus de trente ans auparavant par sa fille aînée Coline, a immédiatement clamé son innocence, démenti tout acte incestueux de sa part et écrit au Procureur de Paris pour qu’une enquête soit ouverte, malgré la prescription des faits.

Faisant monter une pression médiatique qui ne demande que cela, Me Karine Shebabo, avocate de la « présumée victime » Coline Berry, n’a pas hésité à affirmer que si l’on interroge le personnel de la protection de l’enfance, membres de la brigade des mineurs ou juges, « ils vous diront qu’à 99,99 %, il est très rare d’avoir des dénonciations mensongères quand on parle d’infractions sexuelles sur mineur au sein des familles. »

Elle se demande par ailleurs quel enfant « inventerait » de telles accusations contre un parent uniquement par vengeance ?

Avec de telles affirmations péremptoires, pourquoi continuer de gâcher l’argent du contribuables à diligenter enquête et procès, la cause étant entendue (à 0,01 % d’erreur, on ne va pas chipoter pour si peu, n’est-ce pas !) : une accusation vaudrait donc automatiquement condamnation.

N’en doutons pas, Me Karine Shebabo aurait fait merveille au procès d’Outreau, resté célèbre pour ses dysfonctionnements, la  majorité des accusés ayant été innocentés après plusieurs années de prison ou de détention préventive !

Quant à la famille proche, belle-famille, ex de l’un ou ex de l’autre et « pièces rapportées » – de Josiane Balasko à Jeanne Manson – elle se déchire désormais à qui mieux-mieux dans les médias, soutenant le « présumé coupable » ou la « présumée victime »… et démontrant que les haines, les jalousies et les règlements de compte au sein d’une famille « people » n’ont vraiment rien à envier à ceux d’une famille du fin fond des bords de la Vologne (Affaire du petit Grégory)…

EuroLibertés cliquez ici

19:35 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

2.800 milliards : l’écrasante et irremboursable dette française

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Marc Rousset

Wall Street et le CAC 40 ont conclu, la dernière semaine, sur de nouveaux records. Donc, tout va très bien grâce aux vaccins ! Si l’on en croit une vidéo du Dr Christian Vélot, généticien à l’université Paris-Saclay, on va effectivement très vite vacciner tous azimuts avec différents types de vaccins. Mais les gouvernements prennent le risque – extrêmement faible pour un individu, mais possible et probable pour des milliards de vaccinés -, avec les vaccins non classiques très majoritairement utilisés actuellement (à l’exception, donc, des vaccins classiques), de créer – il suffit d’une seule fois – de nouveaux virus et de nouvelles pandémies mondiales…

L’exubérance irrationnelle, au-delà des bulles boursières, a pour nom Tesla™, Elon Musk et Bitcoin. Elon Musk vient d’investir 1,5 milliard de dollars sur le Bitcoin? qui a atteint les 44.000 dollars? alors que le président de Tesla™ avait pourtant déclaré, fin décembre 2020, que « le Bitcoin est presque autant de la merde que les Fiat ». Le Bitcoin n’est pas une monnaie mais un actif spéculatif sans valeur réelle comme l’or ou l’argent, principalement utilisé, selon la nouvelle secrétaire américaine au Trésor Janet Yellen, « pour le financement d’activités illicites ».

Le chômage est pourtant toujours bien présent sur le marché de l’emploi américain, mais peu importe pour les boursiers et les spéculateurs ! L’or, en revanche, stagne et attend son heure puisque les services de la Monnaie (US Mint) ont vendu, en 2020, 845.000 onces de pièces d’or American Eagle, contre 150.000 onces en 2019. Si l’on en croit la corrélation toujours étroite entre l’or et les bons du Trésor américain sur cinq ans protégés contre l’inflation (TIPS), l’or devrait coter 2.000 dollars l’once, au lieu de 1.820 dollars.

La vérité, ce ne sont pas les vaccins salvateurs mais un monde qui repose sur un volcan de dettes et de taux d’intérêt. Prenons, d’une façon schématique, l’exemple de la dette française publique de 2.800 milliards d’euros avec un budget de l’État, en 2020, qui s’élevait à 250,7 milliards d’euros. Les taux d’intérêt ridicules actuellement payés, voire négatifs, s’élèvent à seulement 38 milliards d’euros. Mais avec le taux d’intérêt moyen à long terme, depuis des siècles, des dettes à long terme qui s’élève à environ 6 %, cela nous donnerait, pour une année normale, une charge d’intérêts de 168 milliards d’euros, soit 67 % du budget général de l’État ! D’où les cris d’orfraie de ceux qui demandent l’annulation des dettes publiques, mais Christine Lagarde a déclaré que l’annulation de la dette française envers la BCE (30 % du montant total), selon les traités de la zone euro, est inenvisageable ! 70 % de la dette est détenue par des assureurs français ou des investisseurs étrangers.

Annuler les dettes, c’est ruiner tous les épargnants français de l’assurance-vie, ce qui semble réjouir l’économiste communiste Thomas Piketty. De plus, nos partenaires européens ne seraient pas d’accord et il faudrait que la France comble les pertes de capitaux propres causées à la BCE, suite à l’annulation de ses créances sur la France. Quant aux investisseurs spoliés, pour continuer à prêter à la France : terminé, et bonjour les dégâts ! Les taux d’intérêt français à dix ans sont remontés à leurs niveaux de septembre 2020, de même que les taux américains ont retrouvé leurs plus hauts en un an. En clair, la dette française est écrasante et irremboursable.

En Italie, Mario Draghi, le « sauveur de la nation, « Super Mario », a fait plonger le coût de la dette italienne à 0,427 %, soit moins d’un point d’écart avec les taux allemands de référence. Mais la dette stratosphérique de 2.600 milliards d’euros représente 160 % du PIB italien, contre 120 % pour la France. Avant la crise du Covid-19, les taux italiens étaient à 2,5 %, et 7 % pendant la crise de la zone euro. Draghi a réalisé l’union sacrée de tous les partis, mais une fois la période de grâce terminée, on voit mal comment il pourra éviter la banqueroute avec une coalition de partis adversaires, une croissance nulle, des déséquilibres structurels et une démographie catastrophique.

Le monde fourmille de cygnes noirs en embuscade et devrait connaître des mouvements sociaux suite au chômage, des krachs boursiers suite à l’augmentation déjà commencée des taux d’intérêt et peut-être des pandémies nouvelles suite à l’utilisation trop rapide de vaccins non classiques, le point Oméga étant l’insolvabilité généralisée et l’effondrement du Système. Mais les Bourses, comme en 1929, continuent de monter…

Lire Boulevard Voltaire cliquez ici

16:03 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

QUAND OLIVIER DUHAMEL VOULAIT PRENDRE LA TÊTE DES PUF... RETOUR SUR UN PERSONNAGE RÉPUGNANT DU RÉPUGNANT "CAMP DU BIEN"

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11:58 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le populisme n’est que le symptôme de notre malaise

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Chloé Morin, 32 ans, membre de la fondation Jean Jaurès, a été en charge de l’opinion publique au sein du cabinet des Premiers ministres de gauche Jean-Marc Ayrault et Manuel Valls, de 2012 à 2016. Dans un livre, Les inamovibles de la République (Aube ed.) elle dénonçait l’influence des hauts fonctionnaires dans les décisions des ministères dont la caractéristique majeure était d’ignorer tout de la réalité et donc des effets de leurs décisions sur le terrain. Dans cet entretien, elle montre que notre démocratie est en crise pour la bonne raison que la voix du peuple est entièrement confisquée par des institutions qui ne fonctionnent plus. D’où l’émergence de ce courant qu’on appelle le populisme qui n’est jamais que la voix du peuple face à ses soi-disant élites.

A lire ICI

10:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Vial mis à la question par nos amis de Breizh-Info.com

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Source Breizh info cliquez ici

Nous nous faisons écho récemment de la parution du 86e numéro de la revue Terre et Peuple, sur le thème des communautarismes.

Pas simplement une revue mais aussi un mouvement culturel et politique, Terre et peuple a été fondé en 1994 par Pierre Vial, maître de conférences en histoire médiévale à l’Université Jean-Moulin – Lyon III durant 34 ans. Ce dernier, militant identitaire de toujours, a également participé à la fondation du GRECE, mais aussi de mouvements de jeunesse, avant d’être conseiller régional (FN) mais aussi conseiller municipal, à Villeurbanne, dans les années 90.

Nous l’avons interrogé pour connaitre son regard, ses idées, sur le monde d’aujourd’hui et sur celui qui attend demain, notre jeunesse chère au cœur de Pierre Vial.

Breizh-info.com : Si vous deviez vous présenter à nos lecteurs, que diriez-vous ?

Pierre Vial : J’essaye d’être ce que Gramsci appelle un intellectuel organique, c’est à dire quelqu’un qui concilie la réflexion et l’action. D’où mon travail métapolitique et mon engagement politique, que j’ai toujours menés de front même si, selon les périodes, l’un ou l’autre était plus apparent. J’ai toujours eu peu d’estime (pour rester gentil) pour les révolutionnaires en chambre, qui prétendent « penser » (il y aurait beaucoup à dire sur cette prétention) mais qui surtout ne veulent pas se salir les mains en allant au charbon, tout en critiquant ceux qui y vont. Et puis agir c’est donner des coups mais aussi en prendre. Alors, on n’est jamais trop prudents…

En 1994 vous avez fondé le mouvement Terre et peuple, et la revue qui va avec. Quelle est son actualité ?

Terre et Peuple illustre ce que je dis dans la réponse précédente. Aujourd’hui plus que jamais s’engager sur le terrain sans savoir, très précisément, pourquoi on le fait, est inutile et ne peut que servir l’ennemi, trop content d’affirmer que le militant identitaire a de gros muscles et un pois chiche en guise de cerveau. C’est pourquoi nous apprenons à nos camarades à toujours se guider sur cette boussole qu’est notre doctrine racialiste, folkiste, résumée par Terre (l’enracinement) et Peuple (l’identité raciale).

Depuis votre engagement en politique il y a fort longtemps, le monde, et particulièrement l’Europe, ont évolué à grande vitesse. Mais n’avez-vous pas l’impression, ces dernières années, d’assister à une accélération encore plus rapide de l’Histoire ?

Il y a certes une accélération de l’Histoire qui est due à l’engrenage dans lequel s’est jetée à corps perdu la société matérialiste, capitaliste, libérale qui nie les périls et qui finira par mourir de son inconscience, ce dont je me félicite.

Quel regard portez-vous sur l’opposition politique et militante à ce gouvernement, et plus globalement, à l’oligarchie, aujourd’hui en France et en Europe ?

Tous ceux, quelle que soit leur étiquette, qui se dressent contre le Système méritent d’être approuvés et soutenus. Mais le Système a une grande capacité à récupérer et neutraliser les forces qui s’opposent à lui. La première nécessité est donc d’ouvrir les yeux de ceux qui veulent rester libres, de leur montrer où sont les vrais enjeux, quels sont les maîtres du jeu. Pour renverser la table où est organisé un jeu truqué. Cela s’appelle une révolution.

Comment percevez-vous la multiplication des interdictions, des censures, des répressions visant les dissidents au sens large, finalement de cette guerre que mène main dans la main GAFA et gouvernements d’Occident ?

Les maîtres du Système ont peur. Ils ont peur que les peuples se réveillent (c’est le populisme), demandent des comptes et appliquent une justice expéditive. Il leur faut donc museler, embastiller voire assassiner tous ceux qui refusent la servitude. 

Vous consacrez le dernier numéro de votre revues aux communautarismes. A une période où les tenants de la République française entendent mener une guerre sans merci aux séparatismes, les Européens doivent-ils envisager de refonder des communautés organisées, sur leurs propres terres ?

Les Tartuffes qui prétendent lutter contre les séparatismes ont tout fait pour que les envahisseurs imposent toujours plus leur arrogante présence sur notre terre. Ils feignent de s’inquiéter : y aura-t-il une guerre des races ? Mais cette guerre est là, chaque jour, dans nos rues. Va-t-on la subir ou faire face ? Les Blancs ne peuvent compter que sur eux-mêmes, en s’organisant efficacement car ils ne peuvent évidemment pas compter sur des autorités qui ont perdu toute crédibilité.

Vous avez fondé et animé des mouvements de jeunesse. Quel message d’espoir auriez-vous à lui faire passer justement à cette jeunesse, que l’on veut aujourd’hui enfermer pour sauver quelques octogénaires, et à qui identité, vitalité, culture, éducation et même perspectives économiques ont été progressivement supprimées ou dévoyées ?

La jeunesse est le seul espoir d’un peuple et c’est pourquoi le Système fait tout pour la dévoyer, l’asservir, la contrôler. Il faut donc dire et redire, sans se lasser, aux garçons et aux filles de notre sang : révoltez-vous, libérez-vous et le vieux monde s’écroulera sous vos coups.

Propos recueillis par YV

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