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mardi, 06 octobre 2020

la Vérité vous rendra libre. Samedi 17 octobre, près de Lyon, avec Bruno Gollnisch

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Rencontre locale du Pays Réel dans la région de Lyon le samedi 17 octobre de 9h30 à 17h30.

L'adresse sera indiquée ultérieurement aux incsrits.

Réservez ICI sans tarder !

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Découvrez les premières minutes du portrait Faits & Documents de Jacques Attali en vidéo

Qui est vraiment Jacques Attali ? Quel est son rôle exact ? Quelle est sa place dans la superstructure de domination mondiale ? Jusqu’où va-t-il descendre la France ? Afin de répondre à ces questions primordiales, l’indispensable revue d’investigation Faits & Documents, ERTV et Kontre Kulture se sont associés pour réaliser le portrait non autorisé de cet inamovible conseiller du Prince, à la fois prophète du mondialisme et apôtre du Nouvel Ordre mondial.

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Source:  E&R

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lundi, 05 octobre 2020

Hommage de la Russie aux soldats français de Napoléon III tombés en Crimée.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Magnifique geste d'amitié de la Russie qui, au cours d'une cérémonie religieuse et militaire à Sébastopol, a rendu les honneurs à 150 de nos soldats tombés pendant la guerre de Crimée, inhumés désormais dans la nécropole où reposent déjà 23 000 de leurs camarades parmi les 90 000 morts français de ce conflit.
 
Hymne russe, Marseillaise, drapeaux tricolores et drapeaux russes, cosaques de Crimée, prières orthodoxes et catholiques... Rien ne manquait a ce beau salut rendu, dans le respect de ceux qui se combattirent selon les lois de la guerre mais savent qu'ils appartiennent à une même civilisation. Hommage d'un grand peuple à ceux qui furent des adversaires d'un temps.
 
Rien ne manquait... Sauf la France. La République, figée dans son refus du retour de la péninsule de Crimée à sa patrie de toujours, avait refusé d'envoyer des représentants officiels.
 
Honneur et force d'un côté. Lâcheté et soumission de l'autre.

22:14 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Martine Wonner à l’Assemblée contre la politique sanitaire aberrante

l'Assemblée Nationale quasi déserte a voté la prolongation de l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 1er avril. Seuls 17 députés s'y sont opposés.  Ecoutons 3 minutes Martine Wonner.

Martine Wonner a été élue député LREM en 2017 dans le Bas-Rhin. Elle a été exclue du mouvement présidentiel en mai 2020.  Elle parle avec courage et lucidité de la politique sanitaire française.

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QUE VOILÀ DONC DU BEAU MONDE

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Pierre Vial

Selon Le Point, une jeune femme accuse un collaborateur d’Anne Souyris, adjointe d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris et élue écolo (EELV) chargée de la santé publique, des relations avec l’AP-HP (hôpitaux), de la santé environnementale et de la réduction des risques, de l’avoir violée dans son bureau de l’hôtel de ville. Une plainte a été déposée et le parquet a confirmé l’ouverture d’une enquête pour viol le 1er octobre. La plaignante est intermittente du spectacle et militante écolo.

Cette affaire rappelle la démission de deux adjoints d’Anne Hidalgo, Christophe Girard, accusé d’abus sexuels et très lié avec Gabriel Matzneff, et Pierre Aidenbaum, accusé de harcèlement sexuel par une de ses collaboratrices. Il y a eu aussi l’affaire de l’ex-député écolo Denis Baupin, un pilier de l’équipe Delanoë quand celui-ci était maire de Paris.

Quant à Alice Coffin, élue écolo du 12e arrondissement de Paris, elle publie chez Grasset Le génie lesbien.

Sans commentaire…

Terre et peuple cliquez là

 

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NOUVELLE CALEDONIE : JAMAIS DEUX SANS TROIS !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat 

Pour la deuxième fois, suite aux accords de Matignon qui le prévoyaient, l’électeur néo-calédonien s’est rendu aux urnes pour se prononcer, OUI ou NON, sur l’indépendance de l’archipel. Sans surprise, le NON l’a emporté, réduisant toutefois son avance par rapport  au  référendum précédent de novembre 2018. Quels enseignements pouvons-nous tirer de ce scrutin qui a déplacé, tout de même, un nombre record d’électeurs,  preuve que la question ne laisse personne indifférent et que, cette fois-ci, le camp indépendantiste a su mieux se mobiliser.

Les accords de Nouméa et de Matignon, ou l’indépendance à marche forcée

On se souvient que suite aux tragiques évènements qui avaient ensanglanté les îles, voir l’épisode de la grotte d’Ouvéa, le gouvernement français avait cherché à apaiser la situation en convoquant en 1988, tous les protagonistes autour de la table. Exercice répété en 1998 sous l’égide de Lionel Jospin, alors premier ministre socialiste. Il ressortait de ces négociations un nouveau statut décentralisé pour la Nouvelle Calédonie, et la promesse de référendum successifs pour peu qu’un tiers des membres du Congrès, l’assemblée territoriale, le demande.

L’indépendance rejetée une première fois ? Qu’à cela ne tienne, rien n’étant trop beau pour le camp séparatiste incarné par le Front de libération national kanak (FLNKS), on a donc revoté dimanche 4 octobre 2020. Mais le NON, une fois de plus, - une fois de trop pour certains beaux esprits « décolonialistes » -, l’a emporté par 53,3 % des suffrages. Il y a tout de même 46,6 % d’électeurs qui veulent quitter la France. Et si le OUI augmente son score par rapport au dernier scrutin, il est vrai aussi, que le nombre de votants a augmenté, passant de 174 000 à 180 640, avec un écart de voix entre les deux choix, se réduisant de 18 000 à 10 446 exprimés.

Qu’en sera-t-il lors de la troisième consultation ? La majorité des Canaques, mais pas seulement, obtiendra-t-elle, cette fois, satisfaction ? À croire que l’on fait revoter  les gens, sans cesse, jusqu’à ce que le résultat espéré sorte du chapeau ! On a déjà vu cela, en Irlande notamment.

Un front de résistance au OUI

M. Santanon, président du gouvernement local, - car, oui, la Nouvelle-Calédonie jouit d’un statut d’autonomie interne -, accompagné de la représentante  des « Loyalistes », Sonia Backès, et de la tête de liste « Calédonie Ensemble » Philippe Michel, essaye avec ses partenaires, de présenter un front commun hostile à l’indépendance, tout en proposant des réformes. Quelles sont-elles ? Une augmentation des compétences en matière d’éducation, de protection de l’environnement, et de relations extérieures, permettant aux îles de participer à la coopération intergouvernementale dans le Pacifique, en association, bien sûr, avec l’État français. Le chef du gouvernement local propose aussi une réforme des institutions, permettant de débloquer la gouvernance de l’archipel, car pas moins de sept partis politiques sont représentés au conseil exécutif, se répartissant les 11 postes « ministériels » !

Une autre question devra être également être soulevée avant le troisième référendum, - qui pourrait avoir lieu dans deux ans -, c’est la composition du corps électoral, dont certains citoyens, qui votent aux élections nationales, sont écartés lors des scrutins locaux, étant des résidents de trop fraiche date. Faut-il être un descendant de bagnard, ou d’un « peuple premier », comme aurait dit Chirac, pour pouvoir voter ? Il y a, outre les « Caldoches », de nombreux Indonésiens et Wallisiens installés là depuis des lustres. On le voit, il y a du pain sur la planche pour les négociateurs. Emmanuel Macron, dans son discours télévisé, a pris acte des résultats, encourageant les partenaires à négocier, et se félicitant, tout  de même,  de l’excellente tenue de cette « votation ». C’était le service minimum. Pas d’appel solennel, ni dans un sens, ni dans l’autre.

Le plus dur reste à faire

Il faut que les protagonistes s’engagent, tout d’abord, à respecter les résultats de cette future consultation. Mais nous avons vu qu’il y a des préalables. Et il  est à craindre qu’aucun des deux camps n’accepte la victoire de l’autre, ce qui signifierait sa propre perte. Irons-nous alors, vers une partition de fait, la province des îles et celle du Nord, choisissant le grand large et la rupture avec la France, et celle du Sud le maintien dans la République ? Difficile de croire que l’État français puisse accepter ce démantèlement. Séparatisme difficile à acter sur le terrain d’ailleurs, tant les résultats de l’actuel référendum ne recoupent pas forcément le découpage des trois provinces. Si les îles sont massivement en faveur du OUI avec 82,2 %, comme la province du  Nord avec 75,8 %, celle du Sud, avec la ville-capitale de Nouméa, est contre par 74,1 %, bien que le OUI y progresse, avec 25,9 % par rapport à 2018.

Des violences sont-elles à craindre, à nouveau ? Il n’y a qu’une alternative à d’éventuels violents affrontements, c’est une solution « mi-chèvre/mi-choux », à laquelle pourraient se rallier et les indépendantistes, et les loyalistes, à défaut d’un très net écart de voix entre les deux camps : la libre association. C’est un statut intermédiaire entre l’indépendance et l’intégration.

C’est celui  justement  des iles Cook et Tokelau, dans le Pacifique, par rapport à la Nouvelle-Zélande, de Porto-Rico dans les Caraïbes par rapport aux États-Unis, ou des Antilles néerlandaises : la libre association. La France ne peut pas abandonner ses fils et, surtout, une position géostratégique lui donnant, avec la Polynésie française et les îles Wallis et Futuna, plus qu’un balcon sur l’océan Pacifique, cette « Méditerranée du troisième millénaire ».

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Bergoglio, agent de la contre-civilisation.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
L'imprégnation marxiste des murs du Vatican est ancienne et la pestilence des "fumées de Satan" n'a, certes pas, commencé à empoisonner le Saint-Siège en 2013 avec l'élection de Jorge Bergoglio. 
 
Depuis sept ans pourtant, la violence des attaques portées par ce dernier contre les éléments vitaux de l'édifice catholique, les principes et les valeurs qui encadrent la foi chrétienne et lui permettent de se perpétuer a été décuplée. 
 
Aujourd'hui, sans autre masque que celui d'un évêque de Rome faisant office de Pape, le mal se propage par la voix sombre, l'esprit ténébreux et l'action obscure d'un homme qui entend faire de l'Eglise le véhicule politique des forces du bouleversement.
 
Avec l'encyclique "Fratelli Tutti" "Tous frères", François accentue son offensive contre la Tradition, l'ordre naturel et les socles millénaires de la civilisation.
 
Offensive contre les piliers de force de la morale chrétienne et contre les institutions spirituelles et laïques qui nous sont des armatures de vie... Offensive contre les opposants à l'œuvre de déconstruction générale en cours... Offensive contre les mouvements populaires de résistances occidentales.
 
Jamais Bergoglio ne sera aller aussi loin dans sa condamnation des principes nationaux sur lesquels repose tant bien que mal l'ordre civilisationnel. L'objet de ce texte est clair. Il est direct. Il a, dans l'esprit de François, valeur impérative. Il s'agit d'organiser la décomposition européenne par la submersion migratoire et l'avènement d'une nouvelle ère universelle.
 
Pour lui, "les limites et les frontières des États ne peuvent pas s’opposer à l’arrivée d’un migrant car il n’est pas un usurpateur. Personne ne peut être exclu, peu importe où il soit né puisque chaque pays est également celui de l’étranger. Il est donc important d’appliquer aux migrants arrivés depuis quelque temps et intégrés à la société le concept de citoyenneté et de renoncer à l’usage discriminatoire du terme minorités. Les migrants, si on les aide à s’intégrer, sont une bénédiction, une richesse, un don qui invitent une société à grandir".
 
Ainsi parle François, Pape du tohu-bohu.
 
Les catholiques encore loyaux à l'égard de la  Rome inversée qui règne en partie depuis Vatican II n'ont plus d'autres choix que d'entrer en résistance et de refuser de devenir les instruments de la fin de l'Occident. Faute de quoi, ils ne seront plus catholiques.

18:29 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 04 octobre 2020

Vive le modèle amish !

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Georges Feltin-Tracol

Le 14 septembre dernier, face à des entrepreneurs de l’économie numérique invités à l’Élysée, le VRP de la Start up nation, Emmanuel Macron, a réagi à une tribune co-signée par des élus de gauche et Verts hostiles à la 5G. Il a doctement expliqué qu’on ne peut pas « relever la complexité des problèmes économiques en revenant à la lampe à huile ». Il a même ajouté ne pas croire « que le modèle amish permette de régler les défis de l’écologie contemporaine ». Cette attaque honteuse témoigne de l’arrogance, du mépris et de l’ignorance de son auteur envers une minorité chrétienne d’origine protestante révélée en 1985 dans le film policier étatsunien de Peter Weir, Witness (Témoin sous surveillance), avec Harrison Ford et Kelly McGillis.

Les Amish proviennent d’une dissidence de l’anabaptisme et des mennonites survenue en 1693 à Sainte-Marie-aux-Mines à l’initiative de Jakob Amman (1645 – 1730). Ce prédicateur attire vers lui des réformés suisses et alsaciens qui forment des communautés actives. Celles-ci quittent l’Europe pour le Nouveau Monde à partir de 1736. Elles s’installent bientôt dans la province canadienne de l’Ontario et dans les futurs États fédérées étatsuniens de l’Indiana, de l’Ohio et, surtout, de la Pennsylvanie.

S’exprimant en Pennsylvania Dutch, un dialecte haut-allemand mêlant les parlers alsacien, helvétique et lorrain, les Amish se caractérisent par leur mode de vie resté aux XVIIe – XVIIIe siècles. Ils appliquent un ensemble de règles dont la première énonce : « Tu ne te conformeras point à ce monde qui t’entoure. » Ils refusent par conséquent l’électricité, le téléphone, la radio, la télévision et bien évidemment l’ordinateur et Internet. Ils se déplacent uniquement à cheval ou en carriole. Pacifistes et non-violents, ils rejettent toute forme de compétition sportive, préfèrent scolariser leurs enfants chez eux, et pratiquent au quotidien une solidarité communautaire doublée d’une solide entraide familiale. Ainsi récusent-ils tout système de sécurité sociale, d’assurances-santé et de retraite institutionnelle.

Leur manière de vivre sobre, rustique et conviviale ne correspond pas aux canons en vigueur du politiquement correct. Les multinationales ne les apprécient pas parce que ces excellents paysans savent cultiver leurs champs sans l’aide des OGM, ni des produits phytosanitaires. Les harpies misandriques s’élèvent contre de « détestables » structures patriarcales et gérontocratiques. Chaque communauté amish dispose en effet de son propre conseil des anciens qui prend les décisions les plus importantes après maintes discussions dominicales. En outre, mariées dès la sortie de l’adolescence, les femmes amish procréent beaucoup. En vingt ans, leur nombre aux États-Unis et au Canada a augmenté d’environ 3 %, ce qui en fait un des groupes religieux les plus dynamiques d’Amérique du Nord. Observons aussi que certaines communautés acceptent la venue définitive d’adultes convertis en dehors du moindre prosélytisme.

Les détracteurs les plus acharnés des Amish, les chantres de la Subversion « arc-en-ciel », se focalisent sur quelques affaires pénibles de mœurs qui frappent telle ou telle communauté comme partout ailleurs. Ces sales consciences hautement nuisibles n’admettent pas que les communautés amish reposent sur un indiscutable consentement. Vers 17 ans, le jeune Amish suit le Rimspringa, un rite de passage à la vie d’adulte. Pendant une année, il a le droit de découvrir le monde moderne et ses affres. Il peut s’alcooliser, danser en boîte de nuit, fumer, conduire une voiture, aller au cinéma, regarder la télévision, surfer sur Internet, etc. Au terme de cette année, il choisit soit de rester dans la modernité, soit de rejoindre les siens et de mener une vie paisible, communautaire et laborieuse.

Outre ses caractères profondément écologiques et communautaires, le modèle amish peut aider au maintien et à la pérennité des BAD (Bases autonomes durables). Celles-ci pâtissent ou risquent de pâtir du choc des égos individualistes et de la confrontation sur-hormonée de Conducatori de bac de sable. Les tensions entre membres d’un même ensemble sont inhérentes à toute vie en société, fût-elle la plus restreinte. Par leur expérience pluriséculaire, les Amish parviennent à désamorcer des rivalités souvent égotiques. Il serait bien de s’en inspirer.

Une fois encore, en dénigrant de manière gratuite et injuste le modèle amish, le triste garnement de l’Élysée commet une belle erreur morale. Les Amish ont déjà surmonté les défis de l’écologie contemporaine. Ils incarnent une voie intéressante pour notre avenir tandis qu’Emmanuel Macron s’approche, lui, de l’obsolescence programmée pour 2022.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°184 mise en ligne sur TVLibertés, le 29 septembre 2020.

Lire Europe Maxima cliquez ici

23:43 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nouvelle Calédonie française : juste un répit en attendant la fin.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
A peu de voix près, la Nouvelle Calédonie échappe pour cette fois à une indépendance voulue, préparée et orchestrée de longue date par une coalition d'intérêts regroupant dans un même ensemble anti-français les séparatistes Kanaks qui entendent substituer aux lois de la civilisation leur droit coutumier et leurs mœurs tribales, les groupes révolutionnaires de l'extrême gauche internationaliste, les idéologues de la décolonisation, les adversaires de l'œuvre blanche outre-mer, les vautours régionaux anglo-saxons qui œuvrent depuis des décennies à l'effacement de la France dans la zone Pacifique, les États Unis d'Amérique toujours à la pointe de l'action pour l'abaissement du rayonnement bleu-blanc-rouge, et la Chine qui espère disposer ainsi du nickel dont elle a besoin pour sa production d'acier inoxydable.
 
Ce n'est que partie remise. Un autre référendum sera sans nul doute organisé d'ici novembre 2022 au terme du processus sécessionniste initié il y a plus de trente ans par Mitterrand et Rocard.
 
L'importante progression du oui à l'indépendance laisse penser que cette ultime consultation sera la bonne pour les partisans de la Kanakie. La France aura alors perdu un territoire de plus et reculé face aux manoeuvres géostratégiques américaines et chinoises. Avant que la contagion ne touche telle ou telle autre de ses possessions ultramarines.
 
Les caldoches, devenus citoyens de seconde zone d'un archipel dont ils ont forgé la modernité, auront, quand à eux, le choix entre la valise ou la soumission au nouvel ordre mélanésien.

23:30 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chute des Bourses, déferlante de licenciements, récession... et ils parlent de « reprise » ?

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Marc Rousset

Le rebond des marchés a tourné court, en septembre, avec un CAC 40 aujourd’hui à 4824,88. Il en est de même à Wall Street où le NASDAQ, le Standard & Poor’s 500 et le Dow Jones ont fini de progresser pour perdre, respectivement, 5 %, 3,9 % et 2,3 %. Depuis son plus haut de l’été, le NASDAQ a perdu 15 % et la bulle folle des GAFAM ainsi que des valeurs technologiques américaines pourrait bien continuer à se dégonfler, à défaut d’éclater subitement.

La pandémie semble reprendre dans le monde, mais les gouvernements occidentaux paraissent enfin avoir compris qu’un nouveau confinement généralisé serait la descente assurée aux enfers avec un risque de révolte des populations et une mort sociale, économique, budgétaire, financière assurée par création de chômage, assassinat des entreprises et hyperendettement menant tout droit à la banqueroute. Des espoirs très nombreux de vaccins dans de nombreux pays sont permis pour 2021, mais sans aucune certitude si ce n’est que les délais d’homologation sont beaucoup trop brefs et comportent donc des risques pour les populations.

La déferlante de licenciements dans les grandes entreprises a commencé : 9.000 emplois, soit 10 % des effectifs, chez Shell ; Disney, American Airlines et United Airlines ont annoncé, à elles seules, 60.000 licenciements en 24 heures. À très court terme, ce sont 100.000 postes qui sont menacés aux États-Unis. En Europe, on évoque 50.000 suppressions de postes. Les aéroports américains affichent une fréquentation en baisse de 60 % à 70 %.

En France, une récession de l’ordre de -2 % à -4 % pourrait bien avoir lieu au dernier trimestre 2020 en guise de reprise. La prévision de croissance de 8 % du budget 2021 par Bruno Le Maire semble très optimiste, avec des hypothèses sanitaires qui peuvent très vite devenir caduques. Quant à l’endettement, pour la France, de 120 % du PIB à fin 2021, ce sera un minimum, la seule certitude étant un endettement hors de contrôle.

« La reprise reste incomplète, incertaine et inégale », a rappelé, lundi, la présidente de la BCE, Christine Lagarde. La Fed et la BCE semblent, en fait, à bout de souffle. Le soutien des banques centrales a permis de sauver les meubles face à la crise sanitaire, tout en provoquant une bulle sur les marchés boursiers. Les facteurs fondamentaux déflationnistes sont tellement puissants que les tentatives de la Fed et de la BCE de créer de l’inflation pour diminuer le poids des dettes des États et des entreprises ont échoué.

À la BCE, la lutte entre les « faucons » menés par Jens Weidmann, le président de la Bundesbank, et les « colombes » perdure : les premiers veulent mettre fin à la politique non conventionnelle en cours, ultra-accommodante, de création de 1.350 milliards d’euros, tandis que les seconds réclament une rallonge, voire sa pérennisation. Christine Lagarde se veut être une « chouette », symbole de la sagesse, afin de pouvoir trancher entre les deux camps, mais c’est en fait une « colombe » française mise en place par Macron qui risque, un jour, d’être complètement dépassée par les événements. Une explosion de la zone euro ou une scission en deux zones monétaires sera inévitable si la France et l’Italie continuent de se diriger vers la banqueroute.

L’actif du bilan de la Fed, qui représentait environ 10 % du PIB américain en 2000, en représente aujourd’hui 60 %, avec une augmentation continue du cours de l’or de 250 à environ 2.000 dollars l’once. Si les États-Unis continuent au même rythme de création monétaire, l’actif du bilan de la Fed devrait atteindre 150 % du PIB, en 2025, avec un cours de l’or à 7.000 dollars l’once. Powell promet que la Fed aidera « aussi longtemps que nécessaire ». L’argent gratuit va continuer de couler à flots, tandis que l’hyperendettement des États-Unis va s’accélérer. La prochaine crise d’une économie américaine sous perfusion sera monétaire, les investisseurs Warren Buffett et Ray Dalio se préparant à une inflation élevée à venir. Comme l’écrivait Céline, « on ne meurt pas de dettes, on meurt de ne plus pouvoir en faire ».

Lire Boulevard Voltaire cliquez ici

12:34 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Des nouvelles du "Journal du Chaos" et de son rédacteur Patrick Parment

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Depuis trois semaines, vous êtes nombreux à nous interroger pourquoi vous ne retrouvez plus chaque samedi sur ce site Synthèse nationale Le Journal du Chaos cliquez ici. Et pour cause... Depuis trois semaines son rédacteur, Patrick Parment, est hospitalisé suite à un grave "incident" cardiaque (rien à voir avec le coronavirus). Il "revient de loin" mais, rassurez-vous, le gaillard est solide et, grâce à l'efficacité des soignants, son rétablissement est en bonne voie.

Hier après-midi, Roland Hélie a pu lui rendre visite à l'hôpital où il est toujours en soins intensifs. Certes notre ami est affaibli mais il bouille d'impatience de retrouver son clavier d'ordinateur et la rédaction de sa revue de presse. Il faudra donc encore attendre un certain temps et, dès qu'il sera totalement guéri, nous reprendrons la publication sur ce site du Journal du Chaos, bulletin non-conformiste hebdomadaire qu'il rédige depuis maintenant six ans.

S.N.

12:20 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vincent Lapierre dénonce les mutilations barbares d'animaux...

Source Le Media pour tous cliquez là

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Comment se financent les associations véganes :

Source Breizh infos cliquez ici
 
Des groupes financiers américains financent les associations végan anti élevage, les associations anti chasse et les lobbys anti agricoles.
 
Grâce à des multinationales et des milliardaires américains qui veulent produire de la viande artificielle et investissent dans des usines et filières destinées à éliminer la production de viande authentique naturelle. C’est ce que révélait l’enquête du journaliste Gilles Luneau, paru il y a plus d’un an dans la revue We Demain.
 
Le journaliste d’investigation a dernièrement enquêté sur ces mouvements dont un des buts est de préparer l’humanité à une alimentation totalement industrielle. Adieu l’agriculture et l’élevage sur lesquelles on pouvait avoir une traçabilité…
 
Cette nourriture que l’on nous prépare, peut bien entendu non seulement rapporter gros mais aussi nous rendre totalement dépendant de ces industriels américains.
 
Voir le reportage sur l’enquête de Février 2019, mais qu’il est intéressant de revoir alors que L214 a encore récemment publié une vidéo sur une exploitation dans le Morbihan.

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Thomas Joly répond aux questions des adhérents du Parti de la France

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Site du PdF cliquez ici

11:24 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Séparatisme : les contre-propositions du MND

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Communiqué du Mouvement National-Démocrate 

Dans son discours prononcé vendredi aux Mureaux, Emmanuel Macron a fustigé le "séparatisme islamiste" et le communautarisme qui "nient les lois de la République". Dans un numéro d'équilibriste pour le moins confus, le Président de la République a réussi le tour de force de dénoncer le processus de sédition communautariste à l'oeuvre dans les banlieues françaises sans jamais remettre en cause la folle politique d'invasion migratoire imposée à la France par tous les gouvernements, y compris le sien, ces quarante dernières années. Pire, Emmanuel Macron a fait le choix explicite d'attribuer la responsabilité première de cet échec de la politique d'assimilation républicaine à la France elle-même, qui n'aurait pas su "tenir ses promesses", qui n'aurait pas été suffisamment efficace dans la "lutte contre le racisme et les discriminations", et qui aurait failli "à affronter les traumatismes et les insuffisances" de son passé colonial. Rappelons qu'en 25 ans, près de 100 milliards d'euros ont été injectés dans les quartiers "sensibles" au nom de la "politique de la ville",tandis que dans le même temps on fermait par centaines des écoles, des bureaux de poste, des gares et des brigades de gendarmerie dans les campagnes de la France périphérique.

En somme, ce discours relève d'une opération de communication destinée d'une part à réactiver la narration culpabilisante selon laquelle la France serait, en dernière instance, première coupable et responsable de ce processus de séparatisme islamiste, et d'autre part à justifier la création de nouveaux dispositifs de contrôle social, notamment par l'école obligatoire dès 3 ans ou encore l'encadrement des écoles hors-contrat. Ainsi, les dérives de quelques minorités communautaires serviront une fois encore de prétexte à la restriction des libertés fondamentales de la majorité.

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samedi, 03 octobre 2020

Le retour du petit père Combes.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La décision annoncée vendredi par Macron d'interdire de fait l'école à domicile constitue un acte liberticide et une atteinte scélérate au droit fondamental des parents de choisir le mode d'éducation de leurs enfants. Il en va de même du contrôle renforcé sur les établissements hors contrat qui ne concernera bien entendu pas seulement les écoles coraniques.
 
Sous couvert de lutter contre l'expansion islamique qu'il est incapable d'endiguer — alors que très peu d'enfants musulmans sont concernés et que ces mesures n'auront bien évidemment aucun effet sur l'ancrage pernicieux de l'islam politique dans la société française — le pouvoir renoue avec les pires pratiques du laïcisme militant, idéologique, obsessionnel et hystérique de la troisième République. Macron a précisé que cette décision était, en matière d'enseignement, la plus importante  depuis la loi du 28 mars 1882, dite loi Jules Ferry, sur l'instruction primaire obligatoire.
 
Elle est surtout la plus hostile aux traditions françaises depuis l'application des méthodes et des principes anti-chrétiens du "Petit père Combes".
 
Liberté d'expression et de pensée muselée, liberté d'aller et venir limitée, libertés économiques encadrées, libertés politiques bafouées, libertés collectives et personnelles réduites, libertés familiales supprimées... Le régime se radicalise et cette République se rue dans une fuite en avant totalitaire et concentrationnaire pour tenter d'y trouver les conditions de sa survie.

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vendredi, 02 octobre 2020

Pierre Jovanovic dans l’émission Politique & Éco n°269

Pierre Jovanovic et son complice Olivier Pichon vont attaquer les banques... sur leurs turpitudes financières. On y apprendra comment la profession de banquier de haut vol vous expose à être promptement "suicidé" et comment la folie des taux d’intérêts négatifs est le véritable virus qui détruit la société. Ou bien encore comment ils veulent supprimer l’argent liquide et les DAB et comment ils pillent petits épargnants et petits retraités par des stratagèmes aussi tordus que subreptices. Un tableau édifiant et des enjeux de pouvoir qui ne sont jamais loin.

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Le JDD censure une tribune des Pr Toussaint, Toubiana et de 250 autres scientifiques critiquant la gestion de l’épidémie

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Jean-Dominique Michel

L’heure est grave. Nos gouvernements sont désormais pris dans une fuite en avant insensée, délirante et destructrice.

À mesure qu’ils fracassent les lignes sans aucune justification sanitaire (selon tous les critères usuels et utiles en la matière), la révolte gronde dans les populations de plus en plus infantilisées, culpabilisées et maltraitées.

La tribune suivante, signée par 250 scientifiques, universitaires et professionnels de la santé, enfonce le clou.

Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19.

Dans cette tribune, près de 250 scientifiques, universitaires et professionnels de santé critiquent la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu’elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des mesures disproportionnées. Et demandent que l’on évalue nos connaissances réelles pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire.

Avis au lecteur : cette tribune devait initialement paraître dans le "Journal du Dimanche" (JDD) ce 27 septembre 2020. Acceptée le samedi matin par le journaliste en charge de la rubrique "Tribune/Opinions", elle devait paraître intégralement sur le site Internet du journal et faire l’objet d’un article dans la version papier du lendemain. Le journaliste nous disait s’en féliciter car cela allait permettre un débat contradictoire avec d’autres opinions très alarmistes exprimées ce jour dans ce journal. À 16h, ce journaliste nous a pourtant prévenu que sa rédaction en chef interdisait la publication. Certitude de détenir soi-même la vérité ? Couardise ? Volonté de ne pas déplaire au gouvernement ? Nous ignorons les raisons de cette censure que personne n’a jugé utile (ou tout simplement courtois) de nous expliquer.

Tandis que le gouvernement prépare une nouvelle loi (la quatrième en 6 mois !) prolongeant le « régime d’exception » qui a remplacé « l’État d’urgence » sanitaire, le ministère de la Santé a encore annoncé mercredi 23 septembre des mesures restrictives des libertés individuelles et collectives qu’il prétend fondées scientifiquement sur l’analyse de l’épidémie de coronavirus. Cette prétention est contestable. Nous pensons au contraire que la peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, qu’ils conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.

Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?

Le SARS-CoV-2 menace essentiellement les personnes dont le système immunitaire est fragilisé par le grand âge, la sédentarité, l’obésité, des comorbidités cardio-respiratoires et des maladies sous-jacentes de ces systèmes. Il en découle que la priorité sanitaire est de protéger ces personnes fragiles : le respect des gestes barrières et le lavage des mains en sont deux des clés.

Le SARS-CoV-2 circule dans le monde depuis environ un an. Il continuera à circuler, comme l’ensemble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et auxquels nos organismes se sont progressivement adaptés. L’espoir de faire disparaître ce virus en réduisant à néant la vie sociale est une illusion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pratiques médiévales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.

Quant à l’évolution, l’idée d’une « deuxième vague » reproduisant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empirique. C’est une théorie catastrophiste issue de modélisations fondées sur des hypothèses non vérifiées, annoncée dès le mois de mars et ressortie des cartons à chaque étape de l’épidémie : en avril lors du soi-disant « relâchement » des Français, en mai avant le déconfinement, en juin pour la Fête de la musique, en été pour les « clusters » de Mayenne ou les matchs de foot, et à nouveau cet automne face à une augmentation des cas certes significative, mais lente et grevée d’incertitudes diagnostiques. Au final, cette prétendue « deuxième vague » est une aberration épidémiologique et l’on ne voit rien venir qui puisse être sérieusement comparé à ce que nous avons vécu au printemps dernier.

On ne compte plus les mêmes choses.

Nous voyons enfin que, pour des raisons difficiles à cerner (panique, pression politique ou médiatique… ?), les autorités sanitaires françaises ne parviennent pas à stabiliser une communication honnête sur les chiffres de l’épidémie [1]. Elles ont surtout abandonné l’indicateur fondamental, la mortalité, pour ne retenir que celui de la positivité de tests pourtant incapables de distinguer les sujets malades des personnes guéries. Cette politique du chiffre appliquée aux tests conduit à une nouvelle aberration consistant à s’étonner du fait qu’on trouve davantage aujourd’hui ce qu’on ne cherchait pas hier. Elle conduit par ailleurs à des classements des départements ou des régions en zones plus ou moins « dangereuses » à qui l’on donne de jolies couleurs qui cachent la fragilité et l’arbitraire du comptage : untel se retrouvera en « zone rouge » alors qu’il y a moins de dix patients en réanimation, un autre verra tous ses restaurants fermés sans que l’on ait la preuve que ce sont des lieux de contamination majeurs. Tout cela n’est guère cohérent.

Les autorités sanitaires ne s’interrogent pas non plus sur la surmortalité à venir des autres grandes causes de décès [2] (cancers, maladies cardio-vasculaires) dont la prise en charge est délaissée, ni sur le fait qu’une partie des sujets classifiés parmi les personnes « décédées de la Covid » sont en réalité mortes en raison d’une autre pathologie [3] mais classifiées Covid parce qu’elles étaient également porteuses du virus. Or des études récentes montrent que ce groupe pourrait constituer jusqu’à 30 % des décès au Royaume Uni ces dernières semaines [4]. Cette façon de compter de plus en plus comme « morts du Covid » des personnes en réalité atteintes avant tout d’autres maladies est probablement l’explication principale du fait que, comme cela est écrit en toutes lettres sur le site de l’INSEE [5] : « Depuis le 1ᵉʳ mai, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019 ».

Il découle de tout ceci qu’il n’y a pas de sens à paralyser tout ou partie de la vie de la société en suivant des raisonnements qui sont parfois erronés dans leurs prémisses mêmes. Il est urgent d’arrêter l’escalade, d’accepter de remettre à plat nos connaissances scientifiques et médicales, pour redéfinir démocratiquement une stratégie sanitaire actuellement en pleine dérive autoritariste.

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Macron aux Mureaux : discours inutile de la méthode erronée.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Embruiné de cavillations et de prudence casuistique destinées à éviter la "stigmatisation", le discours sur les "séparatismes" (l'emploi du pluriel n'est évidemment pas anodin) prononcé ce vendredi à la mairie des Mureaux par Emmanuel Macron s'inscrit dans la longue liste des déclarations de principe non suivies d'effets, commises en pure perte depuis trois décennies au nom de la République, une, indivisible et laïque.
 
Se féliciter comme l'a fait le Président de la République de succès fantomatiques en matière de lutte contre l'islamisme est une insulte à ceux qui sont morts, ont été blessés ou violentés ces dernières années par la sauvagerie venue d'ailleurs.
 
Prétendre s'attaquer aux effets que l'on dit déplorer mais dont on chérit les causes, selon la formule célèbre de Bossuet, relève du pire mensonge carthaginois. Tant que la source même de la corrosion islamiste de la France ne sera pas traitée, les mesures supposées en réduire la malignité qu'envisage de prendre l'exécutif resteront, en effet, au niveau de l'emplâtre.
 
Feindre de vouloir prendre à bras le corps la résolution du problème tout en laissant les tribunaux relâcher chaque année entre soixante et cent djihadistes et en continuant de confier malgré la promesse d'un dispositif d'évitement des extrémistes, le contrôle des organisations cultuelles aux Frères musulmans est une escroquerie en même temps qu'un crime.
 
Rêver à l'organisation d'un Islam de France "Islam des Lumières" est une faute majeure contre l'identité et la cohésion nationale française.
 
Affirmer sa "détermination" face à ce que d'autres nomment pudiquement "communautarisme" en laissant se développer dans des centaines de cités arrachées à la France les "daïras" des caïds de la drogue et des imams salafistes est une arnaque honteuse.
 
Décider de mesures aussi dérisoires qu'inapplicables - encadrement des écoles coraniques, contrôle des associations, renforcement de la laïcité et des normes "républicaines" à l'école, "neutralité" des agents des services publics, interdiction des certificats de virginité, création surréaliste d'un Institut scientifique d'Islamologie, - dans des zones interdites à la police et dans une France soumise à la pression de la bien-pensance comme au laxisme des tribunaux est une plaisanterie.
 
Non, l'islamisme n'est pas un séparatisme. Il est un impérialisme politique et religieux venu de la nuit des temps. L'immigration en est la vague porteuse. C'est à elle qu'il convient de s'attaquer non seulement pour l'endiguer mais pour procéder à son inversion totale, absolue, définitive.
 
Tout le reste n'est que paroles éparses que le vent d'automne a déjà commencé de balayer.

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« Binationalité : le cheval de Troie est dans nos murs ». Entretien avec Farid Smahi, auteur de La Fracture nationale (éditions Dualpha)

Smahi-Farid-quadri-681x1024.jpgEntretien avec Farid Smahi publié dans le quotidien Présent.

 

 

Votre livre s’attaque à la question de la binationalité qui vous préoccupait déjà lors de la parution de votre précédent ouvrage Parole d’un élu, il y a près de vingt ans. Rien n’a donc changé ?

C’est assez simple : qu’est-ce que la nationalité ? Pour le dictionnaire Robert : « Existence ou volonté d’existence en tant que nation d’un groupe d’hommes unis par une communauté de territoire, de langue, de traditions ou d’aspirations. »

Depuis la fin du XIXe siècle : « État d’une personne qui est membre d’une nation déterminée. »

La nationalité recouvre l’idée de patrie, jetée aux oubliettes en France par les politiciens de tout bord à l’exception des élus du Rassemblement National, de Nicolas Dupont-Aignan, de Florian Philippot et de quelques sociologues comme Éric Zemmour ou encore Michel Onfray.

Et c’est au nom du « principe des nationalités » que le traité de Versailles, au lendemain de la 1re Guerre mondiale, a dépecé l’empire austro-hongrois pour créer la Hongrie, la Tchécoslovaquie… et la Yougoslavie !

Mais en quoi le fait pour une personne de disposer de deux ou même plusieurs nationalités constitue-t-il un problème ?

Ce fut une hérésie juridique pratiquement jusqu’à l’entre-deux-guerres… Les professeurs de droit en citaient cependant un exemple qui faisait exception :

René de Chambrun, descendant de Lafayette, auquel, de ce fait, le congrès américain reconnaissait la nationalité américaine lui permettant ainsi d’être à la fois avocat au Barreau de New York et à la cour d’appel de Paris.

Mais l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler en 1933 eut pour conséquence un déferlement de populations fuyant les persécutions nazies en Suisse d’abord, puis en France, en Grande-Bretagne et enfin aux USA…

À la création de l’État d’Israël, ses fondateurs décidèrent que tout Juif s’y installant, d’où qu’il vienne, recevrait ipso facto la nationalité israélienne. Dans la foulée, l’hérésie juridique est devenue peu à peu le droit positif de certains États comme la France. Dans La Fracture nationale, le lecteur pourra se faire une idée des séquelles calamiteuses du concept de poly-nationalités pour la santé d’une société…

Un exemple entre 1 000 : l’ancien patron de Renault, Carlos Ghosn, dispose tout à la fois des nationalités brésilienne, libanaise et française !

Certains gouvernements refusent avec vigueur ce concept : parmi eux, le roi du Maroc qui, conformément à la Charte Olympique, a, en 2000, refusé d’autoriser trois de ses ressortissants à participer aux Jeux Olympiques de Sydney sous le maillot tricolore, faisant fi de leur naturalisation pourtant bien antérieure !

Mais la Binationalité a tout de même un avantage : les Français d’origine immigrée, multirécidivistes, notamment pour des affaires de drogues et disposant d’une autre nationalité pourraient être très légalement de ce fait renvoyés dans leur patrie d’origine. Encore faudrait-il que nos magistrats au grand cœur s’y prêtent !

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11:44 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sonia Devillers, de France Inter, en appelle au CSA : trop de gens de droite sur CNews…

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Olivier Piacentini

L’élection présidentielle approche, la gauche est dans les choux, LREM va de débâcle en débâcle, la peur s’installe à gauche : et si le RN gagnait sur les ruines de ses adversaires ? Sonia Devillers, journaliste à France Inter, semble prise de panique. « Trop de journalistes et intervenants de droite sur CNews », a-t-elle constaté. Beaucoup de gens qui interviennent sur cette chaîne, en tant que témoins « neutres », sont en fait des gens de droite… Horreur, les envahisseurs sont parmi nous ! Alors, Sonia Devillers demande au patron du CSA de comptabiliser le temps de parole des uns et des autres en fonction de leur orientation politique supposée, de façon à ne pas favoriser la droite.

Mais de qui se moque donc Sonia Devillers ? Voici une liste d’intervenants habituels dans « L’Heure des pros », tous de gauche ou LREM : Catherine Mécary, Éric Coquerel, Benjamin Amar, Clément Viktorovitch, Gérard Leclerc et tant d’autres… Quant à « Face à l’Info », l’émission qui oppose Zemmour à des personnalités de gauche le plus souvent, ils finissent la plupart du temps au tapis. Mais faut-il en vouloir à la chaîne s’ils ne sont pas capables de tenir le choc en débat ?

En fait, Sonia Devillers n’est pas effrayée par l’absence de pluralisme, c’est au contraire le pluralisme qui l’effraie : qu’une grande chaîne ouvre ses micros à Zemmour, d’Ornellas, Cluzel, Lévy, Rioufol, voilà qui la choque. Elle se sent tellement mieux sur France Inter, où toutes ces affreuses personnes ne sont jamais invitées, où l’on peut assener le catéchisme de la bien-pensance entre gens de bonne compagnie (Joffrin, Szafran, Domenach, Demorand et tutti quanti) sans jamais être contrarié par un horrible trublion de droite, où l’on peut insulter Jésus en riant sans crainte de voir le moindre catholique pointer le bout de son nez. Et tout cela sur le service public, c’est-à-dire avec l’argent des ringards contribuables de droite, obligés de payer pour s’entendre dénigrer, 24 heures sur 24, sans jamais avoir le droit de répondre ni de s’en plaindre.

En agissant ainsi, Sonia Devillers prouve ce que nous disons et répétons depuis des années : c’est bien la mainmise médiatique de la gauche sur les médias qui oriente le public et apporte à la gauche un avantage souvent décisif. La fin du monopole de la pensée sur les médias a de quoi les paniquer : elle sonne, pour eux, le début de la fin… 

Boulevard Voltaire cliquez ici

11:31 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour dit la vérité et la jactance politico-médiatique s'égosille pour le faire taire...

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Samedi 10 octobre, partout en France : mobilisation générale contre la PMA et la GPA

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RAPPEL Samedi 3 octobre : UNE JOURNÉE EN HOMMAGE À PIERRE SIDOS

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Les Amis de Pierre Sidos vous convient à un hommage national à Pierre SIDOS, fondateur de Jeune Nation et de l’Œuvre française, décédé le 4 septembre dernier.

Programme :

  • 9 h 30  rassemblement au cimetierre parisien de Thiais
  • 12 h 30 messe de trentaine à Notre-Dame de la Consolation
  • 13 h 30 verre de l’amitié avec prise de parole

Avec la présence des personnalités :

  • Yvan Benedetti, President de l’Œuvre française
  • Jérôme Bourbon, Directeur de Rivarol
  • Radu Creanga
  • François Ferrier, président des Amis de Pierre Sidos
  • Hélène Grimaldi, Présidente des Caryatides
  • Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale
  • Johan Livernette, Écrivain
  • Jean-Pierre Papadacci, Adimad
  • Florian Rouanet, Directeur d’Intégralisme Organique
  • Scipion de Salm, Journaliste à Rivarol
  • Eugène Krampon, Réfléchir & Agir, Méridien Zéro

Rejoignez-nous nombreux afin d’honorer la mémoire d’un pilier du Nationalisme Français.

4 septembre 2020 : décès de Pierre Sidos cliquez ici

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jeudi, 01 octobre 2020

Soutien au Haut Karabach.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La présence avérée de milices djihadistes en provenance de Syrie venues se joindre aux forces d'Azerbaïdjan dans leur offensive activement soutenue par la Turquie contre le Haut Karabakh montre clairement que l'enjeu pour la  république musulmane de Bakou n'est pas seulement territorial mais s'inscrit dans la suite du combat millénaire entre l'Islam et la chrétienté.
 
Assez de paroles vaines ! Macron qui n'ignore pas que, malheureusement, la France ne compte aujourd'hui pas dans cette region, Trump qui joue, comme l'ont fait tous ses prédécesseurs, de l'appartenance de la Turquie à l'OTAN, et Poutine qui œuvre sur les deux tableaux en vendant des armes aux uns et aux autres, ont, d'une même voix d'apparence, exigé l'arrêt des combats. Ils doivent rapidement sortir de l'ambiguïté et passer à un autre registre. 
 
C'est un soutien total aux Arméniens du Haut Karabach, comme à ceux d'Erevan qui doit être affirmé. Si nous laissons faire, les positions de l'islam conquérant seront renforcées, un nouveau massacre ethnique et religieux aura lieu, et la Turquie, déjà forte de son influence croissante dans le monde musulman, de son contrôle des routes énergétiques, de ses investissements économiques et politiques au Maghreb, et du double chantage qu'elle exerce sur l'Europe par l'arme migratoire et le levier de sa diaspora aura la voie libre dans la reconstitution de l'empire ottoman, ennemi juré et déterminé de notre civilisation.

23:28 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Devoir de mémoire

Pieter Kerstens

Il y a 70 ans, en Indochine.
 
Du 4 au 10 octobre 1950, les supplétifs marocains du 5ème Goum du 11ème Tabor se sont couverts de gloire durant la bataille du Na Kéo. Ce combat s'inscrit dans le désastre de la R.C 4, durant lequel huit bataillons ont disparu. Les  décisions des colonels Lepage et Charton alimentent encore à ce jour les polémiques, notamment les causes de la tragédie de Cao-Bang.
 
Ces valeureux combattants étrangers méritent d'être Français, non par le droit du sol, mais par le sang versé R.I.P.

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RAPPEL - Report du « Rendez-vous Bleu Blanc Rouge » de Synthèse nationale : Roland Hélie, son directeur, s’explique sur le site EuroLibertés…

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Propos recueillis par Fabrice Dutilleul cliquez là

À la surprise générale dans les milieux non-conformistes, vous venez d’annoncer, il y a quelques jours, le report du Rendez-vous Bleu Blanc Rouge organisé par Synthèse nationale les 10 et 11 octobre prochains à Rungis (94). Quelles en sont les raisons ?

Hélas, « la surprise » était, si je puis dire, prévisible. Il ne vous a pas échappé que la crise sanitaire que nous traversons depuis le début de l’année a des répercussions multiples et diverses sur la vie quotidienne de nos compatriotes, et pas seulement eux, puisque cette crise est mondiale.

La psychose entretenue autour d’un rebondissement, avéré ou non, de l‘épidémie amène les autorités, au nom du sacro-saint « principe de précautions », à imposer des mesures drastiques en particulier lors des rassemblements de toute nature, qu’il s’agisse des spectacles, des rencontres sportives ou des réunions politiques. Le Rendez-vous BBR d’octobre entrait dans cette dernière catégorie.

Les conditions qui nous sont contractuellement imposées sont inacceptables si l’on veut réussir, comme c’est le cas depuis 14 ans (d’abord avec les « Journées de Synthèse nationale » et depuis l’an dernier avec les « Rendez-vous BBR »), cette rentrée politique de la droite nationale et identitaire.

N’était-il pas possible, malgré ces restrictions, d’envisager ce rassemblement sous une autre forme ?

Il faut savoir que l’organisation d’un tel événement prend beaucoup de temps et nécessite des moyens humains et financiers conséquents. Pratiquement, il faut presque un an à la cellule militante que nous avons mis en place pour préparer ces BBR. Modifier au dernier moment le lieu ou le programme était impossible. Ce d’autant plus que les difficultés rencontrées à Rungis auraient été les mêmes ailleurs.

Depuis la première réunion de ce type, en octobre 2007 à Paris, les Journées de Synthèse nationale ont pris une ampleur considérable. L’an dernier, sur deux jours, ce sont près de 3 000 visiteurs qui sont venus y assister. Ce succès grandissant est dû au côté politique bien sûr, puisque pratiquement toutes les forces nationales et identitaires sont présentes et peuvent s’exprimer ou y tenir un stand, mais aussi au côté festif.

Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que, l’an dernier, nous avons fait évoluer le concept de ces journées en leur donnant, en accord avec Jean-Marie Le Pen, le nom de « Rendez-vous Bleu Blanc Rouge ». Ce qui rappelle à beaucoup les Fêtes des BBR d’antan…

C’est vrai que les animations proposées sont nombreuses et que cela ne semble pas déplaire au public présent…

Au-delà des nombreuses interventions politiques qui prouvent la qualité et la diversité de notre famille d’idées, c’est aussi l’ensemble des activités (commerciales ou ludiques) proposées qui attire de nombreux patriotes. Or, compte tenu des restrictions, nous étions obligés d’enlever tout le côté festif, ce qui aurait réduit cette réunion à un simple colloque aussi intéressant soit-il, mais qui ne correspondrait plus à la vocation des BBR.

De plus, je ne me voyais pas transformer notre service d’ordre en gendarmes occupés à imposer au public des mesures dans lesquelles nous ne croyons pas vraiment. Cela d’autant plus que nous avons été avertis que les autorités seraient très vigilantes sur ce point. Il y a des limites à tout.

La Fête de L’Huma, le Festival d’Avignon, la Braderie de Lille ont été annulés pour les mêmes raisons. À l’impossible nul n’est tenu.

Pourtant, plusieurs réunions se sont tenues depuis le début du mois ici et là…

Tout à fait, mais la nature de ces réunions n’est pas la même. Qu’il s’agisse des Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil, de l’anniversaire de la Ligue du Midi près de Nîmes ou de la Fête du cochon du PdF en Bretagne (à laquelle j’étais d’ailleurs invité pour y prendre la parole), ces fêtes se sont déroulées en plein air, ou sous des barnums, dans des lieux privés à la campagne. La configuration de chacune d’entre elles n’était pas la même que celle de Rungis. De plus, ces différentes réunions sont souvent à vocation régionale et, aussi sympathiques et réussies soient-elles, ne rassemblent pas autant de monde que les BBR.

Cette décision n’a pas dû être facile à prendre ?

Ça n’a pas été, croyez-moi, de gaîté de cœur. Ces rendez-vous de rentrée ont donné au fil des ans à Synthèse nationale la crédibilité qui est la sienne au sein de la droite de combat. Depuis le début du mois de juillet la billetterie automatique enregistrait chaque jour de nouvelles inscriptions ; les demandes de réservations de stands affluaient de toutes parts ; les animations allaient être encore plus nombreuses que l’an passé et le programme s’annonçait lui aussi plus dense… Bref, toutes les conditions semblaient réunies pour que ces BBR pulvérisent les records. Mais tout cela aurait été obstrué par les nombreuses réglementations imposées et cette fête aurait ainsi perdu toutes les caractéristiques qui font sa réussite.

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Que pensez-vous de la situation actuelle et quel aurait été le message de ces BBR si elles s’étaient tenues normalement ?

La ligne de fracture est claire. Il y a ceux qui acceptent de se soumettre aux diktats de la pensée dominante et ceux qui, comme nous, le refusent. D’un côté le mondialisme destructeur des Peuples et des Nations, de l’autre, les nationalistes et les identitaires qui mettent au premier plan de leurs préoccupations la défense de notre nation et de notre civilisation.

Depuis neuf mois, la crise a mis en évidence les limites du mondialisme. La globalisation imposée depuis des décennies est en faillite. Plus que jamais les événements nous donnent raison. C’est dire que le combat que nous menons est, plus que jamais, d’actualité. C’est ce que nous aurions démontré au cours de ces journées. Nous le ferons différemment.

Qu’allez-vous donc faire maintenant ?

Je sais que beaucoup, parmi nos amis, sont déçus par l’absence de « Synthèse » cette année. Mais ce n’est que partie remise. Dès que les choses redeviendront plus sereines, nous reprogrammerons ce grand rendez-vous devenu incontournable. Mais nous ne sommes pas maîtres de la situation. J’espère sincèrement que nos amis nous comprendront…

Cela dit, à travers la revue Synthèse nationale, à travers nos éditions, nos Cahiers d’Histoire du nationalisme, à travers les émissions « Synthèse » réalisées en partenariat avec TV Libertés (1), à travers nos conférences locales et notre site quotidien d’informations, nous continuerons notre combat.

Notes

(1) Celles-ci reprendront le 1er octobre prochain avec comme invité Jean-Marie Le Pen.

La lettre explicative de Roland Hélie

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Parution du nouveau numéro (n°186) de la revue Éléments

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N°186, octobre 2020, 6,90 euros,

en kiosques ou sur le site d'Éléments cliquez ici 

11:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

L'émission "Synthèse" (sur TVL) prévue pour ce soir n'a pas pu être enregistrée mercredi en raison d'un changement dans l'emploi du temps de notre invité Jean-Marie Le Pen. Néanmoins, cette émission qui devait être consacrée à la création de son Institut sera réalisée et diffusée prochainement.

En attendant, retrouvez Jean-Marie Le Pen sur son Journal de bord de ce matin...

 

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Le professeur Toussaint recadre Coralie Dubost, député LREM

Coralie Dubost, la compagne d’Olivier Véran s’est emportée plusieurs fois envers le Professeur Toussaint et fut recadrée de manière très efficace par Laurence Ferrari qui lui a demandé d’être respectueuse et polie pendant le débat. La député Coralie Dubost, Larem, s’est en effet retrouvée très rapidement sans arguments valables devant le Professeur Jean-François Toussaint qui de manière très calme, directe et argumentée de véritables preuves scientifiques, l’a rendue complètement muette et agitée. Partagez un maximum, c’est du pur bonheur, profitez !

Source Planètes360 cliquez ici

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