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samedi, 15 mars 2025

Ces tordus bien-pensants et d’extrême gauche n’ont aucune limite… Français, réveillez-vous !

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Ce samedi matin, les miliciens islamogauchistes

ont attaqué le marché de Chalonnes-sur-Loire (49) 

Bernard Germain 

Il n’y a plus un jour qui passe sans qu’on ait une preuve évidente de l’installation d’une véritable dictature en France, et en Europe.

En ce qui concerne l’Europe, la commission européenne passe son temps à imposer ses décisions à tous les peuples, alors qu’elle n’a été élue par personne et que ses décisions sont ouvertement inverses à ce que veulent les peuples.

De plus, elle ne se cache même plus de vouloir bafouer la démocratie et le vote des peuples. En Roumanie, les élections ont été annulées suite à ses pressions parce que le candidat arrivé en tête du premier tour, est opposé à la politique de la commission européenne. Le grotesque prétexte invoqué fut que la Russie aurait influencé le scrutin via tik-tok. Pire, à l’occasion du nouveau scrutin roumain, le même candidat (crédité de 40 % dans les sondages) est interdit de se présenter sous des prétextes totalement fallacieux.

En Allemagne, Thierry Breton (ancien commissaire européen) avait déclaré que si l’Afd avait un score trop élevé, il faudrait aussi faire annuler les élections comme en Roumanie.

Et en France, nous saurons dans quelques jours si Marine Le Pen va aussi être empêchée de se présenter à l'élection présidentielle de 2027, là aussi au motif d’une décision « de justice » qui en réalité est uniquement politique alors que Marine Le Pen représente 11 millions de vote… qu’il faut bâillonner à tout prix.

Dans tous ces exemples, ce qui explique cet acharnement des politiciens au pouvoir et des juges est leur préoccupation commune d’empêcher le peuple de s’exprimer et d’avoir à respecter cette volonté populaire telle qu’exprimée dans les urnes.

S’il n’y avait que cela, même si ces faits sont gravissimes, ce serait juste très grave. Mais, les choses ne s’arrêtent pas là. Empêcher le peuple d’exprimer sa volonté est déjà insupportable, mais il est maintenant question de le caporaliser et l’empêcher tout simplement de penser ce qu’il veut par l’instauration d’une authentique police de la pensée.

C’est cela que signifie la décision prise par l’ARCOM (pitoyable officine aux ordres de l’Élysée) de fermer C8 et NRJ12, jetant au passage des centaines de salariés au chômage et plongeant leurs familles dans la précarité et les difficultés.

Mais ce que cette fermeture signifie c’est surtout que le citoyen n’a pas le droit de décider quelle chaîne il veut regarder. Non seulement le citoyen est trop bête pour qu’on tienne compte de son vote, mais il est également trop bête pour avoir le droit de décider la chaîne de télévision qu’il veut regarder. Et, pour veiller à ce qu’il ne puisse pas regarder ce qu’il ne faut pas, le pouvoir - soutenu par tout ce qui se dit progressiste et de gauche - ferme deux chaînes. Oui, la gauche et les bien pensants mettent tout simplement en place un système permettant d’interdire aux citoyens de voir et entendre ce qu’il ne faut pas.

La prochaine étape sera sans doute qu’on invitera les citoyens à dénoncer leurs voisins qui regardent tel ou tel médias ou écoutent telle ou telle radio, catalogués d’« extrême droite ».

Et bien sûr, sur cette lancée, la campagne pour obtenir la fermeture de CNews, Europe1, le JDD, et Valeurs Actuelles bat son plein. Car vous ne devez pas voir telle chaîne, écouter cette radio, ni lire tel journal.

C’est également ce que nous venons de vivre en Bretagne à l’occasion de la volonté de l’association Trégor&Goëlo de projeter près de Lannion le film « Silenced » réalisé par Tommy Robinson qui dénonce ce qui se passe en Angleterre du fait des actions criminelles menées pour un nombre inquiétant d’immigrés musulmans. Notamment pendant de très longues années des gangs pakistanais ont violé de très jeunes anglaises blanches (d’à peine 10-12 ans) dans le nord de l’Angleterre. Aujourd’hui toute la classe politique de gauche tente d’écraser l’affaire et le tribunal a donné le choix à Tommy Robinson : si vous faites silence, vous êtes libre, sinon si vous publiez ce film, vous irez en prison. Tommy a décidé de dire la vérité et de publier son film. Il est en prison. Confirmant l’adage bien connu « malheur à celui par qui le scandale arrive ».

Ce film, l’association Trégor&Goëlo a voulu le projeter dans le cadre d’une réunion PRIVÉE, avec inscription.

Mais les gauchistes, la mairie de Lannion à plat ventre devant eux ainsi que la presse régionale (Ouest France et Le Télégramme) veillaient. Même s’ils n’ont pas vu le film !

Les citoyens n’ont pas le droit de voter pour qui ils veulent, ils n’ont pas le droit de regarder la chaîne de télévision qu’ils veulent, ils n’ont pas le droit d’écouter la radio qu’ils veulent ni de lire le journal qu’ils veulent. Maintenant, c’est officiel, ils n’ont pas le droit de participer à une réunion privée, ni de regarder dans cette réunion privée un film qui n’est nullement interdit en France, pas plus qu’ils n’ont le droit d’en discuter librement.

Il y a des tordus pour leur dire que c’est « fasciste » d’oser vouloir faire cela et une presse pour relayer complaisamment cela sans que cela leur pose un problème de déontologie journalistique, se faisant même les complices de ces assassins de la démocratie, comme Le Télégramme qui n’a pas redouté de donner l’adresse de cette réunion privée dans le titre de son article. En agissant ainsi, ce journal ne se faisait-il pas le complice des antifas qui envisageait de venir exercer leurs violences afin d’imposer leurs opinions ? Violences que jamais cette presse bien pensante et sans déontologie ne dénonce.

La personne qui fut à l’initiative de cette mobilisation « antifasciste » est la député LFI Murielle Lepvraud, députée LFI de la 4e circonscription des Côtes d’Armor.

Ce que l’histoire ne dit pas c’est si cette dame envisage de préparer un projet de Loi pour venir vérifier chez les citoyens ce qu’ils regardent à la télévision, écoutent à la radio ou lisent comme journaux puisque ce qu’ils font dans une réunion privée doit être contrôlé.

En revanche, elle fut, sauf erreur de ma part, d’une discrétion totale concernant l’affiche antisémite représentant Hanouna sur le modèle de ce que produisait le nazi Goebbels, tout comme elle fut totalement silencieuse sur la manifestation de samedi 8 mars pour « les droits des femmes » organisée avec des islamistes dont chacun sait qu’ils respectent absolument les femmes et leurs droits dans les pays dominés par les musulmans. Tout comme on n’a pas entendu Murielle Lepvraud pour condamner les ignobles tags sur le parcours de la manifestation du 8 mars « Une rafale pour Cordier », la responsable de Némésis, la courageuse association de femmes qui se battent pour le droit des femmes, sans oublier de se battre contre les viols de femmes blanches commis par des migrants sous OQTF, ce qui leur vaut cette haine de la gauche et leurs menaces de mort. 

Mais, voyez-vous, tout cela est déjà incroyable, mais comme le dit le titre de cet article, la gauche et les bien pensants n’ont plus de limite.

Leur dernière trouvaille c’est dans le Maine-et-Loire qu’on vient de la découvrir.

Une manifestation a été organisée ce jour, 15 mars 2025 au marché de Chalonnes-sur-Loire, près d’Angers. Manifestation interdite par le préfet, dont le thème était de protester contre la présence sur le marché d’un boucher… qui voterait RN.

Oui, vous avez bien lu. L’extrême gauche et les bien pensants appelaient à manifester contre un commerçant pour son vote supposé ou ses opinions.

Moi cela me rappelle les hordes nazis qui dans les années 30 peignaient des étoiles de David sur les vitrines des commerçants juifs.

Pour répondre aux souhaits des bien-pensants et de la LFI, chaque commerçant va-t-il devoir indiquer sur sa vitrine pour qui il vote ?

On me permettra de signaler que Ouest France a rapporté ces faits, mais ne semble guère s’en émouvoir, contrairement à l’épouvantable projection du film de Tommy Robinson à côté de Lannion qu’il fallait à tout prix empêcher pour sauver la démocratie, la liberté et même la république. Pauvre presse qui renie toutes les valeurs de cette profession et ne semble même pas s’en apercevoir. Pauvres « gauche » et bien-pensants qui se comportent infiniment pire que ce qu’ils dénoncent. J’espère pour eux qu’ils ne se rendront jamais compte de ce qu’ils font, sinon ils risquent de ne pas s’en remettre.

Quant aux citoyens de notre pays, je n’ai qu’une chose à leur dire :

Français… réveillez-vous, c’est une véritable dictature qui se met en place.

Demain, il sera trop tard !

20:00 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nicolas Gauthier raconte Le Pen, l’homme derrière la légende

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Nicolas Gauthier s’est souvent entretenu avec Jean-Marie Le Pen. La première fois, en 1986, a été comme une sorte d’acte manqué – Nicolas Gauthier s’en explique. Il a 22 ans, il bredouille trois questions et son magnétophone est en rade. Une sorte de panne, on n’ose dire sexuelle. Mais les deux hommes étaient faits pour sympathiser. Les entretiens s’enchaîneront et même les livres à quatre mains. Dans Le Pen comme vous ne l’avez jamais lu (Éditions Déterna), il nous livre le meilleur de leurs rencontres. Un personnage loin des clichés, de chair, de verbe et de verve ; peint et dépeint d’après nature – et pas d’après les caricatures ; avec vue sur la mer, depuis la Bretagne, et vue sur le monde ; à la ville comme à la scène ; dans la lumière des meetings et la pénombre des retraites forcées. Non pas seulement un Le Pen comme on ne l’a jamais lu, mais aussi jamais vu. Une sorte d’addendum à ses « Mémoires », tout ensemble « Fils de la nation » et « Tribun du peuple ». C’est le privilège des vieilles complicités, elles peuvent parler « à cœur ouvert et à bâtons rompus ». Au fil des pages, Jean-Marie Le Pen se révèle tel qu’en lui-même : affranchi, bravache, fidèle à ses convictions, insoumis jusqu’au bout. Une bête politique – rien d’une bête immonde.

Peu de journalistes ont aussi bien connu Jean-Marie Le Pen. Comment le définiriez-vous politiquement, dans quelle famille, dans quelle tradition ?

Comment définir cet homme qui répugnait souvent à se définir ? Pour lui, se définir équivalait un peu à se limiter. Voilà peut-être pourquoi les réponses qu’il donnait à cette question étaient souvent contradictoires. Ainsi, s’est-il, au fil du temps défini comme « national-libertaire », « économiquement de droite et socialement de gauche », allant même jusqu’à se présenter comme une sorte de « Reagan français » ; ce qui ne manquera pas de faire grimacer les lecteurs d’Éléments dont je suis. Il est vrai que c’était l’époque de la Guerre froide et que le parcours d’un Ronald Reagan n’était pas forcément pour lui déplaire : acteur de seconde zone, syndicaliste, venu tard en politique et en proie au mépris généralisé des élites américaines. Une fois je lui avais dit que, dans le fond, il était une sorte de « hippie d’extrême droite », ce qui l’avait fait beaucoup rire. Plus sérieusement et si l’on s’en tient aux trois droites de René Rémond, légitimiste, orléaniste et bonapartiste, on peut dire qu’il appartenait plutôt à la troisième. Une sorte de patriote populiste, en quelque sorte, mâtiné d’un brin de légitimisme, quoiqu’il ait toujours été un républicain farouche, n’hésitant pas à souvent moquer l’indécrottable royaliste que je suis. Tant de gens lui reprochaient de ne pas être un « véritable républicain » ; moi, je lui reprochais surtout de l’être trop.

Et humainement ?

Un homme dont l’immense gentillesse pouvait parfois confiner à la naïveté : combien de gens lui ont ainsi tapé du pognon que jamais ils n’ont remboursé ? Des wagons entiers. Je crois qu’il aimait sincèrement les gens, cherchait à les comprendre ; surtout ceux qui ne partageaient pas ses idées. En revanche, en bon Breton, il était capable d’entrer subitement dans des colères tonitruantes, pour redescendre sur terre quelques minutes plus tard, ayant tout oublié des raisons de son énervement. Mais je ne l’ai jamais vu se fâcher contre le petit personnel ; cela aurait été pour lui un abus de pouvoir. D’ailleurs, quand un cadre du mouvement se défaussait sur ce même petit personnel, il jugeait cela ignoble. Et là, c’était le gradé qui avait droit à un véritable savon. J’imagine qu’il raisonnait tel le soldat qu’il fut : pour lui, il n’y avait pas de mauvais soldats, juste de mauvais officiers. Que dire de plus ? Si, Le Pen était d’une curiosité intellectuelle insatiable. Il savait qu’à un moment de ma vie, je travaillais dans la presse rap. Alors, il voulait tout savoir de ces artistes, ceux qui avaient du talent et ceux qui en avaient moins, voir pas du tout. Une fois, nous parlions de Joey Starr, de NTM. Il l’avait à la bonne, tant les frasques à répétition de ce colosse martiniquais avaient le don de le faire marrer et qu’il était impressionné par son indéniable charisme scénique. Je crois qu’il parlait en connaisseur…

Était-il, selon vous, trop à l’étroit dans les habits neufs de la vieille droite ? Qu’est-ce qu’il lui reprochait ? Et qu’est-ce que vous lui reprochez à votre tour, tant on a parfois l’impression que Jean-Marie Le Pen fait du Nicolas Gauthier ?

Ce qu’il reprochait à la droite ? Son étroitesse d’esprit, justement. Son combat ne consistait pas à sauver la droite, mais à sauver la France. Il n’en avait que foutre de la droite. Il la méprisait autant qu’elle le méprisait, lui. Je crois qu’il avait plus d’estime pour les gens de gauche. Quand il affirmait que « Chirac, c’est Jospin en pire », il faut le croire. Jospin, socialiste et qui se conduisait comme tel, il respectait. Mais un Chirac qui se faisait passer pour un homme de droite, ça le mettait hors de lui. Après je ne sais pas si Jean-Marie Le Pen faisait du Nicolas Gauthier ou l’inverse ; mais c’est là me faire beaucoup d’honneur. Je sais juste que nous étions généralement d’accord sur l’essentiel. Peut-être à cause de ce point commun partagé : il n’avait jamais été salarié de sa vie – hormis quelques mois à Minute, comme chef de publicité – et je suis travailleur indépendant depuis plus de trente ans. Nous raisonnions donc en artisans un brin poujadistes. L’autre point commun, c’était la détestation de la bourgeoisie, qu’elle soit de gauche ou de droite. Je me souviens d’un soir, à Montretout où nous nous sommes croisés dans l’escalier. « Ben Nicolas, qu’est-ce que tu fais là ? », me demande-t-il. « Je monte à l’étage, on se fait une soirée pâtes avec Samuel Maréchal, Yann et la petite Marion. » Et lui, soudainement tout triste : « Putain, un dîner entre potes, tu as de la chance ! Moi, je vais encore me taper un dîner avec des bourgeois coincés. Qu’est-ce que je ne donnerais pas pour qu’on échange nos places… » Ça, c’était aussi Le Pen.

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Journal du chaos

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Parution du nouveau livre de Jean-Yves Le Gallou chez Via Romana : "Mémoires identitaires"

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1968-2025 : les dessous du Grand Basculement

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Dans "Politique magazine" de ce mois, un article sur le livre de Thierry Decruzy consacré aux "Brigandes"

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