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jeudi, 01 septembre 2022

Jack Marchal, militant historique de la cause nationaliste, artiste européen, notre ami à tous est décédé

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Je viens d'apprendre la triste nouvelle. Jack Marchal est décédé subitement ce matin à l'âge de 76 ans. 

Pour ceux qui ont plus de 50 ans, Jack Marchal était plus qu'un camarade de combat, c'était celui qui a donné une nouvelle identité, au début des années 70, au combat nationaliste-révolutionnaire. D'Ordre nouveau au PFN en passant par le GUD, il a façonné une image totalement adaptée aux nouvelles réalités de cette époque tumultueuse pour la jeunesse nationaliste. Qu'on le veuille ou non, Mai 1968 est aussi passé par notre famille d'idées.

Artiste aux multiples talents (aussi bien dessinateur que musicien), il a créé le style qui allait être le notre pendant plusieurs décennies. De la police d'écriture "Ordre nouveau" aux petits rats noirs du GUD, en passant par un grand nombre de concepts novateurs, dont les deux volumes du livre "Ordre nouveau" (publiés en 1972 et 1973) résument parfaitement l'esprit, tout cela, nous le devons à Jack.

Je ne l'avais pas revu depuis quelques années, mais c'était toujours un plaisir d'échanger avec lui. Lors de l'une de nos premières Journées nationales et identitaires, Jack est venu et il nous fit un exposé remarquable sur la situation politique du moment. Inoubliable...

Je n'oublierai pas non plus les nuits passées chez lui, alors qu'il habitait dans le XVIe arrondissement de Paris, à concevoir les tracts et programmes pour telle ou telle campagne des années 1980. Moment de réflexions intenses entrecoupés de vibrantes interprétations aux synthétiseurs de nos vieux chants de combats...

Ayons une pensé pour Clara, son épouse, et pour sa famille.

Jack, tu étais notre camarade et tu resteras toujours présent dans notre mémoire...

Roland Hélie

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Affiche du GUD en 1994.

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Jack Marchal lors de la première Journée de Synthèse nationale à Paris en octobre 2007.

 

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L'attentat de la rue Copernic, fausses pistes et manigances - Contre-enquêtes

Le 3 octobre 1980, une bombe explose devant la synagogue de la rue Copernic, dans le XVIème arrondissement de Paris. Bilan : quatre morts et une quarantaine de blessés. L'extrême droite est immédiatement pointée du doigt, et des militants ainsi que des personnes assimilées à la mouvance sont violemment agressés. Le pouvoir politique oriente l'enquête vers les milieux nationalistes, bien que les Renseignements et la police doutent de leur implication. En effet, les informations qu'ils recueillent semblent indiquer une toute autre menace...

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Source : TVLibertés

17:00 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Comment les services gouvernementaux organisent la désinformation - Eric Verhaeghe, Eric Denécé

Eric Verhaeghe, fondateur du Courrier des Stratèges et Eric Denécé, directeur du Centre français de Recherche sur le Renseignement CF2R, décryptent l'entrisme des services secrets dans la désinformation.

Une émission dirigée par Clémence Houdiakova

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16:07 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le parti identitaire Frères d’Italie de Meloni en tête des sondages pour les futures élections

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Francesca de Villasmundo pour MPI

Large unanimité dans tous les sondages pour le parti identitaire et souverainiste Fratelli d’Italia de Giorgia Meloni, le parti héritier du MSI (Mouvement Social Italien) devenu par la suite Alleanza Nazionale de Gianfranco Fini, qui dirige la coalition de centre-droit proche des 50%. Le troisième pôle ne dépasse pas 5 %.

Moins de trente jours avant le vote du 25 septembre afin d’élire les 200 sénateurs et les 400 députés composant le Parlement de la République italienne, les derniers sondages commencent à donner des indications de plus en plus constantes. Parmi celles-ci figure la course au premier parti, qui est actuellement celui des Frères d’Italie pour tous les instituts de sondage. Le parti de Giorgia Meloni, dans les derniers sondages réalisés, oscille entre les 24,1% de Quorum/Youtrend pour Sky news 24, qui est aussi le dernier sondage publié, et les 25% attribués aux FdI par l’institut de sondages italien Antonio Noto. Une unanimité substantielle pour les Frères d’Italie, qui dirigent la coalition de centre-droit, donnée à près de 50%. Un quota qui pourrait permettre à l’alliance FdI, La Ligue de Salvini, Forza Italia de Berlusconi, Nous modérés, de profiter des collèges uninominaux.

Le Parti démocrate suit avec un pourcentage d’environ 22-23%. L’écart avec les Frères d’Italie est toujours supérieur à 1%, avec un pic à 4,5 attribué par Antonio Noto. Le troisième parti est la Ligue pour tous mais, alors que Demopolis attribue 14,5% au mouvement de Matteo Salvini, pour Noto la Ligue s’arrêterait à 12,5. Le Mouvement 5 étoiles se redresse, supérieur à 10%. Forza Italia est donné à 11.4%.

Au-dessus et en dessous de la barrière, selon les sondages, la gauche Alliance verte qui, après avoir atteint 4% début août, dans les jours qui ont immédiatement suivi sa formation, est désormais en baisse. 3.2% pour Quorum/Youtrend, 2.5% pour Political Thermometer, 3.7% Demopolis.

Les autres forces politiques, dont Troisième Pôle, comprenant des hommes politiques qui ont gouverné comme Matteo Renzi et Luigi Di Maio, se dispute le reste.

Les sondages s’accordent tous pour prédire une victoire des Frères d’Italie qui deviendrait ainsi le premier parti dans les préférences des Italiens mais aussi pour indiquer que la coalition de centre-droit est celle qui obtiendra le plus de voix aux urnes, acquérant le droit de former le nouveau gouvernement. Loin derrière se trouve le Parti démocrate avec sa coalition délabrée et encore plus loin derrière se trouve le Mouvement 5 étoiles.

Giorgia Meloni a promis une commission d’enquête sur la gestion de Covid par le ministre de la Santé de Draghi, Roberto Speramza. Il y a quelques jours, la tête de Frères d’Italie a également déclaré :

« Si FdI gagne, Mattarella [le président de la République italienne, ndlr] ne peut pas faire d’autre choix que de me désigner comme Premier ministre ».

Une crainte pour les politiciens du système et les technocrates au pouvoir tant en Italie qu’à Bruxelles : cela ne doit pas, cela ne peut pas arriver que la responsable d’un parti identitaire et souverainiste devienne premier ministre ! Et à Rome il se susurre déjà que Mattarella fera un choix « différent ». Mais qui peut être certain que le peuple italien laissera un tel « coup d’Etat » du Deep State italien se faire sans réagir ?

15:28 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nous n’irons pas mourir pour vous en Ukraine

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Jean Blaise Reuge

Celui qui, à l’occasion du 14 juillet, avait déjà décrété l’instauration d’une « économie de guerre » — soit la possibilité pour l’état de saisir des entreprises, de réquisitionner des biens et de ponctionner les forces vives — semble plus que jamais prêt à engager le pays dans un conflit ouvert avec la Russie, prêt à faire couler le sang des enfants qu’il n’a pas et cela sans débat, sans l’aval du parlement, sans consultation popu- laire. Le voici prêt à mener le pays dans l’enfer d’une guerre à laquelle il n’est pas certain que l’espèce survive au nom d’une cause qui semble aller de soi, qui semble ne pas appeler à discussion: la défense de nos valeurs.

Nos valeurs: il suffirait d’invoquer ces deux mots, éléments de langage qu’on croit tout droit sortis de chez McKinsey, pour que l’unité du peuple s’opère, pour que l’esprit de sacrifice refleurisse autour de la figure du Chef de l’État.

Mais de quoi parlent nos maîtres? Ces valeurs dont ils se réclament sans jamais en préciser le contenu, quelles sont-elles? S’agit-il des valeurs de liberté, fraternité et égalité qui figurent au fronton de nos mairies?

De quoi, au juste, voulez-vous parler?

Depuis bientôt trois ans, vous avez fait la démonstration de la conception de la liberté qui est la vôtre: une liberté provisoire dont vous définissez les contours mouvants par décrets, une liberté précaire, conditionnée surtout à l’acceptation d’une contrepartie sous la forme d’une intervention médicale, une série d’injections (nous en serions à quatre) d’une substance largement inconnue. Celles et ceux qui ont accepté le deal ont recouvré il est vrai, pour une fenêtre de six ou neuf mois, une forme de liberté matérialisée par un QR-code; sa durée de validité a fluctué au gré du climat politique. Les autres, ceux qui n’ont pas joué le jeu, ont eu à subir un déchaînement de violence d’état sur lequel il n’est pas besoin de revenir ici, ont été noyés sous un flot continu d’insultes (complotistes, antivax, égoïstes, demeurés, incultes, antiscience, «ayant un niveau de formation bas à moyen»), de menaces et de chantages en vue de leur arracher ce fameux consentement libre et éclairé, préambule à la piqûre républicaine.

On croit comprendre que la fraternité figure également parmi les valeurs occidentales qu’il convient d’aller défendre en Ukraine. S’agit-il de la fraternité qui vous a amené à tirer à balles réelles contre vos propres paysans, en Hollande, parce qu’ils demandaient à pouvoir vivre de leur travail? S’agit-il de la frater- nité que votre pouvoir a exercée contre celles et ceux qui, arborant un gilet jaune, ont prétendu se rassembler et exiger le droit à une existence digne? Cinq mains arrachées, une trentaine d’yeux crevés, des os broyés, des visages tuméfiés sous les matraques du pouvoir: beaucoup, en France, continuent de porter dans leur chair les stigmates de votre conception de la fraternité. Imaginerait-on, par exemple en Russie, qu’un mouvement social soit réprimé avec le dixième de la sauvagerie que vous avez exercée contre les Français : que n’aurait-on pas entendu, quels cris d’orfraie n’auriez-vous pas poussés ? Nous aurions mangé des Droits-de-l’Homme-bafoués matin, midi et soir pendant trois ans!

S’agirait-il de défendre cette belle valeur occidentale qu’est l’égalité ? Celle que vous avez manifestée en scindant partout vos populations en deux groupes, vaccinés et non-vaccinés, avant de libérer la haine, la frustration et la fureur mortifère des premiers contre les seconds, à l’aide de cet appareil de propagande de guerre industrialisée qu’on persiste à appeler « médias »? Alors que vous n’avez que l’égalité en bouche, vous n’avez pas hésité à déclencher puis entretenir un climat d’intimidation et de répression contre cette large partie des citoyens qui refuse qu’une intervention médicale expérimentale soit pratiquée sur son corps et celui de ses enfants. Nous n’oublierons jamais avoir eu physiquement peur, souvent pour la première fois de nos vies, lorsque vos relais du journalisme ont déclaré la chasse aux non-vaccinés ouverte dans un déchaînement de violence aux accents de Radio des mille Collines. Nous avons eu plus que le temps de constater, durant ces deux dernières années, à quoi ressemble votre société de l’inclusion, du vivre-ensemble et de l’égalité, votre société qui érige le « droit à la différence » en repère de civilisation. Nous avons pu expérimenter ce que faire usage d’un authentique droit à la différence coûte en régime démocratique: combien de licenciements de soignants ou de pompiers, de gardes d’enfants retirées, de familles disloquées, de carrières détruites, d’adolescents suicidés, de vies brisées?

Sachez que nous méprisons votre hypocrisie, vos indignations calculées, vous qui aujourd’hui, dans vos organes de presse, ricanez de l’assassinat d’une brillante jeune femme russe parce qu’elle est «la fille de»: voilà bien un « féminicide » dont nos féministes aux cheveux violets et gavées de subventions ne sont pas près de parler! Nous haïssons vos valeurs dégénérées, votre volonté diabolique de diviser, cette culture de mort que vous n’avez de cesse de répandre partout. Nous vous observons lorsque vous soutenez que le meurtre d’enfants à naître représente la plus belle conquête de la civilisation, lorsque vous faites défiler des « mannequins transgenres » âgés de dix ans dans vos ignobles défilés, lorsque vous inculquez dans les écoles primaires qu’un homme peut bien être « enceint » de son mari et qu’il s’agit là de l’un des plus beaux progrès de l’humanité.

En Ukraine, la suprématie de votre civilisation en voie de putréfaction et son lot de valeurs inversées se trouvent, pour la première fois depuis longtemps, frontale- ment et militairement contestées. Puisqu’il semble de plus en plus clair qu’après les douches froides et les pénuries d’électricité, d’autres sacrifices seront exigés de nous, puisqu’à mesure que les événements deviennent plus dramatiques il apparaît évident que nous serons tôt ou tard appelés sur le champ de bataille, nous affirmons haut et fort que nous refuserons de mourir pour vos mensonges, votre perversité et vos crimes. Aucun esprit doté d’un minimum de raison n’est aujourd’hui prêt, en Europe, à verser la moindre goutte de son sang pour le modèle de civilisation que vous tentez désespérément de faire perdurer et le déluge de propagande sous lequel vous nous noyez n’y changera rien : nous n’irons pas mourir en Ukraine pour vous.

Source : Antipresse n° 352

11:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |