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mardi, 06 septembre 2022

Décès de François-Bernard Huygue

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Notre ami François-Bernard Huyghe est mort à l’âge de 71 ans mardi 6 septembre 2022. Docteur d’État en sciences politiques, le médiologue était l’auteur d’une œuvre considérable dans les domaines de la communication, de la désinformation et de la cyberstratégie. Son père le grand historien d’art, René Huygue de l’Académie française était membre du comité de parrainage de la revue Nouvelle Ecole d’Alain de Benoist. Après avoir milité à Ordre nouveau, au GUD et chez les solidaristes, François-Bernard ne tardera pas à devenir un « compagnon fidèle d’Éléments, lui qui avait signé, en 1999, la pétition « Les Européens veulent la paix », s’opposant au bombardement de la Serbie par l’OTAN ». Plus que tout ces derniers temps, il appréciait se ressourcer à la Nouvelle Librairie, rue de Médicis, entre deux passages… sur BFM TV ! Il s’était fait connaître dès son premier ouvrage, dans les années 1980, La Soft idéologie. Trente-cinq ans avant l’avènement du macronisme, il dévoilait la supercherie libérale. En 1991, avec son génial essai La langue de coton (Robert Laffont), il livrait une analyse hilarante et prémonitoire sur « la langue des temps nouveaux qui a le triple mérite de penser pour vous, de paralyser toute contradiction et de garantir un pouvoir insoupçonné sur le lecteur ou l’auditeur ». Toujours en avance sur les maux de son temps, les décrivant pour les combattre, jovial et plein de malice comme il était dans la vie.

Adieu l’ami, tu vas nous manquer.

18:28 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un modeste hommage à Jack Marchal

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Gabriele Adinolfi
 
Jack, comme Kerouac
 
Je l'avais renommé Peter Pan quand, il y a cinq ans, lors d'un concert à Rome dans lequel, peut-être pour la dernière fois, avait également joué Junio ​​​​Guariento, j'ai découvert que cet elfe éternellement jeune avait déjà soixante-dix ans. Il apprécia.
Jack Marchal a été immortalisé en tant que dessinateur du Rat Noir, le "rat des égouts" qui a pris sa revanche joyeuse et moqueuse et qui a ensuite trouvé asile en Italie dans La Voce della fogna.
Il fut même, sinon avant tout, un musicien de talent pendant un bon demi-siècle, toujours prêt à se renouveler et très attentif à l'actualité générationnelle, avec qui il interagissait toujours.
 
Il a été un militant convaincu depuis 1967, quand la marée montante du trotskysme et du maoïsme était sur le point d'inonder les écoles et les universités.
À l'époque, Jack était orienté à gauche, ne tolérant pas le conformisme et même certains thèmes patriotiques.
La dernière fois que je l'ai rencontré, c'est-à-dire l'été dernier, il souvenait d'avoir été hostile à l'Algérie française au nom de l'autodétermination des peuples. Ce n'est pas si absurde, car à l'époque le sentiment était partagé même dans des cercles surprenants. Jean Mabire pensait pareil, mais il fit sa guerre d'Algérie parce que - disait-il - les copains d'abord.
 
Jack était avant tout un libertaire et c'est pourquoi il était farouchement opposé au nouveau conformisme oppressif de la gauche. Et il se retrouva - en tant qu'anarchiste - à l'extrême droite : Occident, Gud et Parti des Forces Nouvelles.
Ceux qui n'ont pas vécu ces années ne sont probablement pas capables de comprendre, aussi parce qu'ils s'orientent par des modèles abstraits et des partis pris. Le fait est qu'alors les libertaires, les autonomes, les indépendants, c'était nous.
Peut-être n'a-t-on jamais autant respiré la liberté dans tout son sens et dans toutes ses nuances que ceux qui se sont alors rangés du côté de l'Autre '68. J'avais 14 ans, il en avait 20.
Mon anarchisme était probablement plus hiérarchique que le sien, mais cela se résume à des nuances, car je ne me souviens jamais d'un mauvais choix de la part de Jack. Ni au moment de la folle scission mégrétiste contre Jean-Marie Le Pen, ni ces derniers temps.
 
Il vivait dans le nord de la France et ne venait pas souvent à Paris. La dernière fois que je l'ai vu, il s'est présenté à l'improviste à un dîner qu'on avait organisé dans un restaurant de la capitale fin juillet 2021. Comme c'était le sujet du moment, il s'est présenté en déclarant à tout le monde : « Je ne vais pas voter pour Zemmour ». Je l'aurais bien serré dans mes bras, mais ce n'était certainement pas la première fois que j'avais cette tentation. Je ne veux ennuyer personne avec des détails, mais qu'il s'agisse de Front National, de Campi Hobbit ou de choix politiques de mouvements de droite radicale, sans s'être concerté auparavant, nous pensions de la même manière. Impressionnant !
Comme je l'ai déjà dit, avec une approche un peu différente, beaucoup plus individuelle et insouciante que la mienne, celle de Peter Pan qui, peut-être plus que quiconque, a représenté l'air du temps de la plus belle aube de notre On the Road. Ceux qui n'ont pas vécu ne sauront jamais ce qu'ils ont raté !
Je parle en sérieux.
Merci Jack, chante encore avec nous ! Ce fut un privilège de t'avoir connu et d'avoir été si bien en symbiose tous les deux.

17:18 Publié dans Gabriele Adinolfi, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Face au projet de grand remplacement à Callac (22) : "RECONQUÊTE !" APPELE À UN RASSEMBLEMENT LE SAMEDI 17 SEPTEMBRE À 11 H.

264621400_292891122851192_6182086905835534142_n.jpgUn communiqué

de Reconquête ! :

Callac est une petite ville de 2200 habitants, située au sud de Guingamp. Depuis des années, elle subit une baisse de sa population, notamment du fait du départ des jeunes.

Pourquoi ? … parce que rien n’est fait par les pouvoirs publics, la Région, le Département ou la mairie pour enrayer ce phénomène.

Une riche parisienne a eu la brillante idée, afin de « repeupler » Callac, de vouloir faire venir 70 familles immigrées, originaires d’Afrique. C’est le « projet Horizon ».

Pour ces familles, des logements vont être rénovés, des emplois vont être créés (aujourd’hui 18 % de chômage localement), des formations vont être dispensées, des aides vont être débloquées, des places d’école vont être données.

Ce qu’ils refusent aux Français de Callac, provoquant leur exode, va être accordé à ces familles immigrées.

C’est inadmissible !

De plus, chacun le sait mais nombreux le cachent, cela créera à Callac une situation vue et constatée à travers toute la France.

Ces familles immigrées ont une culture et la plupart une religion très différentes des habitants de Callac.

Dans un premier temps, ils vivront donc « côte  à côte » mais demain seront « face à face ».

Des milliers de personnes ont déjà signé des pétitions pour le retrait de ce projet qui est l’application réelle du grand remplacement.

Cela ne semble pas suffisant pour convaincre le maire et les promoteurs du projet de le retirer.

Il nous faut donc montrer que la population refuse catégoriquement ce projet fou.

Notre manifestation, si elle est massive, fera la démonstration de notre refus total.

Chacun doit se sentir concerné par cette mobilisation.

Si le projet de Callac devait se réaliser, il ne manquerait pas d’être reproduit dans de multiples autres endroits en France.

Nos villes sont déjà gravement touchées par les conséquences de l’immigration massive et incontrôlée.

Ne laissons pas nos campagnes subir le même sort !

Callac a le droit de rester Callac ! La Bretagne a le droit de rester Bretonne ! La France à le droit de rester la France !

POUR LE RETRAIT DU PROJET HORIZON

TOUS A CALLAC LE 17 SEPTEMBRE !

Avec Reconquête !…

pour que la France reste la France !

10:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |