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lundi, 27 mars 2023

DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : REYNALD SECHER, L'HISTORIEN DE LA VENDÉE, SERA AU GRAND RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES...

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Hyperinflation et effondrement : point Oméga des crises du Système depuis 2008

ROUSSET M 1.JPGMarc Rousset

Les Bourses européennes ont fini dans le rouge ce vendredi par crainte d’un effet domino sur les banques. L’ensemble du secteur bancaire est touché. Le CAC 40 a perdu 1,74% à 7015,10. Après la quasi-faillite du Crédit Suisse, l’attention s’est portée sur Deutsche Bank, première banque allemande, dont les actions ont été massivement vendues (-8,53%) tandis que le rendement des obligations subordonnées (Additional Tier 1) et le coût d’assurance contre le risque de défaut de paiement (« Credit Default Swap ») de Deutsche Bank ont fortement augmenté.

Le CDS à 5 ans de Deutsche Bank a grimpé à plus de 2,2%. Les instruments financiers de couverture indiquent une probabilité de défaut de Deutsche Bank de 27,4% dans les cinq prochaines années et de 19,3% pour Commerzbank. Pour Barclays et Société Générale, la probabilité moins élevée se situe autour de 13%. Signe de nervosité, l’indice de volatilité aux États-Unis s’affichait à 22,76, tandis que l’indice européen a fait un bond à 24,88. Les banques centrales doivent résoudre le problème contradictoire de la stabilité monétaire et de la stabilité financière des banques, de l’inflation ou du krach bancaire et boursier.

Afin de combattre l’inflation, Jerome Powell, le président de la Fed, a annoncé ce mercredi une hausse de 0,25% du principal taux directeur pour le porter à 4,75 % -5%, en soulignant que d’autres hausses de taux pourraient suivre, si nécessaire, mais qu’aucune baisse des taux n’était anticipée. Sans la faillite de Silvergate Bank, Silicon Valley Bank et Signature Bank, la Fed aurait relevé le taux de 0,50% au lieu du taux modéré de 0,25%. Il est évident que le relèvement du coût de l’argent pèse sur les particuliers, les entreprises, les banques, les États et les marchés financiers : depuis l’été 2022, les taux qui étaient de l’ordre de zéro aux États-Unis et négatifs en Europe, ont grimpé à la verticale aux États-Unis pour atteindre 4,75 – 5% et 3,50% en zone euro. Il en est de même pour les taux obligataires qui, pendant la même période, ont violemment augmenté de pratiquement zéro à 2,9% en France et 3,51% aux États-Unis. Le but recherché par le Système est la hausse des taux pour combattre l’inflation, tout en inondant les banques de liquidités pour éviter leurs faillites.

Powell a aussi insisté sur le fait que, malgré la faillite de banques régionales californiennes, le secteur bancaire était sûr tandis qu’au même moment Janet Yellen, la secrétaire américaine au Trésor, déclarait, lors d’une audition devant le Sénat, ne pas envisager « une garantie globale » pour tous les dépôts bancaires aux États-Unis, ce qui a fortement ébranlé les investisseurs. Il faut savoir en effet que c’est le seul gouvernement américain qui devrait mettre la main à la poche en empruntant pour couvrir les dépôts des banques en faillite aux États-Unis. Tout comme en France le FGDR, la FDIC ne dispose que de montants ridicules pour couvrir les dépôts en cas de faillites : le FDIC a seulement 200 milliards de dollars en caisse, alors que les dépôts des deux petites banques californiennes en faillite SVB et Signature représentent déjà, à eux seuls, 250 milliards de dollars ! Ces atermoiements des autorités américaines naviguant à vue pour la garantie des dépôts ainsi que la perte de valeur au prix du marché des obligations détenues par les banques, en raison de la hausse des taux d’intérêt, sont à l’origine de l’actuelle crise bancaire.

Il semble que la Fed, plutôt que de continuer à augmenter les taux, espère que les mesures actuelles vont inciter les banques à réduire leurs prêts, afin de préserver leur liquidité, ce qui ralentira l’économie et l’inflation actuelle de 6%. Selon une enquête de la Fed en janvier, la demande de crédit bancaire des entreprises et des ménages est déjà moindre, les conditions de prêt étant durcies. La croissance des crédits bancaires aux États-Unis a été nulle ces 3 derniers mois. Lors d’une conférence de presse, Jerome Powell a clairement expliqué que le durcissement des conditions de crédit bancaire était équivalent à une augmentation des taux directeurs de la Fed. C’est pourquoi il ne parle plus de « futures hausses de taux ». Autrement dit, la Fed souhaite transférer une partie de la tâche de ralentissement de l’économie au secteur bancaire. Il est clair que la Fed ne souhaite pas aggraver les difficultés des banques en augmentant les taux (dépréciation de leur portefeuille d’obligations à la valeur du marché).

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13:59 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nantes, mercredi 29 mars : messe et hommage à Charette

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13:58 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’école : … la fabrique des abrutis.

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Bernard Germain

Peut-être cette information vous a-t-elle échappé mais elle vaut pourtant son pesant de cacahuètes. Elle concerne l’apprentissage de la lecture par les enfants. 

Le 23 février 2023, Louis Maurin, le responsable de « l'Observatoire des inégalités », regrette, dans une tribune que « près de la moitié des parents diplômés de l’enseignement supérieur apprennent à lire à leurs enfants avant le primaire ». Il en conclut que cela accentuerait les inégalités sociales.

En effet, lorsque les enfants débutent l’école certains ont déjà des connaissances et un vocabulaire que les autres n’ont pas. C’est donc, pour lui, injuste et ne permet pas l’égalité entre les enfants.

Dans un esprit égalitaire, on pourrait imaginer qu’il conviendrait de retirer tous les enfants à leur famille et les confier à l’État qui serait garant de leur assurer les mêmes conditions de départ, gage de leur égalité au moment de démarrer l’école.

Vous l’aurez compris cette solution n’a heureusement aucune chance de voir le jour.

Plus sérieusement, un esprit logique et voulant « lutter contre les inégalités sociales » déduirait de l’affirmation de Louis Maurin qu’il faut trouver des moyens pour aider les enfants des milieux les moins favorisés à acquérir les connaissances et le vocabulaire qui leur manquent, avant d’aller à l’école.

Or, curieusement, Louis Maurin rejette cette solution car cela demanderait « des moyens considérables, pour des effets incertains ».

Mais alors … comment faire ? 

La solution de Louis Maurin est stupéfiante.

Tenez-vous bien. Pour lui la solution consiste à « repousser d’un an l’âge d’apprentissage de la lecture à l’école ».

Pour Louis Maurin, la solution est donc de… retarder tous les élèves pour l’apprentissage de la lecture. Cette mesure serait égalitaire.

En fait, cette solution c’est l’instauration de la médiocrité et de l’ignorance pour tous.

Je suis sûr que certains lecteurs penseront que ce que je viens d’écrire est une mauvaise blague.

Mais non, c’est la stricte vérité et la triste réalité de notre école livrée à des pédagogistes fous qui la détruisent depuis des décennies et «forment» des élèves dont le niveau ne cesse de s’effondrer.

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12:30 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Vendée à l'Honneur

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12:06 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |