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samedi, 17 avril 2021

HERVÉ RYSSEN A ÉTÉ LIBÉRÉ CE MATIN

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500 MILLIARDS…

KERSTENS P 254.jpgPieter Kerstens

C’est le coût de la gestion calamiteuse de l’épidémie de Coronavirus en France, pour fin 2021.

Cela fait plus d’un an que l’on voit les milliards d’euros sortir chaque jour comme par enchantement, sans pour autant que personne ne s’inquiète de cette dette de 7 500 € par habitant, qu’il faudra rembourser, alors que le docteur Micron promet 10 séances gratuites de psychothérapeute pour tous les petits Français de 7 à 17 ans…UBU loge à l’Elysée ! Et hop, encore un petit milliard pour aider les viticulteurs à cause du gel ! Mais combien dans 3 mois s’il y a une sécheresse ou des inondations suite au dégel ? Les bêtises succèdent aux idioties.

Pourtant, en matière budgétaire, deux règles règnent en maître à Bruxelles depuis le traité de Maastricht, signé en 1992, qui jetait les bases de la monnaie unique :

• Le déficit public des Etats ne devait pas dépasser 3% du PIB.

• La limite de l’endettement était fixée à 60% du PIB.

Ce sont bien les euros mondialistes (avec le Dr. Micron) du Conseil Européen qui ratifient les directives de la Commission Européenne, directives transposées ensuite dans les législations par chacun des 27 Parlements nationaux.  C’est clair, net et précis, compréhensible par tous.

Et qui se souvient aujourd’hui des conséquences de la crise grecque de 2008 ? Car pour rejoindre la zone euro, en 1981, la Grèce avait maquillé ses comptes publics et falsifié son bilan économico-financier, sur les conseils de la banque américaine Goldman Sachs.

Fin 2020, la dette publique en Grèce atteignait 200% du PIB, son déficit annuel s’élevait à 5% du PIB et le taux de chômage se montait à 16% de la population active. Pourtant pendant plusieurs années les eurocrates de Bruxelles ont imposé des mesures drastiques aux Grecs :

 • austérité budgétaire et fin des dépenses injustifiées,

 • privatisations de fleurons industriels,

• baisse des salaires,

• diminution des retraites,

• hausse des impôts et chasse aux fraudes fiscales,

• suppression de postes dans la fonction publique et respect de la durée du travail.

Cela fait des années que le FMI américain, la BCE en Europe et les autres banques centrales mondiales font marcher la planche à billets jour et nuit, pour éviter que les Etats ne fassent faillite. Pourtant Maurice Allais, prix Nobel d’économie en 1988, avait déjà avertit il y a plus de 20 ans que « l’économie mondiale toute entière repose sur de gigantesques pyramides de dettes, prenant appui les unes sur les autres, dans un fragile équilibre ».

En violant leur statut, par le rachat d’obligations et d’actions pourries, les banques centrales ont fabriqué en permanence des bulles spéculatives sur le cours des matières premières, sur les actifs boursiers, sur l’immobilier et en créant un environnement financier instable et pénalisant la vie économique. Mais bizarrement, ni Christine Lagarde (BCE), ni personne, n’en parle.

Quand on fixe des taux d’intérêt artificiellement bas, sans se soucier de la solvabilité de l’emprunteur et de la durée du crédit, on est dans le déni complet du risque financier.

Certains d’entre nous ont déjà tiré le signal d’alarme à plusieurs reprises et il est probable que l’explosion d’un krach financier mondial suivra la crise Covid-19, après la fin des aides, prêts, dons, subventions et allocations diverses. Mieux vaut savoir et se souvenir des conséquences néfastes subies par la Grèce il y a déjà treize ans.

20:18 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Procès de policiers

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Le billet de Patrick Parment

A Marseille, plusieurs policiers de la brigade anticriminalité des quartiers Nord se retrouvent devant les tribunaux pour un racket qui va de la simple bouteille d’alcool aux cigarettes et à la drogue. Les flics me direz-vous sont là pour faire appliquer la loi, pas pour la détourner. On est bien d’accord. Sur le principe. Sur le principe toujours, il serait judicieux que les flics règlent leurs comptes entre eux et la justice sans que cela apparaisse pour autant dans la presse qui en fait ses choux gras. Ah, les affreux ripoux ! s’empressent de juger tous les tordus de Libération, du Monde immonde et l’ensemble de cette presse de gôôôche si moralisatrice, en mal de papier bon marché quand papillonnent les pédo-criminels issus de leurs rangs. Mais dès que l’un d’eux prend un coup de pied au cul, il s’empresse d’appeler  Maman, les flics. Idem de l’autre tordu d’Edwy Plenel qui lorsqu’il sévissait au Monde était branché direct sur les services de police qui lui fournissait la matière de ses papiers vengeurs. Plenel, l’homme à la moustache stalinienne ! Toute cette presse, si prompt à viser une fantasmatique extrême-droite là où elle n’est pas le plus souvent et à absoudre la racaille d’extrême-gauche qui casse et tape sur tout ce qui bouge lors des manifs.

Mais revenons à nos policiers. On est stupéfait d’apprendre que pour un vol de cigarettes ou d’alcool, des policiers se retrouvent devant les tribunaux face à des juges qui vont se faire un plaisir de leur faire la morale et au pire de les condamner ! Mais ce ne sont pas ces juges qui ont les mains dans la merde sociale, matin, midi et soir, avec peu de moyens et des salaires pas toujours à la hauteur de la tâche. Même prudence à adopter en matière de drogue qui comme chacun sait irrigue toute l’économie souterraine de ces banlieues qui sont souvent des ghettos. Trafics sur lesquels tous les gouvernements, socialistes en tête de l’ère Mitterrand, jettent un voile pudique ne voulant pas prendre le risque d’enflammer ces foutues banlieues où règne la misère d’une immigration qu’ils ont engendré faute d’avoir voulu et su la juguler. Alors, faute de mieux, on voit des ministres de l’Intérieur venir nous dire qu’ils vont faire le ménage, rendre la police vertueuse, comme si eux l’étaient. Quand on voit un Gerald Darmanin se déplacer pour de simples tags sur une mosquée, on imagine aisément le feu vert qu’il donne à une justice pour sanctionner les flics ripoux. Ce même Darmanin qui interdit les Identitaires, alors que leur dossier est vide de toute violence, et qu’ils n’ont fait que dénoncer, une fois de plus, la complaisance – et l’impuissance - d’un pouvoir à l’égard de l’immigration.

Défendre sa police, tel est le rôle du pouvoir. La sanctionner aussi quand il le faut, mais loin des caméras et des médias toujours à l’affût d’un sujet bien saignant monté en épingle. Mais doter sa police des moyens adéquats et les rémunérer à la hauteur des sacrifices demandés, telle est aussi la mission d’un Etat soucieux de protéger ses citoyens. Tant il est vrai que l’on mesure la grandeur d’une civilisation à la hauteur de la paix sociale qu’il accorde à son peuple. Le problème est que depuis des décennies maintenant, le pouvoir n’est plus à la hauteur du peuple !  

12:04 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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01:24 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |