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mardi, 28 mars 2023

Thomas Joly a été réélu, samedi dernier au cours de son Ve congrès, président du Parti de la France

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Un communiqué du Parti de la France :

Samedi 25 mars, le Parti de la France a tenu son Ve congrès à Paris.

Les membres du Parti de la France ont élu leur Conseil national qui a lui-même élu le nouveau Bureau politique du PdF pour ces trois prochaines années. Thomas Joly a été réélu président et a procédé aux nominations suivantes : Bruno Hirout secrétaire général et Alexandre Simonnot délégué général. Une cellule communication a également été officialisée, confiée à Alexandre Hinger.

Cet alliage de constance et de renouvellement va permettre au Parti de la France de continuer son combat pour que vivent et soient entendues les solutions de la vraie droite nationale décomplexée, telles qu’elles ont été rappelées samedi après-midi par les orateurs du Parti de la France devant ses membres et ses sympathisants.

Le Parti de la France, fort de sa longévité et de sa fidélité aux idées de la droite nationale non reniée, demeure la structure d’accueil naturelle de tous les déçus des diverses dédiabolisations et le parti de ceux qui veulent concrètement rendre la France aux Français.

Le site du PdF cliquez ici

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était invité à prendre la parole au cours de ce congrès.

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18:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Palmarès de la délinquance en France

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Le ministère de l’Intérieur a dressé la cartographie sur une année pleine – 2022 - de la délinquance tous azimuts dans les villes de France et de Navarre. Un tableau édifiant où se mêlent évidemment les méfaits de l’immigration et du trafic de drogue, les deux étant souvent liés. On le savait, mais c’est encore lieux en le disant, toutes les villes de France, celle des rats comme elle des champs, sont touchées par le phénomène. Le plus inquiétant dans cette affaire, c’est la banalisation de cette violence dont celle émanant des Blak Bloc, par exemple, vire à l’anecdotique. Le Figaro s’en est fait l’écho. Voici le tableau qu’il nous livre. Terrifiant.

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Source : Le Figaro 28/3/2023

04:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Technique et politique

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Vincent Tremolet de Villers

C’est une tension qui, depuis le premier jour de l’élection d’Emmanuel Macron, oppose le sentiment de supériorité de la technocratie à l’assurance matoise de la politique. La première a des chiffres, la seconde, des lettres, et l’une et l’autre se renvoient un égal mépris. Esprit de géométrie contre esprit de finesse.
Élisabeth Borne, assurément, appartient à la première catégorie. Aux effets de l’éloquence, aux plaisirs de la rhétorique, aux clairs- obscurs des combinaisons, elle préfère la rigueur du raisonnement, la force de l’expertise, l’exactitude du résultat. L’administration des choses, pluto
̂t que le gouvernement des homme.
Le problème est que les jours troublés que nous traversons imposent un cheval de politique pour une alouette de mai
̂trise technique. Il s’agit de connaître son canton dans les moindres détails plutôt que des rapports indigestes, les ruelles des villages plus que les grandes avenues du pouvoir. S’ajoute une autre difficulté : le macronisme, dans les représentations collectives, s’apparente à un cabinet de conseil plus qu’à un gouvernement. Ce préjugé tenace frappe en priorité ceux qui, par leur apparence, leur attitude ou leur sémantique désincarnée - les « territoires », les « quartiers », la « ruralité » -, pourraient le renforcer.

Notre première ministre en est, elle aussi, la victime. C’est en partie injuste. Élisabeth Borne a montré, de son enfance éprouvée jus- qu’au mur d’hostilité de l’Assemblée, qu’elle ne craignait pas les vents contraires. Mais, dans la vie publique, les perceptions sont tenaces.

Voici donc que le chef de l’État lui demande de ne plus faire autre chose que de la politique. C’est-à-dire entraîner les gens par la détermination, le rapport de force, le charisme, l’énergie. Dans un climat irrespirable, elle doit trouver une majorité déjà introuvable au mois de juillet en des temps plus sereins. Pour ne rien arranger, Élisabeth Borne a une sensibilité de gauche, quand les appuis qui lui sont indispensables se trouvent sur sa droite. L’équation qu’elle doit résoudre est insoluble. Face à cette cruelle vérité politique, les mathématiques ne sont d’aucun secours.

Source : Le Figaro 28/3/2023

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