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dimanche, 18 avril 2021

La France macronienne, c’est comme le poisson : elle pourrit par la tête !

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Bernard Plouvier

Ah qu’elle est belle notre élite officielle – de moins en moins d’origine européenne, il est vrai !

En ce mois d’avril 2021, par un temps glacial – c’est un « printemps de réchauffement climatique », si, si ! – tout le monde officiel brait parce que des tags d’origine imprécise ont décoré – une fois n’est pas coutume – un centre culturel islamique de Rennes, en véhiculant des idées anti-mahométanes.

Quel drame ! Depuis un demi-siècle, des mahométans « niquent la France » en tous coloris de bombe à tags et tout le monde s’en moque. Certains rappeurs chantent même leur volonté de tuer du Blanc, singulièrement des bébés, et notre belle « élite » fait silence.

Alors rappelons un fait. Sur le sol métropolitain français depuis 2012, une trentaine d’attentats de fous d’allah ont tué plus de 270 personnes  et en ont blessé plus ou moins grièvement un millier. C’est effectivement moins grave que des tags anti-mahométans !

D’ailleurs, quand l’on proteste - en mairie ou ailleurs - parce que des tags de « gentils immigrés » salissent (pour rester poli) des façades privées, déshonorent des monuments publics, les journaleux aux ordres - et même des officiers de gendarmerie - parlent de « culture de la ville », de « muralisme » etc., sans trop s’appesantir sur le message de haine anti-Blancs, de haine pour la France véhiculé par ces « œuvres d’art » !

En ce même mois d’avril 2021, on blanchit un tueur de juive, un mahométan africain et antijudaïque, au prétexte qu’on a découvert du haschisch dans ses urines... un médecin hospitalier sait bien que cette « découverte » est une banalité chez certains « jeunes » !

Peut-être qu’en affirmant cette évidence, on risque la prison ferme chez Macron et sa « Justice » curieuse... puisqu’un blogueur – certes parfois un peu agité et aussi un tantinet  injurieux – se retrouve condamné à six mois ferme pour avoir affirmé qu’il « n’y avait pas de Celte noir »... ce qui, (comme le fait que les Peuls blancs n'existent pas non plus), est visiblement une évidence !   

C’est sûr, « l’élite » française – politiciens, « juristes », conseillers médicaux du Génial Président-Dictateur-Général, journaleux et « artisses » - est mûre pour l’asile d’aliénés... mais un lointain confrère en médecine l’avait déjà écrit il y a trois quarts de siècle !

18:57 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Effondrement de la France et de l’Italie en 2022, si la croissance est faible

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Marc Rousset

Le chiffre spectaculaire de la croissance chinoise de 18,2 %, au premier trimestre 2021, n’est qu’un trompe-l’œil, suite à un très faible premier trimestre 2020. Aux États-Unis, suite aux vaccins, à la relance gigantesque de Biden, à la politique laxiste de la Fed, il y aura un fort redémarrage, et même des risques de surchauffe, d’inflation de 3,7 %, avec un taux d’intérêt à 10 ans de 1,59 %, des mises en chantier de logements neufs au plus haut depuis 2006, mais le phénomène sera-t-il durable en 2022 et dans les années suivantes ?

En France, préoccupé par le surendettement de nombreux pays (Grèce 200 %, Italie 160 %, Espagne 122 % et France 117 %), Emmanuel Macron veut lancer la réforme des règles européennes sur la dette et le déficit. Même la vertueuse Allemagne n’a jamais autant emprunté (370 milliards d’euros en 2020). Selon les « sages » allemands de la Cour des comptes qui s’inquiètent de la fuite en avant du gouvernement Merkel, « sortir de la crise et de la dette par la seule croissance est irréaliste ». Mais exception faite de la règle selon laquelle les pays qui dépassent 60 % du PIB pour la dette publique doivent, chaque année, réduire de 5 % leur endettement, changer les règles ne changera rien à la réalité de la catastrophique situation financière et économique. La réalité, c’est également la Cour des comptes française qui redoute le manque de réalisme des prévisions actuelles, avec des dépenses à venir très supérieures, d’autant plus que les aides ne seront pas aussi rapidement débranchées que le prétend Olivier Dussopt, ministre des Comptes publics.

La réalité de la situation, c’est aussi que la France vient de dépenser, en 2020, 424 milliards d’euros pour les mesures de soutien, que les vaccins finiront probablement par prendre le dessus. Mais sans doute sera-t-on obligé de revacciner tous les six mois, en faisant face à de nouveaux variants et une crise sanitaire qui ne va pas se terminer miraculeusement en 2021. Les vaccins semblent seulement diminuer les taux de mortalité, mais n’empêchent pas complètement d’attraper le virus ni de le transmettre. Les prévisions de Paris pour les taux de croissance des prochaines années sont aussi jugées « optimistes » par le Haut Conseil des finances publiques. La croissance à venir dépendra, enfin, fortement de la propension des ménages à consommer ou à épargner, par crainte ou non de l’avenir.

La réalité, c’est qu’il y a des cycles en matière économique, qu’il y a eu 1929 mais que, suite au krach boursier du 9 mai 1873 à Vienne, Paris et New York, les États-Unis et l’Europe ont plongé dans un long marasme économique qui n’a pris fin qu’au milieu des années 1890.

L’Italie de Draghi laisse monter Macron au créneau, mais joue exactement le même jeu que la France. Draghi parie sur la croissance et une forte reprise de l’économie pour assainir la dette. Mais en 2021, il augmente les dépenses publiques de 40 milliards d’euros et révise à la baisse ses prévisions de croissance à 4,5 % et 4,8 % pour 2021 et 2022, avec un déficit public de 11,8 % du PIB en 2021 et une dette à 160 % du PIB, soit le plus haut niveau depuis 1921 ! « Nous parions sur la croissance » avec davantage d’investissements, nous dit Draghi, mais que se passera-t-il si les dettes sont toujours là mais que la croissance n’est pas au rendez-vous ? « Vous ne seriez pas le président du Conseil, on serait absolument terrifié par de tels chiffres », a pu lui dire une journaliste lors de sa conférence de presse.

Le drame, c’est qu’il y a de fortes chances, compte tenu des expériences passées, que les dépenses publiques seront plus élevées que les prévisions, aussi bien en France qu’en Italie et aux États-Unis, mais que les taux de croissance espérés ne seront probablement pas atteints. Auquel cas, l’optimisme actuel des marchés laissera place à une panique pire qu’en 1873 et 1929. La fausse prospérité des marchés boursiers provoquée par les délices des vaccins, du « QE », de l’endettement exponentiel, des bas taux d’intérêt, des dépenses publiques actuelles très élevées, des prévisions trop optimistes en matière budgétaire et de croissance, prépare l’effondrement à venir à partir de 2022. La seule véritable incertitude, c’est de savoir si l’effondrement probable aura lieu, dans un premier temps, dans un cadre déflationniste ou inflationniste.

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18:20 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |