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mercredi, 29 septembre 2021

La Révolution Z est en route...

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La une du prochain VA...

Un entretien avec Stanislas Rigault, porte-parole de Générations Z :

 

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Eric Zemmour, une bombe à fragmentation

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Le billet de Patrick Parment

 Face à l’état de la France et à sa haute dose d’insécurité liée à une immigration de plus en plus insupportable par les Français, la possible candidature d’Eric Zemmour arrive à point nommé. Et cette possible et souhaitable candidature cache en réalité une bombe politique à fragmentation. En l’état actuel du paysage politique, ni la gauche et ses multiples engeances – des Verts à Mélenchon en passant par le PC – pas plus que cette droite qui n’en est pas et qui va des Républicains aux foireux centristes, ne sont en mesure d’accéder au pouvoir. Cette fragmentation où se dévoilent surtout les ambitions personnelles des uns et des autres sur des programmes inexistants ne peut que favoriser la réélection d’un Emmanuel Macron.

A moins que… cette France qui s’abstient, cette France profonde et encore Gauloise ne décide de renverser la vapeur et de redonner à la politique tout son sens. Un sens largement perdu depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale qui a vu s’installer une idéologie de gauche qui allait gangrener la société française jusqu’à nos jours. Si nous en sommes là aujourd’hui, c’est bien parce que cette gauche a substitué le rêve à la réalité. Et c’est cette réalité qui leur « pète à la gueule » aujourd’hui.

Qu’Emmanuel Macron soit réélu n’empêchera nullement la recomposition complète de la droite française sur l’échiquier politique. Le dernier homme politique de droite que la France ait connu, c’est Georges Pompidou. Les autres, à l’exemple d’un Jacques Chirac, ne furent que les clones tristes du vide ontologique qui les habitait. Eric Zemmour, par sa culture et ses convictions remet enfin le politique à sa vraie place et lui donne tout son sens.

Au sortir de cette présidentielle, Eric Zemmour a l’opportunité, voire la nécessité pour ne pas dire l’obligation, de transformer l’élan qu’il a suscité en parti politique, associant à l’entreprise Marion Maréchal qui partage ses idées et qui bénéficie d’une excellente image auprès des Français. Un tel parti ne manquerait pas de vider de sa substance le Rassemblement national tant Marine Le Pen s’est éloignée de l’héritage laissé par son père pour rendre banal, c’est-à-dire centriste, un parti qui avait vocation à discréditer cette droite de l’illusion qui furent le RPR, puis l’UMP et enfin les Républicains. Quand on entend le représentant de commerce qu’est Xavier Bertrand, avouer qu’il n’a pas les mêmes valeurs qu’Eric Zemmour, on saisit tout de suite le fossé qui sépare la droite de son fantôme. Idem d’ailleurs de Valérie Pécresse autre Pythie à sonner creux.

Il était temps que la droite retrouve son vrai statut, c’est-à-dire celui qui parle au peuple dans la reconnaissance et le respect de son histoire, de son identité et de sa culture. Il est temps de donner un grand coup de balai dans ce qu’est devenu le marigot politicard où les magouilles l’emportent sur les intérêts du peuple comme en ont témoigné à leur échelle les Gilets jaunes.

Par ailleurs, on est aussi en droit de se demander dans quel genre de démocratie nous sommes quand ses élus ne le sont que par une abyssale minorité. Voici trop longtemps que nos politicards et leurs bazars prennent les Français pour des imbéciles ou des « veaux » selon la formule consacrée de De Gaulle. Rendre vie à notre démocratie, c’est d’abord rendre la parole au peuple Français. Raison pour laquelle on votera Eric Zemmour… s’il se présente.

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Eric Zemmour et "l'affaire des visas"

00:26 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Société contradictoire

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

L’actuel cirque covidien présente l’avantage de révéler les contradictions inhérentes à la société française et aux impasses qui en résultent. L’obligation du passeport sanitaire pour entrer au restaurant, dans les transports en commun sur de longues distances, au cinéma, au musée et dans les centres de loisirs avalise une ségrégation implicite entre les vaccinés et les non-vaccinés avec des cas personnels parfois absurdes pour les expatriés de retour en France traités par des vaccins chinois et russe non reconnus par les instances mafieuses dites pharmaceutiques occidentales. Or, au début de la crise sanitaire, le virus ignorait les frontières. En revanche, avec l’Ausweis vaccinal, il choisit les terrasses plutôt que les rames bondées du métro.

La hantise répétée des prescripteurs d’opinion reste néanmoins le refus officiel de la moindre différenciation. Or distinguer par le QR-code une personne vaccinée d’une autre qui ne l’est pas constitue une incontestable discrimination sérologique ou médicale. Ainsi, comme il existe de bons et de mauvais chasseurs ou de bons et de mauvais chanteurs de hard rock, il existerait sous nos cieux laïques, tolérants et bien-pensants d’horribles discriminations à combattre et d’autres, hautement citoyennes, à valoriser de manière bien sûr républicaine.

Ainsi a-t-on vu du 1er décembre 2020 au printemps 2021 une campagne d’affichage financée par Santé publique France autour des malades du VIH qui propage le même message : « Aujourd’hui, avec les traitements, une personne séropositive peut vivre pleinement et en bonne santé sans transmettre le VIH. Vivre avec le VIH, c’est d’abord vivre. »

Décrivons rapidement chacune des cinq affiches. La première montre de dos une femme et un homme enlacés sur le toit d’une métropole au Soleil couchant. Outre le slogan principal, on lit aussi en gros caractères : « Séropoétique ». La deuxième montre un couple hétérosexuel qui s’enlace dans une pièce et balance : « Séropolissons ». La troisième présente deux hommes heureux au lit. Leur comportement ne peut être que « Séropossessif ». La quatrième met en scène deux teufeurs des banlieues visiblement ravis de s’éclater, d’où le slogan : « Séropopulaire ». La cinquième, enfin, expose un couple africain et leur jeune fille, tous enthousiasmés, parce que « Séropopstars ». Remarquons qu’aucune de ces affiches n’applique les fameux gestes-barrières et le port du masque. Cette campagne officielle donne le vertige d’y voir un monde parallèle. Elle valorise la normalité des personnes atteintes du sida à l’heure où les non-vaccinés et les malades du covid mis en isolement avec en prime visite domiciliaire de la police sont accusés d’irresponsabilité pathologique.

La focalisation des autorités de santé sur le sida exprime toute l’importance qu’elles accordent aux comportements sexuels et à la toxicomanie, synonymes dans leur esprit pervers d’activités festives, ludiques et joyeuses. En effet, à part le cas des transfusés sanguins et des enfants contaminés dès leur naissance par leurs mères séropositives, les autres malades du sida sont, au contraire des patients du covid-19, victimes de leurs propres turpitudes.

C’est par ailleurs au nom de la lutte contre le sida que la mairie de Paris entend ouvrir de nouveaux centres de shoot avec le léger inconvénient d’exporter hors de la gare du Nord et du quartier de « Stalincrack » quelques désagréments dans les autres arrondissements. Un pognon de dingue est ainsi gaspillé pour aider des zombies irrécupérables.

On ne peut en outre que se scandaliser du double discours officiel. Se vacciner serait un acte civique.

Pourquoi alors ne pas étendre le « pass sanitaire » aux sidéens d’autant qu’il n’existe aucun vaccin ? On oublie que dans les années 1990 – 2000, la communauté gay se déchirait à propos du barebacking. Ce terme désigne des rapports sexuels volontairement sans préservatif. Des écrivains tels Érik Rémès ou le défunt Guillaume Dustan se vantent dans leurs écrits de pratiquer dans les backrooms cette conduite dangereuse. Afin de ne pas éveiller les soupçons, certains barebackers n’hésitent pas à percer leurs capotes au préalable.

Magnifié par un cinéma hexagonal déjà à bout de souffle, le film de Cyril Collard, Les nuits fauves sorti en 1992, reçoit en mars 1993 les Césars du meilleur film, de la meilleure première œuvre, du meilleur espoir féminin et du meilleur montage, trois jours après le décès de son réalisateur – scénariste touché par le sida. Ce film autobiographique raconte la vie vers 1986 de Jean, interprété par Cyril Collard lui-même, bisexuel assumé, qui a une relation avec Laura jouée par Romane Bohringer. Cette dernière peut-elle par amour se faire contaminer ? On frise ici l’interrogation métaphysique.

À la même époque, Act Up - Paris mène des actions médiatiques violentes. Ses militants balancent du liquide rouge, symbole du sang, sur des personnalités publiques. Ils envahissent l’accueil des entreprises pharmaceutiques au cri de « Des molécules pour qu’on s’encule ! » Jamais les gouvernements successifs n’ont osé dissoudre ce groupe perturbateur de l’ordre public. Quelques années auparavant, quand Jean-Marie Le Pen suggéra lors de « L’Heure de vérité », l’émission politique-phare d’Antenne 2, d’isoler ce qu’il nommait les « sidaïques », médecins, experts et journalistes s’élevèrent contre ses propos. De nos jours, des politiciens avancent des mesures semblables à propos du coronavirus. Rappelons que l’acquisition du sida provient à 99 % d’actes lubriques ou toxicomaniques.

Dans Libération du 16 août 2021, la rubrique éphémère « Sexe, l’été sera chaud » s’intéresse à un certain Florent Benoît. Le journaliste Matthieu Écoiffier raconte que ce « modèle, aquarelliste et égérie de la communauté gay » est pris – je cite - « pour un vieux con car il ne prend pas de drogue, hormis de la bière. Et qu’il est le dernier à utiliser des capotes quand tous ses potes sont sous Prep, le traitement préventif anti-VIH ». Les potes en question paient-ils cette médication de leur poche ou bien est-ce la collectivité nationale qui régale ? Mais on accuse les tests PCR et antigéniques de creuser le déficit de la Sécurité sociale… De même, œuvrant à la Fondation Jean-Jaurès, proche du PS, Chloé Morin fustige « ces “ héros ” [qui] ne défendent rien d’autre, au fond, qu’un nouveau droit, celui de mettre en danger, voire potentiellement de tuer, au nom de leur bon plaisir ». Qu’on se rassure ! Chloé Morin ne vise pas ici les minets du Marais. Sa chronique, intitulée « Démocratie et antipasse » parue dans L’Express du 19 août 2021, dénonce les manifestants anti-pass. Il est si facile de critiquer le covidoscepticisme !

Qu’attend donc Santé publique France pour affronter la « covidophobie » ambiante ? Ne peut-on pas être en 2021 « covidopopstars », « covidopopulaire », « covidopossessifs », « covidopolissons » ou bien « covidopoétique » ? Pourquoi n’y lirait-on pas : « Aujourd’hui, avec les traitements comme l’hydroxychloroquine, une personne positive à la covid-19 peut vivre pleinement et en bonne santé. Vivre avec la covid-19, c’est d’abord vivre » ? À croire que l’épidémie coronavirale ne serait qu’un sordide prétexte pour mieux mâter les peuples...

Salutations flibustières !


• « Vigie d’un monde en ébullition », n°2, mise en ligne sur Radio Méridien Zéro, le 21 septembre 2021. Pour écouter cette émission cliquez ici

00:14 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |