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jeudi, 15 octobre 2020

D'un couvre-feu, l'autre.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le couvre-feu imposé par Macron en Île-de-France et dans huit métropoles pour six semaines au moins vient s'ajouter à celui, permanent, que subissent des centaines de milliers de nos compatriotes, hommes et femmes, qui, dès la nuit tombée, n'osent plus s'aventurer hors de chez eux.
 
Il y a le totalitarisme démocratique appliqué à la gestion sanitaire qui, peu à peu a transformé les Français en ombres asservies, fait de nos commerces, de nos restaurants, de nos bars, de nos salles de sport, de nos théâtres, de nos cinémas, des cimetières et reduit nos petites et moyennes entreprises à la condition d'antichambres de Pôle emploi. 
 
Et puis y a le totalitarisme de la racaille qui fait de la France un coupe-gorge, une poudrière et un terrain de guerre.
 
Les braves gens qui bravaient encore les dangers de la nuit, désormais menacés d'amendes pouvant aller jusqu'à 1500 euros, s'enfermeront dans le confinement de leurs logis où ils ne pourront plus recevoir les leurs que dans les limites fixées par la Sécuritate sanitaire du génie du Touquet Macronescu.
 
La lie des cités, elle, continuera ses danses tribales, ses exactions, ses pillages, ses expériences pyrotechniques et ses trafics auxquelles aucune force de police n'est aujourd'hui en l'état de s'opposer.

16:04 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès d'un camarade de toujours, Jean-Baptiste Chaumeil

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Jean-Baptiste avait été opéré du coeur il y a quelques jours. Alors qu'il se remettait doucement, il est décédé subitement lundi dernier. 

Très connu et très apprécié dans les milieux nationalistes et bien au-delà, Jean-Baptiste Chaumeil avait été, depuis son engagement alors qu'il était encore lycéen, de tous les combats pour la France française. Militant, il était de ceux qui, sans jamais chercher à en tirer une quelconque gloire, n'hésitent pas à organiser des campagnes pour les causes qui leur semblent justes. Ecrivain, il consacra plusieurs ouvrages à Jacques Perret dont il connaissait parfaitement l'oeuvre. Il avait aussi participé au Choeur Montjoie Saint Denis qui anime avec talent et entrain, depuis des décennies, les réunions patriotiques.

De bonne lignée, Jean-Baptiste était le fils de Pierre Chaumeil, longtemps président des journalistes de la presse catholique et monarchiste.

Pour nous tous qui le connaissions depuis toujours, l'annonce de sa disparition est une nouvelle douloureuse. Nous pensons à sa nombreuse famille. Une cérémonie religieuse se déroulera demain vendredi à Paris et il sera enterré samedi en Auvergne, région qu'il aimait tant. RIP.

Roland Hélie

11:35 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 14 octobre 2020

L'émission Synthèse sur TV Libertés avec Lorrain de Saint Affrique, secrétaire général de l'Institut Jean-Marie Le Pen avec Roland Hélie et Philippe Randa

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Pour contacter l'Institut :

institutjeanmarielepen@gmail.com

 

20:21 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vous avez aimé les « fake news » ? Vous adorerez le « deepfake »…

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La chronique de Philippe Randa

L’époque étant à la paranoïa épidémique, un virus n’en chasse pas toujours un autre : tandis que la covid-19 continue de bouleverser les économies mondiales plus encore que les nuits des hypocondriaques, la nouvelle menace planétaire a nom « deepfake » (« hypertrucage » en français) ; à ne pas confondre avec les « fake news » (fausses nouvelles dans la même langue de Molière).

Le « deepfake » a été créé « pour désigner essentiellement des techniques de manipulation de l’image par l’intelligence artificielle pour créer des fausses vidéos. Par exemple, à partir d’une image d’un individu, une intelligence artificielle crée une mini vidéo qui donne l’impression que cette personne parle », nous apprend l’OJIM (L’Observatoire du journalisme dont on ne peut que conseiller la lecture régulière sur www.ojim.fr).

Après le texte, l’image est donc dans le viseur des manipulateurs de tous acabits et les victimes sont aussi « people » que « politiques » : de l’actrice israélienne Gad Gadot dont la jolie frimousse s’est retrouvée sur un corps qui n’était pas le sien dans une vidéo pornographique ou encore en 2018 quand « le réalisateur américain Jordan Peele avait créé un “deepfake d’Obama” pour montrer la puissance de cette technologie » en passant, il y a peu, par le candidat démocrate Joe Biden qui se serait endormi – à l’insu de son plein gré, of course ! – en pleine interview.

D’où, les mises en garde de plus en plus nombreuses – entre autres du département de la Défense américain – de l’important danger représenté par les « deepfake » lors des consultations électorales.

Les Gafa (Google, Apple, Facebook et Amazon) prennent la menace particulièrement au sérieux…

Attention : certains suspicieux pourraient ainsi estimer que les interventions pour le moins ubuesques de l’ancienne porte-parole de l’Élysée Sybeth Ndiaye n’avaient pu être en leur temps qu’une suite de « deepfake » ; ceci aurait alors expliqué cela, mais, hélas ! à ce jour, l’Élysée n’a toujours pas démenti.

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11:09 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 13 octobre 2020

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MERCREDI PROCHAIN, 14 OCTOBRE, L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS AVEC LORRAIN DE SAINT-AFFRIQUE

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16:52 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un général n'a jamais fait le printemps.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Les grenouilles qui, frénétiquement, se cherchent un candidat-roi dans la perspective de 2022 et continuent, contre toute évidence, à espérer le trouver ailleurs que dans la sphère politique, en seront une fois de plus pour leurs frais. Je crains que ce ne soit pas la dernière.
 
Il suffit de lire l'entretien que vient d'accorder le général de Villiers au Figaro Vox pour comprendre qu'un superbe képi, un brevet para, de beaux commandements militaires, une carrière magnifique et de bonnes intentions ne font pas, malgré le respect que tout celà nous inspire, un chef de peuple.
 
Le combat politique quand il vise au plus haut, suppose un lent apprentissage, un processus militant et méditatif qui exige le temps long du mûrissement qu'aucun cours accéléré de rattrapage ne peut remplacer.
 
Quand l'ancien chef d'état-major des Armées parle à propos des cités de "nos jeunes", quand il multiplie les considérations consensuelles sur la cohésion nationale, quand il effleure avec peine les problèmes majeurs auxquels la France et la civilisation sont confrontées, on se dit que les beaux sentiments sont faits pour aider les hommes méritants à vivre le reste de leur vie dans la méditation et le silence mais surtout pas dans l'action.
 
De quoi Pierre de Villiers est il le nom ? De l'eau tiède.

16:51 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 12 octobre 2020

Pierre Jovanovic sur l'actualité

independenza webtv s'est entretenu avec Pierre Jovanovic sur l'actualité.

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Source: independenza webtv

 
 

23:41 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Contre le nouvel ordre sanitaire

BHL-Virus-195x300.jpgDaniel Cologne

Dans l’ensemble, notre famille de pensée a bien réagi au « confinement » du printemps 2020, qui était une quarantaine n’osant pas dire son nom (voir Éléments, n° 184, encadré de la page 37). Dans le même numéro, Hervé Juvin se demande si tout principe poussé à son extrême ne finit pas par s’inverser. Cela expliquerait comment, après un demi-siècle entonnant l’hymne à la grande déesse Mobilité, on est passé du jour au lendemain à l’arrêt de la quasi-totalité de la planète.

Toujours dans la même livraison, ainsi que dans la suivante (Éléments, N° 185), je recommande la lecture des articles de Slobodan Despot, tout comme dans Synthèse nationale (n°54 cliquez ici), je conseille de lire les contributions de Pieter Kerstens, Bernard Plouvier et Charles-Henri d’Elloy. De tous ces très bons textes se dégage l’idée que les mesures de sécurité prônées par les conseillers scientifiques et relayées par les dirigeants politiques sont disproportionnées par rapport au risque sanitaire réel.

J’ai toutefois choisi de m’attarder sur le livre que Bernard-Henri Lévy a consacré à ce nouvel ordre sanitaire, alors que la France et la Belgique rivalisaient d’incohérence pour amorcer le « déconfinement ». D’aucuns vont s’étonner que je fasse une recension plutôt favorable de cet ouvrage. Elle ne change rien au fossé idéologique qui me sépare de cet auteur, mais je ne suis pas un lanceur de tartes à la crème et, lorsque paraît Ce virus qui rend fou, je ne me sens pas tenu d’ironiser : « le Lévy nouveau est arrivé ».

Bien sûr, si « le moi est haïssable » et si cette sentence pascalienne peut servir d’ingrédient à une critique de l’individualisme, les singularités collectives que sont les peuples ne doivent pas pour autant être absorbées par le grand mélange, surtout qu’en l’occurrence c’est l’homme albo-européen qu’on invite à devenir « l’otage » du Big Other. Pourquoi les peuples ne pourraient-ils pas vivre côte à côte, dans le respect réciproque de leur « étymon spirituel » (Léo Spitzer) ? Je suis pour une fédération de grands ensembles impériaux dont les relations pacifiques dépendent précisément, non d’une mixture mondiale selon la doxa dominante actuelle, mais de cette persévérance ontologique évoquée par Heidegger et reformulée par Alexandre Douguine.

C’est peut-être sur une idée de ce type que travaille René Guénon peu avant 1930 et son installation en terre musulmane d’Égypte. Une des rares fois où j’ai entendu prononcer le nom de Guénon à la télévision, c’est dans la bouche de BHL au cours de son émission « Les Aventures de la Liberté » (vers le milieu des années 1990, me semble-t-il). Guénon « tiers-mondiste » ? Oui, mais pas au sens de Franz Fanon et Jean Ziegler. « L’autre tiers-mondisme » de Guénon implique une critique impitoyable de l’égalitarisme moderne.

Il m’empêche que j’ai apprécié certaines pages du petit livre de BHL et que je partage quelques-unes de ses réactions face à la quarantaine du printemps 2020, qui est aussi une parodie de la fonction prophétique à travers les courbes exponentielles et anxiogènes des fameux modélisateurs. À propos de Roselyne Bachelot, dont il discerne la « feinte humilité », BHL écrit : « On la consulte comme un oracle (p. 20). » il compare à une « Pythie triste » le chef du conseil scientifique qui annonce chaque soir « le nombre des morts de la journée (p. 19) ».

En me remémorant les opinions contradictoires des « experts » conviés par les diverses chaînes de télévision, je crois aussi « qu’écouter ceux qui savent, si c’est bien des scientifiques que l’on parle, c’est écouter une pétarade perpétuelle et, quand on est un État, inviter la foire à la table du roi ! (p. 24, c’est BHL qui souligne) » Et si le virus était « un dérèglement dans la combinatoire d’organes et de pathologies qui fait un sujet singulier ? » Alors, « les metteurs en scène du grand spectacle de la guerre au virus (p. 51) » perdraient tout crédit et mériteraient le ton quelque peu moqueur des responsables suisses, bien meilleurs gestionnaires de la crise sanitaire que leurs homologues belges et français.

Je conçois le « malaise » que l’on peut éprouver devant « notre ahurissante docilité à l’ordre sanitaire en marche et à sa mise en demeure des corps (p. 73) ». Une sorte d’apartheid générationnel peutêtre décrypté dans les propos d’une « cheffe de service à l’hôpital Saint-Antoine » ou de « bio-éthiciens américains » exhortant « ceux du grand âge » à ne pas encombrer les salles de réanimation, « à céder leur place aux plus jeunes pour les tests et les vaccins », bref « à crever sans faire d’histoire (p. 77) ». Il est légitime de s’interroger sur « le peu de débats que suscitèrent, finalement, les projets de traçage numérique présentés, dans tout l’Occident, comme le moyen le plus sûr de vivre un déconfinement heureux (p. 78) ».

Qu’un reportage au Bangladesh, réalisé avant la mise en quarantaine, mais paru après en raison des « délais d’écriture et d’impression », puisse être tenu pour un « exemple de relâchement » : voilà qui illustre bien « l’empire du procès » épinglé par Régis Debray parmi les « coûts de la sujétion numérique ». Voilà de quoi faire planer la plus grande méfiance « sur les réseaux dits sociaux, c’est-à-dire, de plus en plus souvent, asociaux (p. 88) ».

Pour se convaincre que la vie doit aspirer à une dimension qui la dépasse, on peut faire appel à « toutes les sagesses du monde, la juive mais pas seulement (p. 81, c’est moi qui souligne) ». Se référer à sa propre tradition ancestrale ne doit postuler aucun exclusivisme. BHL convoque aussi un dialogue platonicien pour conjurer le péril d’un nouvelle « montée du pouvoir médical (p. 17) », déjà incarné, dès l’Antiquité romaine, par Galien, « quasi-directeur de conscience » de trois empereurs, et à l’époque de la Révolution française, par le magistrat-médecin Cabanis qui échappe à la Terreur.

Enfin, est-on bien certain que la crise sanitaire du printemps 2020 n’a pas accentué « une tendance lourde de nos sociétés (p. 85) » qui existait déjà auparavant ? Certes, le « préfet » qui donne ses directives par microphone dans la dystopie d’Hermann Kasack (La Ville au-delà du fleuve) cède la place aux images de Jérôme Salomon et Emmanuel André, spécialiste du dénombrement quotidien et macabre des personnes infectées, hospitalisées, réanimées et décédées.

Mais prenons garde. Demain, c’est peut-être tout notre patrimoine civilisationnel (« opéras, philharmonies, les plus grands musées du monde ») qui nous sera « servi, en mode virtuel, sur le plateau d’un petit déjeuner au lit à perpétuité (p. 84) ». Un astrologue prédit que les années 2001 – 2100 seront « le siècle des virus ». Vers quel monde irions-nous au fil des pandémies futures ? « Un monde où règnent les techniciens de la ventilation, les surveillants généraux de l’état d’urgence, les délégués à l’agonie. Un monde où, à la place du monde qui fait trop mal, on a des gels hydro-alcooliques, des balcons où l’on s’auto-complimente, des chiens à promener deux fois par jour muni de son attestation covid et des villes expurgées de la foule humaine comme une salle d’opération de ces infections nosocomiales (p. 103). »

Allons-nous docilement accepter une société qui bannit la poignée de mains et où les masques-barrières ostracisent l’échange de sourires conviviaux ?Allons-nous tolérer que des « applications numériques » deviennent pourvoyeuses « de télétravail, télé-enseignement, téléconsultation, télétransport (p. 77) », sans oublier les jeux vidéos garantissant aux plus jeunes un apprentissage ludique dans la ligne des pédagogies progressistes ?

Comme Pieter Kerstens, je précise que j’appartiens à la génération « à risques ». Mais il faut savoir vivre avec un virus comme avec le péril d’un déraillement de train, le danger quotidien d’une agression dans un monde qui s’ensauvage, la certitude, deux ou trois fois par été, de canicules et de vagues de chaleur appelées à s’intensifier dans un futur proche. En un mot, comme l’écrit le collaborateur de Synthèse nationale, il faut aborder le problème en adulte, alors que les conférences de presse de Sophie Wilmès cherchent à nous infantiliser et que les médias, la chaîne française LCI et sa pâle copie belge LN24, nous inoculent les poisons de l’incertitude et de la peur.

Je respecte le personnel hospitalier, qui a besoin d’un statut humain et financier revalorisé, et non de cette parodie de fonction guerrière offerte par Macron, Philippe et Véran, leur « front » de soignants, leur « première ligne » d’infirmières et leurs « brigades » de traceurs numériques. Je suis conscient de pouvoir être affecté ou emporté par le covid-19, comme le journaliste Mazerolles et l’ancien arbitre de football Javaux, comme le politicien Devekian et le chanteur Christophe.

J’apporte néanmoins mon soutien à des groupes comme « Folie virale » et à leurs manifestations dont j’espère qu’elles se multiplieront en réunissant des milliers de personnes, comme en Allemagne ou aux États-Unis, et non quelques centaines, comme le 16 août à Bruxelles, parmi des Belges bien timorés. C’est pourtant la Belgique qui a le triste record du plus mauvais ratio décès/nombre d’habitants, malgré des mesures tantôt drastiques, tantôt incohérentes, parfois ridicules (comme la « bulle » de cinq personnes), souvent injustes (je pense par exemple au sort réservé aux forains).

La « crise » du coronavirus est loin d’être close. La rentrée scolaire et estudiantine peut réserver une mauvaise surprise. Certaines populations européennes (Belgique, France, Italie, Espagne) semblent ne plus avoir la maturité de leurs aînés qui sont passés à travers les épidémies grippales de 1957 et 1969 sans céder à la panique. C’était aussi un temps où les gens n’étaient pas encore lobotomisés par les media et où les gouvernants ne s’aplatissaient pas devant « un savoir approximatif qui se donne pour une science ». Régis Debray parle ici de l’économie qui a dicté sa loi durant le cycle 1970 – 2020. Mais qu’en est-il de la virologie, parodie de fonction souveraine en ce pénible millésime qui touchera bientôt à sa fin ?

• Bernard-Henri Lévy, Ce virus qui rend fou, Grasset, Paris, 2020, 112 p., 8 €.

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12:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 11 octobre 2020

La machine infernale lancée depuis 2008 finira sa course contre un mur

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Marc Rousset

La Bourse de New York a fini la semaine sur une note positive, vendredi, espérant un accord sur un soutien à l’économie, avec l’élection présidentielle en arrière-plan. Après plus de deux mois de négociations, Trump a finalement mis 1.800 milliards de dollars sur la table, espérant ainsi un accord avec les démocrates avant les élections. Les 2.200 milliards votés fin mars ont déjà été presque complètement dépensés ; les démocrates réclament une rallonge de 2.200 milliards, alors que Trump voulait la limiter à 1.600 milliards.

On assiste à un grand écart entre les marchés dopés par l’expansion monétaire et l’économie réelle. En réalité, l’effondrement de l’économie et l’hyperendettement sont masqués par une création monétaire par les banques centrales sans précédent. Selon l’économiste suisse Marc Faber, « la question se pose aujourd’hui de savoir si l’on se rue dès à présent dans les canots de sauvetage ou si l’on attend encore un peu dans l’espoir que le capitaine offre une tournée gratuite ».

Depuis le début de la pandémie, le bilan de la Fed a fait un bond spectaculaire, passant d’environ 4.000 milliards de dollars, en janvier, à environ 7.000 milliards, fin août, soit environ 30 % du PIB des États-Unis. En Europe, alors que le bilan de la BCE était d’environ 5.000 milliards d’euros, en mai dernier, il devrait atteindre 6.500 milliards, d’ici fin 2020, soit environ la moitié du PIB de la zone euro. Pour l’investisseur helvète, en raison de ces sombres prévisions, la planète pourrait même être livrée à de fortes turbulences. Marc Faber envisage des flambées de violence, voire des révolutions.

La situation de l’emploi, qui ralentit plus fortement que prévu aux États-Unis, n’est pas bonne ; la reprise se poursuit à un rythme plus lent que prévu car les mesures de relance du gouvernement ont fortement diminué. La présidente de la Réserve fédérale de San Francisco demande une aide fiscale accrue pour sortir l’économie du fossé, alors que le gouvernement américain devrait déjà finir l’année avec un déficit record de plus de 3.000 milliards de dollars. Pour la première fois dans l’histoire des États-Unis, la barre de 6.000 milliards de dollars de dépenses publiques a déjà été dépassée. Autrement dit, l’Oncle Sam dépense deux fois plus d’argent qu’il n’en gagne, d’où le nouveau record de la dette fédérale des États-Unis à 27.000 milliards de dollars !

Le professeur de Yale Stephen Roach envisage même un « effondrement du dollar » et une chute de 35 % par rapport à l’or, d’ici fin 2021. Les dernières estimations du bureau du Budget du Congrès (CBO) concernant le déficit fédéral américain estimé à 16 % du PIB en 2020 ne prêtent effectivement pas à l’optimisme pour l’avenir du dollar. Et selon Michael Kelly, économiste senior de la Fed, son institution devra lancer un nouveau « QE » de création monétaire de 3.500 milliards de dollars afin de maintenir en respect à leur niveau bas actuel les taux des obligations américaines. Ce sont ces taux proches de zéro qui ont permis à Apple de devenir le premier titre coté avec un ratio démentiel cours/bénéfice de 120 et une capitalisation boursière de 2.000 milliards de dollars, d’où un dividende de seulement 0,7 % par an.

En France, Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes, remarque que « la dette a autant augmenté en quelques mois qu’au cours des dix années précédentes » et que « sans un retour à une maîtrise de la dépense publique, la dette française pourrait atteindre à terme 140 % du PIB annuel ». Il met également en garde les rêveurs qui croient à une annulation de la dette publique car ce serait catastrophique pour les épargnants, ainsi que sur les limites de la monétisation par la BCE, et rappelle qu’« une dette doit être remboursée ». Moscovici est également très inquiet sur la soutenabilité de la dette sociale française : il faudra aussi rembourser les déficits sociaux de 50 milliards d’euros à l’horizon 2025, non pris en compte actuellement dans la dette publique. Selon la Banque de France, l’hôtellerie, la restauration et les transports sont les secteurs les plus touchés. L’INSEE table, désormais, sur une croissance nulle au quatrième trimestre 2020, contre une hausse de 1 % dans une précédente estimation.

Les gouvernements n’ont plus le choix qu’entre l’effondrement immédiat ou continuer le petit jeu de l’endettement public, avec toujours plus de création de fausse monnaie jusqu’à l’explosion finale du Système, avec écroulement des monnaies et envol à la verticale du prix de l’or comme seule réserve de valeur monétaire dans le monde.

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17:46 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

OCCUPATION DU CHANTIER DE LA MOSQUEE DE POITIERS : VICTOIRE DES IDENTITAIRES

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Un communiqué du MNR :

Le 20 octobre 2012, 73 jeunes identitaires, montés sur le toit de la mosquée de Poitiers, avaient déployé des banderoles rappelant la victoire décisive de Charles Martel sur les envahisseurs arabes près de cette ville en 732.

Dans la semaine qui avait suivi cette action NON VIOLENTE, plusieurs organisations et partis avaient demandé la dissolution de Génération Identitaire. Le ministre de l'intérieur Manuel Valls avait déclaré : « la dissolution de ce groupe est étudiée ».

En première instance, 40 000 euros avaient été réclamés aux cinq jeunes identitaires inculpés pour cette action, ainsi qu'une peine de prison avec sursis et l'interdiction d'exercice de leurs droits civiques et familiaux pendant cinq ans ! Fin 2017, le tribunal correctionnel de Poitiers les avait condamnés à un an de prison avec sursis.

Mais, le 19 juin 2020, la cour d'appel a infirmé ce jugement, qui annonce donc la DÉFAITE TOTALE DES ISLAMISTES DE POITIERS.

Avec tous les vrais patriotes, nous nous réjouissons de cette victoire sur les islamistes. Et nous félicitons Génération Identitaire pour ses courageuses actions pour la France, qui devraient être une inspiration pour tous nos responsables politiques et élus locaux.

10:58 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Charles Prats, auteur d'un livre sur la fraude sociale, invité de Bistro Libertés

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10:29 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réunions d'Yvan Benedetti dans le Sud-Ouest

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10:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 10 octobre 2020

RAPPEL : le Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale des 10 et 11 octobre est reporté

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Lire les raisons cliquez ici

Roland Hélie sur EuroLibertés cliquez là

Lettre explicative

10:28 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ces défenseurs du bien-être animal qui défendent leurs intérêts financiers…

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Nicolas Gauthier

En finir avec l’élevage intensif et les mauvais traitements infligés à nos amies les bêtes ? On a connu idée plus saugrenue. D’ailleurs, Cédric Villani (député ex-macroniste) et Matthieu Orphelin (député écologiste) ne pensent pas forcément à mal avec leur proposition de loi relative au « bien-être animal ». Mais ils ont juste négligé ce petit détail : éleveur, c’est un métier.

Ainsi est-il question d’interdire de confiner les animaux dans des cages, hangars, boxes et autres stalles. Sans surprise, du côté de la FNSEA, syndicat ayant plutôt tendance à prôner agriculture et élevage intensifs, ça freine des quatre fers : « À la lecture de leur texte, nous leur avons fait part de leur grande incompétence par rapport à l’ensemble des mesures qu’ils proposent pour l’élevage », affirme le vice-président Étienne Gangneron, cité par Le Figaro du 8 octobre dernier.

Et de poursuivre : « L’interdiction de mettre des animaux en box ou en stalle signe la fin des élevages de chevaux, des élevages de vaches en montagne et même en plaine. L’hiver, toutes les bêtes préfèrent être à l’abri plutôt que dehors, dans la boue ou la neige. » Il aurait peut-être fallu y songer avant. Un métier, on vous dit…

Du côté de la Confédération paysanne, rendue célèbre par José Bové, même son de cloche avec Nicolas Girod, son porte-parole : « Nous avons décidé de ne pas soutenir cette proposition de loi. Ces initiatives ne s’attaquent pas aux causes profondes de la maltraitance animale, qui ne se trouvent pas dans l’élevage, mais dans son industrialisation et sa dépendance au toujours plus. » Bien vu.

À propos de « bien-être animal », il y a encore ce référendum d’initiative partagée dont on commence à parler de plus en plus ; et c’est là que ça se complique, ou s’éclaire, c’est selon. En tête de gondole, Hugo Clément, journaliste de France Télévisions, qui se prétend « transcitoyen », ce qui ne mange pas de pain.

Quant à l’argumentaire, il est aimablement fourni par l’association L214, dont les vidéos volées et consacrées à la maltraitance des animaux dans les abattoirs tournent régulièrement en boucle sur Internet. L214, ce sont 70 salariés, contre seulement 15 en 2015, et des subventions comme s’il en pleuvait. À titre d’exemple, celles versées (1,14 million d’euros en 2017) par l’Open Philanthropy Project, puissante fondation américaine qui finance de nombreuses associations à vocation plus ou moins écologique (857 millions de dollars distribués en 2019).

Mais L214 bénéficie encore de l’aide de sponsors français tout aussi puissants : Xaviel Niel (Free), Marc Simoncini (Meetic) et Jacques-Antoine Granjon (Ventes privées), trois patrons emblématiques de l’économie numérique. A-t-on affaire à des philanthropes désintéressés ? Rien n’est moins sûr. Xavier Niel : « Il y a quelques années, je n’étais pas sensible à la cause animale. En voyant les vidéos de L214, j’ai eu un déclic. »

Au-delà de cette anecdote édifiante, le véritable déclic a vraisemblablement surtout consisté en ces potentiels et mirobolants retours sur investissement dans la recherche sur la viande de synthèse, nouveau filon des biotechnologies dans lequel Jeff Bezos (Amazon) et Bill Gates (Microsoft) ont déjà placé des milliards de dollars.

Méchant procès d’intention ? Non, à en croire L’ADN Tendances, magazine professionnel qui nous apprend, le 3 juillet dernier : « Kima Ventures, le fonds d’investissement de Xavier Niel, soutient déjà la start-up 77 foods, qui fabrique du bacon à base de plantes. »

Voilà qui n’a pas échappé à cet éleveur de vaches, cité par Le Figaro : « Parmi les instigateurs du référendum d’initiative partagée se trouvent des investisseurs et des associations qui, derrière la question du “bien-être animal”, défendent leurs intérêts particuliers. »

Ou de l’art de nous prendre pour des andouilles, fût-ce de synthèse.

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

10:27 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 09 octobre 2020

Manifestations le samedi 10 octobre partout en France, près de chez vous !

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Guerre en Syrie, escalade dans le Haut-Karabakh, Covid-19 : interview exclusive de Bachar el-Assad

Dans un entretien exclusif, Bachar el-Assad s’exprime sur la situation actuelle en Syrie, affirmant que la guerre dans le pays n'est pas encore finie. En outre, il désigne Recep Tayyip Erdogan comme le principal initiateur de la nouvelle escalade dans le Haut-Karabakh. Il aborde de même la question des relations avec les États-Unis, la nomination de Donald Trump au prix Nobel et annonce qu'il voudrait se faire vacciner contre le Covid-19 avec le vaccin Spoutnik V russe.

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Source : Sputnik

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Les députés votent en 1ere lecture l’extension du crime de l’avortement de 12 à 14 semaines

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Hier, les députés ont examiné la proposition de loi visant à étendre l’avortement de 12 à 14 semaines, avant de s’intéresser aux conditions de vie des animaux… Rapprochement symptomatique de la folie de nos contemporains.

 

La proposition de loi a été adoptée par 102 voix contre 65 (et 11 abstentions). Le détail des votes est ici.

Parmi les députés qui ont pris la parole à la tribune pour s’opposer à cette loi, on peut noter les députés Ménard, Breton (LR), Bazin (LR), Hetzel (LR), Six (UDI), Thill (UDI) et Meizonnet (RN).

Les Républicains ont 104 députés. 37 députés ont participé au vote :

34 ont voté contre

3 ont voté pour : Valérie Bazin-Malgras, Maxime Minot et Laurence Trastour-Isnart

67 sont portés disparus.

Cette proposition de loi doit maintenant être examinée par le Sénat. A moins de terminer dans les poubelles de l’Assemblée.

Source : Le Salon Beige

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Les services de renseignement allemands persécutent les nationalistes et leurs structures, tant politiques qu’intellectuelles

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Lionel Baland cliquez ici

L’Office fédéral de protection de la Constitution (Bundesamt für Verfassungsschutz – BfV) est un service allemand de renseignement actif dans toute l’Allemagne, avec pour mission essentielle de surveiller les activités contraires à la Constitution. Chacun des seize États allemands dispose également de son propre Office de protection de la Constitution, qui lui est inféodé. Les structures nationalistes, tant politiques qu’intellectuelles, subissent les pressions et attaques de cette organisation.

Persécutions contre l’AfD 

Le parti politique patriotique allemand Alternative pour l’Allemagne (AfD) est soumis aux pressions de l’Office fédéral de protection de la Constitution.

Ainsi, en 2019, l’aile nationale de l’AfD est-elle considérée par l’Office de protection de la Constitution comme « cas suspect », au même titre que l’organisation de jeunesse du parti Junge Alternative (JA).

Au début de l’année 2020, il apparaît que cette organisation espionne, depuis peu de temps, en utilisant des méthodes de services secrets, trois responsables de l’AfD : le dirigeant de l’AfD de Thuringe Björn Höcke, le dirigeant de l’AfD du Brandebourg Andreas Kalbitz et le député au sein du Parlement de Saxe-Anhalt Hans-Thomas Tillschneider. Tous les trois sont membres de l’aile nationaliste du parti. Il est même annoncé, dans la presse du système, que d’autres responsables politiques de cette aile devraient être, dans le futur, eux-aussi, surveillés.

Les fonctionnaires de l’Office fédéral de protection de la Constitution, ainsi que ceux des autorités de l’Office de protection de la Constitution des États allemands concernés [donc : Thuringe, Brandebourg, Saxe-Anhalt], établissent un dossier et collectent du matériel contre les trois personnes concernées à propos de leurs activités extra-parlementaires. Donc les conversations téléphoniques et les courriels privés et intimes de ces personnes sont archivés.

L’aile nationaliste de l’AfD est placée sous observation par l’Office de protection de la Constitution en mars 2020. L’organisme considère que Björn Höcke (Thuringe) et Andreas Kalbitz (Brandebourg) sont d’« extrême droite ». Les autorités estiment que cette aile compte 7 000 membres. En conséquence, la direction de l’AfD demande l’auto-dissolution de son aile nationaliste et l’obtient.

À la mi-mai 2020, la direction fédérale de l’AfD exclut du parti le chef de l’AfD du Brandebourg et chef du groupe des élus de l’AfD du Brandebourg Andreas Kalbitz, qui peut être considéré comme le numéro 2 de l’aile nationaliste auto-dissoute de l’AfD, derrière Björn Höcke, par 7 voix contre 5, pour ne pas avoir déclaré son appartenance dans sa jeunesse à l’organisation nationaliste radicale Heimattreuen Deutschen Jugend (HDJ) ainsi que son adhésion, entre la fin 1993 et le début 1994, au parti politique patriotique die Republikaner (Les Républicains). Kalbitz avait écrit au sein d’un document de cinq pages, réalisé sous la pression de la direction du parti, avoir possiblement et probablement visité un rassemblement du HDJ, qui entretemps a été introduit sur la liste des incompatibilités de l’AfD. Selon un rapport de l’Office de protection de la Constitution, un numéro lié à la « Famille Andreas Kalbitz » figure dans le dossier du HDJ.

En mai 2020, le co-dirigeant de l’AfD Tino Chrupalla compare l’Office de protection de la Constitution à la Stasi, la police politique de l’ancienne Allemagne de l’Est communiste.

En juin 2020, l’AfD du Brandebourg devient, pour l’Office de protection de la Constitution, un objet d’observation, après qu’un long examen a conduit à estimer que les conditions pour que cette mesure soit décrétée sont remplies. L’Office de protection de la Constitution peut désormais utiliser des écoutes ou des espions afin de confirmer l’« extrémisme de droite » de l’AfD du Brandebourg.

Fin août 2020, le dirigeant de l’Office fédéral de protection de la Constitution Thomas Haldenwang confirme officiellement que l’ancien dirigeant du groupe des élus de l’AfD au sein du Parlement de Brandebourg Andreas Kalbitz figure sur une liste de membres de l’organisation radicale interdite depuis lors Heimattreuen Deutschen Jugend (HDJ), alors que l’appartenance supposée de Kalbitz à la HDJ était le principal élément qui avait conduit l’AfD à exclure Kalbitz de ses rangs.

Source Breizh-info cliquez là

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jeudi, 08 octobre 2020

Un message d'Hervé Ryssen en prison depuis trois semaines

 

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Chers amis,
 
Je reçois bien toutes vos lettres, tout votre courrier, toutes vos prières, et je sais qu’ici, d’autres prisonniers subissent sans doute une détresse plus grande que la mienne. Je vous en remercie du fond du cœur car je ne vous cache pas que l’on passe ici parfois par des moments difficiles.
 
J’ignorais jusqu’à présent le pouvoir de la prière... à ma grande honte. Il m’aura fallu attendre 53 ans et une incarcération pour comprendre le message d’amour porté par le christianisme. J’ignore si ce sentiment perdurera en moi. Je ne suis même pas certain que l’on puisse parler de foi religieuse. Tout ce que je sais est que cette solitude qui m’est imposée depuis maintenant deux semaines et les conditions que l’on me fait subir ici m’ont remué l’âme.
 
Toutes vos lettres m’ont été d’un grand secours. Elles ont aussi visiblement intrigué l’administration pénitentiaire qui, à mon arrivée, ignorait tout des causes de mon incarcération, résumées en un lapidaire chef d’inculpation : « Injure, provocation, haine, etc. » ; tant et si bien qu’ils ont jugé préférable de me placer à l’isolement ; c’est-à-dire qu’on est seul en cellule, au lieu d’être à deux, et à un étage séparé d’un bâtiment.
 
La prison de Fleury-Mérogis, qui est la plus grande d’Europe, a libéré des centaines de détenus au mois de mars, du fait de la crise sanitaire. Il y a donc de la place pour les dissidents.
 
Si la solitude carcérale peut être propice à certains déplacements tectoniques dans l’âme humaine, je ne la conseillerais pourtant pas à certains qui, parmi vous, peut-être, pourraient être tentés par cette expérience. Il faut en effet savoir que les prisons françaises abritent 80 % d’étrangers ; la chose est connue. Mais pour avoir observé les cours de « promenade », où des groupes de 70-80 détenus viennent se dégourdir les jambes, je puis vous dire que la proportion d’Européens ne dépasse ici jamais les 5 % ; et l’on est même souvent plus proche des 2 ou 3 %.
 
Tous ces prisonniers expriment évidemment bruyamment leur désir de se faire entendre et hurlent à n’en plus finir à la fenêtre en conversations croisées – quand ils ne mettent pas leur musique exotique pour réjouir toute la société. Vous comprenez ainsi aisément qu’un intellectuel patriote sensible des oreilles ne puisse pas consacrer autant de temps qu’il le souhaiterait à la lecture ou à l’écriture. J’essaie néanmoins de répondre à vos lettres, autant que faire se peut. J’espère que vous me pardonnerez si je ne suis pas parvenu au bout de cette correspondance à la fin de mon séjour.
 
Je remercie encore une fois tous les sympathisants et les personnalités de la cause nationale qui œuvrent à la défense de la liberté d’expression.
 
N’envoyez pas d’argent, pas de chèque, pas de mandat, pas de virement : rien. Faites un don à toutes les organisations patriotes dont les responsables se sont manifestés sans restriction. Sans omettre les personnalités avec qui nous avons pu autrefois avoir quelques différends et qui ont exprimé leur sympathie.
 
Je n’ai besoin de rien ici mais je serai heureux de vous savoir avec moi le 2 décembre prochain, à la 17e chambre du tribunal de Paris.
 
Que Dieu vous garde.
 
Hervé Ryssen

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A propos de la détention d'Hervé Ryssen cliquez ici

Réaction de Synthèse nationale cliquez là

23:54 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 10 octobre, dans toute la France, mobilisation contre la PMA et la GPA

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Communiqué du Parti de la France

Le Parti de la France soutient la manifestation décentralisée dans les grandes villes de France organisée ce samedi 10 octobre par la Manif pour Tous contre la loi bioéthique de Macron. Nous invitons nos adhérents et sympathisants à y participer.

Le PdF regrette en revanche que l'immense majorité des militants MPT n'ait pas encore fait le choix du combat politique en même temps que de celui pour les valeurs. L'Histoire et l'expérience montrent en effet que sans engagement partisan les meilleures intentions restent lettres mortes.

23:51 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Pour ne plus envoyer nos policiers au suicide...

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Les très graves blessures infligées avec leurs propres armes de service à deux policier à Herblay dans le Val-d'Oise témoignent de la désespérante faiblesse de nos forces de l'ordre face à la délinquance et l'ensauvagement. Elles sont les victimes directes des ordres criminels de modération donnés par le pouvoir qui leur interdit de mener à bien leurs missions et les mettent en situation de totale vulnérabilité.
 
Placer les policiers en première ligne face à la racaille en les menaçant dans cesse des plus graves sanctions en cas de "bavure", c'est les condamner à l'impuissance ou à la mort. Il faut réviser l'article L.435-1 du code de la sécurité en introduisant pour les policiers et gendarmes  la notion élargie de légitime défense et en leur permettant d'user de leurs armes à feu bien au delà des modalités très restrictives aujourd'hui permises par la loi.

16:44 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les gérants de la Librairie Les Deux Cités (Nancy) dénoncent des groupuscules « qui n’acceptent ni la diversité, ni le débat d’idée, ni la liberté d’expression et d’opinion »

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Source Breizh-info.com cliquez ici

Nous relations hier les menaces, les tags visant la Librairie Les Deux Cités, qui vient d’ouvrir à Nancy. La municipalité n’a pas dénoncé clairement les agissements des « antifas » qui s’attaquent à la liberté d’entreprendre. De notre côté, nous nous sommes entretenus avec les gérants, qui n’entendent pas baisser la tête, bien au contraire.

Breizh-info.com : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?

Nous sommes deux associés, Sylvain Durain et Alexis Forget, qui se sont retrouvés en février dernier autour de ce projet de création de librairie, à Nancy. Passionnés l’un et l’autre par les livres en tant qu’ils contribuent à l’élévation intellectuelle de ses lecteurs, nous avons souhaité cette librairie portée par la thématique du conservatisme et de l’enracinement.
 
Breizh-info.com : Parlez nous de l’ouverture, mouvementée, de votre librairie ?

Trois semaines avant l’ouverture nous subissions déjà des attaques virtuelles qui se sont transformées en attaques réelles contre notre vitrine et toute une campagne de diffamation et insultes à travers la ville par le biais d’affiches. Cependant, nous pouvons les remercier car cela nous a fait une publicité exceptionnelle, et a décrédibilisé ces mouvements encore davantage.

Breizh-info.com : Au delà de la surmédiatisation liée aux attaques de l’extrême gauche, avez vous rencontré du succès ? Quelle littérature entendez-vous diffuser au sein de la librairie ?

Ce succès médiatique a effectivement été concrétisé par la venue d’une clientèle nombreuse, cela ne désemplie pas depuis notre ouverture ! Nous diffusons trois gammes philosophie-religion, Sciences-politiques histoire, régionalisme.

Breizh-info.com : Comment expliquez-vous les agissements d’individus qui entendent s’en prendre à des livres. Comportements étranges non ?

Pas si étrange quand on connait l’état d’esprit de ces groupuscules extrémistes et hystériques qui n’acceptent ni la diversité, ni le débat d’idée, ni la liberté d’expression et d’opinion.

Breizh-info.com : Comptez vous vous spécialiser dans le régionalisme lorrain notamment ? Quelle littérature vat-on trouver dans ce domaine ?

Nous avons une belle gamme de livres dans ce domaine, neufs et d’occasion, histoire de la lorraine, personnages, légendes, tradition, il y en aura vraiment pour tous les goûts. Nous promouvons également des auteurs lorrains comme Laurent Schang ou encore Stanislas Berton.

Pour soutenir la librairie Les Deux Cités, vous pouvez leur envoyer un message ici, ou mieux encore, y aller faire vos achats littéraires,

Propos recueillis par YV

La Librairie Les Deux Cités 6 Grande Rue 54000 Nancy (ouverte à partir de 10 h)

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mercredi, 07 octobre 2020

"Corona Scandale": Crime contre l'Humanité selon Me Fuellmich

Ema Krusi

CRIME CONTRE L’HUMANITÉ

Me Reiner Fuellmich (barreaux de Californie et Allemagne), prend la parole le 3 octobre 2020 pour annoncer une alliance internationale d’avocat prête à attaquer les responsables de ce qu’il appelle le « coronascandale ». Cette plainte sera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps. Ce réseau d’avocat va poursuivre pénalement les responsables de cette gestion de crise et demander des comptes à ceux qui ont « trompé ou tenté de nous manipuler avec des programmes corrompus ».

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Trump prépare la fin de l'épidémie

Alexis Cossette

L'épidémie tire à sa fin selon Trump.  Cependant, plusieurs gouvernement modifient les critères d'évaluation de l'épidémie afin de maintenir un climat anxiogène. 

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18:57 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Avec l'accord de la France, le Mali céde aux islamistes

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Entre 100 et 250 djihadistes viennent d'être remis en liberté par les autorités maliennes.
 
En échange de ces libérations, la junte militaire qui a pris le pouvoir à Bamako espère obtenir celles de Soumaïla Cissé, politicien enlevé par les islamistes et, accessoirement pour les nouveaux maîtres du Mali, de Sophie Pétronin, otage française détenue depuis 2016 par un groupe armé proche d'Al-Quaïda.
 
Contrairement à celui de monsieur Cissé qui ne nous concerne en rien, nous ne saurions être indifférents au sort de notre compatriote  même si nous regrettons que son sens de la compassion l'ai menée à se pencher sur la condition des démunis de Gao plutôt que sur la détresse des Français miséreux.
 
Pour autant, rien, jamais, sous aucune condition, ne peut justifier que des négociations soient entamées avec des terroristes. Rien ! Pas même la vie d'un otage. 
 
On ne discute pas avec les djihadistes, on n'entame pas avec eux des pourparlers, on ne cède pas à leur chantage. On  les extermine. Et dans une guerre, on ne les enferme pas. On les exécute. 
 
Dans ces conditions, la libération des tueurs islamistes emprisonnés au Mali qui n'a pu se faire sans le feu vert de Paris, est non seulement une faute politique et une lâcheté. Elle est une insulte à tous nos soldats tués au Sahel.

 

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Cercle Pol Vandromme: Jean-Yves Gallou à Bruxelles

Pour leur première conférence de la rentrée, Le Cercle Pol Vandromme recevait Claude Chollet qui interviewait Jean-Yves Gallou au sujet de l'institut Illiade.

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mardi, 06 octobre 2020

REVUE DE PRESSE Bruno Mégret interrogé par Le Point : « Le RN est touché par la dégradation du niveau de la classe politique

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Source Le Point cliquez ici

ENTRETIEN. L'ex-numéro 2 du Front national estime que Marine Le Pen ne propose plus d'idées nouvelles et capitalise sur les fondamentaux du parti.

Propos recueillis par Florent Barraco et Emmanuel Durget

Il fut le premier à promouvoir la dédiabolisation. Sa stratégie de respectabilité du Front national (devenu Rassemblement national) s'est fracassé un jour de décembre 1998 où Jean-Marie Le Pen, soucieux de garder la main sur son parti, a écarté le jeune ambitieux. Bruno Mégret a raté sa scission – que le père Le Pen appela un « pu-putsch » pour mieux se moquer – et il ne put jamais rivaliser avec le fondateur. Vingt-deux ans plus tard, le père a passé le relais à sa fille et le parti d'extrême droite apparaît comme le premier parti d'opposition. Cependant, depuis quelques mois, le Rassemblement national et sa présidente, Marine Le Pen, semblent en retrait, presque anesthésiés par la crise sanitaire et économique. Normal, répond l'ex-numéro 2 du Front, car Marine Le Pen est devenue, selon lui, une femme politique comme les autres. Entretien.

Le Point : Cet été, l'insécurité est revenue au cœur de l'actualité. Pourtant, on a l'impression que Marine Le Pen peine à concrétiser sur ses thèmes forts. Qu'est-ce qui cloche au Rassemblement national ?

Bruno Mégret : C'est vrai, le Rassemblement national ne parvient pas à exister sur la scène politique. Il y a à cela une raison fondamentale : ses représentants tiennent, de façon certes plus énergique, le même discours que la classe politique, alors qu'ils devraient porter une vision radicalement différente pour incarner l'alternative au système en place. Aujourd'hui, les Français n'ont plus la moindre confiance dans les politiques qu'ils savent impuissants à résoudre leurs problèmes et, de ce point de vue, Marine Le Pen n'est pas différente de ses concurrents, car elle ne porte aucun projet qui rendrait sa puissance au politique. Rendre du pouvoir au pouvoir, là est le nœud du succès.

La dédiabolisation du parti ne l'a-t-elle pas banalisée ?

J'ai toujours préconisé la dédiabolisation, mais pour moi elle consistait à en finir avec les provocations sulfureuses et les dérapages verbaux. Car, au-delà, il faut tenir le discours de la rupture avec le système. Sur l'immigration par exemple, ce n'est pas clairement le cas. Pourtant, comme nous l'avions annoncé, ce phénomène est aujourd'hui source de difficultés majeures que personne ne nie plus. Le RN devrait donc proposer une mesure simple et radicale : stopper toute nouvelle immigration pendant dix ans. Et ceci en faisant voter une loi d'exception qui suspende l'ensemble des dispositions permettant l'arrivée de migrants : regroupement familial, droit d'asile, etc. Ce serait une démarche non pas idéologique, mais pragmatique. Quand votre maison est inondée, vous commencez par bloquer l'arrivée d'eau avant de réparer les dégâts.

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Conférence Mgr Najeeb - Mercredi 7 octobre à Bruxelles avec SOS Chrétiens d'Orient en Belgique

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Monseigneur Najeeb, archevêque de Mossoul pour les chaldéens donnera son extraordinaire témoignage. 

Toutes les informations se trouvent : ICI

Rendez-vous donc mercredi 7 octobre à 20h à l’église de l’Annonciation d’Ixelles, les places étant limitées, nous vous recommandons de vous inscrire. 

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