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mardi, 27 mai 2025

Tommy Robinson est libre : les premières déclarations du dissident britannique

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Source Breizh info cliquez ici

Tommy Robinson est libre : les premières déclarations du dissident britannique, à sa sortie de prison, ce 27 mai, après de longs mois passés en cellule en raison de son engagement médiatique et politique, et à sa dénonciation sans relâche de la corruption des autorités britanniques.

Tommy Robinson, de son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, a été libéré de la prison de Woodhill, à Milton Keynes, après une réduction de peine décidée par un juge de la Haute Cour. Initialement condamné à 18 mois de détention pour outrage à la cour dans le cadre d’une affaire civile, il a finalement purgé sept mois de détention dans des conditions déplorables.

Une peine réduite mais un avertissement clair

Le juge Johnson, qui a supervisé l’affaire, a estimé que Robinson avait adopté une « nouvelle attitude » vis-à-vis de l’injonction judiciaire qu’il avait enfreinte à dix reprises en lien avec un documentaire polémique, Silenced. Bien que le juge ait noté l’absence de « remords ou de contrition », il a toutefois considéré les engagements de Robinson à respecter désormais la décision judiciaire comme suffisants pour supprimer les quatre mois dits « coercitifs » de sa peine.

Le dossier portait sur la diffusion de propos jugés diffamatoires (alors que pourtant sourcés) à l’égard d’un réfugié syrien, que Robinson avait précédemment accusé – à tort selon la justice – d’actes violents. Ce dernier avait obtenu gain de cause dans une procédure de diffamation en 2021.

Une dissidence assumée

Si les autorités judiciaires ont salué une évolution dans le comportement de Robinson, celui-ci reste fidèle à ses convictions. L’activiste, dont les critiques envers l’immigration massive, l’islam radical ou encore les dysfonctionnements du système judiciaire britannique lui ont valu l’hostilité des grands médias et de la classe politique, ne renie rien. Le documentaire Silenced, au cœur des poursuites, visait précisément à dénoncer – selon ses soutiens – une tentative de musellement orchestrée par l’establishment.

Robinson, qui avait été emprisonné pour avoir défié les décisions de justice, n’en demeure pas moins un symbole de la contestation populaire d’une justice perçue comme à deux vitesses : sévère avec certains, bienveillante envers d’autres.

À peine libéré, Tommy Robinson est de nouveau dans le collimateur de la justice. Il comparaîtra la semaine prochaine devant les magistrats de Westminster pour répondre d’accusations de harcèlement ayant causé « une crainte de violence » envers deux individus. Une autre procédure l’attend en octobre 2026, cette fois pour avoir, selon la police, refusé de fournir le code PIN de son téléphone lors d’un contrôle.

Ce traitement judiciaire quasi-permanent contraste avec la relative indulgence dont bénéficient d’autres acteurs, souvent bien plus violents ou extrémistes, mais politiquement corrects. Il illustre le malaise croissant d’une frange de la population britannique – et au-delà – face à une justice de plus en plus politisée.

Tommy Robinson demeure aujourd’hui l’un des rares dissidents occidentaux à payer si chèrement son refus de plier face au conformisme idéologique.

NDLR SN : Ayons une amicale pensée pour notre ami Eric Mauvoisin Delavaud qui, depuis l'incarcération de Tommy Robinson en Angleterre, se bat sans relâche en France pour alerter nos compatriotes sur cette affaire en organisant des projections du film "Silenced".

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Samedi 31 mai, à Amiens : déjeuner avec Thomas Joly (PdF) et Jérôme Bourbon (Rivarol)

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16:52 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

À Carcassonne et Paris, le réveil des orphelins de la droite nationale ?

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François Monestier - Polémia cliquez ici

Alors que la droite institutionnelle se dilue dans le consensus mou et que la gauche radicale impose ses dogmes sociétaux, une autre France se rassemble, fidèle à ses racines, à ses héros et à sa mémoire. Face au mépris des élites, au matraquage idéologique des médias subventionnés et à la déconstruction méthodique de notre nation, les orphelins de la droite nationale n’ont pas dit leur dernier mot. Le 11 mai, sur les terres occitanes comme dans les rues de Paris, des patriotes de tous horizons ont prouvé qu’il existe encore une France debout, lucide, fière et décidée à défendre son identité et sa souveraineté.

Polémia

Rassemblement patriotique en terre occitane

Plus de quatre cents personnes – jeunes et moins jeunes, femmes et hommes – dont de nombreux militaires arborant le célèbre béret rouge ou affichant leurs médailles gagnées sur le terrain, ont répondu présent pour les Rencontres Culturelles Patriotiques organisées le 11 mai par Place d’Armes, cette association qui a gagné ses galons, voici plus de quatre ans, en publiant une célèbre tribune des généraux qui secoua le Landernau militaire.

Une belle propriété du pays carcassonnais accueillait tout ce beau monde. Marion Sigaut, Pierre Cassen, Pierre de Meuse, Christian Combaz notamment, mais également les généraux de Richoufftz et Roure, étaient venus, qui de Bretagne, qui du Languedoc ou de Bourgogne, signer leurs ouvrages et retrouver des complices d’amitié et de camaraderie. Des représentants des Harkis avaient fait le déplacement, tout comme les représentants d’une association de motards, French Army Vets, tous militaires d’active ou vétérans œuvrant pour la fraternité et l’aide aux soldats blessés, venus sur leurs rutilantes motos. Et n’oublions pas de jeunes identitaires de Carcassonne avec dans leur besace
Lo Camin (Le chemin), une revue faisant l’éloge du féminisme identitaire et de Viollet-le-Duc, le sauveur – avec Mérimée – de la Cité de Carcassonne.

Des conférences de qualité, notamment sur l’Indochine, une table ronde menée de main de maître par Jean-Pierre Fabre Bernadac, le président de Place d’Armes, sur les dangers qui nous menacent, clôturait cette journée.

Souvenir d’une époque militante

On se serait cru revenu quarante ans en arrière, au temps béni des BBR, quand on croisait, dans les allées du Bourget, des représentants de la Vieille France, la concierge de Paname venue avec son chien arborant une laisse tricolore, nos prolos qui avaient définitivement tourné le dos à la Fête de l’Huma, et une foultitude de jeunes qui n’avaient pas peur d’affronter sur les marchés les militants de Ras Le Front ou de coller des affiches à l’effigie de Le Pen. J’ai ressenti ce dimanche en terre occitane la même ferveur, le même enthousiasme et la volonté de tous — venus d’horizons différents — de retrouver une certaine fraternité française, loin des discussions sur l’Ukraine ou Israël. On parlait France, lutte contre les différents lobbies et mensonges véhiculés par les médias de grand chemin, actions à mener dans un pays gagné par l’islam et les progrès – encouragés sciemment par le régime macroniste — du wokisme et des amis de Mélenchon. J’ai vu des orphelins avant tout heureux de se retrouver et de partager, le temps d’une journée, une certaine idée de la France.

Mobilisations parallèles de la jeunesse

Le même jour dans Paris – mais est-ce un simple hasard ? –, près de 2 000 personnes – la plus grosse mobilisation jamais enregistrée – rendaient hommage à Sébastien Deyzieu, tragiquement disparu en 1994 lors d’une charge de police visant à disperser un rassemblement nationaliste contre l’impérialisme américain. Cette nouvelle génération a bravé les menaces des hordes antifascistes, les contrevérités distillées par le pouvoir, mais également les coups de pied de l’âne de certains nouveaux responsables du Rassemblement national qui mettent dans le même sac les fichés S de la France Insoumise et les militants patriotes dont le militantisme a contribué à faire du RN le premier parti de France. Toujours dans le même esprit et la même fidélité à nos valeurs, un bon millier de jeunes gens et jeunes filles appartenant à l’Action Française honoraient Jeanne d’Arc dans les rues de Paris, le 11 mai, lors du cortège traditionnel d’hommage à la Sainte de la Patrie. Autant d’événements qui ont provoqué l’ire de L’Huma, biberonnée aux subventions gouvernementales, et du Monde, financé par Mathieu Pigasse et Xavier Niel.

Cherchez l’erreur.

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Démocratie : faisons-nous face à un progressisme autoritaire ?

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Pierre Rosanvallon est cet intellectuel de gauche issu des rangs du syndicalisme qui fait office de boussole idéologique à gauche. Or, l’homme ne cesse de se tromper dans ses analyses, comme en témoigne sa notion de la démocratie où il reconnaît le pouvoir des juges se substituant à celui du peuple. C’est remettre en cause la notion même de démocratie. C’est à cet abus que répond dans Le Figaro Marcel Gauchet, qui tient à lui rappeler qu’en démocratie, c’est la voix du peuple qui justifie son existence. Cependant la question se pose aujourd’hui où le pouvoir des juges supplante trop souvent celui du peuple en le réduisant au silence.   

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Source : Le Figaro 27/5/2025

 

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