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vendredi, 07 octobre 2022

I-Média Hors-Série : Propagande, Netflix, Climat, Woke...

L'équipe d'I-Média fait son grand retour sur la chaîne de TV Libertés avec un nouveau format : le Hors-Série. Jules Blaiseau et Jean-Yves Le Gallou s'éloignent de l'actualité, l'évoquer avec plus de profondeur, dossiers, enquêtes, témoignages et interviews à l'appui. Pour ce premier numéro, ils ont la chance d'accueillir Édouard Chanot, ancien rédacteur en chef de Sputnik Paris, et Alban d'Arguin, auteur chevronné et spécialiste du réchauffement climatique. Trois nouvelles sorties littéraires sont présentes sur la table : "La société de propagande" écrit par Jean-Yves Le Gallou presque 10 ans après la publication de "La tyrannie médiatique" ; "L'empire Netflix - L'emprise du divertissement", une analyse minutieuse des rouages d'une des plus grosses fabriques au monde d'un divertissement qui n'est pas si innocent ; "Réchauffement climatique, enquête sur une manipulation mondiale", le dernier livre choc d'Alban d'Arguin sur le climat. Des sujets connexes et encore plus connectés qu'on ne pourrait le croire.

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17:14 Publié dans Alban d'Arguin, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"L'effondrement a en réalité déjà eu lieu !" - Laurent Obertone, auteur de "Guérilla 3"

Laurent Obertone, auteur de "Guérilla 3, le dernier combat" aux éditions Magnus, alerte sur un effondrement imminent de notre société et tente d'apporter des solutions. 

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Victoire de Bolsonaro au niveau local, ballotage au niveau national

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Par Nicolas Dolo

Loin d’être, pour Lula, le succès annoncés par les commentateurs, les élections brésiliennes marquent de nombreuses victoires des membres du parti de Bolsonaro dans les élections locales et fédérales. Si Lula et Bolsonaro sont au coude-à-coude pour le second tour de la présidentielle, le Parti libéral s’enracine dans la politique locale du Brésil.

Le 2 octobre 2022 avaient lieu au Brésil, et de façon concomitante, le premier tour des élections présidentielles, l’élection de tous les gouverneurs d’État (26 États plus le District Fédéral de Brasilia), et le renouvellement du Parlement national (ensemble de la Chambre des députés, 513 sièges, et un tiers du Sénat, qui compte 3 sénateurs par État) et des chambres législatives des États fédérés. Le mode de scrutin est variable d’une élection à l’autre : scrutin majoritaire à deux tours pour la présidentielle et l’élection des gouverneurs, majorité des scrutins exprimés à deux tours pour les sénatoriales, scrutin proportionnel pur pour la Chambre des députés, mode de scrutin variable d’un État fédéré à l’autre pour les chambres locales.

Grande importance des élections locales

Les élections générales peuvent paraître plus négligeables que la présidentielle, mais leur importance est en réalité fondamentale. Le soutien d’une majorité stable dans les deux chambres, souvent le fruit d’un jeu d’alliances, est en effet une clé de la conduite sereine des affaires gouvernementales. Or le gouvernement sortant a clairement, malgré quelques belles réussites, manqué d’une majorité solide durant la dernière législature, ce qui a fortement limité son champ d’action et les réformes en profondeur de l’État annoncées en début de mandat.

De même, de nombreuses compétences demeurent l’apanage des États fédérés, parmi elles la sûreté publique. Il est par conséquent essentiel pour la cohérence de l’action du gouvernement fédéral, le Brésil étant un pays-continent, de trouver autant de relais politiques que possible chez les gouverneurs et assemblées législatives d’États fédérés.

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Jean-Pax Méfret, une vie pour la grandeur de la France

Richard Haddad reçoit Jean-Pax Méfret, ancien journaliste qui a parcouru le monde et chanteur engagé, célèbre pour sa liberté de parole. Il évoquera dans cette émission son histoire, livrera son témoignage et son regard sur l’actualité.

Né en Algérie et rapatrié en France métropolitaine en 1962, Jean-Pax Méfret débute une carrière de journaliste et se lance dans la chanson. De 1970 à 1980, il est grand reporter au service politique étrangère du journal l’Aurore où il couvre la plupart des conflits armés et mène de grandes enquêtes sur le terrorisme international. De 1980 à 2002, il est grand reporter au Figaro Magazine puis rédacteur en chef des grandes enquêtes. Grâce à son métier, il a été le témoin de divers conflits dans le monde et du comportement de l’Occident et de ses dirigeants, notamment face au bloc de l’Est communiste. Mais Jean-Pax Méfret est aussi un chanteur à succès, ses chansons engagées (plus de 300), sont comme des reportages sur notre monde. De l’Algérie française aux goulags de Sibérie, des héros de l’armée française à la tyrannie des régimes communistes, ses paroles sonnent toujours vraies au regard de l’actualité que nous vivons.

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Philippe de Villiers : "Eric Zemmour avait raison avant tout le monde"

Philippe de Villiers, ancien ministre, fondateur du Puy du Fou, soutien d’Eric Zemmour pendant la campagne et écrivain, répond aux questions de Sonia Mabrouk. 

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13:12 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’Etat au bord de la crise de nerf !

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Le billet de Patrick Parment

Allo maman bobo ! chantait Souchon. Emmanuel Macron pourrait en dire autant. Son fusible, miss Elisabeth Borne, Premier ministre, appelle les Français à se montrer raisonnable en matière de consommation de gaz et d’électricité. Misant sur un hiver peu clément, l’Etat nous laisse entendre que des coupures d’électricité sont à craindre. Il faut bien dire que nos énarques à force d’avoir fait joujou avec notre parc nucléaire en démantelant EDF de son monopole et en voulant faire plaisir à ces imbéciles d’écolos, on a fragilisé notre industrie nucléaire alors que nous étions les leaders non seulement européens mais mondiaux. Et deux hommes sont particulièrement responsables de cette catastrophe, François Hollande pour de basses manœuvres électorales et son ministre d’alors, un certain Emmanuel Macron. Si l’on ajoute à cela le fait que les Allemands, via l’Europe, ont tout fait pour que nous ouvrions notre électricité à la concurrence histoire de nous fragiliser, on comprend mieux pourquoi les trois quarts de nos centrales sont en révision. Sans parler de la fermeture de Fessenheim pour faire plaisir aux écolos-barjots ! Le mot indépendance nationale, si chère au général De Gaulle, n'a cessé d’être bafouée par ses successeurs, exception faite de Georges Pompidou et Giscard au triste destin.

Par ailleurs, l’Europe s’est mise dans un pétrin dont on ne mesure pas encore toute l’ampleur en soutenant les Américains dans la guerre qu’ils livrent à l’Union soviétique hier et à la Russie aujourd’hui, via l’Ukraine qui leur sert d’épouvantail et à laquelle ils fournissent, et nous autres Européens par la même occasion, du matériel militaire pour combattre les armées russes. Bref, en se mettant à dos la Russie de Poutine, en votant d’inutiles sanctions, ce dernier a utilisé l’arme dont il disposait en nous coupant le gaz et dans une moindre mesure le pétrole. Et si vous regardez une carte de géographie, vous vous rendrez vite compte que la Russie est nettement plus proche de nous que l’Amérique. Et ce n’est pas le gaz algérien, ni norvégien qui va suppléer à nos besoins. Dans cette affaire, les Allemands vont payer cher l’absence de gaz russe qui venait alimenter toute leur industrie. Leurs écolos vont-ils se frotter les mains ? Mais il n’y a pas que l’Allemagne qui va plonger, c’est tout le continent européen qui va payer la note à l’heure même où l’irresponsable Van der Leyen entend voter de nouvelles sanctions à l’égard de la Russie.

Le fait de savoir si nous allons passer l’hiver – ce dont se foutent complétement les américains – n’est pas le plus inquiétant pour ce qui est de celui de 2022-2023, il est de savoir ce qui va se passer ensuite quand, faute d’énergie nécessaire, c’est toute l’industrie européenne qui va plonger dans le rouge. Que diront alors Macron et autre miss Borne pour faire passer la pilule ? A la suite du sabotage des gazoducs NordStream 1 & 2, Vladimir Poutine a déclaré : « En organisant des explosions sur les gazoducs internationaux qui longent le fond de la mer Baltique, ils ont en réalité commencé à détruire l’infrastructure énergétique européenne ». On ne saurait mieux dire.

Revers de la médaille, il y a de fortes chances que les peuples européens ne l’entendent pas de cette oreille et demandent des comptes à leurs dirigeants. Car pas plus qu’on ne voulait se battre pour Dantzig, pas plus les Européens n’entendent se battre pour l’Ukraine. Sauf les Polonais et les baltes que les soviétiques ont marqué au fer rouge et qui manquent de réalisme. Les temps ont changé et on voit mal Poutine se lancer militairement à l’assaut de l’Europe alors qu’il rame en Ukraine. Idem de l’Allemagne qui vient d’allouer 100 Mds€ à son armée sur fond d’achat de matériel américain. On croit rêver. Non, c’est le rêve européen qui part en sucette. Au stade où nous en sommes, on se pose la question de savoir si l’implosion de l’Union européenne ne serait pas une bonne chose. A moins que l’irruption soudaine des populistes ne change la donne. Mais pas dans sa version Meloni. Le problème des européens n’est pas d’être pour ou contre Poutine, il est de créer les conditions pour que Poutine daigne s’asseoir à la table des négociations et de rééquilibrer nos rapports avec lui.

09:37 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |