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jeudi, 29 septembre 2022

Remarques sur des funérailles planétaires

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Pendant une journée, Londres a retrouvé son rang de capitale du monde qui fut le sien sous la reine Victoria (1819-1837–1901). Plus d’une centaine de chefs d’État parmi lesquels de très nombreuses têtes couronnées dont l’empereur du Japon lui-même, et des chefs de gouvernement, venus du Commonwealth ou pas, ont assisté aux obsèques de la reine Elizabeth II le lundi 19 septembre dernier.

La médiasphère occidentale s’est complue pendant cette séquence dans l’émotion, la superficialité et l’hagiographie. Une grandiose entreprise de sidération de masse s’est déroulée sous nos yeux crédules. Oubliées par conséquent les questions gênantes autour de cet événement.

Par exemple, comment peut-on justifier une file longue, selon les journalistes sur place, de plusieurs kilomètres et une attente variable entre douze et vingt-quatre heures au moment où le Royaume Uni vient à peine de sortir de la crise covidienne ? L’organisation de soirées privées dans les ministères au temps du confinement – le célèbre Partygate – a provoqué la démission du Premier ministre Boris Johnson. Dans un royaume chagriné, des millions de Britanniques se réunissent et se côtoient pendant de longues heures sans craindre la moindre contamination. Certes, ils patientent dans les rues et bravent la nuit, le froid et le vent… Ces attroupements gigantesques ne favorisent-ils pas néanmoins l’apparition de foyers de contagion géants ? Sinon ces scènes n’invalident-elles pas le port de la muselière hors de son domicile ? À moins que le covid contribue à sa manière à respecter le deuil national d’Albion.

Tous les commentateurs s’esbaudissent des hommages rendus à la reine défunte. Maints reportages montrent un peuple éploré. Nul n’aurait l’idée de se gausser de ces manifestations de respect. En décembre 2011, quand décéda subitement le président de la Commission nationale de défense de la République populaire démocratique de Corée, Kim Jung Il, les Occidentaux se moquèrent des foules massées dans les artères principales de Pyongyang qui pleuraient la disparition de leur dirigeant bien-aimé. Avec leurs clichés modernes, ils y voyaient au mieux une manipulation, au pis un fanatisme orchestré. Or, « les lamentations collectives, écrit Philippe Pons dans Le Monde du 22 décembre 2011, font partie des expressions de la douleur du deuil dans la culture coréenne. […] Les Coréens sont extravertis dans la joie comme dans la douleur. Lors des funérailles d’un parent, ces derniers “ crient “ leur chagrin. Exprimer ses condoléances par des larmes relève de l’étiquette sociale ». C’est en effet à travers les rites funèbres que se découvre l’âme profonde des peuples. Encore faudrait-il que les journalistes de l’Occident global soient compétents en ethno-psychologie...

À l’heure où l’empreinte carbone devient un critère prioritaire de « gouvernance », quel est donc l’impact environnemental d’une telle concentration humaine ? Ne faut-il pas prendre en compte le ballet des avions des responsables politiques arrivant à Londres ? N’aurait-il pas été souhaitable qu’ils viennent tous en char à voile et en trottinette électrique ? Ils appellent leurs populations à la sobriété énergétique, mais ils se moquent volontiers de leurs injonctions qui ne les concernent pas. Insupportable « deux poids deux mesures » !

Derrière l’apparat traditionnel – la proclamation de Charles III par le roi d’arme de l’Ordre de la Jarretière au palais Saint-James – se tapie un ultra-progressisme inquiétant d’inspiration spéculative franc-maçonne. Les  Windsor-Mountbatten représentent une famille cosmopolite. David Icke y voit des « reptiliens ». La réalité est plus prosaïque. Cette dynastie d’origine germanique et danoise sert depuis la chute des Stuart en 1688 la véritable souveraine d’Angleterre : la finance de la City de Londres !

La reine a nommé sous son règne quinze premiers ministres. Le dernier, deux jours avant sa mort, est la conservatrice Liz Truss qui s’appelle en réalité Mary Elizabeth Truss. La reine se prénommait Elizabeth Alexandra Mary. L’inversion des prénoms n’est-elle pas, sinon une singulière coïncidence, un signe digne des augures ? Par ailleurs, à propos du nouveau roi, son prénom reste problématique dans l’histoire anglaise. Charles Ier Stuart meurt décapité en 1649 sur l’ordre d’Oliver Cromwell. Le général Monck restaure en 1660 la royauté en faveur de Charles II, le fils du monarque assassiné, qui règne jusqu’en 1685. La « Grande Peste » de 1665 (environ 80 000 morts), le « Grand Incendie » de Londres en 1666 (près de 14 000 maisons et églises détruites) et la promulgation de l’Habeas Corpus de 1679 qui limite son absolutisme imité de Louis XIV marquent ce quart de siècle « carolien ». Toujours sous Charles II émergent au Parlement les factions whigs (référence aux paysans calvinistes écossais révoltés) et tories (allusion aux brigands, catholiques ou non, irlandais).

Les funérailles solennelles d’Elizabeth II préfigurent-elles l’enterrement du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord ? Promoteur du multiculturalisme et habitué aux réunions annuelles de Davos, Charles III pourrait voir l’éclatement de son royaume avec l’indépendance de l’Écosse, la réunification de l’Irlande - bien que dans ces deux cas, les indépendantistes soient eux aussi des globalistes gendéristes -, et la fragmentation socio-culturelle de l’Angleterre. On sait maintenant qu’Elizabeth II n’appréciait guère le premier ministre travailliste Anthony Blair. Outre son rôle intrusif dans la gestion médiatique de la mort soudaine de la princesse Diana et l’attitude plus que hautaine de la républicaine catholique Cherie Blair, la reine regrettait la Dévolution envers l’Écosse, le Pays de Galles et l’instauration de la puissante mairie du Grand Londres.

Les obsèques d’audience planétaire d’Elizabeth II détournent pour l’instant l’immense colère sociale. Une inflation élevée déclenche de nombreuses grèves, pour l’heure suspendues. Le gouvernement pseudo-conservateur et véritablement financiariste profite des circonstances pour tenter d’étouffer les tensions socio-économiques. Attention ! Cela ne veut pas dire que la reine coule maintenant des jours heureux sur une quelconque île des Bahamas en compagnie d’Elvis Presley !

Certes, Elizabeth II a montré tout au long de sa vie un grand sens du devoir. Mais, en son nom, elle a entériné le conflit honteux en 1983 contre l’Argentine dans l’Atlantique Sud, accepté la répression inacceptable pendant trois décennies en Irlande du Nord et cautionné en tant que reine du Canada l’occupation pluriséculaire du Québec et l’asservissement des autres communautés canadiennes-françaises. On attend toujours des excuses officielles et sincères de Londres pour le « Grand Dérangement » des Acadiens au milieu du XVIIIe siècle.

À l’instar des autres monarchies modernes, la royauté britannique n’est qu’une parodie de traditions dévaluées. Les membres des familles régnantes (ou non) actuelles se vautrent dans le politiquement correct. Le prince de Galles William réclame la censure sur Internet des supposés discours de  « haiiiiinnnnne ». Les couronnes se parent dorénavant de wokisme. Croire en un sursaut national, populaire et européen en rétablissant une auctoritas royale devient un grave contre-sens. Les monarchies occidentales valident toutes les involutions sociétales. Finalement, les seules à garantir leurs intérêts nationaux sont les républiques dynastiques coréenne du Nord et syrienne !

Salutations flibustières !

 « Vigie d’un monde en ébullition », n°44, mise en ligne le 27 septembre 2022 sur Radio Méridien Zéro.

23:00 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Docteur Alwest - Hiver sans chauffage !

Les analyses de Docteur Alwest sur la politique énergétique d’Emmanuel Macron.

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18:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jacques Baud - "Les USA sont probablement responsables de l’explosion des gazoducs russes !"

Jacques Baud, ex-membre des renseignements suisse et chef de la doctrine des opérations de la paix pour les Nations Unies, revient sur les récentes explosions des gazoducs Nordstream 1 et 2.

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Source : Ligne Droite

17:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour sauver Callac, pour lutter contre le grand remplacement, 100 patriotes lancent un Appal national :

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Grâce à la mobilisation des Bretons, le projet Horizon, impulsé par une riche famille parisienne voulant imposer la présence de 70 familles de migrants dans le centre-ville de Callac, est à présent évoqué dans tous les grands médias.

Depuis des années, à l’échelle locale comme nationale, les différents gouvernements ont abandonné les petits villages, préférant déverser les milliards des Français sur ce que l’on appelle « les Territoires perdus de la République ». Pour le résultat que l’on connaît.

Stupéfaits, indignés, les Français apprennent qu’il n’y avait pas d’argent pour les jeunes salariés, pour les chômeurs (18 % à Callac), pour les agriculteurs, mais qu’il y a des millions d’euros disponibles pour installer des dizaines de familles de nouveaux venus, d’une autre culture, d’une autre religion, d’une autre civilisation, dans leurs centres-ville. C’est le mode de vie à la Française des habitants de ces petites villes qui se trouve menacé.

Le maire de Callac qui refuse de consulter sa population, ne cache pas sa fierté d’être un laboratoire, considérant donc ses administrés comme des cobayes.

L’association « Merci », qui gère le projet Horizon, a révélé que déjà des dizaines d’autres Callac sont à l’étude dans toute la France.

Le président de la République, devant ses préfets, a défendu l’idée de remplir nos campagnes, jusqu’à maintenant préservées  des migrants – malgré la montée d’actes de délinquances et de vols de plus en plus nombreux. Il a évoqué le terme « transition démographique », donnant sa caution à une politique de Grand Remplacement dans les campagnes françaises. Il annonce vouloir imposer cette politique à tous les Français, par la loi, en début 2023.

Le combat de Callac est donc décisif pour l’avenir de notre pays et de sa ruralité. Si Macron, la famille Cohen et le maire de Callac imposent ce projet mortifère, il leur sera plus facile de mettre en place ailleurs des dizaines d’autres projets de ce type. Nos campagnes subiraient alors le sort de toutes les grandes villes, avec leur lot de délinquance et d’insécurité.

Les signataires à la suite du Comité National de l’appel des 100 apportent tout leur soutien aux citoyens de Callac et des environs qui s’opposent au projet « Horizon » au nom d’un principe simple : « Callac doit rester Callac, la Bretagne doit rester la Bretagne, la France doit rester la France ».

Pour conserver un mode de vie à la française, il faut sauver Callac! Signez la pétition en fin d’article!

APPEL DES CENT PATRIOTES

  • Robert Albarèdes, maire honoraire de Gréasque (Bouches-du-Rhône)
  • Thierry Annereau, maire de Bois (Charente)
  • Bernard Antony, président de l’Agrif
  • Bruno Attal, vice-président du Syndicat France Police
  • Salem Benammar, patriote et fils de patriote
  • Joëlle Bergeron, ancien député européen RN
  • Charles Berthollet, maire de Rouvray (Yonne)
  • Anne-Laure Blanc, mère de famille et militante associative
  • Jean-Claude Blanchard, conseiller régional des Pays de la Loire de 2015 à 2021, ancien conseiller municipal de Saint-Nazaire
  • Jean-Marc Bled, coordinateur régional Reconquête du 76
  • Catherine Blein, présidente de l’association « Les Amis de Callac et ses environs »
  • Jacques Bompard, ancien député, maire honoraire d’Orange
  • Major Alain Bonte, citoyen engagé
  • Gérard Boyadjian, acteur et réalisateur
  • Gérard Brazon, ancien syndicaliste à la RATP, ancien conseiller municipal à Puteaux
  • Franck Buhler, co-fondateur des Gilets jaunes
  • Renaud Camus, écrivain, inventeur du concept du Grand Remplacement
  • Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque
  • Benoit-Gérard Casterman, prêtre
  • Erick Cavaglia, professeur de lycée, vice-président de la Ligue du Midi
  • Lucien Cerise, écrivain, spécialisé dans l’ingénierie sociale
  • Jean-François Cerisier, colonel, auteur de Guerre à l’Occident, guerre en occident
  • Franck Chevrel, chef d’entreprise
  • Jean-Louis Chollet, architecte d’intérieur et artiste
  • Georges Clément, président du Comité Trump France, écrivain
  • Jacques Clostermann, Officier de réserve de l’Armée de l’Air
  • Gilbert Collard, député européen, président-fondateur d’Alternative France
  • Christian Combaz, journaliste, écrivain
  • Général André Coustou, signataire de la lettre ouverte contre le Pacte de Marrakech
  • Emmanuel Crenne, conseiller régional Occitanie de 2015 à 2021
  • Stanislas Czerwinski, conseiller municipal à Pons
  • Tristan Cuminal, chef d’entreprise
  • Tarick Dali, porte-parole de la Droite libre, membre du bureau national du CNIP
  • Michel Dargent, maire de Ceaucé (Orne)
  • Charles Demassieux, auteur
  • Thais d’Escufon, vidéaste, ex porte-parole de Génération Identitaire
  • Eric de Verdelhan, ancien parachutiste, écrivain
  • Philippe de Veulle, avocat spécialisé dans la défense des victimes du terrorisme
  • Guillaume de Vigneral, maire de Ri (Orne)
  • Eric Dick, réalisateur du film « Et les cloches se sont tues »
  • Général Antoine Martinez, président des Volontaires pour la France
  • Jean Messiha, président de l’Institut Apollon
  • Raphaël Delpard, cinéaste, écrivain
  • Laurent Droit, ancien miltiaire d’active, électronicien et informaticien
  • Josiane Filio, retraitée, assistante de direction, technicienne supérieure de gestion
  • François Galvaire, blogueur
  • Bernard Gantois, polytechnicien, écrivain
  • Général François Gaubert
  • Bernard Germain, essayiste, auteur de Déconstruire la woke idéologie, porte-parole du Comité d’organisation de Callac contre le projet Horizon
  • Jean-Luc Gosse, commerçant, acteur socio-économique
  • Marcus Graven, écrivain, auteur de L’immigration, un naufrage français
  • Francis Gruzelle, président des apiculteurs de l’Ardèche et de la Drôme, journaliste, écrivain
  • Lieutenant-colonel Jacques Guillemain, ex-pilote de l’Armée de l’Air, auteur de « Macron, le pire fossoyeur de la France »
  • Stéphane Guillemain, conseiller municipale à Marguerittes
  • Stéphane Haddad, avocat
  • Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale
  • Véronique Hervouet, psychanalyste
  • Pascal Hilout, né Mohamed
  • Bernard Huet, ancien maire-adjoint des Clayes-sous-Bois
  • Patrick Isnard, chef d’entreprise
  • Jean-Loup Izambert, journaliste et écrivain
  • Claude Janvier, Ecrivain et essayiste
  • Patrick Jardin, père de Nathalie, assassinée au Bataclan
  • François Jay, ingénieur, ancien conseiller municipal de Bordeaux
  • Elisabeth Lalesart, née en Iran, auteur de « Pas de voile pour Marianne »
  • Valérie Laupies, enseignante, ancienne conseillère régionale
  • Jean-Yves Le Gallou, président de Polemia, cofondateur de l’Institut Iliade
  • Christophe Lefèvre, conseiller municipal de Saint-Gilles
  • Régis Le Gall, Docteur en histoire médiévale
  • Danielle Le Men, Vice présidente des Amis de Callac et ses environs
  • François Billot de Lochner, président de la fondation Liberté Politique
  • Yves Maillard, capitaine de vaisseau
  • René Marchand, ancien journaliste, auteur de « Reconquista ou Mort de l’Europe »
  • Franck Martin, défenseur de la ruralité française
  • Charles-Stéphane Mercier, promoteur immobilier, conseiller financier
  • Benoit Meugniot, maire de Salignac-de-Mirambeau (Charente)
  • Nicole Mina, conseillère régionale d’Occitanie
  • Jean-Marie Moulin, maire de Saint-Bonnet-du Gard
  • Lucien Samir Oulahbib, auteur, chroniqueur, enseignant, chercheur
  • Christian Navis, grand voyageur, journaliste et écrivain
  • Abbé Guy Pagès, fondateur du site Islam et vérité, auteur
  • Lara Parrenin née Stamboltsian, ancienne conseillère municipale d’Asnieres (92), animatrice sur Radio Courtoisie
  • Nicolas Pougnet, ingénieur, spécialiste sécurité sanitaire
  • Colonel Daniel Péré, retraité
  • Alain de Peretti, vétérinaire, président de Vigilance halal
  • Frédéric Pichon, avocat
  • Général Christian Piquemal, retraité
  • Philippe Randa, éditeur et écrivain
  • André Regéreau, ancien officier de l’Armée de Terre
    Sophie Régnier, enseignante
  • Martine Rigaudie, journaliste
  • Michel Riou, ancien maire-adjoint de Callac
  • Richard Roudier, président de la Ligue du Midi, syndicaliste agricole
  • Alain Sautreau, infirmier
  • Jean Schoving, athlète, traducteur et écrivain
  • Guy Sebag, président de Riposte Laïque
  • Maurice Signolet, commissaire divisionnaire honoraire
  • Hubert Stalla, consultant
  • Marc Stahler, directeur de Minurne
  • Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine
  • Marc Taulelle, conseiller municipal à Nîmes, conseiller communautaire
  • Lysiane Tendil, maire de Saint-Jean-du Bruel (Aveyron)
  • Pierre-Yves Thomas, responsable départemental Reconquête des Côtes d’Armor
  • Véronique Tilly, enseignante
  • Jean-Louis Trainar, économiste, formateur et consultant
  • Guillaume de Thieulloy, directeur du Salon Beige
  • Richard Trinquier, médecin anesthésiste, ancien maire de Wissous (Essonne)
  • Christian Vanneste, député honoraire, président de la Droite Libre et de Démocratie Directe en France
  • Vincent Vauclin, président du Mouvement National-Démocrate
  • Eric Viaud, maire de Bussière (Vienne), président des Maires pour le Bien Commun
  • Maurice Vidal, professeur de philosophie, auteur de « La colère d’un Français »
  • Maryvonne Villard, actrice du secteur associatif-environnement
  • Thomas Whyte, fondateur du Rucher Patriote, site d’annonces et d’échanges entre patriotes

Synthèse nationale apporte bien sûr son soutien à cet appel. Pour le signer, cliquez ici

11:26 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Thomas Joly, président du Parti de la France, interviendra dimanche 16 octobre lors du Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge de Synthèse nationale

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RAPPEL : DIMANCHE 16 OCTOBRE, TOUS AU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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10:24 Publié dans 14 - Les 14e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roland Hélie invité jeudi soir au Forum du PdF

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Dans le Forum du PdF du jeudi 29 septembre, Alexandre Hinger reçoit Roland Hélie (Directeur de Synthèse nationale) et Ludovic Lefebvre (Délégué du Parti de la France pour Paris). L'émission sera consacrée au wokisme et à l'actualité politique. C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram cliquez ici

00:03 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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00:01 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |